site officiel en date du 25 octobre 2014Gotcha a écrit :A quelles paroles tu fais référence ?
Duguépéroux : "Soit les joueurs n'ont pas le niveau, soit ils ont besoin de travailler encore plus." #REIPRCSA
site officiel en date du 25 octobre 2014Gotcha a écrit :A quelles paroles tu fais référence ?
Quelle cellule de recrutement, puisque c'est MK la cellule de recrutement...ce qui signifie que la cellule de recrutement continue depuis plus de 3 ans a démontré son extrême incompétence
DNA a écrit :Hilali a toujours des ennuis
Responsable du plus grand naufrage de l’histoire du Racing, Jafar Hilali est encore poursuivi par d’anciens collaborateurs qui réclament leurs dus.
Trois ans après l’immense tohu-bohu qui a conduit à la liquidation du Racing Club de Strasbourg, un naufrage sportif et financier qui a relégué le club de la 7e ville de France dans le purgatoire du foot hexagonal, tout proche de la disparition, les responsables de la catastrophe continuent de s’étriper. Cela ne semble pas immérité. Cela rappelle peut-être qu’en faisant n’importe quoi, on en vient à être considéré comme n’importe qui. Encore que.
« J’ai perdu, j’ai les boules, plus jamais je ne referai un projet comme celui-là »
Sans rappeler l’immense litanie des épisodes aussi burlesques les uns que les autres, qui ont transformé la Meinau en un grand cirque et ceux qui y travaillaient en clowns blancs lugubres, les affaires n’ont pas complètement pris fin avec l’avis rendu en août 2011. Sur le pré, c’est vrai, le Racing en a été quitte pour repartir de fort bas pour remonter à vitesse grand V d’abord, plus poussivement depuis 15 mois désormais. Mais la justice, notamment en dehors des frontières, continue de s’intéresser au rocambolesque feuilleton qui a failli couler le foot strasbourgeois par le fond.
Les amis d’hier ne le sont plus du tout. Jafar Hilali se voit notamment réclamer des arriérés de revenu de la part d’un de ses principaux collaborateurs, chargé à l’époque du poste de directeur général, encore que Christophe Cornélie a tour à tour été administrateur, gestionnaire ou encore directeur général délégué selon les périodes. Mais avec les audiences devant le tribunal de Genève mercredi dernier, c’est la règle de l’opacité, du douteux, du flou qui est révélée au grand jour et qui a sans doute conduit un club de foot centenaire et important dans l’Hexagone à sa quasi-perte.
De novembre 2009 et le rachat du club à Philippe Ginestet à juillet 2011 et sa cession à Thomas Fritz, la valse des millions, des responsabilités, des pantins aussi, n’a pas cessé. Les personnages météorites apparaissent dans les dossiers constitués par les parties en conflit, Ralph Isenegger, Alain Fontenla, Roman Loban et quelques autres, les entités aussi : la SASP Racing Club de Strasbourg devient un objet que Carousel Finance Ltd, Carousel Finance SA, Carousel Finance International s’emboîtent pour contrôler le gâteau… qui se révèle moins dodu que prévu.
Pour revenir aux origines, Ralph Isenegger sert d’intermédiaire, entre Philippe Ginestet, l’ancien président, et Jafar Hilali. Ce dernier rechigne à paraître en public et c’est Alain Fontenla qui le représente publiquement à Strasbourg durant les premiers mois. L’investissement initial, 1,6 million d’euros d’après le « Master Joint-Venture Agreement » conclu, se double de dépenses quotidiennes conséquentes. Un club de foot pro, relégué en National à l’été 2010, se révèle un gouffre. « J’ai perdu, j’ai les boules, plus jamais je ne referai un projet comme celui-là », écrit Jafar Hilali à l’été 2011.
La conclusion est limpide, l’origine de l’aventure beaucoup moins. Des questions continuent de se poser et restent sans réponse. La principale concerne la source de l’argent perdu par millions. En la matière, dans la difficulté à payer Christophe Cornélie selon des modalités légales, Jafar Hilali a avancé une piste, sans doute malgré lui, quand il s’est expliqué devant le tribunal de Genève.
« Il était prévu de payer le directeur général 10 000 euros par mois et je lui ai effectivement payé cet argent depuis mon compte personnel », indique l’ancien trublion du Racing. 80 000 euros ont été versés à Christophe Cornélie avant que ne lui soit demandé de rembourser. Le statut de Carousel Finance SA, une Association Suisse de Gérants de Fortune, basée à Genève, interdit de telles pratiques.
Hong Kong, en dehors du champ des compétences de TRACFIN
« On a tardé à trouver une solution car Christophe Cornélie a souhaité un moyen pour défiscaliser ses revenus », a poursuivi Jafar Hilali lors de sa déposition. L’ancien directeur général, à peu près muet durant son bail strasbourgeois, sort de sa réserve quand il est attaqué sur ce terrain.
« Jafar Hilali était un ami jusqu’à ce que j’aie progressivement découvert à son sujet, souligne-t-il. Il faut avant tout se poser les bonnes questions : tout d’abord d’où vient sa fortune, ensuite quel est ce rapport si privilégié qu’il entretient avec Alain Fontenla, son homme lige. En fait, avec son son activité qui ressemble à de la gestion de fortunes, avec l’organisation d’une société à Hong Kong, Carousel Finance International, et avec ses entrées, entre autres, à l’UBS et à la SGAM (Société Générale Asset Management), via Alain Fontenla qui y était gérant de fonds, il a pu s’enrichir. »
En faisant transiter de nombreux fonds par la ville chinoise, la galaxie Carousel avait l’avantage de rester en dehors du champ d’investigation de TRACFIN – le Traitement du Renseignement et Action contre les Circuits FINanciers clandestins, organisé par le Ministère de l’économie et des finances –, qui n’a pas la possibilité d’y enquêter
Dans les échanges animés de mails entre Jafar Hilali et Christophe Cornélie, le ton est vite monté. L’acquisition de la SASP Racing a été une mauvaise affaire. Le premier suggère au second de se faire payer par le club. Il n’y arrivera jamais.
Et, trois ans après, les protagonistes de ce triste épisode dans l’histoire du club strasbourgeois n’ont toujours pas fini de s’étriper.
Au regard du gouffre qui les sépare, Christophe Cornélie n’entend pas lâcher ce qu’il réclame : « Avec tous les éléments qui sont en possession de mon avocat et les audiences publiques des autres parties à venir (ndlr : notamment celle d’Alain Fontenla), je suis curieux de voir jusqu’à quel point les associés et complices du premier jour le resteront, surtout quand on connaît les peines qu’ils peuvent encourir. »
Si le Racing n’a pas encore revu le jour, ses fossoyeurs sont assurément loin d’en avoir fini avec leurs tristes affaires.
Alsacce a écrit :Les nerfs à vif
La zone de turbulences que traverse le RCSA depuis sa première défaite le 19 septembre à Bourg-Péronnas (3-0) rend nerveux sa direction et son encadrement technique qui se retranchent de plus en plus derrière l’idée fumeuse d’un complot ourdi contre lui.
La réponse, cinglante, a fusé et n’appelait pas de relance. Le point-presse d’après-match s’est d’ailleurs arrêté net vendredi une fois - très vite - évacué ce dernier thème. La question, posée par une consœur à Jacky Duguépéroux, était pourtant à la fois anodine et légitime, tant l’événement était inattendu : « Pourquoi avoir aligné Alexandre (Oukidja) dans les buts ? »
« J’ai eu tort parce qu’on a perdu »
La réplique a - on l’a dit - été lapidaire et teintée d’un agacement de plus en plus perceptible à mesure que les résultats se détériorent. « Ben ouais, j’ai eu tort parce qu’on a perdu (ironique) » , a sèchement riposté l’entraîneur strasbourgeois. La scène a scotché tout le monde en salle de presse, d’autant qu’elle faisait suite à la fureur du technicien envers l’arbitrage. Fermez le ban !
Encore que… Depuis quelque temps, le club de la Meinau a les nerfs en pelote. Les performances de l’équipe ne sont pas à la hauteur des attentes. Et au fil des revers (4 lors des 5 dernières journées de National), une forme de défiance, mâtinée d’un sentiment de persécution, s’installe. Comme souvent en pareil cas, la thèse d’un complot ourdi par les arbitres, les médias et/ou les instances fédérales - plutôt bienveillantes avec le Racing lors du repêchage de cet été - fait doucement son nid. « C’est à croire qu’on nous fait payer quand même certaines choses » , fulminait le coach vendredi après le premier échec des siens à domicile contre Avranches (1-2), sans détailler le fond de sa pensée, faute de preuves tangibles sans doute.
C’est une ficelle vieille comme le foot, si facile à dérouler lorsqu’il s’agit de rejeter sur quelque bouc-émissaire la responsabilité d’une mauvaise passe. Le changement de gardien n’est, de ce point de vue, qu’un signe parmi d’autres d’un club qui se cherche. Assez logiquement d’ailleurs.
Vendredi au coup d’envoi, seuls trois joueurs présents en 2013-2014 - Grimm, Lienard et Belahmeur - étaient titulaires. Même si Jacky Duguépéroux se dit persuadé que ses hommes ne démissionnent pas, l’expérience montre qu’un aussi profond bouleversement se fait rarement sans temps d’adaptation, ni tâtonnements. « Après ce que nous avons pris dans la tête à Reipertswiller (Ndlr : qualification pénible après la prolongation en Coupe de France 2-1) , je ne pense pas avoir vu contre Avranches des joueurs démobilisés et doutant de leurs moyens , affirme l’entraîneur strasbourgeois. Le groupe est bosseur, mais n’est pas récompensé. Il va bien falloir qu’on inverse la tendance. »
Des actionnaires en costume de VRP
De même, si la situation extrasportive n’a rien d’alarmant, le président Marc Keller a tout de même récemment demandé à ses actionnaires d’endosser le costume de VRP et de rabattre de nouveaux partenaires - susceptibles d’acheter un package de prestations d’une valeur unitaire de 10 000 euros - pour combler le déficit prévisionnel 2014-2015 estimé à 200 000 euros. Une requête jusqu’ici peu suivie d’effet.
Alors que les loges affichaient complet en 2013-2014, deux n’ont pas d’occupants permanents cette saison et sont proposées à chaque rencontre pour des opérations ponctuelles. L’un des deux principaux sponsors maillot, Terralia-Blanc du Nil, s’est retiré cet été. Son départ représente un manque à gagner d’environ 80 000 euros annuels. Le RCSA a par ailleurs engagé une agence pour lui donner un coup de main sur un marketing rattrapé par la crise et moins florissant qu’espéré.
Autant d’indicateurs qui, mis bout à bout, expliquent peut-être en partie la nervosité exponentielle apparue du côté de la Meinau au cours d’un automne en pente raide. Le Racing n’a jamais ouvertement déclaré viser la montée en Ligue 2. Mais il n’ignore pas qu’une stagnation en National, sans droits télé, constituerait un frein naturel à son expansion et l’obligerait à chercher - trouver plutôt - des ressources de substitution pour éviter que ses actionnaires ne soient contraints, année après année, de remettre la main au portefeuille.
total sport a écrit :Amiens – Strasbourg en lever de rideau de Lens – Nice ?
Bien sûr, ce cas de figure ne peut avoir lieu et c’est bien une petite erreur de programmation que nous avons droit le vendredi 19 décembre prochain. Décalée à 20h30 pour cause de retransmission sur Ma Chaine Sport, la rencontre Amiens-Strasbourg au stade de la Licorne, se retrouve en concurrence avec celle de Lens-Nice prévue le même jour à la même heure ! En effet, depuis le début de la saison de Ligue 1, le RC Lens joue ses matchs à domicile au stade d’Amiens, le temps des travaux de leur fief du stade Felix-Bollaert. Alors qui cédera ? BeinSport ou MCS ? Qui sera décalé ? A moins que Strasbourg ne joue le lundi suivant à 20h45
site Officiel a écrit :Bahoken de retour !
Malgré quelques petits bobos suite à la victoire à Istres (1-0), l’effectif du Racing se reconstruit petit à petit.
Milovan Sikimic, forfait de dernière minute vendredi dernier (mollet), et Yoann Salmier, qui l’a suppléé avec succès et a ressenti une douleur aux ischios durant la rencontre, sont ménagés en ce début de semaine. Tous deux devraient, cependant, retrouver le groupe en cours de semaine et être aptes pour le déplacement à Sochaux, lundi prochain en Coupe de France (20h45).
C’est le cas également de Stéphane Bahoken qui doit reprendre l’entraînement collectif sous peu.
Brian Amofa poursuit son travail de réhabilitation et n’est plus très loin d’un retour.
La patience est de mise concernant Guillaume Gauclin, Mamadou Camara et Stanislas Oliveira.
site officiel a écrit :Tous (ou presque) sur le pont
La douloureuse défaite concédée vendredi soir face à Fréjus St-Raphaël (0-1) n’a, au moins, pas occasionné de pépins physiques dans l’effectif strasbourgeois.
L’entraîneur, Jacky Duguépéroux, dispose, à l’heure actuelle, d’un groupe quasiment au complet. Seuls manquent à l’appel : Marc FACHAN (qui a cependant repris la course), Mamadou CAMARA et Stanislas OLIVEIRA.