[Ex] Pascal Johansen

[Phapha]

ça me semble aussi le plus réaliste.

[Stan]

On ne change pas une équipe qui gagne.

Johansen sur le banc, ça forcera peut être les titulaires genre Cohade ou Fanchone à  se défoncer encore plus pour garder leur place dans le 11.

[télésupporteur]

johansen sur le terrain, et cohade sur le banc

[Sam.]

Sais pas...

Cohade n'a pas été exceptionnel sur ses 1ère prestations mais il abat malgré tout un sacré travail de sape. Il est clairement bien moins bon dans la construction de jeu, mais ça, c'est le taf' d'Abdes, Fanchone et dans une moindre mesure Mouloungui. En plus il a une belle qualité de frappe hors de la surface et surtout n'a pas le délit de "sale gueule" de Johansen, ça veut pas dire qu'il est forcément plus "propre" dans ses interventions. Pour l'instant notre entre-jeu a toujours été superieur à  celui de l'adversaire et on change pas une équipe qui gagne.

Sam.

[Pinon]

Johansen dans le groupe. Rétabli après sa distension d’un ligament du genou gauche qui l’a privé des trois dernières rencontres, Pascal Johansen, qui a repris l’entraînement collectif en début de semaine, fait partie des 18 joueurs convoqués par Jean-Marc Furlan pour la réception de Lens demain (20 h) à  la Meinau à  l’occasion de la 5e journée de L 1. Il remplace Ali Mathlouthi, en partance pour Châteauroux. Le onze de départ vainqueur à  Toulouse ne devrait pas être bouleversé. Le manager général du RCS hésitait toutefois sur le poste d’attaquant de pointe. Il envisageait de laisser souffler le Colombien Wason Renteria et de titulariser Kévin Gameiro, buteur contre Auxerre et à  Toulouse, mais ne devrait rien en faire. « Dans cette période de sept matches en un mois, nous avons besoin de stabilité. »

[Keating]

Johansen, la soif de jouer

Son début de saison 2007-2008 ressemble à  celui de l'an passé : un match prometteur suivi d'une blessure. En 2006-2007, le Colmarien avait été éloigné des terrains durant deux mois. Demain à  Saint-Etienne, il pourrait retrouver une place de titulaire.

La scène se déroule samedi à  la Meinau: Pascal Johansen devise avec le Lensois Julien Sablé. Il évoque son début de saison, perturbé, comme le précédent, par une blessure dès après la première journée. « L'an passé, j'avais mis six mois à  revenir. Si ce doit être pareil cette saison, c'est encourageant », se marre-t-il.
En réalité, « Pagalou » est prêt. Le Colmarien l'a montré durant une demi-heure face aux Artésiens. Demain à  Saint-Etienne, il pourrait retrouver une place de titulaire. En fin de bail en juin 2008, le milieu alsacien, qui a refusé une prolongation de deux ans assortie d'une nette baisse de salaire, aspire à  prendre du plaisir avec « son » Racing.

Pascal, depuis deux ans, les débuts de saison ne vous portent pas chance…

Non, pas trop. Mais il y a une différence. L'an passé, je ne me sentais pas trop en forme et je pressentais une blessure. Cette fois, tout allait bien. Etre blessé est toujours embêtant. Parce qu'il n'est pas évident de revenir dans un groupe qui tourne. Tu es obligé de patienter. Et puis, l'an dernier, on voulait me faire partir. Je m'entraînais la semaine sans chance de jouer le week-end, même si ça s'est beaucoup mieux passé en 2e partie de saison. Là , la porte ne m'est pas fermée.

On dit pourtant que vos premiers contacts avec Jean-Marc Furlan ont été un peu chauds…

Oh, ça ! Lors du stage de reprise à  Megève, j'ai engueulé un de mes jeunes coéquipiers sur une action ratée. Vous savez comment c'est en préparation. On souffre physiquement et, par moments, on en a plein le dos. Le coach avait entendu dire que j'étais apprécié dans le vestiaire. Il a été étonné de ma réaction. Il m'a convoqué pour me demander si je cherchais à  saboter quelque chose ou si j'avais une dent contre lui. Je n'avais aucune raison d'agir ainsi. Je lui ai répondu que s'il cherchait dans l'équipe un joueur ravi de l'arrivée d'un nouvel entraîneur après la saison difficile qu'il avait vécue, il l'avait devant lui.


Cet entretien a-t-il clarifié les choses ?

Pour moi, non, puisque je n'avais aucun problème. Mais ça lui a permis de comprendre que j'avais sans doute un caractère spécial, mais rien contre personne. Ce ne sont que des réglages naturels entre personnes qui se découvrent.

Etes-vous surpris par le jeu séduisant du Racing ?

Honnêtement, nous ne nous attendions pas à  ce que le changement soit aussi rapide et radical. Mais on a déjà  pu voir, au gré des changements, que la polyvalence de nos joueurs était un atout. Nos performances individuelles doivent s'inscrire dans le projet collectif et non l'inverse. Le système et le groupe doivent surpasser l'intérêt de chacun. L'an dernier, quand nous étions « vilains » sur le terrain, nous compensions par la solidarité. Cette saison, il y a un fonds de jeu. On a l'impression qu'on pourrait mettre n'importe qui à  n'importe quel poste et que l'équipe tournerait quand même. Un peu comme le Lille d'il y a un ou deux ans quand Claude Puel pratiquait un turnover intensif sans altérer le rendement de son équipe. Suivre cet exemple serait excellent.

Ce schéma est-il transposable à  Strasbourg ?

Quand le public suit et qu'en plus, il n'y a pas de soucis en interne, je ne vois pas ce qui peut t'empêcher de prendre des points. Notre grande force, c'est d'avoir recruté des joueurs d'expérience, comme Greg Paisley, Manu Dos Santos, Rodrigo ou James Fanchone, qui ont le bon profil. Je crois que nous serons capables d'être réguliers, de jouer à  l'extérieur comme à  domicile, sauf peut-être chez les gros où nous risquons d'être dominés.

Le public suit, comme en témoigne le record d'abonnements récemment battu…

Il était temps qu'il y ait cet engouement dans ce stade, pour ce club et cette ville. Jusqu'ici, on avait toujours l'impression de n'arriver à  rien à  Strasbourg. Là , on sent que le public aime ses joueurs. Mais le danger, c'est que tout le monde s'enflamme. Quand ça t'arrive, le foot te remet vite les pieds sur terre. Dans les périodes plus difficiles – et il y en aura -, il ne faudra pas voir tout en noir. Sur 38 journées, à  notre rythme actuel de deux points par match, nous serions sûrement champions. Gardons la tête sur les épaules.

Sacré Johansen

[Myck67]

C'est bien vrai tout ca

[FM17]

sacré joueur très moyen surtout...mais un alsacien dans l équipe c est bien.

[Bou]

Je relève surtout qu'il a refusé une prolongation de contrat de 2 ans (avec baisse de salaire, certes).. Ca veut dire qu'on toucherait même pas un kopec l'année prochaine s'il part...

[fab]

à  vendre au mercato alors!...