[08/09] 28ème J: Strasbourg / Angers : 2-0

[FM17]

oui c est ce que je dis...Lens peut espérer finir devant le Racing...c est bien le seul enjeu de cette fin de saison...vivement la L1 !

[argueti]

Convictions angevines

Angers, qui devance directement le Racing au classement, se déplacera en Alsace dans l'intention de gagner. Près de 30 ans après l'avoir quittée, le club d'Anjou entend retrouver l'élite. Jean-Louis Garcia et ses hommes y croient dur comme fer.

C'est un fait assez rare, dans le petit monde du football professionnel, pour être souligné. A Angers, la langue de bois n'est pas d'usage. Pas dans la bouche de Jean-Louis Garcia, l'entraîneur - ou plutôt le faiseur de miracles -, en tout cas.

Trois buts à  l'aller

L'homme est enjoué, sûr de son affaire. « Je ne veux pas passer pour un prétentieux, mais on va à  Strasbourg pour essayer de gagner, dit le Varois, aux commandes du SCO depuis trois saisons. La certitude, c'est que l'on ne peut pas se contenter de défendre. Notre volonté est de toujours porter le danger sur le but adverse. » Soit exactement le même état d'esprit qui animait son équipe un soir d'octobre, quand le Racing s'était présenté au stade Jean-Bouin en leader invaincu. Les Bleus en avaient pris trois, sans en rendre le moindre. Exit la première place, bonjour les soucis... « On avait pratiqué un bon football, en se montrant réaliste et efficace, rappelle Garcia. Le score était un peu sévère. Mais je ne me suis pas appuyé sur le match aller pour préparer le retour. » Entre-temps, il faut dire que le SCO s'est forgé quelques convictions. De celles qui font naître les grandes ambitions. Entre début octobre et début février, Philippe Brunel et les siens n'ont pas perdu la moindre rencontre. La série d'invincibilité, jalonnée de neuf succès, a couru sur quatorze journées.

Invaincu durant quatre mois

« Compte tenu de notre régularité, de la qualité affichée dans le jeu, de nos résultats contre les gros bras (seul Lens s'est imposé à  l'aller, ndlr), notre place sur le podium n'est plus une surprise, poursuit le coach angevin. Monter n'était pas un objectif en début de saison, ça l'est devenu. On y croit dur comme fer. » Et ce n'est pas le coup de mou subi en février - deux défaites consécutives, à  Brest et contre Vannes - qui a douché les ardeurs. Les Blanc et Noir sont vite repartis de l'avant, poussant Lens dans ses derniers retranchements (2-2) avant de récupérer la deuxième place à  la faveur de la victoire ramenée de Troyes (1-2). La défense, dirigée par Ecuélé Manga - révélation de la saison et suivi par Liverpool et le Real -, reste un atout. L'expérience des milieux de terrain, entre le « vieux » Brunel et l'indispensable Auriac, permet de poser le jeu. La vitesse d'Ayité et le talent d'Alo'o Efoulou, certainement l'attaquant le plus complet de L 2, inquiètent chaque adversaire. A l'extérieur plus encore qu'en Anjou, ce bloc ne laisse apparaître aucune grosse faille.

Force tranquille

Bref, Garcia a su façonner une redoutable machine, désormais lancée à  toute berzingue vers les sommets. « Qu'est-ce qui pourrait nous empêcher de monter ?, interroge-t-il, sans forfanterie, dès lors qu'il est piqué dans son orgueil. Le SCO a une véritable histoire en L1. Tout est mis en place pour qu'on puisse y tenir notre rang. » Le club angevin avait quitté l'élite le même mois où François Mitterrand avait accédé au pouvoir. Près de 30 ans plus tard, la troupe de Garcia semble, à  son tour, être habitée d'une certaine force tranquille. Réponse en mai.

Tous aptes

Hier matin, dans la froidure et le vent de la Meinau, tous les Strasbourgeois étaient à  pied d'oeuvre. Grégory Paisley, qui se ressentait d'une douleur à  la cuisse depuis le match à  Nîmes (0-2), a pu s'entraîner normalement. Le défenseur n'a juste pas pris part aux exercices de sprint qui ont ponctué la séance. Harlington Shereni et Renaud Cohade, eux aussi ménagés la veille, étaient sur le pré. Côté angevin, la seule contrariété est venue de Ted Lavie, milieu de terrain et habituel remplaçant, qui se ressent d'une gêne aux ischio-jambiers. Quant au défenseur Maxime Josse et à  l'attaquant Serges Deble, en phase de reprise, ils ne seront pas concernés par le déplacement en Alsace. Jean-Louis Garcia pourra donc compter sur tous ses hommes forts

[argueti]

Brunel, danger permanent

À 36 ans, le capitaine d'Angers, en visite ce lundi (20 h 30) à  la Meinau, se voit bien retrouver la Ligue 1. Le poids des ans ne l'atteint pas. La preuve : il a récemment prolongé jusqu'en 2010.

C'était le jeudi 26 juillet 2007. Dans le bus qui les emmenait à  Brest pour la 1re journée de Ligue 2, les Angevins avaient appris la bonne nouvelle : recalés pour raisons financières alors qu'ils avaient conquis sur le terrain leur accession (3e en National la saison précédente), les hommes de Jean-Louis Garcia étaient informés qu'ils étaient finalement acceptés en L 2. Le lendemain, ils s'inclinaient au stade Francis-Le-Blé (1-0). Dix mois plus tard, ils terminaient 10es. Tout juste 20 mois après, les voilà  membres très actifs du club des cinq prétendants à  la montée en L 1. Une ascension fulgurante pour un SCO en passe de renouer avec un glorieux passé. Quinze ans - depuis 1994 - que le club d'Anjou a disparu de l'élite. A l'époque, un certain Philippe Brunel débutait dans la carrière. Arrivé en 2007, l'ancien Lensois, Gueugnonnais, Marseillais, Lillois et Sochalien incarne la renaissance angevine. Lui-même vit une seconde jeunesse. Avec 3 buts et 4 passes décisives, il reste, avec le futur Nancéien Paul Alo'o Efoulou (10 buts, 10 passes décisives), un rouage indispensable d'un club dont il assure le capitanat. « De par son expérience, il est précieux », dit de lui Michel Ettorre, l'entraîneur des gardiens de Lens (ancien du RCS) qui l'a connu en Artois. « En plus, il est encore en pleine santé. Il a des cannes ! » « Après mes deux saisons à  Sochaux, j'étais en contact avec plusieurs clubs de L 2, dont Grenoble et Boulogne, ma ville natale. Mais j'ai senti que le projet porté par le président Willy Bernard, le manager Olivier Pickeu et l'entraîneur Jean-Louis Garcia, était solide », lui fait écho le champion de France 1998 (avec Lens). Après une première saison encourageante, le parcours 2009-2010 du SCO ne fait que conforter son choix. « Le coach nous a demandé de faire mieux, vers les 6e ou 7e places. Avec 8 points lors des 4 premières journées, nous nous sommes peut-être vus un peu trop beaux. Nous avons perdu à  domicile contre Brest (1-2), été battus à  Vannes (0-2), tenus en échec par Nîmes (2-2) et corrigés à  Lens (3-0). Après ces claques, nous avons remis les choses à  plat et sommes repartis de zéro. »

« Angers n'a rien à  envier aux autres »

Le nul vierge qui a suivi contre Troyes (« Nous aurions dû gagner ») préfigure alors la révolte de la semaine d'après contre… Strasbourg (3-0). Avant la réception du RCS, le SCO n'est que 12e. Une série de 14 matches sans défaite - initiée face à  l'ESTAC - plus tard, il émarge au 2e rang. Mais Brest et Vannes vont tous deux le battre pour la 2e fois. Tenus ensuite en échec à  Nîmes, puis contre Lens, les Angevins ne seront pas trop pénalisés par ce surplace (2 points en 4 journées). « Les résultats des autres, pas extraordinaires non plus, nous ont été favorables. Et notre victoire à  Troyes l'autre vendredi (2-1) nous a remis en selle. À tous les niveaux, le club progresse, peut-être plus vite que prévu, c'est vrai. Mais Angers n'a rien à  envier aux autres clubs de L 2. À Strasbourg, nous savons que ce sera difficile. Mais à  11 journées de la fin, nous n'avons plus à  calculer. Si un point à  la Meinau nous irait très bien, nous y viendrons pour prendre les trois. »

Stéphane Godin

[FM17]

"Je ne veux pas passer pour un prétentieux, mais on va à  Strasbourg pour essayer de gagner"...Au moins il assume lui.

[D520]

Racing : témoins de choc

Les trois grands anciens du RCS que sont Yvon Pouliquen, coach de Metz, Michel Ettorre, entraîneur-adjoint de Lens, et Pascal Baills, adjoint de Rolland Courbis à  Montpellier, éclairent les débats avant le duel Strasbourg – Angers de ce lundi (20 h 30).

Ils étaient sur le pont vendredi soir. Tous trois ont raflé des points. Montpellier et Pascal Baills, latéral emblématique du RCS de 1992 à  1995 et depuis deux ans et demi adjoint de Rolland Courbis, ont fini par faire rendre grâce au Stade brestois de Gérald Baticle et Corentin Martins (3-2). Metz et Yvon Pouliquen, Strasbourgeois de 1991 à  2001 (comme joueur, puis entraîneur) et coach du club lorrain depuis plus d'un an, s'en sont sortis miraculeusement à  Saint-Symphorien contre Châteauroux (1-0). Lens et Michel Ettorre, entraîneur des gardiens bas-rhinois de janvier 1997 à  juin 2001, aujourd'hui assistant de Jean-Guy Wallemme, ont eu chaud à  Guingamp (0-0). Demain, les trois ex-pensionnaires de la maison bleue seront des observateurs attentifs du sommet de L 2 entre le 5e, Strasbourg, et le 4e, Angers, redescendus de deux crans après l'ouverture de la 28e journée. Le hasard de leur cheminement professionnel veut en effet qu'ils appartiennent au staff des trois rivaux majeurs des Alsaciens et Angevins. «Rival de Strasbourg, moi ? Sûrement pas », sourit Michel Ettorre. « Les Strasbourgeois sont des amis qui, comme nous, vont retrouver la L 1. Depuis le début, j'annonce que mes trois clubs de cÅ“ur, Lens, Metz et Strasbourg, vont remonter. J'espère vraiment que les copains strasbourgeois nous accompagneront.» Au-delà  de ce pronostic osé, les trois ex-Racingmen ne tarissent pas d'éloges sur le SCO d'Angers. « Une belle équipe qui a l'avantage de ne pas avoir la pression sportive et financière des trois relégués de la saison passée. C'est ce qui la rend dangereuse », estime M. Ettorre. Large vainqueur à  l'aller à  Bollaert (3-0), le RCL a failli passer à  la trappe il y a deux semaines en Anjou. « Nous étions menés 2-0 à  la 87e. C'est un exploit d'être revenus dans les arrêts de jeu (2-2). La recette pour battre Angers ? J'ai vu à  la télé l'un des derniers matches du Racing et entendu les sifflets de la Meinau. Il n'est pas normal de conspuer une équipe en course pour l'accession. Pour que Strasbourg terrasse Angers, le public va devoir communier avec ses joueurs. Plus que jamais, le RCS a besoin de soutien. »

Pouliquen : « Il faut les priver de ballons »

Battu 1-0 par le SCO à  Saint-Symphorien, Yvon Pouliquen connaît la clef pour perturber Philippe Brunel et ses partenaires. « Il faut les priver de ballons. Malheureusement, c'est plus facile à  dire qu'à  faire », ironise celui qui n'a jamais trouvé la serrure où introduire le fameux passe. « Angers possède un collectif très intéressant, tant offensivement que défensivement. Pour avoir une chance, il faut l'empêcher de jouer. Après ses 14 matches sans défaite, il a connu un passage à  vide (2 points en 4 journées) dû, à  mon avis, à  la blessure d'Olivier Auriac, élément stabilisateur de l'entrejeu, mais vient de se relancer à  Troyes (2-1). » De Montpellier, Pascal Baills dresse le même constat, lui dont le club est reparti d'Anjou avec un nul 3-3, après avoir concédé le 3e but dans le temps additionnel et égalisé dans la foulée. « Angers n'est pas là  par hasard et a tout : organisation, puissance, technique, bons joueurs et confiance à  revendre. Le Racing devra priver les Angevins de ballons et être très vigilant avec des garçons comme Philippe Brunel ou Paul Alo'o Efoulou. Il a les arguments pour battre Angers, mais va devoir sortir un gros match. C'est la condition indispensable. Angers est tellement bien organisé que c'est un adversaire casse-c… à  jouer. » Dans sa bouche, ce qualificatif un rien trivial a tout d'un compliment. Etrillé à  l'aller à  Jean-Bouin (3-0), le RCS est bien placé pour savoir de quoi parle son ancien joueur.

Stéphane Godin

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[argueti]

Sommet en vue

En accueillant le SCO d'Angers, en match décalé de la 27e journée de Ligue 2, la bande à  Jean-Marc Furlan se consacre à  son premier choc de haut de tableau depuis trois mois.

C'est un irrépressible gimmick de la langue de bois à  la mode football. Il fleurit dans la bouche des joueurs et des techniciens, qu'ils soient concernés par un match complètement anodin ou alors par un rendez-vous d'histoire avec leur sport. Un footeux, en ce début du XXIe siècle, aborde donc « un match après l'autre », se concentre sur « les trois points mis en jeu » et a l'habitude « de ne rien changer dans sa préparation ». Peu importe l'identité de l'adversaire. Le Racing peaufine son premier rendez-vous avec un concurrent direct depuis Noël. Le 22 décembre, le Brésilien de Boulogne, Jonas Brignoni, avait, d'une main dans sa surface, offert un beau cadeau de fin d'année. Le choc de demain soir est guetté par le travers. Mais après s'être coltinés quelques-uns des bonnets d'âne de la classe depuis le 1er janvier pour même être piégés par certains d'entre eux, les Alsaciens ne taisent pas les enjeux du lundi.

« Il y a de l'enjeu, il y aura beaucoup de duels »

Angers a le même nombre de points. Il s'agit de l'emporter pour retrouver le podium. « C'est un concurrent direct qui vient chez nous, c'est un match où il y a de l'enjeu et où il y aura beaucoup de duels », anticipe Franck Dja Djedje, aperçu en forme à  Nîmes et susceptible de conserver sa place de titulaire malgré le retour de Bezzaz (voir par ailleurs). Tout l'effectif strabourgeois ou presque est sur le pont. La pression est montée d'un ton avec les victoires de Metz et Montpellier vendredi. « On regarde les résultats des autres, c'est sûr, mais on prépare le match de notre côté, explique Jean-Alain Fanchone. Tous les matches vont être importants jusqu'à  la fin, mais là , trois points feraient du bien. » Ils feraient surtout mal à  l'adversaire. A la tête d'un bilan négatif face aux quatre équipes qui l'accompagnent dans le haut du panier (deux défaites, un nul, une victoire), le Racing a l'occasion de l'équilibrer. « Si on gagne, ça fera du bien à  la confiance, espère Yassine Bezzaz. Par rapport à  ce type d'échéance, il faut se concentrer sur nous-mêmes. Ça nous motive plus, même s'il restera beaucoup de matches derrière. »

« Le rang de l'adversaire va sans doute réveiller les joueurs »

Il restera des confrontations face à  Metz, Lens et Montpellier notamment, donc d'autres matches qui compteront double. En dépit d'un mini-stage de régénération dans le sud organisé cette semaine, Jean-Marc Furlan garantit qu'il n'a pas « préparé différemment le match ». « Mais le rang de l'adversaire va sans doute réveiller les joueurs et ils seront plus mobilisés, même si c'est inconsciemment », pense le technicien. En tout cas, avec un effectif pléthorique sous la main, et des joueurs en forme ascendante, Furlan espère ne pas vivre la même mésaventure qu'au match aller. Le voyage en terre angevine avait correspondu au premier échec de la saison. « On avait été nul, la ligne d'attaque avait été catastrophique et on avait fait de la figuration défensive », synthétise l'entraîneur. Il n'y a pas lieu d'apparenter l'échec à  un traumatisme insurmontable. Celui concédé à  Reims, le 22 janvier, chez le dernier (4-1), se révèle autrement plus marquant. « Celui-là , il n'est pas passé, considère Jean-Alain Fanchone, tandis que lors du match aller, à  Angers, on avait peut-être fait preuve d'un excès de confiance. » Dans tous les cas, le match du lundi doit confirmer la dynamique récente. « A Grenoble, la saison de la montée, ça n'avait rien à  voir, souligne Franck Dja Djedje. Ici, c'est un objectif fixé. On a à  coeur de bien faire mais il est clair que quand ça se passe mal, c'est compliqué. » Un rechute à  domicile aurait toutes les allures de la vraie tuile. Racing - Angers, c'est un peu plus qu'un match. C'est même franchement un sommet.

Shereni d'entrée

« Il va y avoir des surprises, c'est certain. » Furlan n'a pas révélé l'intégralité de ses intentions quant à  l'équipe alignée lundi. Mais il a d'ores et déjà  tranché sur son axe défensif. Shereni, suspendu à  Nîmes, retrouvera sa place au côté de Pelé.
Paisley, dont la blessure à  la cuisse est résorbée, sera au mieux sur le banc. L'ancien capitaine n'a d'ailleurs pas sa place garantie dans le groupe de 16, puisque la concurrence fait rage. Si Rômulo, toujours en délicatesse avec ses adducteurs, quitte le groupe, Bezzaz devrait retrouver sa place sur le flanc gauche. Il reste à  déterminer qui évoluera en pointe.
L'équipe probable : Cassard - Szelesi, Pelé, Shereni, J.-A. Fanchone - Cohade, Lacour - J. Fanchone, Marcos, Bezzaz - Dja Djedje ou Traoré ou Kébé.

FANCHONE DECLINE. - James Fanchone ne devrait pas honorer sa sélection avec l'équipe « nationale » de Guadeloupe. Convoqué pour un match face à  Caen, programmé le 31 mars, le meilleur buteur du Racing a été invité à  renoncer. Les dirigeants strasbourgeois ne sont guère désireux de mettre en danger leur joueur, la Guadeloupe n'ayant pas une réelle reconnaissance légale aux yeux des instances internationales.

PRECISION. - Dans notre édition d'hier, nous écrivions que le SCO d'Angers avait quitté l'élite en 1981 sans jamais la retrouver. Nous avions omis l'accession en 1992-1993, qui s'était soldée par un retour express à  la case départ.

François Namur

[Keating]

Pour un match au sommet, je pense que Paisley serait capable de se remobiliser à  fond, et serait important pour bloquer Alo'o Efoulou, sa vivacité risque de bien bien gêner Shéréni ... J'espère me tromper, mais je vois ça gros comme une maison ...

[FM17]

Je serai finalement avec mes cousins à  la Meinau...je passerai sans doute vous voir à  la mi temps mais départ sur Molsheim dès fin du match

[télésupporteur]

Pour un match au sommet, je pense que Paisley serait capable de se remobiliser à  fond, et serait important pour bloquer Alo'o Efoulou, sa vivacité risque de bien bien gêner Shéréni ... J'espère me tromper, mais je vois ça gros comme une maison ...

je pense plutôt que shereni va lui mettre un tampon en début de match pour calmer d'éventuelles velleités

[Keating]

C'est bien le style oui ... J'espère que ça ne nous coutera pas trop cher ...