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Les inscriptions au forum sont rouvertes 
télésupporteur a écrit :ne verrais-tu pas tout de traverseFM75 a écrit :C est tout de même incroyable qu ils prennent la femme de Furlan en tant que préparatrice psychologique à quelques jours de jouer le Racing...!! Elle aurait pu accepter le poste quelques jours après également de son côté...
Ca me fait bien sourire d avance...je pense déjà aux déclarations d après match
parait qu elle se déplace en mini bus... 
DNA a écrit :Les promesses de l'Aube
Dans le sillage de leurs trois victoires en trois matches, les Strasbourgeois peuvent aborder le rendez-vous à Troyes avec confiance. Face à un adversaire en souffrance, il s'agit d'entretenir d'avantageuses tendances.
Comme on se retrouve. Le Racing et l'ESTAC s'affrontent ce soir, avec quelques petits comptes à régler et un bonnet d'âne à oublier. Les deux clubs se disputent en effet la palme du plus gros gadin vu dans le foot français la saison dernière. On aura de cesse de ressasser celui qui a envoyé le Racing en L 2, au moins jusqu'à ce que les Strasbourgeois valident leur ticket pour la remontée. La bande à Furlan a achevé l'exercice 2007-2008 sur une série de onze défaites. En ce sens, le tranquille succès de lundi, face à Angers (2-0), a toutes les apparences de la bénédiction. Le Racing ne fera pas aussi mal cette année : il ne reste que dix matches à disputer. La mésaventure troyenne peut, elle, consituer une source d'inspiration. Le 7 mars 2008, l'ancien club de... Furlan l'emportait à Clermont (1-2) et pointait au 3e rang en L 2, avec neuf points d'avance sur le 4e. En plongeant dans un crépuscule sans fin ponctué de sept défaites en onze matches, les Aubois rataient la montée. Denis Troch a été prié de panser ses plaies dans le championnat national, à Niort. Ludovic Batelli l'a remplacé. Mais le panorama ne se révèle guère riant sous les ordres du technicien chauve à la lutte pour la montée avec le... Racing, à la tête d'Amiens voilà deux saisons. A l'époque, il avait été l'auteur de propos assez désobligeants pendant le bras de fer livré à Jean-Pierre Papin (*). Candidat déclaré à la L 1, englué dans une série de quatre défaites et deux nuls, l'ESTAC doit encore assurer son maintien. Avec cinq points d'avance sur Châteauroux, l'heure n'est pas à l'urgence absolue. Mais en nommant un directeur sportif, Michel Rablat, et en décrétant la mise à pied de Yahia Kébé, frère du Strasbourgeois, en garde à vue après une virée trop alcoolisée, le président Gomez a déclenché le plan Orsec.
« On ne produit pas les mêmes hormones »
Au regard du ciel champenois, il fait grand donc bleu au-dessus de la Meinau. Trois matches, trois victoires, le Racing déboule avec le souvenir du ventre bien rempli à la faveur de ses dernières sorties. « Dans l'atmosphère, il y a moins de pression, apprécie l'entraîneur du RCS. Dans ces cas-là , on ne produit pas les mêmes hormones. » Mordants dans le ballon, dissuasifs et étouffants dans le pressing, réalistes dans leurs attaques, les Strasbourgeois font montre d'une efficacité redoutable en mars. Ils ne donnent pas l'impression d'une spectaculaire supériorité mais ils laissent aux adverses de quoi nourrir des regrets. « C'est surtout une équipe qui se prend en main et des joueurs qui se responsabilisent, souligne Furlan. Après, il est vrai qu'on leur a bourré le crâne sur la densité physique et une agressivité à développer. » Il reste que les désagréments des sommets ne manquent pas d'incorporer une part d'inconnu. Le Racing se coltine le voyage dans l'Aube quatre jours après avoir joué devant les caméras. « Aura-t-on les jambes ou pas ? », s'est interrogé avec retenue Furlan hier, comme sûr de son affaire et inspiré d'une inébranlable sérénité. On rappellera que l'adversaire du soir est le premier de la saison à ne pas être rentré bredouille de la Meinau. Ça ne change pas grand-chose à l'affaire mais peut nourrir l'envie de bien faire. Et le Racing, ces temps-ci, tend à tout faire bien.
Ducrocq et Dja Djedje dans les couloirs
En l'absence de Zoltan Szelesi et Yassine Bezzaz, partis en sélection, Jean-Marc Furlan va relancer Pierre Ducrocq en défense, Franck Dja Djedje prenant pour sa part le couloir gauche de l'attaque.
CHANGEMENTS. - Jean-Marc Furlan, privé des trois internationaux Bezzaz (Algérie), Szelesi (Hongrie) et Bah (Guinée), doit forcément remanier son équipe. Du coup, Pierre Ducrocq devrait prendre le côté droit de la défense et Franck Dja Djedje être titulaire dans le couloir gauche. Le reste de l'équipe est inchangé, avec Traoré en pointe, Marcos en soutien, James Fanchone à droite, la paire Pelé/Shereni en défense centrale et le duo Lacour/Cohade en récupération. Le banc va pour sa part subir un « coup de jeune », avec notamment la présence de David Ledy et Magaye Gueye.
PAISLEY DIMINUE ? - Grégory Paisley souffre toujours d'une petite gène aux ischios-jambiers, mais sera bel et bien présent sur le banc strasbourgeois. Pour le dernier entraînement Jean-Marc Furlan avait toutefois gardé Armand N'Djama en réserve, ainsi que Simon Zenke et Rômulo. Tous trois ne seront toutefois pas du voyage.
BEAUVUE EN FORME. - Claudio Beauvue, le jeune attaquant formé à Nantes, est en forme. Auteur de trois buts cette saison, il a permis à son équipe de récolter ses deux derniers points en égalisant à Lens (1-1, lors de la 25e journée), avant de récidiver à Ajaccio la semaine dernière (1-1). Reste que le joker devrait commencer sur le banc, Lesoimmier étant préssenti pour être titulaire sur l'aile gauche.
UN MOIS SANS VICTOIRE. - L'ESTAC a très mal entamé son année 2009, avec une seule victoire au compteur lors des dix derniers matchs. Sa dernière victoire remonte au 7 février, lorsque les hommes de Ludovic Batelli s'étaient imposés 3-0 face à Vannes au stade de l'Aube. Résultat : l'ESTAC, qui pointait à la 8e place avant la trêve hivernale, a sérieusement baissé de pied et occupe désormais la 15e place, à cinq points du premier relégable.
François Namur
(*) En mai 2007, Ludovic Batelli avait déclaré : « Il y a des choses surprenantes. On ne va pas polémiquer sur le fait que les Alsaciens gagnent encore en fin de match, on y est habitué. Ils gagneront encore leurs deux derniers matches à la dernière minute puisqu'il vaut mieux que Strasbourg monte plutôt qu'Amiens. »
L'Alsace a écrit :Racing : et de quatre à Troyes ?
Après trois succès consécutifs 2-0 contre Clermont, à Nîmes et face à Angers, le RCS espère enfoncer le clou à 20 h 30 dans l'antre d'une ESTAC mal en point (s). Avec 8 points rapportés de ses 4 derniers déplacements, cette ambition est légitime.
Au soir d'une 2e défaite à domicile contre Sedan le 20 février (1-3), tous les voyants semblaient au rouge pour le Racing. D'aucuns le voyaient déjà renouveler son bail en L 2 pour 2009-2010 et se préparaient à clouer Jean-Marc Furlan au piloris. La Meinau grondait. Même si quinze jours plus tôt, au lendemain d'un nul arraché contre Brest (de 0-2 à 2-2), Philippe Ginestet avait renouvelé sa confiance à son entraîneur jusqu'en juin, les partisans de la révolution étaient toujours légion.
Mais en football, les choses vont vite. En un mois et quatre matches, le RCS s'est totalement relancé. Après un nul plus qu'encourageant à Vannes (2-2), il a aligné trois succès 2-0 contre Clermont, à Nîmes et face à Angers. Sans toujours y mettre la manière, mais avec « efficacité », le mot d'ordre fixé par le coach. « A 10 journées de la fin, c'est tout ce qui importe », assène celui qui se fait d'ordinaire le chantre du beau jeu et confirme ce qu'il n'a cessé de répéter au cÅ“ur d'un hiver très rigoureux : « J'y ai toujours cru. » Ce soir (20 h 30) dans un stade de l'Aube qu'il connaît bien pour y avoir dirigé l'ESTAC de 2004 à 2007, Furlan axera ses consignes autour de ce leitmotiv. D'autant qu'après le sommet de L 2 remporté lundi face aux Angevins, il redoute que Guillaume Lacour et les autres aient les jambes lourdes. Il craint aussi une vive réaction d'un club aubois sous haute tension après sa calamiteuse série 2009 (1 victoire, 3 nuls, 6 défaites et 6 points sur les 10 dernières journées), même si elle a limité la casse lors de son dernier voyage à Ajaccio (1-1). « En nommant un directeur sportif (Michel Rablat) et en disant son fait à quelques joueurs, le président Thierry Gomez a secoué le cocotier », commente un Furlan guère désireux de s'appesantir sur les soucis de son ancien club. « Les Troyens n'ont jamais lâché le morceau. Mais il y avait des dissensions. Je m'attends à un match très difficile. »
« Les grandes équipes se prennent en main »
Aussi en remet-il une couche sur le défi physique à relever. « Je bourre le crâne aux gars sur cette densité à avoir, dans un secteur où nous sommes moins bons que les autres. A Nîmes et contre Angers, ils ont montré le visage que j'attendais d'eux, en pratiquant le harcèlement de haut niveau que nous avions demandé. Tant qu'ils se comporteront ainsi, ils auront des chances de prendre des points à l'extérieur (voir ci-dessous). Nous abordons ce match sans relâchement, mais avec beaucoup moins de tension et de pression que les 5 ou 6 précédents. Quand on gagne, on ne secrète pas les mêmes hormones que dans le stress de la défaite.» A l'aube d'un match qui pourrait lui offrir un joker, le technicien bas-rhinois appelle ainsi ses troupes à aller toujours plus loin dans la responsabilisation. « Les grandes équipes sont celles qui, à un moment, se prennent en main. Le coach donne les clefs. Mais c'est aux joueurs d'en faire bon usage. » De ce point de vue, les Bleus ont passé la vitesse supérieure avec leurs trois victoires de rang. En passant la 4e au stade de l'Aube où l'ESTAC reste sur deux revers (0-1 contre Clermont et 1-2 devant Angers), ils donneraient plus d'épaisseur encore à leurs ambitions.
A l'abri à l'extérieur ?
C'était le 22 janvier. Sur une pelouse détrempée, le Racing avait pris l'eau au stade Auguste-Delaune face à un Stade de Reims « Champagne », mais qui pétille beaucoup moins ces temps-ci (4-1). Les Bleus, qui n'avaient alors plus remporté le moindre match à l'extérieur depuis leurs deux succès d'août à Dijon (3-1) et à Brest (1-0), se sont rattrapés depuis. Ils se sont imposés à Châteauroux (1-0) et Nîmes (2-0) et sont allés chercher le nul à Bastia (1-1) et Vannes (2-2), dans le pittoresque stade de la Rabine où ils auraient d'ailleurs mérité de gagner. D'aucuns argueront que ces 3e et 4e succès hors de la Meinau ont été acquis chez deux relégables. Certes. A ceci près toutefois que les Crocos nîmois ne s'étaient plus inclinés aux Costières depuis le 10 octobre (3 victoires, 4 nuls) en championnat. Passons. Toujours est-il que ces 8 points glanés en 4 voyages ont contribué à réinstaller le RCS sur le podium. Et que cette solidité à l'extérieur est une bonne nouvelle pour des Strasbourgeois qui se préparent à se déplacer six fois lors des dix dernières journées (Troyes, Lens, Tours, Guingamp, Boulogne et Montpellier). « C'est vrai, nous devrons jouer six de nos dix derniers matches hors de la Meinau. Mais si nous conservons notre imperméabilité défensive, il n'y a aucune raison d'être inquiets », observe Guillaume Lacour. « Des occasions, nous en aurons toujours. Et depuis un bon moment, nous sommes plutôt costauds à l'extérieur. » Sans se projeter jusqu'au terme de la saison, le capitaine des Bleus, qui a disputé lundi contre Angers son 200e match de championnat avec le RCS, englobe le voyage à Troyes, puis la réception d'Ajaccio (le dimanche 5 avril à 17 h à la Meinau) dans un même package. « Ces deux matches sont très intéressants. Si nous les négocions bien, nous pourrons aborder tranquillement nos deux déplacements consécutifs à Lens (le lundi 13), puis Tours (le vendredi 17). »
Sur quel canal? Le 102, c'est canalplay...Its_me a écrit :Petit rappel :
Tous ceux qui ont la Freebox ont dex chaines gratuites jusqu'à la fin du mois dont Ma Chaine Sport, Ma Chaine Sport 2 et les trois chaines de Ligue 2
ils pourront donc voir le Racing ce soir.
