Je croyais bcp en lui en début de saison...je ne comprends pas l entetement (c est le mot !!) du coach à préferer Camadini, Lacour ou pire Yacine à lui..
Quand on sait l importance des coups de pieds arretés ds le foot, je ne comprends pas qu on se prive de son coup de patte !
Koby titulaire contre Nice avec Alex à gauche devant Pontus et Bassila !
[Ex] David Kobylick
- Seb T.
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D'accord avec vous mais il ne faut pas oublier que Le Pen devrait être de retour...
Je dis donc : Le Pen & A. Farnerud titulaires et Kobylik systématiquement dans les 16...
De plus, Kobylik est vraiment en train de devenir un joker de fin de match important...
Je dis donc : Le Pen & A. Farnerud titulaires et Kobylik systématiquement dans les 16...
De plus, Kobylik est vraiment en train de devenir un joker de fin de match important...
Mieux vaut une bière qui fait pisser qu'une femme qui fait chier (P. Heineken)
- Frantz
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Kobylic l'homme de la 93 ème minute, il rentre on marque.
Si l'Amazonie est le poumon de la terre, Metz en est le trou du cul.
http://rernes.free.fr/
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- seb
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Bravo à Kobi pour sa bonne entrée.
Cela dit, à l'heure actuelle, sincèrement, on peut pas l'envisager comme un titulaire potentiel. Le garçon est apparu 4 fois sur le terrain depuis le début de la saison.
Perso, je suis pas du tout partisan d'Abdessadki.
Mais en l'état : le titulaire à gauche c'est Le Pen, et à droite c'est Martins.
Les remplaçants sont Alex Farnerud (à G) et Lacour (à dte). Il y a aussi Arrache qui pointe le bout de son nez pour une place.
Tout ça pour dire que je suis très heureux du bon centre de Kobi, mais qu'à mon avis, il est voué à rentrer en fin de match. Je ne pense pas que le coach ait la moindre intention de le titulariser.
Il devrait donc très logiquement quitter le club en fin de saison.
Cela dit, à l'heure actuelle, sincèrement, on peut pas l'envisager comme un titulaire potentiel. Le garçon est apparu 4 fois sur le terrain depuis le début de la saison.
Perso, je suis pas du tout partisan d'Abdessadki.
Mais en l'état : le titulaire à gauche c'est Le Pen, et à droite c'est Martins.
Les remplaçants sont Alex Farnerud (à G) et Lacour (à dte). Il y a aussi Arrache qui pointe le bout de son nez pour une place.
Tout ça pour dire que je suis très heureux du bon centre de Kobi, mais qu'à mon avis, il est voué à rentrer en fin de match. Je ne pense pas que le coach ait la moindre intention de le titulariser.
Il devrait donc très logiquement quitter le club en fin de saison.
- astroboy
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Enfin on fait jouer Chapuis et pas Kobylick je comprends pas. ils veulent faire des économies et nous font venir des grosses m*** qui savent à peine contrôler une balle...
je comprendrais jamais le racing là franhement c'est débile. Au lieu de prendre des mecs qui ne savent pas jouer ils ont qu'a prendre des jeunes qui savent pas jouer mais qui peuvent nous surprendre...
enfin au racing on sait gaspiller l'argent mêmen si vs allez me dire une partie de son salaire patati et patata...
place aux jeunes point..
je comprendrais jamais le racing là franhement c'est débile. Au lieu de prendre des mecs qui ne savent pas jouer ils ont qu'a prendre des jeunes qui savent pas jouer mais qui peuvent nous surprendre...
enfin au racing on sait gaspiller l'argent mêmen si vs allez me dire une partie de son salaire patati et patata...
place aux jeunes point..
- argueti
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David Kobylik, passeur multicartes
Sur l'un de ses corners, David Kobylik avait permis aux Strasbourgeois de rapporter un point de leur déplacement à Nantes. Le lendemain, rebelote avec le CFA à Nancy : une nouvelle passe décisive et un nouveau match nul à son actif. Le Tchèque de 22 ans est devenu le passeur multicartes du Racing...
« Quand j'ai lu que Antoine Kombouaré ne m'avait pas fait entrer à Nantes par superstition, mais parce que je le méritais, ça m'a fait du bien », commence par dire David Kobylik.
Alors David Kobylik a joué, et son centre - un corner - a été décisif. Comme au match aller, où il avait inscrit un but décisif (1-0) dans les arrêts de jeu quelques minutes après son apparition sur la pelouse, il a joué un mauvais tour aux Nantais.
« Je ne voulais pas gâcher ces minutes »
« Je ne me suis pas souvenu de ce jour-là , raconte le Tchèque. Quand je suis entré en jeu, je voulais simplement prendre du plaisir. Je ne voulais pas gâcher les quatre minutes de jeu qu'Antoine Kombouaré me donnait. »
Bien sûr, il a été heureux. Heureux que Mario Yepes détourne sa frappe au fond de ses propres filets, heureux pour ses coéquipiers, mais surtout heureux pour lui-même. « Ces quelques minutes m'ont fait un bien fou. Cela faisait longtemps que je n'avais plus mis les pieds en Ligue 1 », reprend David Kobylik.
En fait, sa dernière apparition remontait au 20 décembre dernier face à Montpellier où il avait cédé sa place sur le banc à Danijel Ljuboja après 80 minutes de jeu.
« J'étais en faute »
Dire qu'il a souvent sauté de joie ces derniers mois serait proche du mensonge. « J'ai plutôt vécu des moments de creux mentalement », confie-t-il. Déjà utilisé avec parcimonie par Ivan Hasek, Antoine Kombouaré n'en n'a pas fait un cadre de l'équipe : trois titularisations, sept entrées en jeu pour un total de 304 minutes passées sur le terrain. « C'est vrai que j'étais déçu et frustré », martèle David Kobylik.
Mais il ne cherche pas longtemps le nom du fautif en... s'auto-accusant. « C'est moi qui étais en faute, concède-t-il. Je m'entraînais à fond, mais sans vrai plaisir. Et j'ai enfin compris que je devais d'abord travailler pour moi. »
Deux kilos de trop sur la balance
Et puis, il y a avait eu "l'incident" de la pesée. « C'était il y a à peu près trois mois », se souvient-il. Ce jour-là , l'aiguille de la balance s'était arrêtée deux kilos trop loin. « J'avais été vexé, j'étais fâché contre mes coéquipiers qui se moquaient gentiment, mais j'étais surtout fâché contre moi-même, sourit-il aujourd'hui. Cette histoire a fait office de starter. »
Depuis ce jour, David Kobylik travaille mieux. « Je me fais d'abord plaisir », précise-t-il. Il a discuté avec Bernard Guignedoux, s'est expliqué avec Antoine Kombouaré. « J'ai compris que si je devais donner du plaisir aux autres, je devais d'abord en prendre. Et j'ai la sensation que je suis mieux compris, plus respecté aussi, par mes coéquipiers aujourd'hui. »
« Je veux mériter d'être récompensé »
Le jeune - il n'a que 22 ans - international tchèque sait qu'il n'a pas répondu aux attentes placées en lui. « Même si je ne joue pas très souvent, j'ai progressé ici. Je me plais à Strasbourg, mais je pense que je ne serai plus là la saison prochaine, reprend David Kobylik, prêté au Racing par le Sigma Olomouc. Mais je ne veux plus me poser de questions. Je veux simplement travailler et mériter d'être récompensé. »
Alors, il multiplie les efforts. Demande à jouer en CFA, comme le soir du match à Nantes. « Je veux jouer, c'est tout. En CFA ou en L1. Je me sens en forme et je veux m'amuser. Avec l'équipe de Jean-Marc Kuentz, qui me fait confiance, je vis une belle aventure. », se contente-t-il de dire.
Quatre matches en huit jours
En huit jours, il aura joué quatre matches : trois avec le CFA à Saint-Etienne (0-0), contre Moissy-Cramayel (1-2) avec un but à la clé, à Nancy (1-1) avec une passe décisive, et un en L1 à Nantes. « Samedi, je ne sais pas où je serai. J'espère m'asseoir sur le banc face à Nice », termine-t-il en laissant passer un sourire timide sur son visage.
Le lendemain, dimanche prochain donc, il sait qu'il se retrouvera sur la pelouse du stade Jean-Nicolas-Muller face à Croix-Savoie, leader du CFA. Titulaire de l'avenir des jeunes du centre de formation du club...
C un gars bien ce jeune, comme Dorsin, qui partira en juin
Sur l'un de ses corners, David Kobylik avait permis aux Strasbourgeois de rapporter un point de leur déplacement à Nantes. Le lendemain, rebelote avec le CFA à Nancy : une nouvelle passe décisive et un nouveau match nul à son actif. Le Tchèque de 22 ans est devenu le passeur multicartes du Racing...
« Quand j'ai lu que Antoine Kombouaré ne m'avait pas fait entrer à Nantes par superstition, mais parce que je le méritais, ça m'a fait du bien », commence par dire David Kobylik.
Alors David Kobylik a joué, et son centre - un corner - a été décisif. Comme au match aller, où il avait inscrit un but décisif (1-0) dans les arrêts de jeu quelques minutes après son apparition sur la pelouse, il a joué un mauvais tour aux Nantais.
« Je ne voulais pas gâcher ces minutes »
« Je ne me suis pas souvenu de ce jour-là , raconte le Tchèque. Quand je suis entré en jeu, je voulais simplement prendre du plaisir. Je ne voulais pas gâcher les quatre minutes de jeu qu'Antoine Kombouaré me donnait. »
Bien sûr, il a été heureux. Heureux que Mario Yepes détourne sa frappe au fond de ses propres filets, heureux pour ses coéquipiers, mais surtout heureux pour lui-même. « Ces quelques minutes m'ont fait un bien fou. Cela faisait longtemps que je n'avais plus mis les pieds en Ligue 1 », reprend David Kobylik.
En fait, sa dernière apparition remontait au 20 décembre dernier face à Montpellier où il avait cédé sa place sur le banc à Danijel Ljuboja après 80 minutes de jeu.
« J'étais en faute »
Dire qu'il a souvent sauté de joie ces derniers mois serait proche du mensonge. « J'ai plutôt vécu des moments de creux mentalement », confie-t-il. Déjà utilisé avec parcimonie par Ivan Hasek, Antoine Kombouaré n'en n'a pas fait un cadre de l'équipe : trois titularisations, sept entrées en jeu pour un total de 304 minutes passées sur le terrain. « C'est vrai que j'étais déçu et frustré », martèle David Kobylik.
Mais il ne cherche pas longtemps le nom du fautif en... s'auto-accusant. « C'est moi qui étais en faute, concède-t-il. Je m'entraînais à fond, mais sans vrai plaisir. Et j'ai enfin compris que je devais d'abord travailler pour moi. »
Deux kilos de trop sur la balance
Et puis, il y a avait eu "l'incident" de la pesée. « C'était il y a à peu près trois mois », se souvient-il. Ce jour-là , l'aiguille de la balance s'était arrêtée deux kilos trop loin. « J'avais été vexé, j'étais fâché contre mes coéquipiers qui se moquaient gentiment, mais j'étais surtout fâché contre moi-même, sourit-il aujourd'hui. Cette histoire a fait office de starter. »
Depuis ce jour, David Kobylik travaille mieux. « Je me fais d'abord plaisir », précise-t-il. Il a discuté avec Bernard Guignedoux, s'est expliqué avec Antoine Kombouaré. « J'ai compris que si je devais donner du plaisir aux autres, je devais d'abord en prendre. Et j'ai la sensation que je suis mieux compris, plus respecté aussi, par mes coéquipiers aujourd'hui. »
« Je veux mériter d'être récompensé »
Le jeune - il n'a que 22 ans - international tchèque sait qu'il n'a pas répondu aux attentes placées en lui. « Même si je ne joue pas très souvent, j'ai progressé ici. Je me plais à Strasbourg, mais je pense que je ne serai plus là la saison prochaine, reprend David Kobylik, prêté au Racing par le Sigma Olomouc. Mais je ne veux plus me poser de questions. Je veux simplement travailler et mériter d'être récompensé. »
Alors, il multiplie les efforts. Demande à jouer en CFA, comme le soir du match à Nantes. « Je veux jouer, c'est tout. En CFA ou en L1. Je me sens en forme et je veux m'amuser. Avec l'équipe de Jean-Marc Kuentz, qui me fait confiance, je vis une belle aventure. », se contente-t-il de dire.
Quatre matches en huit jours
En huit jours, il aura joué quatre matches : trois avec le CFA à Saint-Etienne (0-0), contre Moissy-Cramayel (1-2) avec un but à la clé, à Nancy (1-1) avec une passe décisive, et un en L1 à Nantes. « Samedi, je ne sais pas où je serai. J'espère m'asseoir sur le banc face à Nice », termine-t-il en laissant passer un sourire timide sur son visage.
Le lendemain, dimanche prochain donc, il sait qu'il se retrouvera sur la pelouse du stade Jean-Nicolas-Muller face à Croix-Savoie, leader du CFA. Titulaire de l'avenir des jeunes du centre de formation du club...
C un gars bien ce jeune, comme Dorsin, qui partira en juin
L'histoire est en marche ...
- Tchoule
- Vétéran@Pro
- Messages : 668
- Enregistré le : 3 déc. 2003 10:31
- Localisation : Molsheim
Faut se mefier du championnat anglais, c'est sans doute le plus surevalue du monde... apres Arsenal, Chelsea et MU, c'est limite de la m@#%!
La meilleure preuve, c'est Anelka qui nous la donne: il a rien fait en France, il a rien fait en Espagne, et il a ete un dieu a Arsenal, Liverpool et maintenant Man City... pour moi, c'est un signe qui ne trompe pas! il y a pas de defenses ni de milieu dignes de ce nom dans les 9/10 des equipes anglaises...
La meilleure preuve, c'est Anelka qui nous la donne: il a rien fait en France, il a rien fait en Espagne, et il a ete un dieu a Arsenal, Liverpool et maintenant Man City... pour moi, c'est un signe qui ne trompe pas! il y a pas de defenses ni de milieu dignes de ce nom dans les 9/10 des equipes anglaises...