[05/06] 6ème J: Paris / RCS - 1/0

[fan_racing]

C'est surtout sa capacité dans les 25 derniers mètres qui m'inquiètent.

[NéRiK]

Je l'avais complètement oublié celui là . Lors des matchs amicaux il avait pourtant fait plutôt bonne impression ... et depuis plus rien. Il aurait peut être mieux valu le prêter ... parce que j'ai la sensation qu'on est un peu en train de lui faire perdre son temps.

...et notre temps aussi.

[FM17]

A ce soir peut ^tre pour certains, bonne route ou bonne chance comme ceux qui partent bosser comme...euh moi là 
Tchuss

[urotsukidogi]

Voilà  une compo bien surprenante:
Source L'equipe.fr:

PARIS SG : Letizi - B. Mendy, Rozehnal, Yepes, Ateba - Mbami - Landrin, Dhorasoo, Rothen - Kalou, Pauleta
STRASBOURG : Cassard - Lacour, Kanté, Haggui, Boka - Diané, Hosni, Si. Keita, Johansen - P. Farnerud - Gmamdia

Je sais pas trop, Pontus seul devant en organisateur, faudra voir si c'est bien la compo!!

[Stan]

Ca reste hyper costaud quand même côté parigo..

[lolo]

Un pari à  tenir

A Paris, là  où il ne s'est jamais imposé face au PSG, le Racing commence son marathon de matches et un mois de septembre très important. Actuel 17e du classement, il court toujours après sa première victoire de la saison en Ligue 1.

« On joue trop à  coup sûr alors que la prise de risque est essentielle à  30 mètres du but adverse. Là , la réponse appartient à  mes joueurs », soupire Jacky Duguépéroux. Trop prévisible, pas assez tourmenté pour ses adversaires, le jeu strasbourgeois a tendance à  se mordre la queue ces derniers temps.
Le Racing a bien grappillé deux de ses trois points lors des deux dernières rencontres, mais il piétine à  force de ne plus savoir être dangereux. D'où le couplet -presque une rengaine désormais- du coach strasbourgeois comme quoi « une organisation, ça ne veut rien dire. Seul le mouvement compte et l'anime. C'est ça qui conditionne le collectif. »
Et là , on ne peut qu'acquiescer. Et regretter en même temps cet excès de prudence, de retenue, voire ce manque d'idées.

Oser

Donc, ce soir, face à  une équipe parisienne décimée parait-il (il reste toutefois Letizi, Dhorasoo, Landrin, Mendy, Rothen, Semak, Pancrate et Pauleta), les joueurs de Jacky Duguépéroux vont devoir un peu plus oser. Car si cette équipe est prometteuse, généreuse et tout ce qu'on veut, elle est d'abord et surtout en quête d'équilibre. Et de points, donc. « Il faut vite aller vers l'avant », reprend Jacky Duguépéroux.
Et si personne, au sein de l'effectif, ne veut encore douter, on se doute justement que l'impuissance offensive constatée ces dernières semaines ne peut plus trop durer. « Il faut un déclic, une étincelle », disait Salim Arrache mercredi.

Commencer à  se faire peur

Après un début de saison plutôt mal emmanché, même si le calendrier délicat reste une excuse acceptable à  défaut d'être totalement valable, le Racing a quelques semaines, la fin du mois de septembre donc, pour enfin décoller. Et éviter de commencer à  se faire très peur.
Il ne peut plus se contenter de savoir bien défendre, de savoir bien subir aussi. Insuffisant, ça !
L'autre jour, Stéphane Cassard parlait « d'en faire plus individuellement pour élever le collectif » et, raisonnablement, on peut attendre plus de certains des cadres de l'équipe.

La tentation de « Dugué »

A Paris, Jacky Duguépéroux pourrait revoir ses plans, ou plutôt remettre en question quelques-uns de ses joueurs. Par obligation parfois (Devaux, Le Pen et Pagis convalescents), par choix aussi et surtout. Et puis des jeunes comme Gameiro, Bellaid ou Krebs ont répondu aux attentes de leur coach à  Munster, et ont été très visibles tout au long de la semaine lors des séances. La tentation existe.
Quels que soient les joueurs alignés ce soir, il leur faudra pas mal de cran pour résister à  l'envie de réaction des joueurs parisiens après leur déconvenue niçoise.
« On dit qu'une équipe ne gagne jamais deux fois de suite à  domicile. Ce qui est bête, c'est que les Parisiens ont déjà  perdu face à  Nice », termine Jacky Duguépéroux. Ce qui est bête aussi, c'est que les Strasbourgeois sont très rarement sortis souriants du Parc des Princes.

[lolo]

Le poids de l'absence


Handicapé par les absences de Pagis et de Le Pen en attaque, le Racing s'en va à  Paris sans aucune certitude offensive.
LE JOUR DE GMAMDIA ? - Buteur en sélection nationale le week-end dernier, le Tunisien Heikel Gmamdia avait été très très discret, pour ne pas dire inexistant, lors de sa première titularisation face à  Bordeaux (0-0) il y a 15 jours. En l'absence de Pagis à  la pointe de l'attaque, il va devoir assumer son statut de buteur providentiel sans autre forme d'adaptation dès ce soir au Parc. Trop de pression ? C'est le lot des recrues. Surtout en attaque.
OUBLIER NIANG. - Parti au coeur de l'été, Mamadou Niang n'a pas été remplacé. Pas remplacé au sens où les dirigeants strasbourgeois n'ont pas recruté un joueur du même profil que le buffle sénégalais qui s'en allait prendre les espaces et démolir les défenses.
Gmamdia a un tout autre style. Lui, c'est visiblement un buteur, un rôdeur, un chasseur dans la surface. Face à  Bordeaux, les coéquipiers d'un Cassard qui sera promu capitaine tout à  l'heure (c'est le combientième en un peu plus d'un an ?) n'avaient pas su l'utiliser et attendu qu'il parte en profondeur. Tournant finalement en rond comme des âmes en peine. Ce soir, il faudra amener le ballon devant le but. Là  où il est efficace.
SANS LE PEN. - Dans cette configuration-là , l'absence de Le Pen est forcément préjudiciable. Le Breton n'a pas son pareil pour semer la zizanie sur les flancs et mettre le feu aux poudres, percuter et centrer. Arrache possède la qualité de centre nécessaire pour remplir ce rôle à  sa place. A condition qu'il fasse le tri dans son jeu et ne s'échauffe pas la tête tout seul.
Les Strasbourgeois ont d'ailleurs globalement les hommes pour amener vite le ballon dans la surface adverse, que ce soit au Parc ou ailleurs. Arrache donc à  gauche, mais aussi Boka, en permanence branché sur la haute tension. Hosni à  droite maintenant, dont l'explosivité peut surprendre.
L'EXEMPLE NIÇOIS. - Un peu (trop) vite monté sur un piédestal en début de saison après trois victoires de rang, porté par une attaque percutante (la 2e du championnat), le PSG marque le pas. Dans le jeu d'abord où il y a plus d'enthousiasme que de profondeur. Dans les résultats ensuite. Après un nul à  Troyes, les hommes de Fournier se sont inclinés chez eux lors de la dernière journée face à  Nice. Des Niçois simplement solidaires et qui ont cru en leurs chances jusqu'au bout. Exemple à  suivre.

[Pinon]

Pour mon anniv' il pourrait me faire ce petit plaisir que de gagner ENFIN au Parc je ne demande rien d'autre

[Seb T.]

Voilà  une compo bien surprenante:
Source L'equipe.fr:

PARIS SG : Letizi - B. Mendy, Rozehnal, Yepes, Ateba - Mbami - Landrin, Dhorasoo, Rothen - Kalou, Pauleta
STRASBOURG : Cassard - Lacour, Kanté, Haggui, Boka - Diané, Hosni, Si. Keita, Johansen - P. Farnerud - Gmamdia

Je sais pas trop, Pontus seul devant en organisateur, faudra voir si c'est bien la compo!!

Voir évoluer ensemble Pontus-Hosni-Johansen et keita m'excite vraiment... Techniquement, celà  peut aller vite, très vite...

Je me demande, encore une fois, si Diané n'est-il pas l'homme de la situation pour provoquer devant, il peut dépanner sur le côté droit (bon match à  Lyon et match raté à  Metz) mais n'oublions pas qu'il est avant tout un attaquant, sachant que Gmandia est un peu plus axial et renard dans son positionnement (il me fait penser à  Frei par moments), Diané peut être celui qui va beaucoup bouger et percuter sachant qu'il a une qualité de perforation que n'a pas Le Pen...

[Stan]

Pascal Johansen, le milieu de terrain de Strasbourg, touché à  une cuisse, a choisi de déclarer forfait, à  la dernière minute, pour le déplacement au Paris Saint-Germain, samedi, match comptant pour la 6eme journée de Ligue 1.

C'est le troisième forfait dans les rangs strasbourgeois avec ceux des attaquants Ulrich Le Pen (cuisse) et Mickaël Pagis (ménisque).

Source : Foot365.com

Super..