 
 t'aurai pu lui glisser l'adresse du forum dans le colis , facteur amateur
 
   
  
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DNA a écrit :Le retour du guerrier
Absent des terrains depuis la mi-novembre, Harlington Shereni devrait être sur la pelouse de Reims, vendredi. Le milieu de terrain zimbabwéen apparaît regénéré après une parenthèse africaine.
Il a eu beau encaisser une amplitude thermique de 40°C, il a eu beau mettre fin à une parenthèse de six semaines à soigner une cuisse gauche douloureuse puis à encaisser, vendredi, un coup sur le pied qui l'enquiquine depuis, Harlington Shereni ne doute pas. Il est prêt à en découdre et reprendre le fil de ses aventures strasbourgeoises. Des 33° de Harare, aux « -10, -7 ou -3 de Strasbourg », il y a un monde. « On s'habitue vite, rassure-t-il, sur le pont depuis la reprise du 31 décembre. Je vis ma 11e saison en Europe, j'ai pris l'habitude de ces changements. » Et Jean-Claude Thiry, le préparateur physique du Racing, le garantit.
«On va repartir de l'avant»
Le Shereni est affûté. Il a donc eu droit à un départ anticipé vers son Zimbabwé natal début décembre et a pu encaisser sans souci le voyage de 20 heures au programme, avec escale obligatoire à Johannesbourg. Le retour au pays a visiblement fait son effet. L'ancien de Guingamp et de Nantes a retrouvé pendant quelques semaines sa famille. Il a effectué l'une de ses deux plongées annuelles vers ses racines. Et cela peut se doubler de quelques avantages. « Franchement, j'ai pu travailler physiquement, dans des conditions plus faciles qu'ici, souligne le joueur au 13 matches de championnat et 3 buts sous le maillot du Racing. Et je suis convaincu qu'avec le Racing, avec le retour des blessés, avec l'arrivée de Boubacar Kébé, étant donné que l'on a préservé une deuxième place après une période difficile, on va repartir de l'avant. »
« Je suis prêt »
A ses yeux, une trêve en pente douce dans la chronologie, assez intense dans le contenu, est susceptible d'assurer au Racing un nouvel envol. « On ne peut pas être heureux d'avoir été éliminé de la coupe de France, mais il y a aussi des avantages, souligne-t-il. On peut être focalisé à 100 % sur le championnat. En tout cas, moi, je suis prêt. » Et quelques images aperçues durant les fêtes l'ont sans doute convaincu de repartir au combat avec tout son mordant. « La vie au Zimbabwé est compliquée, explique-t-il sans s'apitoyer. Quand je rentre, j'achète des choses pour la famille, dans le sens élargi du terme. Cette année, il fallait des médicaments. On ne dispose pas de tout là -bas. » Il restera évasif sur l'épidémie choléra qui a pu intéresser les médias, se refuse à brosser un tableau apocalyptique - peut-être complètement erroné - de son pays et se contente d'apprécier sa situation. « Dans mon rapport au Zimbabwé, je suis dans une certaine routine, je rentre deux fois par an, détaille-t-il. Et je vais désormais décliner la sélection parce que le voyage est trop fatigant. Ensuite, j'ai la chance de faire un métier qui me permet d'aider. » Il dit ça serein, lucide et amusé. Heureux qui comme Shereni, juste avant l'hiver, a fait un long voyage de Strasbourg à Harare et en est revenu rétabli.
François Namur

Il est fragile ou quoi lui ? Pourtant il a pas l'air comme ça ....Selon les Dernières Nouvelles d'Alsace, Harlington Shereni est forfait pour le déplacement de Strasbourg à Bastia pour le compte de la 22e journée de Ligue 2. A peine de retour de blessure, l'ancien Nantais souffre d'une tendinite au tendon rotulien.







DNA a écrit :Shereni rechute
Même s'il n'était pas concerné par le déplacement à Nîmes, en raison d'une suspension, Harlington Shereni inquiète le staff alsacien. Le Zimbabwéen se plaint d'une douleur au genou. A peine revenu à son meilleur niveau après deux mois plombés par les blessures, Harlington Shereni pourrait rejoindre l'infirmerie pour un bout de temps. « Le ménisque externe semble touché, il doit passer une IRM dans les 48 heures », explique Jean-Marc Furlan. Le coach alsacien se serait bien passé de cette nouvelle contrariété, lui qui est déjà privé d'Emil Gargorov, touché à la cuisse et absent jusqu'à la fin du mois. Sans parler de Bezzaz, suspendu demain à Nîmes. « A chaque fois que l'on est engagé dans une série probante, on perd des joueurs, déplore Furlan. Il faudra certainement s'y résoudre jusqu'en fin de saison. » A noter que le Brésilien Rômulo, l'une des quatre recrues hivernales, se ressent d'une gêne aux adducteurs.


 
 