Le Fil Rouge

[Kaniber]

Effectivement c'est dommage , mais peut-être voulu ?

[RACING1906]

Par son père, sans doute. Il est une grosse personnalité slovaque.

[PoY]

De toute façon, tant qu'il n'est pas sélectionné chez les A, il peut changer de sélection

[Kaniber]

Alors il pourra joué dans tous les selections de jeunes puis aller dans un autre Pays

[Kaniber]

RCSA-PFC : Une amende pour Strasbourg, du sursis pour Paris
Après les incidents qui ont émaillés la rencontre au stade de la Meinau entre le Racing Club de Strasbourg et le Paris FC, la commission de discipline de la FFF a rendu son verdict. Elle sanctionne le club alsacien d’une amende de 2000€ pour l’attitude des supporters qui ont répondu aux supporters parisiens. Le Paris FC est quant à lui sanctionné d’une amende plus lourde (5000€) et d’un point en sursis au classement.
total sport

[RACING1906]

HUIS-CLOS : DÉCISION CE MATIN

Alors que ses dirigeants ont été entendus hier matin à Paris par la commission supérieure d’appel de la Fédération française, le Racing saura aujourd’hui, sans doute en fin de matinée, si le match à huis clos que lui avait infligé la commission de discipline le 21 mars est maintenu.

Les portables ont longtemps sonné dans le vide hier après-midi, mais en début de soirée, le secrétaire général du Racing, Romain Giraud, présent le matin à Paris avec le président Marc Keller devant la commission supérieure d’appel de la Fédération française de football, a fini par décrocher.

Sanctionné d’un match à huis clos – par révocation de sursis – après le jet d’une pièce de monnaie par un spectateur de la Meinau sur l’un des arbitres assistants de la rencontre Strasbourg – Ajaccio le 7 février, le club bas-rhinois avait interjeté appel. Comme il l’avait fait en première instance, Marc Keller a donc de nouveau plaidé sa cause, arguments à l’appui. L’entrevue a duré une heure. « La décision de la commission d’appel, qui nous a écoutés, sera publiée dans la matinée de ce mercredi sur le site internet de la FFF. Nous n’en savons pas plus » , a simplement indiqué R. Giraud.

Le Racing espère évidemment que le huis clos sera annulé. Au pire, qu’il ne sera pas fixé sur la dernière rencontre de la saison, peut-être décisive, le 23 mai contre le Red Star. Sinon, Jacky Duguépéroux et ses hommes pourraient bien jouer leur maintien en National dans un stade vide.
Dunkerque, cauchemar des mal classés. Le nouveau coach du RCSA a trop de bouteille pour n’avoir pas senti le souffle d’un nouvel espoir au sein du club et même autour après les deux succès d’affilée contre Bourg-Péronnas (3-2) et au Poiré-sur-Vie (3-1). Mais le technicien, intronisé voici un peu plus d’un mois, a vécu trop de choses dans sa carrière pour ne pas rappeler tout le monde à la modération alors que le Racing, 15e et premier relégable, compte toujours trois points de retard (quatre avec la différence de buts particulière défavorable) sur le premier non-relégable.

Même si son équipe reçoit deux clubs n’ayant plus rien à jouer ou presque (Dunkerque vendredi et le Red Star le 23), « Dugué » tient à garder tout le monde en alerte. Dès hier, il attirait l’attention sur le profil des Dunkerquois que le RCSA était allé tenir en échec dans le Nord à l’aller juste avant la trêve de Noël (0-0). « C’est une bonne équipe, très solide, très compacte et qui va vite en contre. Les Dunkerquois n’ont, jusqu’ici, jamais perdu en déplacement chez les équipes du bas de tableau. Le match s’annonce très difficile. Il va falloir évoluer à notre meilleur niveau. »

Les joueurs de Fabien Mercadal sont en effet allés faire match nul à Luçon (1-1), au Poiré (1-1), à Vannes (2-2) et à Boulogne (0-0). Ils se sont également imposés 2-1 à Colomiers et Uzès.
La Meinau pour cinq euros. Afin de remplir la Meinau lors du rendez-vous capital d’après-demain contre Dunkerque, le club bas-rhinois a décidé de pratiquer un tarif unique exceptionnel de 5 euros. Réservations sur son site internet et aux points de vente habituels.

Tout le monde d’aplomb. Les incertitudes qui planaient sur la participation d’Abdelhak Belahmeur et Pacho Donzelot, contraints de renoncer au déplacement de vendredi au Poiré-sur-Vie pour des douleurs au mollet et au quadriceps droits, ont été levées en ce début de semaine. Leur état de santé n’inspirant plus d’inquiétude, les deux joueurs ont même été dispensés de l’échographie à laquelle ils étaient censés se soumettre lundi. Ils ont repris l’entraînement collectif et seront donc à disposition de Jacky Duguépéroux ce vendredi (20 h) pour la venue de l’USL Dunkerque.

Plus de souci non plus pour Jérémy Grimm, sorti sur une civière à la 73e au Poiré-sur-Vie pour un coup sur le genou. Le milieu récupérateur reconverti défenseur axial a lui aussi déjà réintégré le groupe. Enfin, le Sausheimois Alexandre Gisselbrecht, ménagé par précaution pour une petite tension au pubis, retrouvera ses partenaires ce matin.

Binder en visite. Opéré voici deux semaines d’une rupture des ligaments croisés du genou droit, Robin Binder, qui a fêté ses 20 ans hier, est passé saluer ses coéquipiers à l’entraînement. Le jeune attaquant, qui a entamé sa rééducation, mais se déplace avec des béquilles, trouve déjà le temps long. « Je ne peux pas conduire et ne peux donc pas sortir de chez moi. Je tourne en rond. Même si l’opération s’est bien passée, le chirurgien (Christian Lutz) m’a dit qu’il me faudrait patienter un mois. J’en ai encore pour quinze jours à ronger mon frein. »

lalsace.fr

[Kaniber]

Le Racing espère évidemment que le huis clos sera annulé. Au pire, qu’il ne sera pas fixé sur la dernière rencontre de la saison, peut-être décisive, le 23 mai contre le Red Star. Sinon, Jacky Duguépéroux et ses hommes pourraient bien jouer leur maintien en National dans un stade vide.

Si c'est le jour ou le Racing aurait optenu le maintien ça serais dommage

Les Dunkerquois n’ont, jusqu’ici, jamais perdu en déplacement chez les équipes du bas de tableau. Le match s’annonce très difficile. Il va falloir évoluer à notre meilleur niveau. »

Souhaitons que ce soit la première

Plus de souci non plus pour Jérémy Grimm, sorti sur une civière à la 73e au Poiré-sur-Vie pour un coup sur le genou. Le milieu récupérateur reconverti défenseur axial a lui aussi déjà réintégré le groupe.

Dans l'état actuel c'est une bonne chose

[RACING1906]

En fait, la décision a été mise en délibéré.

Il y a donc de bonnes chances pour que le huis-clos éventuel n'intervienne que la saison prochaine.

[RACING1906]

180 MINUTES POUR SURVIVRE

Toujours sur le « fil du rasoir » - selon Jacky Duguépéroux - malgré sa série de trois succès et ses dix points sur douze lors des quatre dernières journées, le Racing, qui a signé sa plus large victoire avant-hier à la Meinau contre Dunkerque (3-0), reste confronté à la même problématique : gagner vendredi à Colomiers pour espérer se sauver le 23 mai face au Red Star.

En quatre journées, le Racing a réussi ce qu’il n’avait jamais su faire cette saison. Au cœur de l’hiver, durant sa seule période - un peu - faste jusqu’à l’embellie de ces dernières semaines, il avait aligné 5 matches sans défaite et récolté 9 points sur 15.

Après trois mois d’une terrible traversée du désert, ponctuée de dix rencontres sans victoire (3 nuls, 7 revers), il vient donc de faire mieux avec 10 points sur 12 et d’enchaîner les premières : 1re victoire à l’extérieur (3-1 au Poiré-sur-Vie), 1re série de deux, puis trois succès, 1er match avec trois buts inscrits (performance renouvelée deux fois ensuite) et 1re victoire avec trois buts d’écart (3-0 vendredi contre Dunkerque).

Malgré ce redressement spectaculaire sur lequel personne n’aurait misé un kopeck il y a seulement deux semaines lorsque Bourg-Péronnas, finalement battu 3-2, menait 2-1 à la Meinau à la 90e , le Racing n’a toujours pas son destin en main.

Pourtant, l’équipe de Jacky Duguépéroux a, en trois journées et autant de succès, divisé par huit son retard sur le premier non-relégable : de 8 à 1 point (auquel s’ajoute un 2e , conséquence d’une différence de buts particulière défavorable). Avant-hier, les succès du Poiré à Vannes (1-0), de Boulogne contre Colmar (2-1) et, à un degré moindre, Colomiers à Fréjus (4-1), ont limité la portée du triomphe bas-rhinois contre Dunkerque (3-0). « On espérait faire une aussi bonne affaire que le week-end précédent, reprendre des points au Poiré et aux autres , confesse David Ledy. Mais la soirée est un peu mitigée. On réalise tout de même une belle opération sur Luçon (tenu en échec par Orléans 2-2). Nous avons fait le travail, mais n’avons toujours pas le choix : chaque week-end, nous avons une épée de Damoclès au-dessus de la tête et besoin d’une victoire. Ce sera encore le cas vendredi à Colomiers. »

Exceptionnellement repositionné à la récupération aux côtés de Mamadou Bah - comme précédemment par François Keller, mais dans un système à trois récupérateurs - et parfaite rampe de lancement pour les fusées Pinaud et Mendy, Julien Perrin se garde cependant de faire la fine bouche : « Bien sûr que si Boulogne avait fait une contre-performance contre Colmar, ç’aurait été mieux pour nous. Ça nous aurait permis d’avoir deux équipes à portée. Mais tant que nous en avons une, c’est le principal. Si Luçon avait battu Orléans, ça aurait été beaucoup plus dur dans nos têtes. Là, nous avons encore grappillé. »

Il faut gagner nos deux matches. Point.

Ces deux points repris aux Luçonnais doivent de fait suffire au bonheur des Bleus, sachant qu’à quatre minutes près (le temps additionnel contre Bourg), ils auraient pu être éjectés en CFA. « Avant Dunkerque, nous pensions qu’avec trois victoires, ça pouvait passer , reprend Perrin. Ça reste d’actualité et c’est tout ce qui compte. Il ne nous en manque plus que deux pour faire 40 points. Nous allons savourer ce week-end et préparer ensuite le gros match de Colomiers qui s’est lui aussi relancé dans la course à Fréjus. Parallèlement, Luçon sera obligé de gagner parce qu’il sait que sinon, nous pouvons passer devant lui et être maîtres de notre destin lors du dernier match contre le Red Star. C’est tout ce que nous cherchons. »

Attention tout de même : Colomiers, qui a stoppé dans le Var une catastrophique série d’insuccès de 13 rencontres (8 défaites, 5 nuls, 5 points sur 39), n’est pas la terre la plus hospitalière du moment. Car les joueurs de William Prunier, 16es , abattront leur dernière carte. Une victoire contre Strasbourg, combinée à un échec de Luçon à Bourg, les extrairait même de la zone rouge avant le 34e et dernier acte.

Du côté de la Meinau, on se refuse encore aux comptes d’apothicaire. Le seul remède aux maux d’un Racing patraque en 2013-2014 tient dans cette prescription de David Ledy : « Il faut gagner nos deux matches. Point. »

lalsace.fr

[Kaniber]

Il faut gagner nos deux matches. Point.

On n'en fini pas de la dire