[Ex] Arthur Boka

[Keating]

J'suis bête, j'ai confondu coupe du monde et CAN ... bravo moi

Par contre, faut que Boka aille à  la coupe du monde si on veut faire monter sa valeur !!!!!

[Hans]

Tu éspères déjà  le vendre ou alors c'est juste du fatalisme ?

[Keating]

du fatalisme

[Its_me]

A noter que rien n'est perdu pour la Côte d'Ivoire car c'est justement contre l'Egypte que le Cameroun a perdu son... SEUL match des éliminatoires.

[volvo67]

Je pense que Boka va bien motiver son pote Hosni avant la dernière rencontre des éliminatoires !

[argueti]

Boka: «Nous étions menacés»

Battue 3-2 par le Cameroun, la Côte d'Ivoire a hypothéqué ses chances de qualification pour le Mondial allemand. Samedi, le Parisien Kalou et le Strasbourgeois Boka, partenaires en sélection, seront adversaires au Parc des Princes.

Le ciel est tombé sur la tête des Ivoiriens. Eux qui rêvaient déjà  en Allemand ou presque avant de défier le Cameroun à  Abidjan dimanche lors de l'avant-dernière journée des éliminatoires du Mondial 2006 outre-Rhin ont vécu un cauchemar face aux Lions indomptables. Le Strasbourgeois Boka, le Parisien Bonaventure Kalou, qui s'affronteront ce samedi au Parc des Princes avec leurs clubs respectifs lors de la 6e journée de L 1, et leurs partenaires espéraient entrer dans l'histoire de leur pays. En battant les Camerounais, les hommes d'Henri Michel, sélectionneur chéri avant dimanche, honni depuis, auraient offert à  la Côte d'Ivoire sa première qualification pour une phase finale de Coupe du monde. Même avec un nul, ils auraient abordé en position de force la dernière journée (avec Soudan – Côte d'Ivoire le 7 octobre et Cameroun – Egypte le 9), avec deux points d'avance sur la bande de Samuel Eto'o. Oui, mais voilà  : alors qu'ils avaient fait le plus dur en revenant deux fois au score, Boka et les autres ont vu s'envoler à  la 85e, sur un but de Webo (auteur d'un triplé), un gros morceau de leur visa pour l'Allemagne.

« Ils voulaient brûler notre bus »

Le ciel est donc tombé sur la tête des Elephants, mais aussi du peuple ivoirien (35000 supporters au stade d'Abidjan) qui croyait dur comme fer à  cette première historique. Et la frustration des fans de Drogba et consorts a été proportionnelle à  l'infini espoir qu'avait fait naître leur parcours. Boka, Kalou, Drogba et les autres ont dû rester cloîtrés trois heures dans les vestiaires pour échapper à  la vindicte populaire. « Les supporters étaient très énervés et voulaient brûler le bus des joueurs », raconte le latéral gauche du Racing, revenu mardi en Alsace dans un environnement moins effervescent, « nous étions menacés. Nous avons dû monter dans un car militaire pour rejoindre l'hôtel. Et nous y sommes restés jusqu'à  lundi 17 h, juste avant de rallier l'aéroport. Car autour de l'hôtel, certains étaient encore excités et nous insultaient. Aucun de nous n'a pu voir sa famille. C'était d'une grande tristesse. » Boka et les autres ne l'ont pas encore totalement évacuée, eux qui cherchent toujours à  comprendre. « Nous n'avons jamais cessé d'aller de l'avant, pour marquer ce 3e but qui nous aurait permis d'offrir la qualification à  notre public. Le nul 2-2 était pourtant un résultat favorable. En le gardant, nous restions maîtres de notre destin. Nous sommes fautifs, c'est vrai, mais nous avons fait de notre mieux. A la fin du match, nous nous sommes dit que ça n'aurait jamais dû arriver, que nous aurions dû nous contenter du nul. Mais j'y crois encore. Gagnons au Soudan et je suis persuadé que l'Egypte (avec l'autre Strasbourgeois Hosni) ira faire un résultat au Cameroun. Attendons un miracle. Il peut se produire, j'en ai l'intime conviction. »

« Kalou est un grand joueur »

Star parmi les stars, le Parisien Bonaventure Kalou, dont Boka croisera la route ce samedi au Parc des Princes, a été éreinté par la presse ivoirienne. « Kalou a été très déçu du comportement des gens à  son égard. Ils oublient un peu vite ce qu'il a apporté aux Eléphants et leur réaction n'est pas une manière très juste de le remercier », plaide le latéral gauche du Racing en bon avocat, « C'est un très grand joueur. Il saura surmonter tout ça. Le peuple ivoirien est d'autant plus frustré qu'il se demande pourquoi ? Pourquoi cela tombe-t-il toujours sur la Côte d'Ivoire ? Tout le monde est abattu. Mais il y a un temps pour tout, les bonnes comme les mauvaises choses. Ça ne peut qu'aller mieux. Et pourquoi pas dans un mois ? » En attendant, les Ivoiriens de France, Boka et Kalou en tête, en reviendront ce week-end à  leurs obligations domestiques. « On s'efforce d'oublier », poursuit le petit Strasbourgeois. « Samedi, Kalou devrait régulièrement venir sur mon côté, c'est vrai, mais je sais comment il joue. Je le respecte sans le craindre. C'est un peu mon grand frère. Le Racing a besoin d'un bon résultat à  Paris et lundi, avant de nous quitter, nous nous sommes un peu chambrés. Je lui ai dit que s'il était malheureux après la défaite de la veille contre le Cameroun, j'allais tout faire pour qu'il le soit encore plus samedi. »

[NéRiK]

« Ils voulaient brûler notre bus »

eh ben c'est violent de perdre un match en Afrique.

Le premier qui touche à  Boka je le

[Manu]

Des sauvages. point barre.

[fan_racing]

ouais. une foule d'excités

[Hans]

Il n'y avait pas déjà  eu des incidents du même type avec le Mali ?