Le manager d'Arsenal, Arsène Wenger, qui devrait renouveler le mois prochain son contrat prenant fin en 2005, a indiqué vendredi qu'il était «engagé» avec le club londoenin et qu'il ne se voyait pas d'avenir, ailleurs, même au Real Madrid. «Je suis engagé avec le club et je pense que mon avenir est ici. Il n'y a aucun doute doute dans mon esprit, aucun doute dans l'esprit du président et je pense que nous arriverons à une conclusion logique le moment venu. Il faut juste prendre le temps de s'asseoir et d'en parler», a-t-il ajouté.
Le Français, qui serait devenu l'une des "cibles" du Real Madrid après le départ de son entraîneur José Antonio Camacho, a réfuté l'idée d'un départ vers l'Espagne. «Comme je l'ai dit, tout est clair dans ma tête, mon intention est claire, a-t-il insisté. Elle n'est pas de partir, que ce soit au Real ou n'importe où ailleurs.» Le président d'Arsenal, Peter Hill-Wood, avait affirmé mercredi au quotidien "Daily Star" être optimiste quant à la perspective de voir Wenger, qui a obtenu son troisième titre en six ans la saison passée, prolonger un contrat qui pourrait le voir rester à Arsenal jusqu'en 2008.
Patrick Vieira, capitaine d'Arsenal lui-même sollicité par le Real cet été, a lui aussi fait une profession de foi en faveur de son club. Il a affirmé vendredi au tabloïd "The Sun" qu'il souhaitait mener son équipe quand elle débutera dans son nouveau stade d'Ashburton Grove, en août 2006. «Je suis impatient de mener l'équipe là -bas, devant 60 000 supporters d'Arsenal, a-t-il déclaré. Ce sera formidable. Le stade et le club avancent dans une direction positive et c'est pour cela que j'ai voulu rester. Je suis persuadé que je peux réussir tout ce que je veux à Arsenal».
Pas pret de le voir au RCS ... allez 2010, 2015 ...
Dans l'immédiat, il pourrait peut-être prendre des parts au Racing et servir ainsi de "chevalier blanc" à Marc Keller en assurant à ce dernier une stabilité dans l'actionnariat en sa faveur.
C'est sans doute le seul à pouvoir faire ça
Et, avec un peu de mélancolie, peut-etre, le petit prince ajouta : "Droit devant soi on ne peut pas aller bien loin... " Saint-Exupéry.
Franchement, est-il encore motivé de venir ici ? Resultat de merde, une équipe digne d'un épisode de Casper le Fantome, des querelles internes de gamin ...
Je preferais encore donner à l'équipe féminine de Vendenheim ou à Schilik ...
argueti a écrit :Franchement, est-il encore motivé de venir ici ? Resultat de merde, une équipe digne d'un épisode de Casper le Fantome, des querelles internes de gamin ...
Je preferais encore donner à l'équipe féminine de Vendenheim ou à Schilik ...
Schilik a plus d'équipe féminine: trop cher! C'est avant qu'il fallait donner!!!
Dans une interview accordée au quotidien britannique The Evening Standard, le président d'Arsenal Peter Hill-Wood a annoncé qu'il proposera une place au sein de la direction du club à Arsène Wenger, qui devrait prolonger la semaine prochaine son contrat de trois ans, si ce dernier en a assez de son poste de manager.
« Si Arsène devait arrêter d'être manager, alors je suis sûr que nous voudrions qu'il reste dans un autre rôle. Peut-être, cela pourrait être en tant que directeur. Ce serait une vraie honte de perdre une telle compétence. Je suis certain qu'il n'interfèrerait en rien (dans le travail de son éventuel successeur). Je pense qu'il a trouvé sa maison spirituelle et qu'il aime vraiment beaucoup le club. » a déclaré Peter Hill-Wood.
L'attaquant néerlandais de Manchester United Ruud van Nistelrooy risque une suspension pour une faute non sanctionnée par l'arbitre sur Ashley Cole lors de Manchester-Arsenal (2-0), dimanche. « La Fédération anglaise a accusé aujourd'hui (hier) van Nistelrooy, de Manchester United, d'avoir commis une infraction à la règle E3 de la FA pour une grave faute de jeu », a annoncé la FA. La fédération reproche au Néerlandais, qui pourrait être suspendu jusqu'à 3 matches, d'avoir délibérément donné un coup de pied à Cole. La Fédération anglaise a, par ailleurs, indiqué qu'elle avait demandé au manager des Gunners, le Français Arsène Wenger, de s'expliquer sur ses propos tenus après le match dans lesquels, selon le Sun, il avait estimé qu'Arsenal « avait été volé » après le penalty accordé par l'arbitre après une faute contestée sur Wayne Rooney.
Punaise le Arsene
D'apres la radio le matin, y eut bagarre dans les vestiaires, lancée de pizza et autres ...
Comme annoncé depuis déjà plusieurs semaines, Arsène Wenger a prolongé son bail avec Arsenal, ce mercredi. Le manager des Gunners restera donc aux commandes du club londonien jusqu'en 2008.
«Arsenal est heureux d'annoncer que son manageur Arsène Wenger a accepté aujourd'hui une prolongation de son contrat qui le laissera au club jusqu'au 31 mai 2008, assurant ainsi qu'il conduira l'équipe dans son nouveau Emirates Stadium qui doit ouvrir en août 2006,» annonce l'équipe sur son site internet.
Ce nouveau bail fait les affaires de toutes les parties. «Mon intention a toujours été claire. J'aime ce club et je suis très heureux ici», a ainsi commenté le principal intéressé, dont le précédent contrat expirait en 2005. Et d'ajouter : «Signer un nouveau contrat ne fait que confirmer sur papier mon envie de faire avancer ce club et de réaliser mes ambitions. J'ai encore tant à réussir et mon objectif est de faire poursuivre sa route à ce club, pas seulement en maintenant nos récents succès mais en construisant dessus. Ce sont des moments excitants pour Arsenal et je suis fier d'être manager.»
Le président des Gunners était également ravi de s'assurer pour quelques saisons encore la présence du technicien français sur le banc : «Nous sommes ravis qu'Arsène ait prolongé. Depuis son arrivée en 1996, il a révolutionné le club sur et en dehors du terrain.»
En effet, depuis 1996, Arsène Wenger a placé durablement Arsenal parmi les équipes sur lesquelles il faut compter, en Angleterre, avec trois titres nationaux (1998, 2002 et 2004) et trois Cups (1998, 2002, 2003), mais aussi en Europe avec six participations consécutives à la Ligue des champions qui reste un objectif majeur pour le club.
Arrivé dans l'anonymat en 1996, Arsène Wenger a imposé sa voix dans le monde fermé du Championnat d'Angleterre. Dimanche face à Chelsea, il fêtera son 500e match à la tête d'Arsenal.
Les années sont passées si vite. Cela fait neuf ans et 499 matches passés sur le banc de touche d'Arsenal, mais le manageur alsacien, âgé de 55 ans, a toujours l'impression qu'il a débarqué hier du club japonais de Campus Eight Nagoya.
Qu'il est loin pourtant le temps où Wenger franchissait pour la première fois les portes du stade d'Highbury avec ses petites lunettes et ses airs de premier de la classe. La presse anglaise ne l'avait d'ailleurs pas raté, titrant à la Une, le jour de son arrivée, « Arsène who ? » (« Arsène qui ? »).
« Ce n'était pas facile, reconnaît-il aujourd'hui. J'étais complètement inconnu à mon arrivée. Et tout était différent pour moi ».
Pas de bière, pas de chocolat !
Qu'il est loin aussi ce premier match à la tête des « Gunners », à Blackburn, alors champion en titre, le 12 octobre 1996, où il découvrait le Championnat anglais, son jeu rugueux, sa technique incertaine. Une victoire cet après-midi là , grâce à deux buts de Ian Wright, avait facilité son intégration.
« Lorsque je suis arrivé, j'ai changé la diététique en supprimant les bières et le chocolat après les matches, se souvient-il. Et dans le car qui nous ramenait à Londres, les joueurs chantaient : "Rendez-nous nos barres de chocolat" ».
Aujourd'hui, tout a changé, l'homme, le jeu. Le manageur alsacien a donc fait évoluer son club avec les moeurs. Pour lutter d'égal à égal avec les richissimes Manchester United ou Chelsea, il a impulsé la construction d'un nouveau stade de 60.000 places.
Fier du nouveau stade
« J'ai la conviction qu'un manageur peut influencer le futur de son équipe, confie-t-il. C'est pour cela que j'ai voulu ce centre d'entraînement, ce nouveau stade. Et j'en suis fier. Je voulais sentir que le club avançait. Si j'ai pu avoir, ne serait-ce qu'une petite influence, je suis content. »
« Je pense que je suis chanceux dans le métier que je fais d'être arrivé à 500 matches, estime-t-il. Mais je n'ai jamais été un grand fan du passé. J'utilise l'histoire pour être meilleur demain. Chez moi, je n'ai aucun souvenir de ce que j'ai gagné. J'ai des médailles mais je suis incapable de vous dire où elles sont.»
Triple champion d'Angleterre (1998, 2002, 2004), Wenger a imposé sa personnalité à Arsenal, un club qui porte aujourd'hui l'estampille d'un jeu audacieux mis en oeuvre par des jeunes issus d'horizons les plus divers. Seuls les échecs répétés en Coupes d'Europe ternissent le bilan.
« 89 mauvais moments »
« Pour un entraîneur, il y a toujours plus de mauvais que de bons moments, consent-il. J'ai connu 89 défaites avec Arsenal, ce sont 89 mauvais moments. Surtout l'élimination contre Chelsea en quarts de finale de la Ligue des champions en 2004. Cette année-là , nous avions les moyens de gagner la compétition. »
« Mes rêves sont de regagner le titre, enfin la Ligue des champions et de faire d'Arsenal le plus grand club du monde, lance-t-il. Quand le Real Madrid a voulu me recruter, j'ai refusé parce que mon désir était de rester à Arsenal et de construire quelque chose de grand sur la durée ici. »
DNA a écrit :Wenger reste muet L'entraîneur français d'Arsenal, Arsène Wenger, qui risque des sanctions de la Fédération anglaise de football (FA) après sa violente dispute avec un adversaire devant les caméras, a choisi de rester muet cette semaine face aux vives critiques dont il est l'objet.
La Fédération anglaise (FA) a engagé une procédure pour « conduite antisportive » à l'endroit de Wenger et d'Alan Pardew, qui avaient manqué en venir aux mains quand l'entraîneur de West Ham avait exprimé sa joie de manière spectaculaire et un peu provocante après le but de son équipe. Ils ont jusqu'au 23 novembre pour présenter leur version des faits.
La semaine a été dure pour Wenger, également égratigné par le sélectionneur français Raymond Domenech qui a jugé dans un entretien au quotidien sportif L'Equipe que son rôle de consultant TV pour les matches des Bleus posait un « problème d'éthique ». « Comment peut-il être objectif quand son intérêt est de voir Titi (ndlr : Thierry Henry) sortir à la mi-temps et que l'intérêt de l'équipe de France est qu'il joue jusqu'au bout ? », a demandé Domenech avant de conclure : « Chacun raisonne comme il veut avec son éthique personnelle ».
Si la FA a choisi de poursuivre Pardew et Wenger, le Français semble le plus susceptible d'être sanctionné, par une lourde amende ou une suspension de banc. Les images télévisées semblent montrer le Français comme le plus déterminé à en découdre.
« Mauvais perdant »
Les protagonistes arriveront avec des dossiers très différents. Pardew n'a jamais eu affaire aux instances disciplinaires du football anglais. Ce n'est pas le cas de Wenger, toujours affable en dehors du terrain, mais volontiers ombrageux sur le banc.
Respecté pour sa science du jeu, ses commentaires pédagogiques et sa disponibilité, Wenger est aussi décrit en Angleterre comme un « mauvais perdant », une réputation que son homologue de Manchester United Alex Ferguson a contribué à lui forger.
Le Français a été condamné en 2004 à 15 000 livres d'amendes (environ 23.000 euros) pour avoir traité de « tricheur » le buteur néerlandais de MU Ruud van Nistelrooy.
En 2001, il avait dû s'acquitter de 10.000 livres d'amende pour « intimidation physique et comportement menaçant » envers le quatrième arbitre d'un match perdu par Arsenal, et ses échanges d'amabilités avec Ferguson ou leur collègue de Chelsea Jose Mourinho, font régulièrement le bonheur de la presse anglaise. Wenger et Pardew, deux figures respectées du football anglais, ont adopté après l'incident des attitudes radicalement opposées.
Après le match, Pardew a tendu la main au Français qui l'a refusée. L'Anglais a fait savoir qu'il avait offert à Wenger un verre de vin de la réconciliation, également snobé par le Français, et s'est surtout excusé après le match pour sa réaction de joie « excessive ».
Wenger, au contraire, est resté muet, boudant les conférences de presse après le match de West Ham et celui de Coupe de la Ligue à Everton, ainsi que sa causerie hebdomadaire du vendredi, avant le match contre Liverpool. Arsenal a observé le même silence absolu alors que West Ham a publiquement soutenu Pardew.
Les inscriptions au forum sont rouvertes 
Avec surement bcp plus de zéros j'imagine 
