Jean-Pierre Papin

[NéRiK]

Il se rapprocherait de son nord natal. Ca sent le départ. Quel enfoiré quand meme!!

[vaevictis]

tatatatata JPP sera en enfoire si il se casse, pour l'instant c'est un proces d'intention.

[argueti]

Oui mais comment peut-on en avoir confiance en lui (je parle meme pas des joueurs) quand on lit de tels rumeurs ?

[Its_me]

C'est clair que là  il perd franchement toute crédibilité.

[EDES]

Mais gagne en toute crétinité !!!

[Darthsheep]

Hey les bourreaux, renguainez vos haches...depuis le début, JPP affirme qu'il sera Strasbourgeois la saison prochaine. C'est un peu facile de l'affubler de tous les maux juste parce que les médias balancent des infos qui ne sont mêmes pas prouvées !

Attendons de voir ce qui se passe réellement au lieux d'organiser un linchage injustifié...


Mais si cela peut vous amuser, à  ce moment prenez en compte toutes les infos et le fait notamment que Ginestet ai soit disant prospecté auprés de Furlan...si vous étiez entraineur...cela ne vous donnerait pas des envies de voir ailleurs, parce que niveau coup de pute ce serait quand même pas mal et cela s'est déja vu pas plus tard que l'an dernier alors...

WAIT AND SEE

[EDES]

Normal que Ginestet prospecte ailleurs avec toutes les conneries que JPP a pu raconter. Mais, une fois, JPP reconduit, basta, alors que patator ...

[Manu]

Football / Papin vers la porte de sortie, Furlan tout proche

L'inévitable divorce

Philippe Ginestet est dos au mur. Après avoir essuyé une nouvelle ruade de son entraîneur, en contact avec Lens, le président est obligé de jouer cartes sur table. Aujourd'hui, le contre s'annonce cinglant. Papin va être débarqué. Furlan devrait être intronisé.

Hier, c'était la fête des mamans. Philippe Ginestet n'avait pas l'intention de gâcher ce jour dédié à  la famille. L'homme s'est donc tu, ravalant sa rancoeur et contenant une colère froide qui lavait rongée la veille.
« Je préfère garder la tête froide, analyser la situation et agir lundi », s'est-il contenté de dire en serrant très fort les dents. C'est que, cette fois, il n'est plus question de « petits réglages » et « d'ajustements » entre deux hommes qui sont tenus « par une relation étroite. » Les beaux discours, servis avec emphase ces dernières semaines, volent en éclats. Comme nous l'écrivions dans ces mêmes colonnes mardi dernier, l'affaire n'est pas aussi simple que les deux principaux acteurs ont bien voulu la présenter à  des observateurs parfois crédules.

« Moi, on me prête des rendez-vous avec tout le monde »

Sinon, comment expliquer que Papin se soit assis à  la table d'un dirigeant lensois, vendredi à  Paris, alors que son cher « prési » avait juré ses grands dieux 24 heures plus tôt que l'aventure commune allait continuer ?
Impossible de connaître la réponse auprès de l'intéressé , pourtant incorrigible bavard quand il s'est agi d'élargir ses prérogatives à  Strasbourg, mais qui a fait voeu de silence depuis le début des vacances.
Côté Sang et Or, où la succession de Francis Gillot est ouverte, on ne se montre guère plus loquace. Gervais Martel, joint hier matin, feint même l'ignorance. « Moi, on me prête des rendez-vous avec tout le monde, s'étonne celui qui aurait reçu samedi Didier Deschamps. Je n'ai rien à  dire à  ce sujet, si ce n'est que Papin devrait à  mon sens encore entraîner Strasbourg l'an prochain. En ce qui nous concerne, rien ne presse. Les choses commencent seulement à  se décanter. »

Une seconde dérobade semble peu probable

Si JPP n'a, en effet, pas dîné avec le président lensois, il se serait en revanche entretenu avec le directeur général de l'autre Racing, en l'occurrence Francis Collado. Ce qui, côté strasbourgeois, ne change pas grand-chose. En mangeant du pain artésien, JPP a trahi la cause. Et porté un sérieux coup à  la crédibilité de son président. Celui-ci a déjà  lâché beaucoup de lest, parfois contre l'avis de son cercle restreint de conseillers, pour convaincre Papin d'honorer sa dernière année de contrat. Les voeux de JPP quant au recrutement ont été reconsidérés, les hommes « gênants » (Khirat, Thiry) écartés, le deuxième adjoint, censé apporter cette expérience qui fait défaut, n'a pas été imposé. Une seconde dérobade devant les « extravagances » de JPP semble donc improbable. A moins de considérer que le président soit machiavélique et laisse sciemment pourrir une situation de toute façon mal engagée, c'est aujourd'hui Papin qui endosse les responsabilités d'une rupture imminente.

Furlan donne sa priorité au Racing

Celui qui estimait, quelques heures après que son nom fut scandé à  la Meinau par une foule en transe, « être allé trop vite pour certains » en ramenant le Racing en Ligue 1 va être invité à  s'en aller par la porte dérobée. Ne reste plus qu'à  soigner la forme, une séparation à  l'amiable valant mieux qu'un bras de fer judiciaire aux prud'hommes, avec un argumentaire de licenciement pour faute grave à  la clé. L'hypothèse Jean-Marc Furlan, chère au président et déjà  évoquée la semaine dernière, est plus que jamais d'actualité, les deux hommes se seraient en effet mis d'accord hier. L'ex-entraîneur de Troyes, également pressenti du côté du Mans, dit ainsi aujourd'hui «donner (sa) priorité au Racing.» Contrairement au club de la Sarthe, Strasbourg semble disposé à  l'accueillir avec ses adjoints, Nourredine Bouachera et Zakaria Alaoui. Un argument décisif a priori.Bref, on en revient au même point que la semaine dernière avec Papin sur le départ et Furlan tout proche de la Meinau. Cette fois, Ginestet et Papin ne pourront plus mentir comme des arracheurs de dents, sur le faux air de « il n'y a jamais eu de problèmes entre nous. » Cartes sur table messieurs.

Sébastien Keller

[mérinos]

Cool !

[Notelpats]

C'est marrant, Nourredine Bouachera dans FM il devient sélectionneur de l'EDF après que Raymond se fasse jarter