Pour Perrin, ce sera : soit un départ du club pur et simple soit le poste d'entraîneur/manager...
Cette double casquette lui permet juste d'être protégé, je crois qu'il fait même partie du conseil d'administration, c'est malin...
Je pense qu'il devrait bientôt partir du club avec un gros chèque, sa mésentente avec les joueurs et le personnel administratif du club étant devenue presque insuportable...
Tout se décidera durant le mercato, à tête reposée...
Je crois que l'option du club est actuellement d'éliminer les joueurs les moins dociles à l'autorité Perrin : Runje et van Buyten devraient partir...
Olympique de Marseille
christo
les gens me font rire des que sa va pas perrin n'est pas bien et l'anne derniere tout le monde le feliciter pour se qui la fait mes bref je pense pas qu'il partira !et question talent mido drogba van buyten meriem si ses n'est pas de la qualite sa ben je sais pas qu'il faut pour etre costaud peut etre un moukouri lol
- argueti
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OM - Le hérison marseillais
J'ai aussi subi des injections»
Chris Waddle a confié au quotidien "The Sun", que «les joueurs recevaient sans arrêt des injections à Marseille», lorsqu'il y évoluait, de 1990 à 1994. Tony Cascarino avait tenu des propos comparables lundi, concernant la période 1994-96.
«Le médecin du club nous disait que ces injections nous aideraient à récupérer après les matches. J'ai subi quelques injections, mais qui ne m'ont pas fait beaucoup d'effet», a ajouté l'ancien ailier international anglais, chouchou du Vélodrome de l'époque, finaliste de la Coupe des champions en 1991. «Je ne sais pas ce que c'était, jamais personne n'a subi de tests antidopage et jamais rien d'illégal n'a été révélé», a-t-il précisé.
Waddle avait rejoint l'OM en 1990 en provenance de Tottenham avant de rejoindre Sheffield Wednesday en 1992. Ses déclarations font suite aux propos d'un autre ancien attaquant du club, l'Irlandais Tony Cascarino (61 buts entre 1994 à 1996), qui déclarait lundi au "Times" que lui et ses coéquipiers marseillais avaient reçu des injections d'un produit non-identifié du temps où il était olympien. Il a assuré que le président du club de l'époque, Bernard Tapie, les y encourageait, ce que l'intéressé à démenti.
Chris Waddle a confié au quotidien "The Sun", que «les joueurs recevaient sans arrêt des injections à Marseille», lorsqu'il y évoluait, de 1990 à 1994. Tony Cascarino avait tenu des propos comparables lundi, concernant la période 1994-96.
«Le médecin du club nous disait que ces injections nous aideraient à récupérer après les matches. J'ai subi quelques injections, mais qui ne m'ont pas fait beaucoup d'effet», a ajouté l'ancien ailier international anglais, chouchou du Vélodrome de l'époque, finaliste de la Coupe des champions en 1991. «Je ne sais pas ce que c'était, jamais personne n'a subi de tests antidopage et jamais rien d'illégal n'a été révélé», a-t-il précisé.
Waddle avait rejoint l'OM en 1990 en provenance de Tottenham avant de rejoindre Sheffield Wednesday en 1992. Ses déclarations font suite aux propos d'un autre ancien attaquant du club, l'Irlandais Tony Cascarino (61 buts entre 1994 à 1996), qui déclarait lundi au "Times" que lui et ses coéquipiers marseillais avaient reçu des injections d'un produit non-identifié du temps où il était olympien. Il a assuré que le président du club de l'époque, Bernard Tapie, les y encourageait, ce que l'intéressé à démenti.
L'histoire est en marche ...
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Les désillusions s'accumulent pour l'Olympique de Marseille, éliminé mercredi en huitième de finale de la Coupe de la Ligue par Sochaux (1-0).
"C'est un objectif qui s'en va, une qualification pour les quarts de finale qui s'envole sur un cafouillage mal maîtrisé", a regretté Brahim Hemdani, capitaine d'une formation phocéenne décimée par les blessures.
Sorti par la petite porte de la Ligue des champions, malmené en championnat de France et désormais éliminé de la Coupe de la Ligue, l'OM vit un automne cauchemardesque qui le coupe peu à peu de tous les objectifs annoncés en début de saison.
"On traverse des moments difficiles. Le manque de réussite nous poursuit. Il nous faut maintenant une flopée d'occasions pour espérer en mettre une au fond", a encore déploré Hemdani.
Comme souvent, le club marseillais n'a pas démérité face à un adversaire parmi les plus en forme du moment - huit victoires de rang toutes compétitions confondues. Il ne lui a manqué que le réalisme qui force souvent la décision.
"Ce qui fait la différence, c'est la capacité à faire le bon geste, la qualité de passe indispensable à la finition", a expliqué l'entraîneur Alain Perrin.
Cette neuvième défaite en deux mois plonge cependant davantage le plus titré des clubs français dans le doute. Cette lente descente aux enfers devrait se concrétiser par plusieurs départs lors de la trêve.
VALSE DU MERCATO
Le gardien Vedran Runje, déjà écarté, ou le Brésilien Fernandao, totalement transparent à Sochaux, sont d'ores et déjà donnés partants et les rumeurs bruissent dans les couloirs du club des noms de ceux qui sont supposés remplacer le manager sportif Alain Perrin.
Interrogé après match sur son éventuel départ, le technicien marseillais n'a fait aucun commentaire sur le sujet. Il y a peu, il affirmait pourtant ne "pas être fragilisé" par la succession des revers enregistrés par l'OM.
A Marseille pourtant, public et dirigeants sont souvent versatiles, n'hésitant pas à brûler les icônes adorées la veille.
Pour l'instant, chacun dans la cité phocéenne se concentre sur la Ligue 1 et la venue de Toulouse, samedi au Vélodrome, pour clore une fin d'année 2003 douloureuse.
Il sera temps ensuite de se laisser entraîner dans la valse du mercato où la rumeur envoie à Marseille, pêle-mêle, le Brésilien Rivaldo (Milan AC) et le milieu international de Lyon Eric Carrière.
Pas les meme objectifs, mais quand pire que nous ...
"C'est un objectif qui s'en va, une qualification pour les quarts de finale qui s'envole sur un cafouillage mal maîtrisé", a regretté Brahim Hemdani, capitaine d'une formation phocéenne décimée par les blessures.
Sorti par la petite porte de la Ligue des champions, malmené en championnat de France et désormais éliminé de la Coupe de la Ligue, l'OM vit un automne cauchemardesque qui le coupe peu à peu de tous les objectifs annoncés en début de saison.
"On traverse des moments difficiles. Le manque de réussite nous poursuit. Il nous faut maintenant une flopée d'occasions pour espérer en mettre une au fond", a encore déploré Hemdani.
Comme souvent, le club marseillais n'a pas démérité face à un adversaire parmi les plus en forme du moment - huit victoires de rang toutes compétitions confondues. Il ne lui a manqué que le réalisme qui force souvent la décision.
"Ce qui fait la différence, c'est la capacité à faire le bon geste, la qualité de passe indispensable à la finition", a expliqué l'entraîneur Alain Perrin.
Cette neuvième défaite en deux mois plonge cependant davantage le plus titré des clubs français dans le doute. Cette lente descente aux enfers devrait se concrétiser par plusieurs départs lors de la trêve.
VALSE DU MERCATO
Le gardien Vedran Runje, déjà écarté, ou le Brésilien Fernandao, totalement transparent à Sochaux, sont d'ores et déjà donnés partants et les rumeurs bruissent dans les couloirs du club des noms de ceux qui sont supposés remplacer le manager sportif Alain Perrin.
Interrogé après match sur son éventuel départ, le technicien marseillais n'a fait aucun commentaire sur le sujet. Il y a peu, il affirmait pourtant ne "pas être fragilisé" par la succession des revers enregistrés par l'OM.
A Marseille pourtant, public et dirigeants sont souvent versatiles, n'hésitant pas à brûler les icônes adorées la veille.
Pour l'instant, chacun dans la cité phocéenne se concentre sur la Ligue 1 et la venue de Toulouse, samedi au Vélodrome, pour clore une fin d'année 2003 douloureuse.
Il sera temps ensuite de se laisser entraîner dans la valse du mercato où la rumeur envoie à Marseille, pêle-mêle, le Brésilien Rivaldo (Milan AC) et le milieu international de Lyon Eric Carrière.
Pas les meme objectifs, mais quand pire que nous ...
L'histoire est en marche ...