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A mon avis, voilà notre remplacant de mister Lombardo ! Lui c'est l'idéal non ? C'est une grande figure du racing et à Arsenal il a appris beaucoup je pense ... Ptet que celà se fera l'an prochain, mais je ne pense pas qu'il soit venu juste pour le fun !Passage à la Meinau d'un visage connu hier matin. Rémy Garde, l'ex-Racingman et grand copain de Marc Keller figurait parmi les spectateurs de la séance d'entraînement.
L'Alsace a écrit :PROJET Keller songe à Wenger
« L'idée n'est pas idiote, mais elle est pour l'instant virtuelle. » On s'en doute, Marc Keller n'a pas souhaité s'étendre sur le sujet, même s'il a admis à demi-mots ce que l'entourage du Racing laissait entendre depuis quelque temps : le manager strasbourgeois nourrit le grand projet d'intéresser Arsène Wenger à la reprise du club. Et s'il se défend de vouloir outrepasser ses fonctions, le Haut-Rhinois, sans être officiellement mandaté par Patrick Proisy, sait que ce dernier n'ignore rien de son dessein. Keller et Wenger se connaissent bien, se rencontrent régulièrement et pourraient d'ailleurs faire prochainement le point. « J'ai, de temps à autre, Arsène au téléphone comme il a d'ailleurs d'autres Strasbourgeois, dont Max Hild, au bout du fil. Nous parlons du Racing, c'est exact, mais il n'y a rien de concret. Toute annonce serait prématurée », concède du bout des lèvres le dirigeant du RCS. Il n'empêche. M. Keller n'est pas fou : il n'ignore pas que si un Alsacien est capable de fédérer des investisseurs, alsaciens eux aussi, sur son nom, c'est bien le manager d'Arsenal. Mais ce dernier est lié aux Gunners jusqu'en juin 2005, y a signé deux doublés Cup-championnat en 1998 et 2002 et évolue outre-Manche dans des sphères qui surplombent de très haut les sables mouvants dans lesquels s'est enlisé le Racing depuis cinq ans. À telle enseigne que David Dein, le vice-président du club anglais, lui a prédit, la semaine passée, un poste de direction quand l'enfant de Duttlenheim désirerait prendre un peu de recul avec le terrain. Il y a quelques mois, Marc Keller a même envisagé d'investir lui-même dans le RCS (de 150 000 à 300 000 euros selon nos sources). « J'avais effectivement la possibilité d'acheter des actions à tarif préférentiel, mais j'étais embarqué dans les questions de recrutement, davantage impliqué dans une logique sportive que financière. J'ai donc renoncé à me positionner. » etc...
