Franchement ,ca m'étonnerait qu'il revienne a Lyon,il s'est fait jeter du centre de formation comme un moin que rien
[Ex] Guillaume Lacour
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- Maneo
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ça va pas recommencer, on va pas brader, a chaque fois, nos jeunes.
Quand on regarde un peu partout les jeunes qui ont etaient formé ou ont debuté au Racing, cela fait quand meme une sacrée equipe, alors la politique de former des jeunes et de les lancer dans le grand bain, c'est BIEN. si c'est pour les revendre de suite des qu'ils font une bonne saison alors c'est pas BIEN...
			
			
									
									
						Quand on regarde un peu partout les jeunes qui ont etaient formé ou ont debuté au Racing, cela fait quand meme une sacrée equipe, alors la politique de former des jeunes et de les lancer dans le grand bain, c'est BIEN. si c'est pour les revendre de suite des qu'ils font une bonne saison alors c'est pas BIEN...
- Frantz
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Bon joueur, bonne mentalité.
			
			
									
									Si l'Amazonie est le poumon de la terre, Metz en est le trou du cul.
http://rernes.free.fr/
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- Frantz
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Possible aussi. 
			
			
									
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- Gregg
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Bon, je vous rassure, Aulas n'a rien dit concernant Lacour...
En fait, c'était le voisin d'un pote et il voulait savoir si il était aprécié par les Strasbourgeois.
A Lyon, il est resté en CFA pendant longtemps, mais il n'a pas put se faire une place à l'OL (avec la concurence qu'il y a, ça aurais été dure).
Il a bien fait de partir à Strasbourg. Il peut jouer en L1 au moin.
Je regarde le match de l'OL avec le frère de Guillaume ce soir, je lui parlerais de vos comentaires, il sera surement ravi.
			
			
									
									En fait, c'était le voisin d'un pote et il voulait savoir si il était aprécié par les Strasbourgeois.
A Lyon, il est resté en CFA pendant longtemps, mais il n'a pas put se faire une place à l'OL (avec la concurence qu'il y a, ça aurais été dure).
Il a bien fait de partir à Strasbourg. Il peut jouer en L1 au moin.
Je regarde le match de l'OL avec le frère de Guillaume ce soir, je lui parlerais de vos comentaires, il sera surement ravi.
Fier d'être Lyonnais
						- argueti
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Lacour s'installe
  
Après avoir participé activement à la récolte du point du match nul du côté de Bordeaux, l'ancien Lyonnais ne compte guère faire de sentiment à l'heure de recevoir le double champion de France.
A la faveur de son 19e match disputé cette saison, Guillaume Lacour s'est parfaitement fondu dans les consignes édictées par Antoine Kombouaré. Pour mettre fin à la mauvaise passe strasbourgeoise, le milieu de terrain n'a pas rechigné à surtout… défendre en Aquitaine et c'est avec le sentiment du devoir accompli qu'il a pu quitter la pelouse du stade Chaban-Delmas. Encore que seuls les trois points auraient-ils pu pleinement contenter le garçon qui sait se rendre utile à chaque fois que l'on fait appel à lui. Equipier modèle, garçon bien dans sa peau, l'ancien Lyonnais sait se muer en combattant infatigable si telle est la thématique qui s'impose. « On a fait des efforts, on a été récompensé, même si l'on aurait pu espérer une plus belle issue encore », commente-t-il avec lucidité. « Le Racing adopte véritablement un visage accrocheur en cette fin de saison, alors que les circonstances l'imposent. C'est dommage de ne l'avoir pas fait plus tôt, surtout à l'extérieur. Car le groupe a les qualités pour s'exprimer pleinement dans cette configuration avec des attaquants qui savent bouger les défenses, comme Eric Mouloungui ou Ulrich Le Pen ».
Il s'agira donc d'enchaîner la capacité à résister dans les prochaines semaines. Et la perspective ne l'effraie pas. « L'état d'esprit ne nous a jamais fait défaut cette saison, ou très rarement », rassure-t-il. « Il y avait simplement quelques difficultés à l'exprimer. Maintenant, on se retrouve un peu dos au mur avec l'obligation de tout donner, de ne jamais lâcher, pour grappiller les points. Car le plus important désormais est d'achever les sept matches qu'il nous reste à disputer sans avoir aucun regret, avec l'obsession de sauver sa place en L1 ». Le programme des prochaines semaines, en la matière, ne s'annonce pas de tout repos avec, en particulier, l'accueil du champion lyonnais, ce club qui a accompagné ses premiers pas de footballeur. Guillaume Lacour ne fera pas dans le sentimental au moment de croiser la route de l'OL : « Ce sera un grand match, c'est certain, avec de l'engagement. On a su contrer Bordeaux. Il faudra en faire encore plus pour contrer Lyon ». Le petit Gone a définitivement changé de camp.
SO
			
			
									
									Après avoir participé activement à la récolte du point du match nul du côté de Bordeaux, l'ancien Lyonnais ne compte guère faire de sentiment à l'heure de recevoir le double champion de France.
A la faveur de son 19e match disputé cette saison, Guillaume Lacour s'est parfaitement fondu dans les consignes édictées par Antoine Kombouaré. Pour mettre fin à la mauvaise passe strasbourgeoise, le milieu de terrain n'a pas rechigné à surtout… défendre en Aquitaine et c'est avec le sentiment du devoir accompli qu'il a pu quitter la pelouse du stade Chaban-Delmas. Encore que seuls les trois points auraient-ils pu pleinement contenter le garçon qui sait se rendre utile à chaque fois que l'on fait appel à lui. Equipier modèle, garçon bien dans sa peau, l'ancien Lyonnais sait se muer en combattant infatigable si telle est la thématique qui s'impose. « On a fait des efforts, on a été récompensé, même si l'on aurait pu espérer une plus belle issue encore », commente-t-il avec lucidité. « Le Racing adopte véritablement un visage accrocheur en cette fin de saison, alors que les circonstances l'imposent. C'est dommage de ne l'avoir pas fait plus tôt, surtout à l'extérieur. Car le groupe a les qualités pour s'exprimer pleinement dans cette configuration avec des attaquants qui savent bouger les défenses, comme Eric Mouloungui ou Ulrich Le Pen ».
Il s'agira donc d'enchaîner la capacité à résister dans les prochaines semaines. Et la perspective ne l'effraie pas. « L'état d'esprit ne nous a jamais fait défaut cette saison, ou très rarement », rassure-t-il. « Il y avait simplement quelques difficultés à l'exprimer. Maintenant, on se retrouve un peu dos au mur avec l'obligation de tout donner, de ne jamais lâcher, pour grappiller les points. Car le plus important désormais est d'achever les sept matches qu'il nous reste à disputer sans avoir aucun regret, avec l'obsession de sauver sa place en L1 ». Le programme des prochaines semaines, en la matière, ne s'annonce pas de tout repos avec, en particulier, l'accueil du champion lyonnais, ce club qui a accompagné ses premiers pas de footballeur. Guillaume Lacour ne fera pas dans le sentimental au moment de croiser la route de l'OL : « Ce sera un grand match, c'est certain, avec de l'engagement. On a su contrer Bordeaux. Il faudra en faire encore plus pour contrer Lyon ». Le petit Gone a définitivement changé de camp.
SO
L'histoire est en marche ...
						- seb
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Bon, moi j'ai répondu en phase descendante... mais c juste une période, sans doute liée à  la forme générale de l'équipe...
En gros, après son début de saison (quand il a remplacé Pontus blessé), il était vraiment énorme... il récupérait plein de ballons, super agressif, bonnes ouvertures, peu de perte de balles... j'adorais.
Ce qui est génial, c sa polyvalence (milieu droit, arriere droit, milieu récupérateur)... Mais sur ses dernières prestations, j'ai été un peu déçu... cela dit, c'est un super joueur de club, et il apportera beaucoup au club les prochaines années (sauf si on va en L2... :-/)
			
			
									
									
						En gros, après son début de saison (quand il a remplacé Pontus blessé), il était vraiment énorme... il récupérait plein de ballons, super agressif, bonnes ouvertures, peu de perte de balles... j'adorais.
Ce qui est génial, c sa polyvalence (milieu droit, arriere droit, milieu récupérateur)... Mais sur ses dernières prestations, j'ai été un peu déçu... cela dit, c'est un super joueur de club, et il apportera beaucoup au club les prochaines années (sauf si on va en L2... :-/)
- Hans
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Lacour, conquérant discret 

La détermination de Guillaume Lacour peut s'avérer précieuse au moment de défier le double champion de France, l'Olympique lyonnais. (Photo DNA - Y. Dieffenbacher)
Parti au vert hier matin, le Racing s'apprête à relever le défi lyonnais, demain soir (20h45) à la Meinau. Dans ses rangs, Guillaume Lacour n'est pas le moins motivé à l'idée de désarçonner son club formateur, sur le chemin du maintien.
Guillaume Lacour ne fait jamais de vagues. Sage et posé, ce poids plume aux cheveux ras et au sourire charmeur passerait presque inaperçu. Dans la vie comme sur un terrain de foot, le garçon de 23 ans reste un modèle de gentillesse, d'écoute et de disponibilité. Le rêve pour tout entraîneur dont le quotidien est généralement fait de gestion de petites contrariétés et de grandes dissensions entre jeunes gens à l'ego imposant.
Antoine Kombouaré l'a bien compris. Au moment d'échafauder sa liste restreinte de seize joueurs amenés à partir au vert, l'entraîneur strasbourgeois n'a pas dû longuement tergiverser. Le nom de Lacour s'impose presque comme une évidence, tant l'intéressé sait se montrer irréprochable.
Cap à gauche
L'air de ne pas y toucher, dans un registre plus proche de l'ombre que de la lumière, Guillaume Lacour a su trouver sa place. A Bordeaux, voilà une semaine, ce Parisien formé à l'Olympique lyonnais a disputé son dix-neuvième match de la saison sous le maillot bleu, soit déjà un de moins que son total du dernier exercice.
Dans un dispositif défensif repensé et renforcé, Kombouaré avait alors lancé Lacour sur le flanc gauche de la défense. Un rôle à contre-emploi pour ce droitier porté sur l'offensive dans ses plus jeunes années.
« S'adapter »
« Moi, j'évolue là où on me dit de jouer, explique posément ce titulaire d'un bac scientifique. Que ce soit au milieu ou derrière, j'essaie de donner le maximum. Ce que je peux apporter, c'est mon engagement et ma volonté. A Bordeaux, je me suis adapté. Même si j'ai un peu péché au niveau de la relance. C'est plus dur quand tu es sur ton mauvais pied. »
Malgré quelques coups de boutoir de son vis-à -vis Jemmali, Lacour s'est acquitté de sa tâche sans sourciller. Et comme le Racing n'a pas perdu en Gironde (1-1), le crédit du latéral gauche improvisé reste entier.
« Impressionné par l'envie »
Même si Fabrice Ehret, l'habituel homme de couloir, a été réintégré par Kombouaré dans le groupe des 16 partis hier matin au vert, Lacour pourrait bien prolonger son bail demain soir face à son club formateur. Une perspective qui ne l'effraie en rien.
« Malgré son élimination en Ligue des Champions et sa défaite contre Marseille, Lyon est une grosse équipe qui sait régir rapidement, raconte Lacour. J'ai été impressionné par l'envie et la détermination affichées lors de leur première mi-temps contre Porto (2-2). Tout dépendra de notre capacité à les mettre en difficulté dans l'impact physique. Il faudra conserver le même état d'esprit qu'à Bordeaux. Et surtout se montrer plus conquérant qu'eux. »
« Irréprochable »
Conscient de l'urgence de la situation - Toulouse, le premier relégable, pointe dans le rétro à trois petites longueurs -, Lacour sait qu'il faudra laisser son coeur sur le terrain pour espérer épingler le double champion de France. « On n'a plus le choix, ajoute-t-il. Chaque match est dorénavant un combat. A nous de montrer un état d'esprit irréprochable. »
En la matière, Lacour n'aura pas à forcer sa nature, lui qui ne rechigne jamais à l'effort. Si d'aventure Kombouaré devait lui renouveler sa confiance, le lutin bleu s'appliquera à porter sa pierre à l'édifice. Histoire aussi de prouver au club du président Aulas qu'il a eu tort de ne pas lui donner sa chance.
« Pas amer »
« Je ne suis pas amer, sourit Lacour. Pour les jeunes, c'est très compliqué à Lyon. Hormis Govou, que je côtoyais à l'époque en CFA, aucun gars de ma classe d'âge n'a percé. Balmont est parti à Toulouse, Montoya à Rouen et moi je suis bien à Strasbourg. J'ai fait mon chemin et je ne me retourne pas sur le passé. »
Ballotté au gré des besoins au milieu ou à l'arrière, à gauche ou à droite, Guillaume Lacour sait où il va. La tête bien vissé sur de frêles épaules, le Strasbourgeois est un conquérant sur qui on peut compter.
Sébastien Keller
			
			
									
									
						
La détermination de Guillaume Lacour peut s'avérer précieuse au moment de défier le double champion de France, l'Olympique lyonnais. (Photo DNA - Y. Dieffenbacher)
Parti au vert hier matin, le Racing s'apprête à relever le défi lyonnais, demain soir (20h45) à la Meinau. Dans ses rangs, Guillaume Lacour n'est pas le moins motivé à l'idée de désarçonner son club formateur, sur le chemin du maintien.
Guillaume Lacour ne fait jamais de vagues. Sage et posé, ce poids plume aux cheveux ras et au sourire charmeur passerait presque inaperçu. Dans la vie comme sur un terrain de foot, le garçon de 23 ans reste un modèle de gentillesse, d'écoute et de disponibilité. Le rêve pour tout entraîneur dont le quotidien est généralement fait de gestion de petites contrariétés et de grandes dissensions entre jeunes gens à l'ego imposant.
Antoine Kombouaré l'a bien compris. Au moment d'échafauder sa liste restreinte de seize joueurs amenés à partir au vert, l'entraîneur strasbourgeois n'a pas dû longuement tergiverser. Le nom de Lacour s'impose presque comme une évidence, tant l'intéressé sait se montrer irréprochable.
Cap à gauche
L'air de ne pas y toucher, dans un registre plus proche de l'ombre que de la lumière, Guillaume Lacour a su trouver sa place. A Bordeaux, voilà une semaine, ce Parisien formé à l'Olympique lyonnais a disputé son dix-neuvième match de la saison sous le maillot bleu, soit déjà un de moins que son total du dernier exercice.
Dans un dispositif défensif repensé et renforcé, Kombouaré avait alors lancé Lacour sur le flanc gauche de la défense. Un rôle à contre-emploi pour ce droitier porté sur l'offensive dans ses plus jeunes années.
« S'adapter »
« Moi, j'évolue là où on me dit de jouer, explique posément ce titulaire d'un bac scientifique. Que ce soit au milieu ou derrière, j'essaie de donner le maximum. Ce que je peux apporter, c'est mon engagement et ma volonté. A Bordeaux, je me suis adapté. Même si j'ai un peu péché au niveau de la relance. C'est plus dur quand tu es sur ton mauvais pied. »
Malgré quelques coups de boutoir de son vis-à -vis Jemmali, Lacour s'est acquitté de sa tâche sans sourciller. Et comme le Racing n'a pas perdu en Gironde (1-1), le crédit du latéral gauche improvisé reste entier.
« Impressionné par l'envie »
Même si Fabrice Ehret, l'habituel homme de couloir, a été réintégré par Kombouaré dans le groupe des 16 partis hier matin au vert, Lacour pourrait bien prolonger son bail demain soir face à son club formateur. Une perspective qui ne l'effraie en rien.
« Malgré son élimination en Ligue des Champions et sa défaite contre Marseille, Lyon est une grosse équipe qui sait régir rapidement, raconte Lacour. J'ai été impressionné par l'envie et la détermination affichées lors de leur première mi-temps contre Porto (2-2). Tout dépendra de notre capacité à les mettre en difficulté dans l'impact physique. Il faudra conserver le même état d'esprit qu'à Bordeaux. Et surtout se montrer plus conquérant qu'eux. »
« Irréprochable »
Conscient de l'urgence de la situation - Toulouse, le premier relégable, pointe dans le rétro à trois petites longueurs -, Lacour sait qu'il faudra laisser son coeur sur le terrain pour espérer épingler le double champion de France. « On n'a plus le choix, ajoute-t-il. Chaque match est dorénavant un combat. A nous de montrer un état d'esprit irréprochable. »
En la matière, Lacour n'aura pas à forcer sa nature, lui qui ne rechigne jamais à l'effort. Si d'aventure Kombouaré devait lui renouveler sa confiance, le lutin bleu s'appliquera à porter sa pierre à l'édifice. Histoire aussi de prouver au club du président Aulas qu'il a eu tort de ne pas lui donner sa chance.
« Pas amer »
« Je ne suis pas amer, sourit Lacour. Pour les jeunes, c'est très compliqué à Lyon. Hormis Govou, que je côtoyais à l'époque en CFA, aucun gars de ma classe d'âge n'a percé. Balmont est parti à Toulouse, Montoya à Rouen et moi je suis bien à Strasbourg. J'ai fait mon chemin et je ne me retourne pas sur le passé. »
Ballotté au gré des besoins au milieu ou à l'arrière, à gauche ou à droite, Guillaume Lacour sait où il va. La tête bien vissé sur de frêles épaules, le Strasbourgeois est un conquérant sur qui on peut compter.
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