FC Sochaux-Montbéliard
- Pinon
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N'empeche que Menez c'est un sacré blaireau ...
Vous avez le nombre d'occasions que Sochaux rate parce qu'il prefere se la jouer perso et pas faire une passe ! Incroyable ...
Vous avez le nombre d'occasions que Sochaux rate parce qu'il prefere se la jouer perso et pas faire une passe ! Incroyable ...
Modifié en dernier par argueti le 19 févr. 2006 12:41, modifié 1 fois.
L'histoire est en marche ...
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Manu
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Actuellement Sochaux méne 2-0 à Nancy...

Remember les critiques : viewtopic.php?t=1269&postdays=0&postorder=asc&start=90dagano aussi plante a sochaux 6 but deja.. comparé a gmandia ou nemeth..
- argueti
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L'Alsace a écrit :Bonal blanc: on ne joue pas!
Même chauffée, bâchée, puis déneigée par les stadiers dans l'après-midi, la pelouse du stade Bonal n'a pu résister à l'assaut des flocons. La décision logique de reporter hier Sochaux - Bordeaux n'a souffert aucune contestation.
Le sourire jusqu'aux oreilles, Guy Roux tâte Bonal du bout de ses bottes fourrées. Un ou deux pas, sans plus. Pas besoin de tergiverser pour comprendre ce que va décider l'arbitre de la rencontre, M. Colombo, quelques minutes plus tard. Alors, l'ancien coach de l'AJ Auxerre relève la tête et son bonnet, puis balance d'un air amusé: «De toute façon, vous savez, j'ai mis cinq heures et demi pour venir d'Auxerre, alors je ne suis plus à ça prêt! Allez, je vais reprendre le volant maintenant, car il faut que je voie la CFA demain. Là , c'est impossible de jouer au foot». Pas besoin d'être devin, en effet, pour imaginer la décision finale de l'homme en noir. Depuis 13h, les stadiers tentent, tant bien que mal, d'ôter l'épaisse couverture blanche avec leurs quelques pelles. Et les flocons recouvrent presque instantanément le gazon de Bonal.
Demi-tour pour les médaillés olympiques
Alors, aux alentours de 15h15, les officiels ne laissent guère planer le doute. «Là , on est encore sur la bâche ou sur la pelouse?», se questionne le plus sérieusement du monde M. Colombo. L'arbitre n'a besoin que de quelques foulées sur l'aire de jeu, déjà recouverte de cinq bons centimètres, pour délivrer son verdict: «C'est évident, les conditions nécessaires à la pratique du football ne sont pas réunies, commence-t-il tout en scrutant la poudreuse. Pourtant, à Sochaux, c'est une des plus belles pelouses de France, une de celles qui supportent le mieux la neige, mais la météo va en empirant. On a tous envie de jouer un tel match, mais franchement ce serait de l'irrespect pour les spectateurs, les joueurs, les officiels de le maintenir. On ne va pas décider du sort de cette rencontre en jetant une pièce! Alors, à part faire des bonhommes de neige...»
La bâche déchirée
Immédiatement après cette intervention officielle, le FC Sochaux se met en action. Il faut d'abord prévenir les spectateurs du report par le biais des radios, de la télévision et d'internet. Puis estimer rapidement comment gérer toute la nourriture prévue pour le soir même. Un grand gala devait en effet être donné après le match, en compagnie notamment d'«Esso Europe» et des médaillés olympiques. Vincent Defrasne, Florence Baverel-Robert et Julien Robert, justement, se trouvent déjà à Baume-les-Dames quand Jean-Claude Plessis leur annonce la mauvaise nouvelle. Et sont bons pour un demi-tour express! Christian Peugeot et Nicolas de Tavernost (président de M6), qui avaient prévu d'assister à la rencontre, sont, eux, bloqués dans un petit aérodrome au milieu de nulle part! Au coeur de l'agitation, le président sochalien trouve tout de même le temps de commenter cette journée particulière: «On ne pouvait rien faire, constate-t-il fataliste. La neige n'arrête pas, c'est d'ailleurs le seul cas de figure qui peut entraîner un report sur notre stade. C'est dommage car ç'aurait pu être une belle fête. Financièrement, c'est une opération coûteuse, sans compter qu'une diffusion sur Canal + est toujours appréciable. Enfin, ce n'est pas grave; nos supporters n'auraient même pas pu nous rejoindre». Hier soir encore, on ne savait toujours pas quand ces derniers allaient assister à ce Sochaux - Bordeaux. Si le prochain week-end libéré renvoie au 22-23 avril, date de la finale de la Coupe de la Ligue, il est plus probable que la LFP reprogramme la rencontre avant cette échéance, en semaine. Finalement, la grande perdante de cette journée mémorable restera en tout cas la bâche du stade Bonal. Déchirée partiellement suite au passage d'un mini-tracteur, elle aura bien du mal à protéger le gazon si la neige poursuit son incroyable offensive...
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