Alain Fontenla

[fan_racing]

Le Présidieu, Herr Zog, Furloose, Fontenla, Isenegger, Cache-cache, Dayan, les mandatés de la ville à deux balles ... le Racing aura vraiment été bien sali ces derniers temps.

[Keating]

En changeant les noms de n'importe qui tu peux les faire passer pour des cons

[fan_racing]

Parce que cela leur va bien, et qu'ils n'ont pas eu besoin de cela pour se faire une réputation minable.

[Keating]

S'ils n'ont pas besoin de ça, pas besoin d'en rajouter une couche ... Ca casse toute objectivité de l'argumentation ... à mes yeux en tout cas

[fab]

Autant je n'ai jamais vu d'un bon oeil l'arrivée du trio fontenla/loban/carousel, puis fontenla/carousel: on a jamais vraiment su leurs motivations et les intentions pour le club. Je reste persuadé qu'il y a (avait) qqchose de louche la dessous.

Autant les dernieres "révélations" sur les locaux ne m'étonnent pas vraiment. ça doit pas être des enfants de choeur non plus ces types.

il n'y a pas de "gentils" ou de "méchants". Dans ce milieu chacun a qqchose de nauséabond à un moment ou un autre.

A mon sens, l'erreur des "locaux" s'est d'avoir voulu laisser la situation autour de ginestet se pourrir pour racheter le club à bas prix et passer pour des sauveurs!

Ginestet à revendu à des types "bizarres" et les locaux sont passés à l'action après, quand ils vont que le club allait leur échapper!

En conclusion, pas un pour rattraper l'autre. Juste degouté que "mon" racing soit le jouet de types que je déteste et méprise (pour moi c'est la meme caste d'affairistes "magouilleurs" avides)

[argueti]

Fontenla est bien là

Le propriétaire du Racing ne veut pas vendre. Alain Fontenla l'a confirmé hier, n'en déplaise à Henri Ancel, le médiateur de la ville qui a réaffirmé sa volonté de voir l'homme de Londres s'en aller.

Après des discussions courtoises ces dernières semaines, l'atmosphère s'est chargée en électricité depuis vendredi et la rupture des négociations autour de la reprise du Racing. Jafar Hilali rejetait l'offre formulée par Frédéric Sitterlé, au nom d'un pool d'investisseurs alsaciens, et Alain Fontenla, le principal propriétaire du club, expliquait pourquoi. Et les termes utilisés par ce dernier, samedi, ne faisaient pas dans la demi-mesure. Il parlait de « menaces », il déplorait être « confronté à un système mafieux ». Hier, il a pris la peine de réaffirmer son engagement. « Le Racing n'est plus à vendre », a-t-il indiqué en fin d'après-midi. Depuis Londres, celui qui a également précisé ne pas être un trader - « je n'ai jamais joué avec l'argent des autres » - continue d'assumer son investissement.

« Aucun regret d'avoir acheté le Racing »

« Je n'ai absolument aucun regret d'avoir acheté le Racing, j'aurais simplement aimé que cela soit un peu mieux construit au départ, explique-t-il. Je me doutais bien qu'il fallait investir. Je savais que le club avait besoin d'argent. Je ne pensais simplement pas qu'il en aurait besoin si vite. » Alain Fontenla n'est, au final, pas catastrophé par la dépense. Il envisage d'ailleurs de signer quelques chèques supplémentaires. « La Ligue 1 est l'objectif, l'équilibre budgétaire est un objectif et, pour les réaliser, je sais qu'il me faudra encore investir notamment à la fin de la saison, considère celui qui a déboulé dans le paysage alsacien début décembre. Je n'ai pas encore fixé le montant de l'enveloppe. » En négociation avec le pool d'investisseurs depuis plus de deux mois, Fontenla regrette finalement d'avoir discuté avec des gens qui lui sont hostiles. « A part eux, les relations aux gens sont plutôt positives, juge-t-il. J'ai passé récemment une semaine à Strasbourg. Je n'ai pas à en faire plus de publicité que ça. Je ne suis pas attiré par les caméras. » Il ne le serait pas non plus par l'argent. Mais il n'a pas pris le contrôle du Racing pour en perdre de manière inconsidérée. « Le Racing est un club de foot en difficulté, mais il y a moyen de sortir de cette spirale, sans casse sociale, juge l'homme de Londres. Il y a des réorganisations à envisager, il faut rétablir de la communication entre les services parce que l'on se retrouve avec des contrats signés qui n'auraient pas dû l'être. » Il parle d'économies envisageables de plusieurs centaines de milliers d'euros. Il espère un équilibre, dès la saison prochaine, sans trop y croire. Il est prêt à prendre son bâton de pélerin pour convaincre certains de le suivre dans sa démarche. « On me dit que je suis dédaigneux parce que je n'étais pas en tribune présidentielle lors de ma dernière présence à la Meinau ?, s'interroge-t-il tout haut. En fait, j'étais en loge avec les sponsors, parce qu'on m'a dit que Philippe Ginestet n'allait jamais les voir. » Alain Fontenla est à la découverte d'un club, « pas d'une situation, parce que je la connaissais ». Il reste confronté à certains éléments du panorama. Et, s'il ne le savait pas encore ce dont on peut douter, il risque d'entendre Henri Ancel lui faire siffler les oreilles.

Ancel : « Je ferai tout pour qu'il parte »

Le médiateur nommé par la ville pour envisager une reprise du club n'en démord pas. « Je ferai tout pour qu'il parte parce que mon objectif est de sauver le Racing Club de Strasbourg, souligne le spécialiste en levée de fonds. Alain Fontenla est tout seul. Il est là pour se faire de l'argent et selon des méthodes que l'on connaît ». Celui qui a organisé le pool des investisseurs rappelle l'agitation du mercato hivernal et le rôle de Julien Fournier, alors président, qui a empêché la signature de nombreux joueurs aux origines exotiques. « Il parle d'un environnement mafieux, poursuit Henri Ancel. J'aurai une réponse de cours d'école : c'est celui qui dit qui est. » Le pire est peut-être à venir, à ses yeux : « Alain Fontenla a fait usage d'une bombe lacrymogène pour justifier des choses aberrantes. La question que je me pose est : qui êtes vous Monsieur Fontenla et comment avez-vous gagné tout votre argent ? » Au final, la voie empruntée par le Racing s'avèrerait une impasse. « Après l'arrogance, Fontenla a eu recours à l'insulte et maintenant à la calomnie alors qu'il y avait une discussion avec des gens qui représentent des emplois et de l'activité. Il faut tout faire pour l'arrêter de gérer le club qui, avec lui, va dans le mur ». Après une phase de détente, la guerre froide a bel et bien repris.

François Namur

[télésupporteur]

comment ancel ose-t'il demander l'origine de l'argent de fontenla
la réponse : des subventions de copains politiques

[PoY]

« Je ferai tout pour qu'il parte parce que mon objectif est de sauver le Racing Club de Strasbourg »

De quoi ?

« J'aurai une réponse de cours d'école : c'est celui qui dit qui est. »

Pathétique...

[silex57]

Deplus en plus argumentée la position des locaux, on va sauver le Racing parce qu'on est alsaciens, voilà leur seul argument .... un peu léger !!

[urotsukidogi]

Oui mais ils ont les médias dans leur poche