Gilbert Gress

[Its_me]

C'est clair que Kermorgant est un super joueur ... comme tu l'as dit, c'est bizarre que personne ne se soit encore penché sur con cas.

[cosmocat]

D'après l'Equipe, il est à  l'essai à  Leicester .... à  partir du moment où il a une opportunité à  l'étranger, il va être difficile de le faire venir.
Avec un peu de chance, son essai sera infructueux

[Roswell Man]

Je croyais qu'il avait signé à  Caen En tout cas je sais qu'au début du mercato il était sur les tablettes du Racing et de Metz....

[Pinon]

C'est clair que Kermorgant est un super joueur ... comme tu l'as dit, c'est bizarre que personne ne se soit encore penché sur con cas.

Il aurait refusé des offres de Caen et Guingamp ...

[télésupporteur]

il ferait double emploi avec marcos

[Kriskool]

Pour toi, Messi ferait double emploi avec Marcos...

[FM17]

il va te répondre complémentaire....

[Keating]

Sur le qui-vive
Samedi soir à  Haguenau, le Racing a ponctué sa campagne de matches amicaux par un nul contre Karlsruhe (1-1). A l'issue de quatre semaines de préparation, Gilbert Gress est devenu un entraîneur tourmenté, eu égard à  la valeur de ses troupes. Pour viser la montée, ce n'est aujourd'hui pas suffisant.

Trois victoires, deux nuls et une défaite : de prime abord, le bilan du Racing en mode préparatoire reste globalement positif. S'il fallait le convertir en points, dans la version championnat, il permettrait assurément aux Bleus d'émarger dans le haut du tableau.
Pareille projection paraît toutefois chimérique. Même contre des adversaires d'un niveau inférieur - Créteil (3-3), Croix-de-Savoie (2-1), Colmar (2-1), Besançon (2-0) -, les hommes de Gilbert Gress n'ont jamais paru au-dessus du lot. En dépit de la victoire, un sentiment mitigé a à  chaque fois affleuré. La seule fois où il a fallu se frotter à  plus fort que soi - contre Sochaux -, c'est une défaite logique qui est venue sanctionner les débats (0-1).

A valeur a priori équivalente, face à  Karlsruhe, un match nul a sanctionné la production alsacienne (1-1). Des deux côtés, on a estimé que le travail à  fournir dans les prochains temps restait conséquent. Samedi soir, pourtant, Gilbert Gress semblait pour une fois plutôt satisfait de la prestation d'ensemble. « Ça peut aller », disait-il à  chaud, déplorant quand même que ses attaquants eussent vendangé une kyrielle d'occasions.
Le discours que « Schilles » tient en public, plutôt rassurant et politiquement correct, ne semble toutefois pas être du même tonneau que celui qu'il réserve aux dirigeants. Face à  Léonard Specht et Jean-Luc Herzog, respectivement président et directeur général du club, le champion de France 1979 fait part d'inquiétudes beaucoup plus vives.
Depuis maintenant trois semaines, Gress réclame à  cor et à  cri des renforts dans le secteur offensif. Depuis maintenant trois semaines, le technicien, à  l'instar de la soeur Anne de Charles Perrault, ne voit rien venir.
Des joueurs, comme Grax, parti entre-temps à  Guingamp, lui ont pourtant été proposés. Gress n'en a pas voulu. Ou n'a pas pu donner suite, faute de moyens financiers. D'autres, à  l'image du Lensois Veselinovic ou du Camerounais Feutchine, ont été mis à  l'essai. Sans succès.

Si la base défensive peut tenir la route, avec les arrivées de Pichot et de Rodrigo, en attendant celle de Sikimic - sous condition de satisfaire à  la visite médicale aujourd'hui -, l'attaque reste en revanche toujours aussi déplumée, en dépit de la bonne volonté affichée par le petit David Ledy.
« Je suis quand même étonné par le manque de moyens du Racing, précise Gress. J'ai vu dernièrement une photo officielle de la saison écoulée. Aujourd'hui, il y a une vingtaine de personnes en moins, joueurs et entraîneurs compris. Je pensais que l'on pourrait dégager un peu d'argent. Si Strasbourg veut monter en première division, il va bien falloir trouver un attaquant qui marque des buts. »
Lassé d'entendre, autour de la main courante de la Meinau, qu'il repousse systématiquement d'un revers de la main toute proposition de renforts, Gress tient aussi à  rétablir quelques vérités.

« La rumeur colporte l'idée que je ne voulais pas d'un garçon comme Isabey (l'ex-Sochalien passé cet été à  Dijon, ndlr) parce qu'il ne s'adapterait pas à  mon système, poursuit-il. Je peux vous assurer que je n'ai jamais vu un seul bon joueur qui n'entrait pas dans mes plans de jeu. Pour moi, Isabey était une priorité. Il faut croire que Dijon avait plus de moyens que nous. Les bons joueurs sont un peu plus chers, mais ils vont ailleurs. »
Derrière le discours feutré, on comprend que l'homme bouillonne intérieurement. Et cette histoire dijonnaise lui fait monter la moutarde au nez. Pas le moindre élément n'est susceptible de l'apaiser dans l'immédiat, puisque aucune nouvelle tête n'est attendue à  la Meinau en ce début de semaine. Pourtant, les choses sérieuses débutent pas plus tard que ce samedi (19h), avec le premier tour de la Coupe de la Ligue à  Istres.
« Ce ne sera pas une répétition avant l'ouverture du championnat contre Châteauroux, mais un match à  gagner, assure l'entraîneur. Qui va loin dans cette compétition peut empocher un joli pactole. Et comme le club ne roule pas sur l'or... »
Gilbert Gress est plus que jamais sur le qui-vive. Le public alsacien, lui, commence sérieusement à  s'inquiéter.

[Stan]

Ca y est on est mal on a moins de moyens que Dijon.

[NéRiK]

La saison n'a meme pas commencé que j'ai l'impression que Gress est déjà  en guerre avec ses dirigeants et la cellule de recrutement. Qu'est ce que ca va etre apres les premieres défaites?