Hein, combien???
Jean-Pierre Papin
- lolo
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Combien de ces "grandes" entreprises sont réellement alsaciennes, avec un siège social en Alsace et toute la liberté et l'autonomie financière pour se lancer dans une telle action?
Hein, combien???
Hein, combien???
Je refuse d'admettre que l'humanité soit si tragiquement vouée à la nuit privée d'étoiles du racisme et de la guerre, que l'aube brillante de la paix et de la fraternité ne puisse jamais poindre.
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télésupporteur
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Ben en gros Steelcase et Ancel...le premier c'est fait, le deuxieme il me semble qu'il y a déja eu rapprochement...lolo a écrit :Combien de ces "grandes" entreprises sont réellement alsaciennes, avec un siège social en Alsace et toute la liberté et l'autonomie financière pour se lancer dans une telle action?
Hein, combien???
Apres les autres je vois pas
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baskath
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Il y a aussi le Crédit Mutuel, mais ce genre de sponsor ne rentre pas dans leur politique : ils préfèrent sponsoriser les fêtes et équipes de villages.
C'est une politique qui se respecte tout autant.
En revanche, avec l'arrivée de Herzog, je m'étais dit que peut-être le Crédit Mutuel pourrait un jour ou l'autre s'intéresser au Racing... mais finalement je ne pense pas que ce soit le cas.
C'est une politique qui se respecte tout autant.
En revanche, avec l'arrivée de Herzog, je m'étais dit que peut-être le Crédit Mutuel pourrait un jour ou l'autre s'intéresser au Racing... mais finalement je ne pense pas que ce soit le cas.
- vaevictis
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Herzog maurice?? Celui qui c'est jeler (edit geler) les miches a + de 8000? 
edit : bon je resiste a l'edit pour que tout le monde en profite bien
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edit : bon je resiste a l'edit pour que tout le monde en profite bien
Modifié en dernier par vaevictis le 7 juin 2007 17:41, modifié 1 fois.
DU FOIN POUR NOS VACHES LE BERRY INDEPENDANT!!!
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L'Alsace a écrit :«JPP victime d'une intrigue»
Le principal représentant de Jean-Pierre Papin rompt le silence. Alexandre Wacker apporte quelques vérités qui éclairent d'une lumière nouvelle la curieuse rupture qui se négocie depuis le début de la semaine.
Depuis quelques jours, les dirigeants du Racing et les représentants de Jean-Pierre Papin négocient une solution pour aboutir à un départ de l'entraîneur. Quelle est votre position sur le sujet ?
On parle de négociations en cours. Mais qu'y a-t-il à négocier ? Les intérêts de Jean-Pierre sont défendus par ses avocats. Si la partie adverse souhaite une solution à l'amiable, encore faudrait-il un motif valable pour se séparer de l'entraîneur.
La rencontre intervenue avec Gervais Martel, au lendemain de la confirmation de Papin comme entraîneur, a semble-t-il mis le feu aux poudres.
Il faut rétablir la vérité concernant cette rencontre. Tout d'abord, il faut savoir que Jean-Pierre rencontre beaucoup de gens. On est allé à Manchester United tous les deux, on a croisé Franz Beckenbauer à Munich. Est-ce que cela signifie qu'il va remplacer Alex Ferguson ou entraîner le Bayern de Munich la saison prochaine ? Ensuite, il ne faut pas le prendre pour un idiot. Quand un entraîneur est contacté par un club, il en informe son président. Cela a été le cas. Francis Collado, le directeur administratif et financier de Lens, a appelé Philippe Ginestet pour lui faire part de la volonté de Gervais Marel (ndlr : le président lensois) de rencontrer Jean-Pierre Papin. Et il a eu l'autorisation de son président. Je vous le garantis.
On imagine toutefois qu'un tel rendez-vous n'était pas innocent alors que Lens cherchait un successeur à Francis Gillot, son entraîneur démissionnaire…
Je n'ai pas participé à cette rencontre et la discussion n'a porté en aucun cas sur la saison 2007-2008. Sur des perspectives à plus long terme, sur le foot en général, je ne l'exclus pas. Mais pour la saison à venir absolument pas. Jean-Pierre Papin a signé un contrat de deux ans. On lui avait demandé de remonter en deux ans, sachant que si la montée n'était pas acquise au bout d'une saison, il y aurait une vague de licenciements dans les bureaux. Il vivait avec cette pression et était très sensible à la dimension sociale de sa fonction. Ensuite, il comptait respecter son contrat et se préparait à réaliser une saison honorable avec des moyens limités. Au final, ce qu'on lui fait, c'est une énorme saloperie. Il est la victime d'une intrigue. Et ceux qui l'ont organisé devront prendre leurs responsabilités.
Pour quelles autres raisons le président aurait-il le désir de changer d'entraîneur ?
Le problème viendrait plutôt de gens qu'il aurait eu la volonté d'écarter à Strasbourg. Ce n'est pas un jugement, c'est un constat. On retrouve au club des gens qui ont eu des problèmes et qui ont coulé d'autres clubs dans le passé. Et ils font la même chose au Racing, ils ont souhaité le départ de Papin dès le mois de décembre. Dans l'urgence, avec la nécessité de faire remonter le Racing, il convenait de ne pas trop s'appesantir sur le sujet. Mais maintenant, il y a ce résultat. Cela me rend triste pour le public et tous les gens qui aiment ce club. Mais par rapport à des épisodes assez hallucinants, on a des faits, on a des preuves. Et cela risque d'être terrible. Par rapport à l'intérêt du club, c'est une folie, ça n'a pas de sens. On écarte l'entraîneur qui a permis au Racing de remonter. Cela va coûter de l'argent et de la crédibilité à ce club. Alors que Papin, partout où il est passé, il peut repasser.
Quelles sont les perspectives que vous envisagez ?
Jusqu'à preuve du contraire, on peut toujours revenir en arrière. Et Jean-Pierre espère un revirement. Sa famille est très bien en Alsace. Et puis, avec Didier Deschamps et Gérard Houllier, il pourra toujours participer à l'association des entraîneurs qui ont réalisé les objectifs mais n'ont pas été conservés.
François Namur
L'Alsace a écrit :Une solution en fin de semaine ?
Même si un revirement n'est pas exclu dans le camp de l'entraîneur sur le départ depuis le début de semaine (lire par ailleurs), les négociations se poursuivent pour aboutir à une solution, « sans doute demain matin » (ndlr : aujourd'hui), à en croire Jean-Luc Hertzog, le directeur général du Racing. « JPP » devrait être à Strasbourg samedi matin. Concernant le dossier de son successeur désigné, Jean-Marc Furlan, il ne devrait pas être bouclé officiellement avant la fin de semaine prochaine, puisque l'ancien technicien de Troyes en aura alors fini avec ses vacances.
Avis de lecteurs :
Le Racing toujours malade
P.P. de Colmar : « Je ne connais pas grand-chose au monde du football, mais, étant alsacien, j'observe depuis des décennies le Racing Strasbourg du coin de l'Å“il. Pour dire les choses comme je les "vois de la fenêtre", ce club, qui aurait des atouts pour rivaliser avec les grandes équipes européennes, est, chroniquement, malade de ses dissensions internes. Combien d'investisseurs, d'entraîneurs et de joueurs ont fini par jeter l'éponge […]. Quant à JPP, moi je lui tire mon chapeau. Il a réalisé en un an, avec peu de moyens, l'objectif qu'on lui avait fixé en deux ans. Mais le ver est dans le fruit. »
JPP mercenaire ?
Se. S. : « Si JPP est un homme au grand cÅ“ur, il tient bien deux langages. Dès janvier, il se mettait sur le marché pour remplacer d'éventuels démis, tout en revendiquant travailler dans l'intérêt du Racing. Il se retrouve bien à l'image de certains mercenaires du foot, se vendant au plus offrant, mais il a tout juste prouvé qu'il savait faire remonter le Racing en L1 avec un effectif de L1. Avec le plus gros budget de L2, il finit laborieusement 3e. S'il a transmis sa hargne et son grand cÅ“ur dans le vestiaire, il y a jeté un certain trouble dans la gestion humaine et cela rejaillit aujourd'hui sur sa manière malheureuse d'affronter l'avenir avec des moyens limités. Il voulait faire grandir le Racing, mais il ne sortira pas grandi de ces événements. »

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