Thierry Laurey

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langsam
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Re: Thierry Laurey

Message par langsam »

Its_me a écrit :
langsam a écrit :Mon schéma tactique et technique est clair, il consiste déjà à revenir au jeu en losange, Aholou - Djiku - Liénard - Thomasson, une assise défensive Lala - Simakan - Mitrovic - Caci ( avec Liénard en piston au lieu de Bellegarde il sera forcément plus performant ), Ajorque et Diallo en attaque
Donc tu te passerais de Bellegarde qui tourne bien actuellement ? J'ai du mal à voir comment t'alignes ces 4 au milieu ? En faisant jouer Aholou piston droit du coup ?
Pour Ruffier, je ne pense toujours pas que ce soit une bonne idée. Déjà pour une raison de salaire (2M€/an) et ensuite pour une raison de mentalité qui me parait incompatible avec Laurey et même le club.
Aholou en piston droit et Djiku en sentinelle, place où il est le meilleur. Bellegarde tourne bien c'est vrai mais son repli défensif laisse à désirer, je trouve Liénard plus performant dans l'exercice.
L'option Ruffier se ferait sous forme de prêt avec prise en charge d'une majeure partie du salaire par Sainté avec un retour la saison prochaine quand Puel aura été viré ( si ce n'est pas avant ). Il ne ferait donc pas concurrence à Sels.
A 34 ans il est loin d'être " largué ", et sauf à me tromper lourdement il n'aura pas de problème à retrouver la place de premier gardien à Sainté qu'il n'aurait jamais dû perdre.
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Kaniber
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Re: Thierry Laurey

Message par Kaniber »

dna a écrit :Laurey l’obstiné
Thierry Laurey va peut-être diriger son match le plus important depuis qu’il a pris place sur le banc strasbourgeois, ce vendredi (21h) contre le Stade rennais. Personne ne le voit survivre à une nouvelle défaite. Le technicien, lui, fait comme si de rien n’était et ne renonce pas.
On l’avait quitté tout fâché, les nerfs en pelote et le regard mauvais, dimanche après-midi à Montpellier. Le Racing venait de concéder son neuvième revers en onze matches, le troisième de rang (4-3), et Thierry Laurey avait besoin d’exprimer sa frustration dans un maelstrom de paranoïa aiguë et de rancœur plus vraiment contenue.
Acculé par les mauvais résultats, placé au pied du mur, le technicien âgé de 56 ans a retrouvé calme et lucidité au moment d’évoquer mercredi matin ce qui s’apparente au match de la dernière chance.
Car on voit mal comment il pourrait survivre à une nouvelle désillusion, voire même à un match nul qui serait une belle performance contre un club européen en temps normal, mais qui ne ferait guère avancer le schmilblick en cette période de disette.

« La seule chose qui compte, c’est de prendre des points », a répété à plusieurs reprises celui dont la destinée est liée au club alsacien depuis l’été 2016, quand il s’est assis sur le banc d’une équipe que l’éternel Jacky Duguépéroux avait sortie des limbes du National.

La belle histoire était alors en marche, avec de grands frissons, quelques sueurs froides mais une progression constante.

En mai dernier, alors qu’il venait de prolonger son contrat d’une saison supplémentaire après avoir fini le championnat écourté par le Covid à la 10e place, Laurey espérait s’inscrire dans la durée. « C’est peut-être le projet de ma vie, disait-il. Mais je ne suis pas dupe. Si les résultats sont moins bons, on sait ce qui peut arriver, sachant que le Racing en tant qu’entité l’emporte sur le reste… »

Six mois plus tard, on y est. L’institution est en danger. Et son entraîneur n’a plus de joker. Fidèle à ses principes, il continue à creuser le sillon qu’il a toujours tracé, par grand soleil comme par mauvais temps.

Connu pour être soupçonneux vis-à-vis du monde extérieur mais ultra-protecteur avec ses joueurs, Laurey les défend bec et ongles. « Les garçons ont le bon état d’esprit, dit-il. Ils ne doivent pas penser qu’ils sont soudain devenus mauvais, parce que ça n’est pas vrai. Il faut que tout le monde ait confiance en ses partenaires et donne le meilleur de soi-même. »

Ne comptez pas sur lui pour se défausser sur les défenseurs, pourtant loin d’être au niveau avec déjà 23 buts encaissés, dont quatre, dimanche à la Mosson. « À un moment, on ne marquait pas assez de buts, maintenant on en prend de trop, développe-t-il. Quand on est en bas de classement, on ne joue pas de la même façon. Tu évolues avec le frein à main, tu hésites dans ta prise de décision. Certains n’ont pas le vécu de cette situation. Il y a un grain de sable qui vient bloquer la mécanique. On y travaille depuis des semaines pour l’éliminer. Peut-être faut-il donner plus que l’on peut… »

À partir du moment où les joueurs sont intouchables, il faut bien trouver des explications. Le manque de chance est un argument régulièrement avancé par le coach.

« Je ne veux pas me réfugier derrière des “si”, sinon on aurait 25 points et on serait devant le PSG. Ce qu’il nous faut, c’est un poil de réussite supplémentaire. Mais je ne veux pas que les gens pensent que notre 19e place s’explique uniquement à cause de la poisse. Si on en est là, c’est que l’on a eu des faiblesses. Je parle de tous ceux qui participent à la vie de l’équipe. Parfois, on n’a pas fait ce qu’il fallait. »

Le système de jeu, fluctuant au gré de l’adversaire, n’est pas en cause. « On a fait deux bons matches avec un schéma similaire contre Marseille et Montpellier », dit-il. Son discours ne passe-t-il plus ? « Non, répond-il fermement. Si ce n’est auprès des journalistes. Mais heureusement, vous ne jouez pas. »

Quitte à mourir vendredi, ce sera avec ses idées

Alors quoi ? « Il y a plusieurs raisons objectives, dont certaines que je tairai », poursuit-il. Les blessures de Matz Sels et Lebo Mothiba avant même que la saison ne commence font partie de la première catégorie, à l’instar de ce fichu Covid qui a plombé toute la préparation.

Parmi les choses tues, on pense à la méforme persistante d’Adrien Thomasson et à la “disparition” de Majeed Waris, qui étaient censés occuper un rôle essentiel dans l’animation offensive.

Thierry Laurey n’accablera personne. « Je ne suis pas là pour me plaindre, insiste-t-il. Ce qu’on fait est peut-être juste, peut-être pas juste, peut-être malhonnête, je ne sais pas. Mais c’est ma version des choses, j’espère qu’elle est la plus objective possible. Aux gens de se faire une idée. »

L’heure du testament n’a pas encore sonné. Il s’agit déjà de livrer cette bataille décisive contre les Rennais. Laurey veut « avant tout penser “collectif”, “équipe” et “résultat”, pas à soi ou à son plan de carrière ».

Obstiné, l’Aubois de naissance refuse de baisser les bras. « Si moi, je ne suis pas entraînant, je ne sais pas qui va l’être. Au fond de moi, je suis persuadé que l’on va remonter. Il faut juste enclencher la première. »

Quitte à mourir vendredi, ce sera avec ses idées. Et ça, personne ne pourra lui enlever.
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Re: Thierry Laurey

Message par télésupporteur »

requiem d'un "journaleux" :?
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Re: Thierry Laurey

Message par alphons »

Donc en gros le journaliste décide que si le racing ne gagne pas vendredi, MK doit virer TL.......
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Re: Thierry Laurey

Message par Tenor »

ben je crois qu'il n'est pas le seul à le réclamer, il y en a d'autres ici ...non ?

il faut le laisser travailler jusqu'à la trêve et on pourra dresser un 1er bilan. Mais d'ici là, il ferait bien de décrocher des points car l'horizon s'obscurcit sérieusement.

inversement, comment peut-il composer toutes les semaines une équipe alors qu'à chaque fois d'autres blessés se rajoutent ...
comment mettre en place un groupe de titulaires avec des joueurs aussi fragiles ? moi je me pose beaucoup de questions à ce sujet !
en continuant de la sorte, on arrivera pas, vivement la grande trêve :arrow:
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Re: Thierry Laurey

Message par alphons »

Le classement fait que TL et MK n'ont pas encore le pistolet sur la tempe.....mais ca peut aller vite.

Si Mediapro ne paie pas la facture du 5 décembre......il va falloir revoir le budget à la baisse
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Re: Thierry Laurey

Message par fan_racing »

Tenor a écrit :il faut le laisser travailler jusqu'à la trêve et on pourra dresser un 1er bilan. Mais d'ici là, il ferait bien de décrocher des points car l'horizon s'obscurcit sérieusement.
Cela dit si on perd contre Rennes et qu'on reste sur le même rythme ensuite (un point tous les deux matchs ou une victoire tous les six matchs), on aura 8-9 points à la trêve et la saison sera terminée. A ce moment, on pourra garder Laurey jusqu'au bout plutôt que de débourser 6 mois d'indemnités de contrat ... Et en même temps, s'il avait déjà été renvoyé à ce jour, on ne saurait pas s'il pourrait redresser l'équipe. Compliqué le rôle de Président ...
Tenor a écrit :inversement, comment peut-il composer toutes les semaines une équipe alors qu'à chaque fois d'autres blessés se rajoutent ...
comment mettre en place un groupe de titulaires avec des joueurs aussi fragiles ? moi je me pose beaucoup de questions à ce sujet !
en continuant de la sorte, on arrivera pas, vivement la grande trêve :arrow:
En vrai, je trouve qu'on n'a pas tant de blessés que ça, ce sont surtout les blessures longue durée de Sels et Mothiba qui nous plombent et font qu'on a chaque semaine un "capital blessés" de base qui est toujours au moins égal à 2 :oops:
A part ça, même si on est embêtés aux entournures, on limite la casse : Aholou a loupé un match à cause du covid, Djiku aura loupé 2 matchs pour sa contracture, Koné va sans doute louper 1 match contre Rennes, Kamara a loupé 1 match ... C'est sûr que c'est chiant, mais justement je trouve qu'on s'en sort pas trop mal ces dernières saisons avec les blessures "courantes". Je me souviens de saisons (coucou 2005-2006) où toute la défense et une partie du milieu de terrain étaient out pendant la moitié de l'année, sans parler du niveau des attaquants :extasy:
alphons a écrit :Le classement fait que TL et MK n'ont pas encore le pistolet sur la tempe.....mais ca peut aller vite.
C'est vraiment parce qu'on a gagné 2 matchs et que les autres sont très lents cette année qu'on n'est pas nous-même encore morts.
Parce qu'autant on a déjà fait pire que de ne gagner que 2 matchs en 11 journées (en faisant plein de nuls inutiles). Autant en perdre 9/11, c'est un exploit dans le mauvais sens :? Merci la victoire à 3 points ...
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Re: Thierry Laurey

Message par Kaniber »

equipe a écrit :Laurey, entraîneur de Strasbourg, après le nul face à Rennes : « A moi d'être entraînant »
L'entraîneur de Strasbourg croit en la capacité de son groupe à se sortir de la zone de relégation.
Thierry Laurey (entraîneur de Strasbourg, qui a fait match nul contre Rennes (1-1), au micro de la chaîne Téléfoot) : « Est-ce qu'on a mangé notre pain noir ? Cela demande confirmation, de pouvoir enchaîner des résultats positifs, de faire une série. On a essayé de changer la façon de travailler à l'entraînement, les joueurs ont pris conscience de la situation. Il y a du mieux dans le jeu. Ce soir (vendredi), j'ai été agréablement surpris par notre seconde période, avec des joueurs capables de se battre les uns pour les autres, de s'aider.
Peut-être que sur le début de Championnat, on ne s'est pas trop rendu compte de la situation, il faut le reconnaître. Ma situation ? Ce soir, je n'ai pas vraiment eu le temps d'y penser. On jouait à dix et il fallait que je sois le onzième homme (il sourit). Ma situation est ce qu'elle est, comme tous les entraîneurs qui n'ont pas de résultat. Ce n'est pas ce qui m'inquiète. Ce qui m'inquiète, c'est de sortir de cette situation.

« L'an dernier, après dix journées, on était dernier et on m'avait demandé si je me sentais en danger. Tous les entraîneurs sont en danger »


J'espère que le match de ce soir va nous permettre de prendre de la confiance. Il faut arriver à gommer nos erreurs et je pense qu'on a l'équipe pour. L'an dernier, après dix journées, on était dernier et on m'avait demandé si je me sentais en danger. Tous les entraîneurs sont en danger. Moi, je fais le maximum pour que l'équipe s'améliore. Si moi je n'y crois pas, je me demande qui va y croire. A moi de tirer tout le monde, d'être entraînant, de donner le la. »
Thomasson : «Sur la bonne voie»
«C'est un bon point de pris. On a su s'accrocher, être solidaire. On a fait preuve d'un état d'esprit retrouvé. On a prouvé qu'on était tous unis dans cette mauvaise période. Il va falloir confirmer à Nantes la semaine prochaine. On ne va pas cracher sur ce point face à une équipe qui joue la Ligue des champions. On est sur la bonne voie. Ce sont des situations difficiles pour les joueurs et le staff, il faut rester uni et positif et j'espère qu'avoir accroché ce point permettra au coach de souffler un peu et lui montrer qu'on est tous derrière lui.»
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Re: Thierry Laurey

Message par Kaniber »

dna a écrit :Racing : Laurey, parti pour rester
Une nouvelle défaite contre Rennes, vendredi soir, l’aurait assurément condamné. Un succès lui aurait permis de souffler. Mais ce match nul (1-1) l’a placé dans un entre-deux incertain. Thierry Laurey a toutefois sauvé sa place grâce à la réaction de ses hommes qui ne l’ont pas lâché.
On a deviné un soupir de soulagement au moment où Benoît Millot, l’arbitre de la rencontre, a renvoyé tout le monde aux vestiaires, vendredi peu avant 23 heures. Quelques secondes plus tôt, Thierry Laurey a senti le vent du boulet siffler à ses oreilles.

Le bénéfice de la soirée a failli se dissiper dans le brouillard quand James Léa-Siliki a surgi au premier poteau pour reprendre un ballon de la tête. Sur sa ligne, le gardien strasbourgeois Eiji Kawashima n’a pas esquissé un geste.
« J’aurais pu assister à mon propre enterrement »

« J’ai fermé les yeux, dit Laurey, qui ne verra donc pas la balle filer à quelques centimètres du cadre. Si ça rentrait, j’aurais pu assister à mon propre enterrement. »

Le constat est un peu mal placé, en une semaine triste qui a vu s’éteindre le dieu du foot Diego Maradona ainsi que deux champions français, le rugbyman Christophe Dominici et le pongiste Jacques Secrétin.

Mais on en saisit le sens : si le joueur rennais avait trouvé le fond des filets, le coach aurait pu remballer ses affaires, sans oublier d’y ranger son irascibilité fatigante et ses délires de persécution récurrents, soit ses attitudes peu en adéquation avec l’image que cherche à renvoyer le club.

On le sait, le technicien en poste depuis l’été 2016 a déjà failli sauter à l’une ou l’autre reprise. Sans le coup franc dingue de Dimitri Liénard contre Lyon, au printemps 2018, celui qui a permis d’arracher le maintien l’année de la remontée, cela fait longtemps que l’on ne parlerait plus de Laurey à Strasbourg.

Le coup est aussi passé près en octobre 2019, quand l’équipe était tombée à la dernière place un soir de défaite au Vélodrome. Mais dans la foulée, les Bleus avaient réussi à sortir de l’ornière à la faveur de deux succès – contre Nice (merci Thomasson) et Nîmes – en trois matches, avant d’accélérer le pas.

Si le président Marc Keller a décidé de ne pas appuyer sur le bouton rouge, ce n’est donc pas spécialement en raison de la valeur de ce point amassé à la Meinau après trois défaites de rang (neuf au total depuis le début de la saison).

Avec 7 unités au compteur en 12 journées, les Bleus restent dans une situation extrêmement précaire. À regarder le classement d’un peu plus près, on constate cependant que le Racing n’est pas largué. Dijon ferme toujours la marche alors que quelques traînards – Lorient, Reims, Saint-Étienne et Nîmes, qui jouent tous ce dimanche – peuvent être rattrapés d’un gros coup de pédale.

Mais au-delà des chiffres, la confiance a été maintenue parce que les dirigeants pensent que Laurey est encore l’homme de la situation, au regard du déroulement et du contenu du match contre Rennes.

« Ils ont fait des conneries, mais ce sont de bons garçons qui donnent le meilleur »

Dominateurs jusqu’à l’expulsion de Stefan Mitrovic avant la pause (voir notre chiffre), les Bleus ont ensuite défendu avec courage et abnégation, d’abord leur but d’avance, puis le point du nul à partir de l’heure de jeu et l’égalisation bretonne, œuvre d’Adrien Hunou.

« À onze contre onze, on a fait des choses intéressantes dans le jeu, puis on a vu l’état d’esprit que l’on aimerait avoir tout le temps, analyse Laurey. Il faudra s’appuyer sur le jeu de la première mi-temps et l’état esprit de la seconde. J’ai été bluffé parce qu’on n’a rien lâché, on s’est accrochés, titulaires comme remplaçants ont fait le boulot. Je ne suis pas là pour les caresser dans le sens du poil, mais à un moment, il faut les féliciter. On a joué à dix mais en équipe. Je suis fier des garçons. »

Maradona, pourtant pas connu pour être un fin technicien – ses expériences sur un banc n’ont jamais été couronnées de succès – le disait en son temps : « La principale qualité d’un coach, c’est d’avoir l’oreille de ses joueurs. »

À Strasbourg, c’est une certitude, ces derniers adhèrent toujours à son discours, lui qui leur accorde une confiance absolue en retour.

« Ils ont toujours été unis, s’offusque l’intéressé, comme si quelqu’un pouvait en douter. Nous, le staff, les dirigeants, les médecins et les préparateurs physiques, on est avec eux. On a des garçons qui ont fait des conneries, dans le sens où ils n’ont pas tous été performants, à divers degrés et différents moments. Mais ce sont de bons garçons qui se remettent en question et donnent le meilleur. »

Partant de ce principe-là, toutes les fautes méritent d’être pardonnées. Même les plus grosses, celles qui coûtent plein de buts – une moyenne ronde de deux par match depuis vendredi – ou un carton rouge, le premier de la saison.
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Re: Thierry Laurey

Message par télésupporteur »

article du genre : je te donne au coup de pied au cul, puis je te passe la brosse à reluire :shock:
digne d'un journaleux, ce qui dans les dna n'est pas nouveau
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