[06/07] 37ème J: Strasbourg / Metz : 2-1
- lolo
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Presque: à Metz...Manu a écrit :Au bois de boulogne ?lolo a écrit :Ah merde, on n'a pas le droit de dire que les messins sont des enc.....???Manu a écrit :ça change de celui de Metz...![]()
Rigolez, vous savez où je vais, ce w-e???? Allez, devinez...![]()
Je refuse d'admettre que l'humanité soit si tragiquement vouée à la nuit privée d'étoiles du racisme et de la guerre, que l'aube brillante de la paix et de la fraternité ne puisse jamais poindre.
						- argueti
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L'Alsace a écrit :Les « frères ennemis »
Strasbourg et Metz, qui s'affrontent demain (20 h) à la Meinau pour un derby qui ne sera pas que de prestige, tirent dans la même catégorie. Relégués ensemble l'an passé, ils remonteront peut-être de concert cette saison.
La scène se déroule vendredi après-midi, à quelques heures de Metz – Gueugnon. L'entraîneur des gardiens du FC Metz, Michel Ettorre, qui fut aussi celui des portiers du Racing de janvier 1997 à juin 2001, reçoit chez lui les deux recruteurs strasbourgeois, Pierre Ginestet et Jacky Canosi, pour partager une tasse de café. Canosi, revenu en 1996 à Strasbourg après en être parti en 1987 (comme joueur à l'époque), entretient de solides liens d'amitié avec celui que Jacky Duguépéroux avait appelé à ses côtés en janvier 1997. Pierre Ginestet, lui, a appris à connaître Ettorre au cours de leurs prospections en France et à l'étranger, à la recherche de la perle rare. Fidèle adjoint de Joël Muller, ce dernier ne l'est plus de son successeur aux manettes du FC Metz, Francis de Taddeo. « Je travaille avec lui la semaine — dans un parfait respect mutuel — mais je ne me déplace plus avec l'équipe, ni ne prends place sur le banc. Pour occuper mes week-ends, alors que je n'y étais pas obligé, je me suis mis à disposition de Joël (directeur sportif cette saison) et du club pour aller voir des matches et observer des joueurs. Mais je n'ai pas la prétention d'être recruteur. Je donne juste un avis technique. C'est comme ça que j'ai fait la connaissance de Pierre. Nous nous sommes croisés. La première fois, ce devait être au Standard de Liège. J'aime les gens passionnés, qui aiment leur club et croient en ce qu'ils font. On a tout de suite sympathisé. Quant à Jacky, c'est un ami de longue date. » Pierre Ginestet retourne le compliment au gardien double vainqueur de la Coupe de France avec Metz (1984 et 1988). « On se rencontre en effet régulièrement sur les stades, en France, en Belgique ou en Suisse. Il a laissé une très belle image au Racing. J'apprécie par-dessus tout sa fidélité. À Lens, quand Joël Muller a été remercié, on lui a proposé de rester. Il a préféré rester… fidèle à son ami et partir. On m'a raconté l'anecdote. Lui s'est bien gardé de le faire. Sans le connaître vraiment, j'apprécie le bonhomme. »
Ettorre : « J'ai hâte de revoir le Racing en L 1 »
De là à se faire des confidences, il y a tout de même une marge. Car sur le terrain comme dans le recrutement, le Racing et Metz, déjà champion de L 2 et assuré de l'accession, marchent sur les platebandes du voisin. « Quand Jacky et Pierre sont venus vendredi voir Metz - Gueugnon (1-2), je n'ai pas eu l'indélicatesse de leur demander qui ils étaient venus observer », assure Ettorre. « Il existe une rivalité, une concurrence plutôt, entre nous », ne dément pas Pierre Ginestet. « Entre joueurs libres et à fort potentiel, on est sur les mêmes créneaux. » Demain, Michel Ettorre se déplacera à la Meinau en compagnie de Joël Muller. « J'ai toujours autant de plaisir à revoir mes amis strasbourgeois et j'ai surtout hâte de les revoir en L 1. Je souhaite que nous jouions l'an prochain les trois derbies de l'Est contre Sochaux, Nancy et Strasbourg. Metz reste sur deux défaites, mais je vous garantis que nos joueurs seront branchés derby. Sans chercher d'excuses, je crois qu'ils y pensaient déjà contre Grenoble. » Pierre Ginestet n'en doute pas. « Avant Grenoble, les Messins se sont consacrés durant quinze jours à un lourd travail foncier pour préparer la Ligue 1 C'est une démarche intelligente, parce qu'on sait que le début de saison est toujours primordial, surtout pour une équipe qui monte. Face à Grenoble, les Messins ont joué le coup à fond. Ils m'ont juste paru émoussés. Ce ne sera pas le cas à la Meinau. »
Strasser choisit le silence
Averti à Bastia vendredi, Jeff Strasser, sous le coup d'une suspension avec sursis, a cru un moment qu'il purgerait vendredi contre son club formateur. Mais l'international luxembourgeois ne passera en commission en discipline que ce jeudi et manquera le dernier rendez-vous 2006-2007 le vendredi 25 mai à Dijon. Le défenseur strasbourgeois a néanmoins choisi de se murer dans le silence. Par superstition. « Je m'étais exprimé avant le derby aller et ça ne nous avait pas réussi (défaite 4-1 du RCS à Saint-Symphorien). Je préfère les actes du terrain aux paroles. »
Un feu d'artifice pour la montée
Pour ne pas être pris de court, les dirigeants du Racing ont prévu de fêter l'éventuelle accession en Ligue 1 par un grand feu d'artifice qui… ne sera évidemment pas tiré si la montée n'est pas assurée vendredi soir. Le club demande à ses supporters de se rendre à la Meinau vêtus de bleu et blanc.20 000 drapeaux aux couleurs du RCS seront distribués à l'entrée et des ateliers maquillage installés un peu partout dans le stade.
L'expo du centenaire joue les prolongations
L'exposition du centenaire, proposée l'automne dernier à la Meinau par les supporters du RCS, fera étape le samedi 26 mai, au lendemain de l'ultime match de la saison à Dijon, au restaurant « Quick » de la Vigie, au Sud de Strasbourg, de 12 à 19 h. Certains des panneaux présentés il y a quelques mois seront exposés, tout comme des trophées, des maillots et la maquette du stade. Yacine Abdessadki passera dans l'après-midi pour une séance de dédicaces.
Stéphane Godin
- argueti
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DNA a écrit :Johansen, l'âme revêche
A Strasbourg, Pascal Johansen a tout vécu : les heures de gloire, les descentes, les montées. Joueur talentueux, l'homme est pourtant difficile à cerner. Tentative d'explications, à quelques heures du sommet contre Metz qu'il peut marquer de son empreinte.
La lueur. Elle ne trompe pas, celle-là . Son regard est certes toujours aussi sombre, mais la petite flamme qui y crépite marque une différence franche. Pascal Johansen est en éveil. A l'affût, même. Comme une bête sauvage prête à bondir sur sa proie. A quelques heures du grand événement, « Pagalou » revit. Et puis surtout, le Colmarien parle. Ce n'est pas banal, ça. Fuyant, bougon, grognon, grincheux, renfrogné : quand il s'agit de cerner le caractère du petit Colmarien, les qualificatifs ne manquent pas. Ce garçon-là est atypique, assurément. « Incompris », même, comme il le souligne avec force.
« Pas de problème, que des non-dit »
Depuis que le gamin a posé son baluchon au Racing, à l'âge de 18 ans, sa vie est tout sauf un long fleuve tranquille. Le talent, l'un des plus affirmés de sa génération, n'est pas remis en cause. Sa première apparition chez les pros, un dimanche de janvier 2000 à ... Metz, donne d'ailleurs le ton. En dépit d'un physique gracile, on lui promet un avenir doré. « Quand tu es formé au club et que tu éclos, le public te considère d'habitude comme un chouchou, explique-t-il. Pour moi, ça n'a jamais été le cas. Pourtant, j'ai participé à la première remontée, en 2001, j'ai gagné une Coupe de France et une Coupe de la Ligue et je suis encore là cette année... » Hormis son crochet chaotique à Marseille - « quand tu as 23 ans et qu'Alain Perrin t'appelle, tu ne peux pas refuser » -, Johansen a pourtant toujours rappelé son « attachement au club. » D'abord revenu à Strasbourg sous forme de prêt puis définitivement (re)transféré la saison passée, sur l'insistance de Marc Keller - « lui, c'est la famille » -, l'ex-international espoirs décide ainsi de relever le défi de la Ligue 2. Jean-Pierre Papin, qui le considère en début de saison comme « un vrai joueur de Ligue 1 », se passe pourtant rapidement de ses services. Enquiquiné par de petits pépins physiques, Johansen s'enfonce alors dans le mutisme. Jusqu'au clash, qui survient en décembre dernier à la veille du match... à Metz. Alors que le joueur traîne les pieds à l'entraînement, le staff l'exclut et ne compte plus sur lui. « On a essayé de me brader, je voulais rester, poursuit-il. A un moment, on a tellement voulu me faire partir que j'ai décidé de ne pas bouger. Si j'avais été plus jeune, j'aurais pété les plombs. A 28 ans, tu connais le métier. Je savais que ça allait finir par tourner. » Début février, en effet, le nom de Johansen réapparaît sur les feuilles de match. Pour ne plus les quitter. Sur le flanc gauche de l'entrejeu, il s'impose naturellement, sans heurts ni bruit. Les différends s'aplanissent aussitôt. « Avec Papin, il n'y a jamais eu de problème de fond, juste des non-dit », lâche-t-il.
« Metz, ça doit être mon club fétiche »
Ses déboires ne l'ont pas désarçonné, mais plutôt renforcé. A l'heure d'aborder le match décisif de la saison, il a une faim de loup. « C'est Metz en face, ça va être un gros match, celui, peut-être, de la montée. C'est un triple événement. Et même plus, en ce qui me concerne... » Avant d'ajouter, en évoquant son but, au demeurant magnifique, inscrit contre cette même équipe l'an dernier : « Metz, ça doit être mon club fétiche. » La lueur est toujours aussi intense, mais elle réfléchit désormais la malice. Ce garçon est peut-être à part, il n'en reste pas moins précieux.
Sébastien Keller
« Que la passion l'emporte »
Le FC Metz et le Racing sont les deux clubs de coeur de Michel Ettorre. Confidences autour d'un derby propice à rouvrir l'album souvenirs...
« Je peux vous assurer que les Messins attendent avec impatience ce derby, confie Michel Ettorre, l'entraîneur des gardiens du FCM lorrain. Bien sûr, il y a eu un relâchement à Ajaccio et face à Grenoble, mais il intervenait aussi après une série de six victoires d'affilée, dont les deux dernières à Amiens et chez nous contre Le Havre. Alors comment leur en faire le reproche après la saison quasi-idéale qu'ils ont fournie ? Et puis comptez sur cette culture de la gagne que Francis de Taddeo a inculqué cette saison pour empêcher toute démobilisation messine. »
« Le Racing travaille sur la durée »
Le décor est donc planté. Depuis le début de semaine, le téléphone de Michel Ettorre n'arrête pas de chauffer et la connexion Strasbourg-Metz est à saturation. « J'ai gardé beaucoup d'amis en Alsace et je n'oublie surtout pas que c'est le Racing qui a redonné à bouffer à ma famille en venant me chercher. » C'était fin décembre 1996, alors que le double vainqueur de la Coupe de France 1984 et 88 était libre de tout engagement. Puis en mai 2001, Michel Ettorre quitte l'Alsace pour rejoindre Joël Muller à Lens. « On sent que quelque chose est en train de se passer à Strasbourg, dit celui qui a tout de même connu cinq entraîneurs en 53 mois à la Meinau (1). Le président Ginestet travaille sur la durée et la stabilité. Je suis persuadé que le Racing va retrouver la place qu'il mérite en Ligue 1. » L'entraîneur des gardiens du FC Metz n'a d'ailleurs jamais rompu le fil avec une partie du staff strasbourgeois, puisqu'il a également pour mission de superviser des matches et des joueurs. « Je tourne pas mal à l'étranger et j'y croise parfois Pierre Ginestet ou Jacky Canosi. Mais attention, je ne suis pas recruteur, je donne un avis et c'est tout. C'est une mission passionnante que j'ai acceptée pour rendre service au club. Mais vendredi, pas question de voyager. Je serai dans les tribunes de la Meinau. De toute façon, je n'aurais manqué ce match pour rien au monde. »
« Alex, c'est mon frangin, un vrai gentleman »
Indépendamment de la course à la montée, Michel Ettorre s'attend à une grosse réaction strasbourgeoise. « Les joueurs, le staff, les dirigeants et les supporters strasbourgeois ont tous été blessés par l'ampleur du score (4-1) au match aller. Certes, la victoire du FC Metz ne souffrait d'aucune discussion, mais l'expulsion injuste de Deroff a précipité les choses et pipé les dés. Tout ce que je souhaite c'est que ce derby se dispute dans un parfait esprit, surtout côtés tribunes. Il faut éviter tout débordement qui gâcherait la fête. Ça peut être chaud, tout en restant convivial. » Et celui qui fut le gardien du temple lors de la victoire historique du FC Metz à Barcelone (4-1) en Coupe d'Europe 84 avec les Sonor, Barraja, Rohr, Kurbos, Bocandé, se réjouit de retrouver Vencel. « Alex, c'est mon frangin ! Un vrai gentleman comme il n'en existe plus beaucoup dans le football. Et puis je croiserai avec plaisir Stéphane Cassard que j'avais failli faire venir à Lens. En compagnie de Christophe Marichez (le gardien du FCM), ils sont nommés aux Oscars de l'UNFP. C'est mille fois mérité ! Voilà deux joueurs que je cite souvent en exemple à la jeune génération, car ils ne se prennent pas pour ce qu'ils ne sont pas. »
« J'étais le plus râleur »
Après 34 ans dans le professionnalisme, Michel Ettorre n'a rien perdu de son feu sacré. « On se lève chaque matin, on s'entraîne chaque jour pour disputer de tels matches. L'excitation, la passion, c'est cela qui nous fait vibrer », ajoute-t-il avant de picorer à nouveau dans l'album souvenirs du Racing. « Tiens, c'est comme au tarot. Je me souviens de parties mémorables avec Pouliquen et Max Hild. J'étais le plus râleur et il est arrivé qu'on se jette les cartes à la figure... » Demain, l'entraîneur des gardiens sera dans les tribunes de la Meinau. « Avec la chair de poule en voyant ce stade plein et en me disant que la saison prochaine on en aura encore des derbies à jouer contre Nancy, Sochaux et.... le Racing ».
Patrick Schwertz
Quel engouement !
DU MONDE. - Une bonne cinquantaine de personnes ont assisté hier au dernier entraînement en public du Racing avant le match face à Metz. Beaucoup de journalistes avaient aussi fait le déplacement, dont une équipe de télévision venue d'Egypte pour réaliser un reportage sur Abou, de retour au sein du groupe.
ENGOUEMENT. - « On a encore eu énormément de demandes de places », expliquait hier matin Philippe Ginestet. Sûr que le match face à Metz provoque la fièvre et un marché parallèle lucratif de billets. Sur certains sites internet de vente aux enchères, des places assises pour le match se négociaient hier environ 60 €, soit plus du double du prix initial.
MON BEAU MAILLOT. - JPP n'a pas dérogé à la règle hier matin et l'entraînement s'est terminé par le traditionnel « trophée du couillon ». Cette fois, il s'agissait pour les joueurs de placer une frappe à ras de terre d'une quinzaine de mètres. La balle devant ensuite finir sa course dans un cerceau. Hervé Tum et Joao Paulo se sont montrés les plus rapides à conclure. Moins de réussite pour Nicolas Puydebois, qui a terminé le dernier récupérant le « maillot du couillon ». « C'est la deuxième fois », a indiqué Nico, avec le sourire.
EN DEUX. - JPP avait scindé en deux groupes son effectif hier. Sur le premier terrain, gardiens de buts, défenseurs et récupérateurs ont travaillé spécifiquement avec Sébastien Migné. Sur l'autre terrain, JPP a mis en place un travail de répétition devant le but destiné aux attaquants et aux milieux offensifs.
ESPIONNITE. - Pas de mise en place hier en fin de séance comme JPP en a l'habitude. Par peur d'être espionné ? Une hypothèse pas si extravagante, puisque le président Ginestet s'inquiétait d'avoir vu une voiture immatriculée « 60 » sur le parking. « C'est pas du côté d'Amiens ça ? », a même demandé le président. Il a vite été rassuré : il s'agissait en fait de la voiture de location... de la télé égyptienne venue voir Abou.
« Pas que l'enjeu tue le jeu »
Bernard Casoni sera le premier supporter du Racing demain soir à la Meinau. « Si Strasbourg monte on récupère des sous et, croyez-moi, on en a bien besoin (Bastia toucherait en effet 150 000 € dans le cadre du transfert de Camadini si le Racing rejoint la L1). Les Alsaciens ne sont plus qu'à une marche du paradis et toute la région est en ébullition. Pour moi, il n'y a pas de problème, ils y seront. Derrière, Caen est en meilleure posture qu'Amiens, mais on avait bien bougé ces deux équipes lors de nos matches de championnat. Je penche quand même pour le Stade Malherbe qui pratique du beau jeu. » Mais pour l'entraîneur bastiais, il faut aussi tenir compte des impondérables de fin de saison. « C'est difficile de gagner les derniers matches, car tout s'accumule : la fatigue, les blessures, la pression, le mental qui fait parfois défaut. A la Meinau, il ne faudra pas non plus que l'enjeu tue le jeu. Et le fait que Strasbourg l'emporte souvent en fin de match est à l'image de son entraîneur qui ne lâche rien. Il ne faut pas être jaloux des clubs qui réussissent mais plutôt en tirer les leçons. »
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				joe0067
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place a vendre..
Si sa peus intéréssé quelqu'un j'ai quatre place a vendre pour le match de demain strasbourg - metz !! Ces 4 place sont situées dans la tribune EST HAUTE, secteur F, rang F ! 20€ chacune !! 
Pour les achetés envoyé moi un e-mail sur l'adresse suivant:
rcs-fan@hotmail.fr !!
 
  
  dépechez-vous  
  
  
  
			
			
									
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allé racing!!! STRASBOURGEOIS pour toujours !!!! a fond pr le RCS !
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C'est un étudiant, donc ils les a eu en 1/2 tarifsraphou96 a écrit :manquerai plus que tu les ai acheté demi tarifs![]()
C'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches. Victor Hugo
Être riche, c'est avoir suffisamment de nourriture pour toute l'année Paysan Népalais
Tout ce qu'ils veulent c'est une France qui ferme sa gueule Dub Inc
						Être riche, c'est avoir suffisamment de nourriture pour toute l'année Paysan Népalais
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- Bou
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bon ma femme vient de me dire d'aller au match plutot que de rester a la maison le regarder... pas de bol ma place habituelle est deja prise par quelqu'un d'autre... 
donc si qq'un a 1 billet, suis preneur..
a defaut, un bar ou d'autres regarderont le match fera l'affaire
			
			
									
									donc si qq'un a 1 billet, suis preneur..
a defaut, un bar ou d'autres regarderont le match fera l'affaire
Je vais te manger !!!  (pompompom....)
						
                
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