[Ex] Nicolas Bonis
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- FUPERMAN
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Bonis est un bon gardien de club. Comme tout gardien, il doit avoir confiance en sa défense. Or, la situation défensive actuelle du Racing, ferait passer un Oliver Kahn pour une chèvre et un Mondragon pour un épouvantail.
Je pense honnêtement que le club peux s'économiser l'achat d'un gardien pour investir la somme dans un défenseur!
Je pense honnêtement que le club peux s'économiser l'achat d'un gardien pour investir la somme dans un défenseur!
- Alex Barotchais
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nen mais c'est clair, vu la situation défensive et la presions qu'il y a en ce moment c'est vraiment pas le moment de lancer un jeune , c'est justement le moment de cassser completement un jeune! franchement vu le contexe dutruel s'en sors vraiment bien!! laissez le travailler un peu l'année prochaine on aura une defense et il sera au top...
anciennement cicouche...
- ngoti12
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tmp
Jéspère que dimanche il va nous sortir un gros match pour qu'enfin on parle de lui et qu'on arrete de chercher des Numéro 1 partout alors qu'on en a un potentiel devant nous qui lui en plus est alsacien!!!!Bonis en attente de décollage
Nicolas Bonis : « Je veux jouer ». Dimanche, ce sera le cas. (Photo DNA)
Il avait joué neuf matches de L1 la saison passée, Nicolas Bonis n'en aura disputé que deux cette saison. Titularisé face à Toulouse ce dimanche, Nicolas Bonis veut enfin décoller et placer son nom en haut de l'affiche.
Quand on lui dit qu'il est le seul gardien du Racing à ne pas s'être baladé au fond de ses filets cette saison, le visage de Nicolas Bonis s'éclaire d'un léger sourire, à peine une éclaircie. « C'est vrai, je n'ai pas pris de but. Mais, surtout, je n'ai pas beaucoup joué. La saison passée, j'avais disputé neuf matches. »
Et c'est vrai que sa fiche de stats n'est pas des plus frétillantes cette saison. S'il a participé à quelque 170 séances, s'il a aussi fréquenté l'infirmerie à cause d'un genou capricieux, il n'aura passé que 90 minutes sur un terrain de Ligue 1. « Ça a été une saison très difficile pour moi », acquiesce le jeune Alsacien.
Rester simple
Son match joué, c'était à Ajaccio le 14 février. Ce jour-là , Richard Dutruel blessé à une cote et Vincent Fernandez victime d'une gastro-entérite le matin du match, Nicolas Bonis avait enfin eu sa chance. « J'avais réalisé un match correct. J'avais suivi les conseils de Pascal Janin, il m'avait demandé de rester simple, d'être concentré », explique le natif de Wissembourg.
Depuis, il est soit troisième, soit deuxième gardien. Comme avant Ajaccio. Toujours en réserve, toujours assis sur le banc de touche. « C'est vrai que c'est dur, mais je vis les matches à ma façon. J'encourage, je crie. C'est mon moyen d'être dans le match et d'être prêt au cas où », ponctue Nicolas Bonis.
« J'ai une image de garçon trop gentil »
Il sait que, contrairement aux joueurs de champs, il n'a qu'une chance infime d'entrer en jeu en cours de partie. « Seule une blessure le permet », acquiesce-t-il. Résultat, sa carrière ne décolle pas vraiment. Stagne, même.
Il en est conscient et, s'il continuera à se lever le matin « avec un grand sourire car j'ai la chance d'exercer ce métier alors que beaucoup doivent aller au bureau », il promet de changer son attitude. « Il faut que j'affirme mon caractère. Je passe pour quelqu'un de trop gentil. Les gens ont cette image de moi, elle doit être vraie, explique Nicolas Bonis avant de sourire. J'ai été trop bien éduqué. »
Et puis, il l'avoue sans difficulté. « Je me satisfaisais trop facilement d'être toujours deuxième ou troisième. »
Forcer sa nature
Alors qu'il va entamer sa dernière année de contrat et qu'il ne « sait pas encore ce qu'on attend de moi », il veut accélérer les choses. « Il faut que je m'exprime plus, que je me pousse en avant. Je dois forcer ma nature. Je ne deviendrai pas un tueur, mais il me faut montrer que j'existe. Montrer que j'ai du caractère. J'ai pris conscience de ça », poursuit Nicolas Bonis.
Alors, cette ombre, il veut la quitter. La seule qu'il acceptera désormais sera celle faite par les deux poteaux de son but. « Je travaille pour ça. » Et se fâche presque quand on lui parle des arrivées possibles de Vercoutre ou de Silva.
Trois mots et une certitude
Mais s'en prend d'abord à lui-même. « Ça m'énerve d'entendre ces noms, crie-t-il... sans hausser le volume de sa voix. C'est la preuve qu'on ne compte pas sur moi, mais je n'ai pas assez montré qu'on pouvait me faire confiance. C'est de ma faute, je le sais. Je n'en veux à personne, sauf à moi. » Aujourd'hui, désormais, il n'a que trois mots et une seule certitude en bouche. « Je veux jouer. »
Face à Toulouse, il jouera. Il devra « prouver, rester simple et concentré » comme il le dit. Et puis, il voudra rester invincible. Après, il sera temps de réfléchir, voire de partir. « Je vais bientôt avoir 23 ans. Il faut que je joue. Ici ou ailleurs, même en L2 ou en National », termine Nicolas Bonis.
Et c'est peut-être à ce prix qu'il s'épanouira. Enfin. Pour lui, le bonheur est (sûrement) dans le prêt.
- Maneo
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bonis espere jouer la saison prochaine quelque soit le club car il arrive en fin de contrat en juin de 2005..............si il ne joue la saison a venir il est assure d aller pointer................
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