[06/07] 17ème J: Brest / Strasbourg : 1-1

L'actualité du Racing en championnat
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NéRiK
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Message par NéRiK »

On verra bien, je suis pas contre. On partira en contre attaque et il s'agira de bien placer nos offensives et ne pas louper trop d'occaz. Bon j'aurais aussi préférer Gameiro que Tum mais espérons que toutes l'équipe se bouge demain pacque prendre des points est tres importants en ce moment, sous peine de se faire distancer... :?
Mieux vaut se taire et passer pour un con que de l'ouvrir et prouver qu'on en est un
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urotsukidogi
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Message par urotsukidogi »

Une chose tout de même, la dernière organisation un minimum originale qu'on ait connue a explosé en 20 minutes avec la sortie de Loué et notre remontée formidable à  2-2.....
30/10/09 Ca y est le racing est en national
06/01/10 Euh c'est peut être la CFA
Mais heureusement sur FM 2010, on peut jouer de la CFA (même CFA 2, les gars on peut faire mieux!!)
Bon ça y est les conneries sont finies on est en L1!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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argueti
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Message par argueti »

DNA a écrit :Transversale périlleuse

C'est un Racing amoindri, donc privé de certitudes, qui s'en va, ce soir, chercher fortune dans la rade de Brest. La prudence et la circonspection guident toutefois ses pas. On n'est jamais à  l'abri d'un gros coup de vent.
« C'est un match à  la con. » En une phrase, succincte et crue, Jean-Pierre Papin résume assez bien la situation. Ce soir, à  l'autre extrémité de la France, le Racing aura tout à  perdre et, fatalement, pas grand chose à  gagner.


En temps normal, pourtant, ce déplacement chez l'uns des « soi-disant petits » de cette Ligue 2 aurait certainement inspiré, de manière positive, l'entraîneur des Bleus. Là , pourtant, on sent poindre une once de tourment dans l'esprit d'un homme qui, jusque-là , n'a pas laissé le doute prendre racine. Ce n'est pas la treizième victoire de l'infatigable leader messin, hier après-midi - 2-0 contre Ajaccio - qui mine son moral.

« Je crains ce déplacement, que j'aborde avec précaution »

« On peut s'attendre à  se casser les dents sur une équipe typée Ligue 2, précise-t-il. Ça va être pareil qu'à  Gueugnon ou à  Créteil. On y a certes gagné, mais ces équipes nous ont posé de gros problèmes. Je crains ce déplacement, que j'aborde avec beaucoup de précaution. » Même s'il s'en défend, JPP est surtout tracassé par le visage de son équipe. Celle-ci, en tout cas, est inédite. Les absences de Strasser et d'Abdessadki risquent de l'altérer. « Notre point fort, c'est de pouvoir compter sur un effectif important, tempère-t-il. Contrairement à  d'autres, on est en mesure de pallier les blessures et les suspensions. » Le Racing ne disposant pas d'une profondeur de banc comparable à  celle de Chelsea ou du Barça, les changements ne peuvent intervenir sans réajustements. A Francis Le Blé, Papin est même prêt à  délaisser son traditionnel système de jeu, quitte à  s'asseoir sur le gain du match. « Un nul, ça m'irait très bien », disait-il vendredi. C'est donc, sauf remaniement de dernière minute, une formation à  vocation fortement défensive - une ligne de cinq devant le gardien Cassard, avec les retours conjugués de Devaux et d'Ekobo - qui tâchera de ne pas rentrer bredouille. Refroidis par l'expérience rémoise (2-0), l'autre mardi, les Strasbourgeois ont compris qu'il valait parfois mieux verrouiller l'accès à  leur but plutôt que de se dégarnir en voulant coûte que coûte titiller le gardien adverse.

La montée se nourrit de ce genre de « match à  la con »

Sûr qu'une nouvelle défaite hors de la Meinau - la troisième après Amiens et Reims -, ferait tache dans le paysage. « Quoi qu'il arrive, on restera sur le podium », ajoute Papin. Une maigre consolation, quand on sait que le souffle de Dijon, quatrième à  égalité de points, chatouille la nuque alsacienne et que, devant, Metz et Caen mènent grand train.
En dépit des absents, de la part d'inconnu et des vents contraires - rafales à  70 km/h -, le Racing cultive l'optimisme. « L'issue du match contre Libourne (deux buts dans le dernier quart d'heure pour une victoire à  l'arraché, 2-1) dénote notre état d'esprit, martèle Papin. La mentalité est positive, l'ambiance excellente. Ce succès n'a fait que renforcer ces mots. » Dans la difficulté de cette transversale est-ouest, il s'agira de resserrer encore un peu plus les rangs. C'est que la montée se nourrit impérativement de ce genre de « match à  la con. »

La tactique du hérisson

Contrarié par l'absence de deux « cadres » de son équipe, Jean-Pierre Papin a été contraint de revoir ses plans. Demain soir, à  Brest, une équipe et un système inédits devraient être échafaudés. Entre audace et tentation sécuritaire, il s'agit de trouver le bon compromis. « Même si Dijon a gagné, un point, ça m'irait très bien. » On a connu Jean-Pierre Papin plus conquérant. Hier matin, au sortir de la séance d'entraînement, l'entraîneur du Racing se voulait surtout pragmatique. Les résultats de la veille, et notamment la victoire des Dijonnais aux dépens du Havre (2-1) - ce qui leur permet de revenir à  la hauteur du Racing, avec 32 points - ne l'inquiètent pas trop. Son souci immédiat concerne plus la composition de son équipe, amenée à  affronter Brest, demain à  l'autre bout de la France.

La « bande des quatre » se muera en « club des cinq »

Jusque-là , JPP a toujours pu compter sur l'apport de son capitaine, Yacine Abdessadki, et de son patron de la défense, Jeff Strasser, arrivé fin août. Mais demain, les deux « cadres » resteront bien au chaud devant leur poste de télévision. Le premier est en délicatesse avec sa cuisse gauche, le second purge son match de suspension. Plutôt que de les remplacer poste pour poste - ce qui, pour Abdessadki, posait un réel problème puisque Johansen est lui aussi suspendu -, le staff alsacien a décidé de jouer la carte de l'inédit. Quitte à  bouleverser les grands équilibres d'une équipe qui s'est installée sur le podium de cette L2.
Partant du principe que pour ramener le point du match nul, mieux valait ne pas encaisser de but, Papin a décidé de renforcer sa défense. La « bande des quatre » se muera, l'espace d'une soirée, en « club des cinq ».
Si Deroff et l'Egyptien Abou occuperont les deux couloirs, l'axe central sera composé de trois unités. Aux côtés de Bellaïd, Jean-Christophe Devaux et Eugène Ekobo feront la paire. « Il n'y pas un libero et deux stoppeurs attitrés, précise JPP. Ils sont trois derrière, peu importe dans quel ordre. » Titulaire en début de saison, un Ekobo plutôt fébrile a perdu sa place au moment où Strasser a rejoint les rangs du Racing. Depuis, l'ex-Cristolien s'est contenté d'expédients, avec deux titularisations - en l'absence de Lacour contre Le Havre et de Bellaïd face à  Istres -, et de quelques bouts de match. Devaux, lui, n'a pas disputé la moindre minute cette saison. En proie à  de récurrents soucis physiques, « Jeannot » n'est plus réapparu depuis... mai dernier et le baisser de rideau à  Auxerre.
« Il revient bien et pourra bientôt titiller les titulaires », disait Sébastien Migné, l'adjoint de Papin, au lendemain de la victoire contre Libourne.

« Amener de la puissance à  l'arrière et de la vivacité devant »

Devant ce rideau défensif, l'indissociable doublette Cohade - Lacour officiera à  la récupération. Quant à  l'animation offensive, elle échoira à  un trident fait de Rangelov, Tum et Mouloungui. Ce qui, au final, débouche sur un dispositif en « 5-2-3 » en lieu et place de l'immuable « 4-4-2 ».
« Le but, c'est d'amener de la puissance à  l'arrière et de la vivacité devant, ajoute l'entraîneur strasbourgeois. On a des joueurs capables de garder le ballon et d'autres, comme Deroff ou Abou, qui peuvent le porter rapidement vers l'avant. » En résumé, Papin espère remettre au goût du jour la vieille tactique du hérisson. Au besoin, le Racing saura faire le dos rond, tout en profitant des quelques ouvertures pour placer des piques tranchantes. C'est que dans l'esprit, JPP ne peut se résoudre à  jouer le match nul. « Si on gagne, on comptera huit points d'avance sur le cinquième (Grenoble). On a six matches avant la fin de l'année. Ça serait bien de tous les gagner ! » Chassez le naturel, il revient au galop.

Sébastien Keller
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argueti
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Message par argueti »

L'Alsace a écrit :Le Racing à  pieds secs ?

Ce soir (20 h 30) sur Eurosport en clôture de la 17e journée de Ligue 2, le Racing tentera de ne pas se noyer en rade de Brest, dans un match qui sent le guet-apens à  plein nez.

Dans son langage souvent fleuri, Jean-Pierre Papin s'est laissé aller samedi à  une « papinade » verbale pour résumer la dure réalité des rudes joutes de Ligue 2 : « Ce déplacement à  Brest, c'est un match à  la c… » Comprenons-nous bien cependant : le Ballon d'Or 1991 ne cherchait nullement à  dévaloriser le club breton. Au contraire. « C'est un match que je crains. Je n'aime pas jouer ces soi-disant « petits » clubs. Brest est une équipe typique de L 2, comme Gueugnon ou Libourne Saint-Seurin. » La méfiance de l'ex-international est d'autant moins de façade qu'entre Niort (2-2 après avoir été mené 2-0), Tours (0-0), Créteil (2-0 après avoir été malmené une mi-temps) ou Gueugnon (1-0 après s'être fait bouger), le Racing n'a jamais écrasé les équipes de seconde moitié de tableau dans leur jardin. Du coup, JPP va même jusqu'à  avancer « qu'un point (lui) irait très bien », même si Dijon, vainqueur vendredi du Havre (2-1), est revenu à  hauteur du RCS à  la 3e place. « Bien sûr que j'espère en prendre trois », corrige tout de même l'entraîneur bas-rhinois, « Les gars sont conscients du coup qu'il y a à  faire. En gagnant, nous repousserions le 5e à  huit longueurs. Il y a quelque temps, on parlait encore d'un championnat à  8 ou 9 équipes. Il pourrait se résumer à  4 ou 5. »

Janin : « Le Racing s'est mis en route »

De Brest, l'ex-gardien, puis entraîneur des portiers du Racing, Pascal Janin, qui exerce les mêmes fonctions en Bretagne, a suivi la progression de son ancien club depuis le début de saison. « J'ai été un peu inquiet pour lui les premières semaines. Mais depuis, la machine s'est mise en route. Pour un groupe nouveau et un entraîneur, Jean-Pierre Papin, novice à  ce niveau, il a juste fallu besoin d'un peu de temps, notamment pour digérer la pression liée à  l'objectif impératif de la remontée immédiate. Ce temps d'adaptation n'a pas été si long. Avant l'échec à  Reims (2-0), le Racing restait sur une impressionnante série de 12 matches sans défaite. J'entends dire que Strasbourg ne joue pas toujours très bien. Mais la Ligue 2, c'est ça. Ce qui compte, c'est de prendre des points et de finir dans les trois premiers. Si le Racing évolue en 2007-2008 en L 1, ce que je lui souhaite, tout le monde aura oublié les matches médiocres de L 2. » Toutes proportions gardées et à  l'autre bout du classement, la mise en route du Stade brestois a elle aussi été délicate. Après 4 défaites et 4 nuls, l'équipe de Thierry Goudet a dû patienter jusqu'à  la 9e journée pour signer sa première victoire. Depuis, elle redresse la barre et n'a perdu que 2 de ses 11 dernières rencontres (6 nuls, 3 succès). «L'équipe a connu un gros doute au début », reconnaît Janin, « Puis notre série de six matches sans revers, dont cinq nuls – c'est vrai -, nous a prouvé que nous pouvions être plus solides défensivement. C'est la base pour se maintenir. Ça va mieux, mais nous ne sommes encore sûrs de rien. En fait, nous sommes capables du très bien et du très médiocre. De gagner au Havre en y faisant notre meilleur match (1-0), mais aussi de l'emporter contre le cours du jeu huit jours plus tôt à  domicile contre Niort (1-0). Nous n'avons pas la stabilité des grandes équipes. Notre rythme d'un point par journée est en tout cas insuffisant pour nous maintenir. » Bref, si l'un se contenterait d'un point, l'autre ne s'en satisferait pas. En dépit du classement respectif des deux antagonistes, ce dernier n'est pas celui que l'on croit.

Quel capitaine en rade ?

Yacine Abdessadki absent, Jean-Pierre Papin n'avait pas désigné hier soir le capitaine du vaisseau bleu supposé ne pas rester en rade à  Brest ce soir, en l'absence de vice-capitaine nommément désigné. « J'en parlerai avec le staff ce lundi matin », indique le technicien bas-rhinois, « ça se jouera entre les hommes d'expérience que sont Yves Deroff, Jean-Christophe Devaux et Stéphane Cassard. » Comme indiqué dans notre édition d'hier, JPP expérimentera en Bretagne un schéma inédit, avec une charnière centrale à  trois têtes (Devaux, Bellaïd et Ekobo), deux latéraux (Abou et Deroff) censés apporter le surnombre sur leurs flancs respectifs, l'immuable tandem récupérateur Lacour – Cohade et un trident offensif composé de Rangelov, Tum et Mouloungui. Hier matin, le Bulgare a quelque peu écourté l'entraînement après avoir reçu un coup sur la malléole droite. Le Bulgare, annoncé comme titulaire pour la première fois depuis le déplacement à  Ajaccio fin septembre, devrait cependant tenir sa place. Du côté du stade Francis Le Blé, le public breton ronchonne. Le Stade brestois, dernier après cinq journées (4 défaites et 1 nul), a beau être sorti de la zone de relégation, ses supporters s'impatientent. D'autant que le premier relégable talonne ses favoris à  un point. « Ici, l'attente est grande », souligne Pascal Janin, « Tout le monde parle du Stade brestois, même quand les gens ne se déplacent pas au stade, à  l'instar de ce qui se passe en Alsace avec le Racing. Brest est un club qui se reconstruit et souffre du poids de son histoire, un peu comme Strasbourg. Après avoir souffert l'an dernier (17e), nous pensions gravir un étage cette saison et nous installer dans la première moitié du tableau. Mais notre entame catastrophique nous a amenés à  revoir nos ambitions à  la baisse. Nous aimerions juste emprunter le chemin du maintien, en attendant mieux. Car après 15 ans où le club est tombé très bas, le but, à  terme, est de retrouver la L 1. »

Stéphane Godin
ZITELLI
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Message par ZITELLI »

Curieux de voir ce que cette formation va donner. :arrow:
L'homme de la vallée
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Message par L'homme de la vallée »

La formation me laisse pour le moins perplexe...
- C'est pas parce qu'on à rien à dire qu'il faut la fermer
- Et vous vous en pensez quoi ?
- Moi ? Oh rien..
anonix
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Message par anonix »

Ca va être vide de chez vide au milieu de terrain... Je sais pas si c'est une bonne idée... w8 & see :roll:
télésupporteur
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Message par télésupporteur »

si le racing joue en 3-4-3, c.à .d avec 3 arrières en ligne, il aura le surnombre en milieu de terrain
s'il joue avec un libéro, tu auras raison, le racing ne pourra que contrer
maintenant si le racing craint le tonnerre de brest, c'est tintin :lol:
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NéRiK
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Message par NéRiK »

Eux jouent avec un attaquant et nous avec 5 defenseurs. S'il arrive à  marquer c'est vraiment qu'il y a un probleme. :roll:
Mieux vaut se taire et passer pour un con que de l'ouvrir et prouver qu'on en est un
popus cornus
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Message par popus cornus »

objectif : ne pas perdre !!!
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