[Ex] Mickaël Pagis
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Dites on aurait pas construit la meinau sur un ancien cimetière indien? (pour changer du chat noir)
30/10/09 Ca y est le racing est en national
06/01/10 Euh c'est peut être la CFA
Mais heureusement sur FM 2010, on peut jouer de la CFA (même CFA 2, les gars on peut faire mieux!!)
Bon ça y est les conneries sont finies on est en L1!!!!!!!!!!!!!!!!!!
06/01/10 Euh c'est peut être la CFA
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Pour les DNA c'est surement grave, pour l'Alsace moins ... esperonsL'Alsace a écrit :« En retombant, Micka s'est bloqué le dos et la hanche et a ainsi provoqué des tensions sur le muscle psoas. Mais ce ne devrait pas être trop méchant. Nous verrons demain (ce lundi) s'il n'y a pas de lésion musculaire, ce qui m'étonnerait. Si tout va bien, c'est l'histoire de deux ou trois jours. »
L'histoire est en marche ...
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SO a écrit :Pagis: « Ne pas abdiquer »
Muet devant le but depuis le 18 septembre et le match face à Lens (1-1), Mickaël Pagis a, enfin, retrouvé le chemin des filets, dimanche à Nantes. Un doublé au goût amer puisque le Racing ne s'est, malgré ça, pas imposé. Une défaite qui est dure à digérer pour l'attaquant strasbourgeois et ses coéquipiers.
Mais, dit-il, il ne faut pas baisser les bras maintenant. Il croit encore au maintien.
Quel goût vous laisse cette défaite ? Est-ce la plus dure à encaisser de la saison ?
C'est la plus dure à vivre, oui. Nous étions tout proches de la victoire. En plus, la manière était là , nous avions inscrit trois buts, nous menions deux fois au score. C'est dur à avaler. Quand on voit la seconde mi-temps, on se dit que l'on a manqué de métier. Nous aurions dû fermer la boutique.
Aviez-vous déjà vécu un tel scénario dans votre carrière ?
Je n'ai pas souvenir. En tout cas, c'est dur à vivre. Encore plus dans notre situation.
Comment s'est déroulé le retour sur Strasbourg ?
Comme d'habitude après chaque défaite. Là , il y avait de l'énervement mêlé à de la tristesse. Mais nous avons un championnat à jouer et nous devons encore lutter. Il ne faut pas abdiquer maintenant.
« C'est encore jouable »
Le maintien est-il compromis après cette défaite ?
Le maintien est compromis depuis un moment. Mais, mathématiquement, il est réalisable. Nous nous devons de défendre les couleurs du club pour ne pas sombrer.
Le groupe y croit-il encore ?
Bien sûr. Il est trop tôt pour être résigné. C'est encore jouable. A Nantes, nous avons quand même fourni un bon match, avec de la qualité, même si cela n'est pas suffisant, apparemment. Le point positif, aussi, est d'avoir marqué à nouveau. Inscrire trois buts est encourageant.
A titre personnel, avant votre blessure, vous aviez inscrit deux buts.
Oui, dont un penalty, situation qui n'est jamais évidente à aborder. Ca m'a fait du bien, ce doublé. Je manquais de réussite depuis un moment. J'espère que je vais continuer sur cette voie-là .
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Le pauvre petitMickaël Pagis a choisi de rendre son brassard de capitaine jusqu'à la fin de la saison, vexé de n'avoir pas été selectionné pour le match face à Rome. Guillaume Lacour assurera le capitanat jusqu'à la fin de la saison. [20 Minutes]
C'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches. Victor Hugo
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Tout ce qu'ils veulent c'est une France qui ferme sa gueule Dub Inc
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Foot 365 a écrit :« Ne pas se voir trop beaux »
Soulagé après la première victoire de Strasbourg en championnat, Mickaël Pagis garde malgré tout les pieds sur terre. L'attaquant alsacien a conscience de la situation délicate du Racing et ils espèrent que les prochains rendez-vous permettront de confirmer ce succès en Lorraine.
Mickaël Pagis, votre entraîneur Jacky Duguépéroux annonçait à chaud que cela faisait bizarre de gagner. Avez-vous cette impression après cette première victoire face à Nancy ?
Nous attendions cela depuis un moment et c'est clair que nous étions tous contents après le match, même si notre situation est toujours la même. Dire constamment que nous n'avions toujours pas gagné un match en championnat était un peu pesant. Là , c'est fait et cela nous permet surtout de rester dans la course au maintien.
Cette première victoire vous procure-t-elle un gros soulagement ou une vraie lueur d'espoir ?
Un peu des deux. C'est un soulagement car nous n'entendrons plus que nous n'avons toujours pas gagné. En même temps, nous savions qu'il fallait absolument gagner deux matchs sur nos trois derniers. Nous en avons gagné un, il faudra maintenant confirmer contre Marseille.
Sentiez-vous venir ce succès ?
Nous développons du beau football et il n'y a aucune équipe dans ce championnat qui joue autant que nous. Le match de Nantes nous a beaucoup servi. Depuis un moment, nous nous disions qu'il fallait se servir des matchs passés et peut-être changer notre style de jeu à partir du moment où nous menions. Contre Nancy, la prise de conscience s'est faite sentir. Il y a donc des lueurs d'espoir mais il faudra être encore plus forts pendant pas mal de temps.
« Au fond de nous, nous avions des doutes »
En quoi a consisté ce changement de jeu contre Nancy ?
Nous nous étions rendus compte à Nantes qu'en continuant à jouer, cela nous avait fait du mal. A Nancy, à partir du moment où nous avons mené, nous avons décidé de ne plus jouer et de préserver notre but d'avance. Ce n'était pas très académique : nous avons envoyé les ballons devant et dans les tribunes mais nous sommes contents car à l'arrivée, nous sommes récompensés. Beaucoup d'équipes le font et si cela passe par là , il faudra le refaire.
Lorsque vous avez ouvert la marque sur penalty samedi, vous ne deviez plus oser croire à une victoire au coup de sifflet final vu ce qu'il s'était passé à Nantes ?
Mener au score était déjà une bonne chose et c'est pour cela qu'il était important que je mette ce penalty. Après, nous nous sommes tous mis dans la tête qu'il fallait beaucoup donner pour garder cet avantage. Car c'est vrai qu'au fond de nous, nous avions des doutes.
Ces doutes sont-il aujourd'hui levés ?
Pas entièrement. Disons que nous nous sommes rendus compte que nous pouvions adapter notre jeu par rapport à la situation du match. Il faudra se rappeler de cela pour les matchs futurs.
« Nous sommes toujours dans la même situation »
Aviez-vous l'impression depuis le terrain qu'il y avait un Strasbourg réaliste, version Coupe de l'UEFA, et un autre plus laborieux, version championnat ?
Non, il n'y avait pas deux visages différents. Nous avons toujours attaqué les matchs pour les gagner. En Coupe d'Europe, c'est clair que cela a bien marché. Maintenant, le championnat de France est d'un niveau beaucoup plus élevé que les équipes que nous avons rencontrées en Coupe d'Europe. C'est aussi en partie grâce à cela que nous sommes arrivés à faire ce parcours européen.
Avec Marseille et Lyon pour prochains adversaires, l'occasion pour Strasbourg de s'étalonner est inespérée...
Les gros morceaux arrivent, c'est clair. Nous savons que ce n'est pas parce que nous venons de gagner là que cela va devenir plus facile ensuite. Nous avons juste un peu plus de certitudes : nous savons désormais que nous pouvons gagner. Et le faire à Nancy n'était pas évident. Cela nous tenait à cÅ“ur de stopper la spirale dans laquelle nous étions. Il fallait absolument le faire avant la trêve.
Etes-vous un homme satisfait aujourd'hui ?
J'apprécie aujourd'hui mais il ne faut pas non plus se voir trop beaux. Car nous sommes toujours dans la même situation.
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