a un ou deux joueurs , c'est la même équipe que l'Année dernière , Non ?« Il faut trouver un équilibre. Pour l’instant, on ne l’a pas »
[13/14] 6ème J: Paris FC / Strasbourg - 2/0
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Re: [13/14] 6ème J: Paris FC / Strasbourg - 13/09/13 à 20h00
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Re: [13/14] 6ème J: Paris FC / Strasbourg - 13/09/13 à 20h00
en me fondant sur les images du match, je dirais que c'est Sikimic qui est clairement fautif sur le 1er but.
et encore, les autres sont fautif de ne pas lui avoir dit de faire attention derrière lui.
			
			
									
									
						et encore, les autres sont fautif de ne pas lui avoir dit de faire attention derrière lui.
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Re: [13/14] 6ème J: Paris FC / Strasbourg - 13/09/13 à 20h00
Je reviens de vacances, je n'ai pas suivi les deux dernieres prestations.
Je suis étonné des réactions au sujet de Sikimic, je croyais qu'il était un pion essentiel.
Pour l'heure, rien n'est perdu. Les apports de Noro et Oliveira seront peut-être déterminants, il faut l'espérer.
			
			
									
									
						Je suis étonné des réactions au sujet de Sikimic, je croyais qu'il était un pion essentiel.
Pour l'heure, rien n'est perdu. Les apports de Noro et Oliveira seront peut-être déterminants, il faut l'espérer.
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Re: [13/14] 6ème J: Paris FC / Strasbourg - 13/09/13 à 20h00
j'attends plus d'oliveira que de noro, qui pour moi est sur le déclin.... tout comme sikimic d'ailleurs... déjà l'an dernier il a fait 6 mois assez moyens
cette saison il avait bien débuté mais il est moins bien sur les 2 derniers matchs... est ce lié à sa blessure?
			
			
									
									
						cette saison il avait bien débuté mais il est moins bien sur les 2 derniers matchs... est ce lié à sa blessure?
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Re: [13/14] 6ème J: Paris FC / Strasbourg - 13/09/13 à 20h00
non, c'est devenu un bon père de famille qui cherche à gagner sa croûte comme tout le monde  
			
			
									
									
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Re: [13/14] 6ème J: Paris FC / Strasbourg - 13/09/13 à 20h00
Milo est gêné par son genou et sans la blessure de Golliard, je pense même qu'il ne jouerait pas !
Quand tu vois les occasions qu'on a, on a vraiment pas de chance franchement
			
			
									
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Re: [13/14] 6ème J: Paris FC / Strasbourg - 2/0
DNA a écrit :Pas plus avancé
Pas plus en tentant de bétonner que de jouer, le Racing s’est montré un invité contrariant. Dans le choix du visage à afficher à l’extérieur, le débat reste complètement ouvert.
La sixième étape de l’aventure du Racing en National version 2013-2014 a rappelé une triste réalité hexagonale : Paris reste l’une des plus risibles villes du monde en matière de sport. Quand, par exemple, Londres abrite six clubs dans l’élite, doté chacun d’un stade de 25 000 places minimum – pour un cumul de 220 000 places –, la région parisienne fait évoluer sa troisième équipe – si on considère que Créteil (L2) est le dauphin du trompeur PSG – dans un stade branlant.
Le stade Déjerine n’est pas loin d’être un repoussoir pour les passionnés de football. Il y a le périphérique, juste derrière un mur, les barres de Montreuil, de l’autre côté d’un autre, une aire de jeu où le noir du caoutchouc recouvre le vert du synthétique, et des tribunes accueillantes comme des prisons. Heureusement, avant-hier, il y avait quelques centaines de gamins du PFC, invités par leurs dirigeants, quelques dizaines de supporters strasbourgeois aussi, pour rendre moins lugubre le tableau. Pour le Racing, le déplacement n’a pas été plus fructueux. Et même moins à certains égards.
Dans ce cadre qui fleure bon la banlieue de la fin du gaullisme, les Strasbourgeois ont mordu la poussière pour un verdict similaire à celui enregistré au pied des jolies montagnes d’Ajaccio. L’enchaînement de deux 2-0 est une vraie contrariété. Elle peut faire mal au moral.
« Il faut trouver un équilibre. Pour l’instant, on ne l’a pas »
Dans le contenu, c’était pourtant le jour et la nuit par rapport au déplacement en Corse. Les protégés de François Keller ont plutôt maîtrisé le ballon, se sont appliqués à construire leurs actions, pour un pourcentage d’efficacité assez médiocre toutefois, et se sont créé quelques opportunités de mettre fin à l’heureux tunnel parisien sans ballon à aller chercher au fond de ses propres filets.
La tête d’Amofa, à vingt minutes de la fin, aurait pu tout changer. Si elle n’avait échoué sur le poteau, elle aurait au moins permis d’égaliser.
« Et on aurait évité de reparler de notre inefficacité à l’extérieur, notait François Keller, qui n’a guère la possibilité de remonter le moral de ses troupes, puisqu’une session pour son diplôme d’entraîneur le contraint à demeurer à Clairefontaine jusqu’à jeudi. On avait la volonté de jouer et de se créer des occasions, mais on n’a pas su les convertir. » Il est question de détails, de quelques approximations, d’un brin de puissance ou de vitesse qui manque et ça change tout.
« On a montré un autre visage qu’à Ajaccio, a retenu David Ledy. On a voulu rectifier le tir, on l’a plutôt bien fait. Mais il nous faut trouver un équilibre. Pour l’instant, on ne l’a pas. »
Les Strasbourgeois, loin de se féliciter d’une défaite honorable, ne se contentent pas de quatre déplacements à un point, décroché au Red Star pour l’ouverture du championnat, et à zéro but inscrit. « Si on est tombé sur une bonne équipe du PFC, si on a su la mettre en danger, on a aussi fait preuve de naïveté, constate Gauthier Pinaud. On fait des erreurs de jeunesse alors qu’on se connaît et qu’on peut les éviter. »
La déception a fini par l’emporter franchement, au sein du vestiaire. « On a peut-être bien joué mais on passe pour des cons, a conclu le capitaine Milovan Sikimic. Avec un sacré client devant ( ndlr : Fofana, auteur du doublé ), des petits gabarits rapides sur les côtés ( ndlr : Samb et Tchenkoua notamment ), le PFC est une équipe qui attend et contre. »
Contrairement à la formation privilégiée par le Racing à Déjerine, elle a fait mouche. Bredouille pour la troisième fois en trois déplacements, l’équipe strasbourgeoise, avec trois petits points au-dessus de la zone rouge, aura la pression face à Luçon. À la Meinau, où il a gagné à chaque fois qu’il y a joué, il est prié de ne pas rompre avec ses habitudes.
DNA a écrit :National, vraiment ?
L’état du terrain du stade Déjerine a laissé pantois. Les acteurs et les spectateurs du PFC – Racing ont eu du mérite. Et dire que les Parisiens, leaders, évoluent dans ces conditions tous les 15 jours…
Le début du championnat National confirme l’attention toute relative de la Fédération quant aux conditions d’organisation des matches. Après la pathétique pelouse, bouffée par les chenilles, de Fréjus-St-Raphaël, le Racing a été confronté, vendredi, à l’infâme synthétique du stade Déjerine où évolue le Paris FC. En fait, si la surface en elle-même n’avait rien de spectaculaire, une énorme quantité de billes caoutchouc – que d’aucuns, de loin, ont pu prendre pour du caviar -, déversée dans la semaine, a rendu la surface de jeu vraiment douteuse. Sachant que les projecteurs déversent une quantité de lux tout juste suffisante, le spectacle du PFC – RCS a pu se dérouler presqu’entre ombre et lumière, vu des tribunes.
Par ailleurs, il semble que la « jurisprudence » Raon-l’Étape a pu inspirer les organisateurs parisiens de la rencontre. En juin, le match de la montée, repoussé par crainte de débordement, délocalisé à Épinal par crainte de ne pas pouvoir accueillir tous les Strasbourgeois, avait donné lieu à un sacré pataquès. Rien de tel pour le 6e match de la saison. Mais le discours du PFC a bien changé au gré des journées. Dans un premier temps, les dirigeants parisiens avaient alloué un contingent de 150 places à leurs homologues alsaciens, sachant que 60 à 80 supporters en provenance de Strasbourg étaient annoncés. Cela laissait quelques latitudes pour pourvoir la diaspora alsacienne de Paris.
Sauf que deux jours avant la rencontre, le PFC indiquait que le nombre de places destinées aux visiteurs était rabaissé à 100. Pour éviter tout risque, alors que la jeunesse du club parisien avait été invitée au stade Déjerine, alors que le match était classé à haut risque, il était décidé que le match se jouerait… à guichets fermés, la capacité de l’enceinte étant réduite à 1000 places. Les hordes de méchants attendus en provenance de l’Est conduisaient à une forte présence policière aux abords du stade de la porte de Montreuil ou encore à un doublement du nombre de stadiers.
Dans la pratique, vendredi, le Paris FC a choisi d’attendre le dernier quart d’heure avant le coup d’envoi pour laisser les fans du Racing entrer dans le stade. Allégeant la rigueur proclamée initialement, tous les candidats au parquage strasbourgeois ont pu finalement s’y rendre, ce qui a permis à 150 spectateurs d’encourager l’équipe visiteuse. Les tribunes ont accueilli bien plus que les 1000 – au moins 1200 – personnes prévues. Aucun incident n’a été à déplorer, sauf la casse d’une demi-douzaine de sièges où s’est installé… le kop parisien. Déjà que le spartiate Déjerine n’avait pas bonne mine…
RETOUR ET DÉPART. – Les Strasbourgeois ont dîné à Paris après leur défaite et ont regagné l’Alsace le lendemain matin. Le repas n’a pas dû être marqué par de franches rigolades, le staff et les joueurs balançant entre frustration et déception. À noter que pour le prochain rendez-vous, face à Luçon, vendredi, François Keller pourra compter sur le retour de Jérémy Grimm, suspendu pour les deux derniers matches. L’entraîneur sera absent pendant quasiment toute la semaine, retenu pour une cession de son diplôme d’entraîneur de football professionnel.
L'Alsace a écrit :Racing : le fantôme du syndrome
Battu trois fois en quatre déplacements (plus un nul vierge au Red Star), le RCSA n’a toujours pas marqué hors de la Meinau. Mais après son revers de vendredi chez un Paris FC hyperréaliste (2-0), il veut croire que son audace dans le jeu finira par payer et chassera le spectre d’un traumatisme lié à son inefficacité chronique à l’extérieur.
Les chiffres sont à la fois têtus et entêtants. Et pour le Racing, ils commencent à relever du casse-tête à l’extérieur. En quatre déplacements, les Bleus n’ont en effet récolté qu’un point sur douze (1), n’ont pas marqué et ont concédé cinq buts.
Mais malgré la leçon de réalisme reçue avant-hier au Paris FC (2-0), ils veulent plus que jamais croire en des lendemains qui chantent. Depuis leur succès à domicile contre Vannes l’autre vendredi (2-0), récompense de l’audacieuse option tactique de François Keller, ils ont résolument fait le choix de l’ambition. Sans doute parce que leur attentisme du 30 août à Ajaccio leur avait davantage laissé un goût de « pas commencé » que d’inachevé. Qu’importe l’issue – enfin, pas tout à fait ! – ils sont désormais résolus à ne plus rentrer de voyage l’estomac noué par la désagréable sensation de n’avoir rien tenté.
Évidemment, pour tester ces nouvelles dispositions d’esprit, le stade Déjerine n’était pas le lieu le plus approprié. Et le Paris FC, hérisson hyperréaliste et leader, pas l’adversaire rêvé. Deux pertes de ballon au milieu et deux contres supersoniques de Parisiens moins à l’aise dans le jeu que les Ajacciens, mais « d’une redoutable efficacité » (dixit l’entraîneur bas-rhinois) ont suffi à sceller le sort du match.
Pourtant, on ne saurait faire grief à Milovan Sikimic et aux autres d’être restés les deux pieds dans la même chaussure à crampons. Leur entraîneur n’y songe même pas : « Autant il n’y avait rien à retenir à Ajaccio, autant là, c’est sévère et dommage dans le contenu. Nous avons la volonté de jouer, mais nous devons être plus efficaces offensivement et ne pas perdre de ballons quand l’adversaire n’attend que ça. Les Parisiens sont dans un registre qu’ils maîtrisent parfaitement. »
Leur trident offensif Tchenkoua – Samb – Fofana (auteur d’un doublé) a, par sa vitesse d’exécution et son sens des permutations, étiré la défense strasbourgeoise dans les grandes largeurs, mais aussi profité de largesses pointées du doigt par Milovan Sikimic. « Nous nous sommes beaucoup dépensés et avons plutôt bien géré le match, mais nous avons commis deux erreurs. Le résumé, c’est que nous rentrons à Strasbourg sans rien. C’est de la naïveté. Nous savions que Paris était une équipe qui défend bien, ne marque pas beaucoup et contre. » Le piège s’est ainsi refermé sur un RCSA joueur, mais stérile.
Dans l’esprit des Bleus, cette disette offensive qui s’éternise hors de la Meinau n’est néanmoins pas de celles qui tétanisent. Le capitaine serbe chasse à grands coups de balai le fantôme d’un syndrome naissant. « Il est trop tôt pour parler de ça. Je ne crains pas de syndrome d’inefficacité à l’extérieur. À Paris, ce n’était pas comme à Ajaccio où nous avions eu zéro occase. Là, nous avons montré un autre visage, joué, plutôt bien, mais sans marquer, malgré un poteau de Brian Amofa et une grosse occasion de David Ledy. »
« C’est de cette manière que nous y arriverons »
Depuis vendredi soir, François Keller peaufine le discours qu’il délivrera à ses joueurs ces prochains jours. Il y sera question de volontarisme et de convictions dans le jeu qui finiront par payer. « Mon boulot va être de trouver les mots pour les persuader que nous y arriverons de cette manière. Il faut garder le contenu et les bonnes choses qui ont été faites. Mais au-delà de l’échec à Paris, il est dommage que nous n’y ayons pas marqué ce but qui aurait évité qu’on continue à parler de notre stérilité en déplacement. »
Cette semaine, cet irritant dossier sera de toute façon mis entre parenthèses pour laisser place à un sujet autrement plus réjouissant : vainqueur de ses deux premiers matches à la Meinau (2-0 contre Uzès, puis Vannes), le Racing sera-t-il capable d’appliquer vendredi (20 h) contre Luçon l’adage « Jamais deux sans trois » ?
(1) Nul vierge au Red Star, suivi de trois défaites à Fréjus/Saint-Raphaël (1-0), Ajaccio (2-0) et au Paris FC (2-0).
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Re: [13/14] 6ème J: Paris FC / Strasbourg - 2/0
Ils auraient quand même pu choisir des billes vertes.PoY a écrit :En fait, si la surface en elle-même n’avait rien de spectaculaire, une énorme quantité de billes caoutchouc – que d’aucuns, de loin, ont pu prendre pour du caviar -, déversée dans la semaine, a rendu la surface de jeu vraiment douteuse.
Je me disais bien que c'était bizarre ces trucs noirs un peu partout.
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Re: [13/14] 6ème J: Paris FC / Strasbourg - 2/0
il est vrai que mettre dans un groupe de 16 deux nouveaux joueurs - lienard et belhameur- cela chamboule tout l'équilibre d'un groupe (qui n'avait pas encore trouvé le sien)  
			
			
									
									
						
                
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