[Ex] Manuel Dos Santos

[fab]

c'est sur qu'on a connu pire!

Mais c'est quand meme pas du abidal hein...

En fait j'esperais secretement qu'abou convainque JMF et qu'il pique la place à  Dos Santos... raté!

[Pinon]

Mouai, Abou sur le peu qu'il a joué n'a vraiment pas été étincelant !
Je préfère encore l'expérience de Dos Santos que la nonchalance d'Abou

[silex57]

c'est sur qu'on a connu pire!

Mais c'est quand meme pas du abidal hein...

En fait j'esperais secretement qu'abou convainque JMF et qu'il pique la place à  Dos Santos... raté!

Ouais enfin Abidal c'est pas non plus un modèle du genre en terme de rigueur défensive, c'est un latéral quoi !

[Kriskool]

Euh ouais je sait pas ce qu'il te faut alors niveau rigueur défensive

[Stan]

Clair, Abidal est un des latéraux qui a le plus de rigueur défensive..

C'est pas un Boka ou un R.Carlos..

[kablanovka]

d'ailleurs il joue défenseur central de temps en temps

[silex57]

Ben je trouve qu'un Thuram est plus sûr, Abidal il fait au moins une fois par match une petite boulette en défense.

[Bou]

Un oeil sur le rocher
Manuel Dos Santos a connu le meilleur et le moins bon avec son club formateur, l'AS Monaco. Avant le déplacement du Racing en Principauté, il analyse les forces en présence.

A 33 ans, Manuel Dos Santos aurait bien voulu finir sa carrière à  l'AS Monaco. Le club de la Principauté l'a vu grandir, lui a offert son unique titre de Champion de France (en 1997) et lui a même permis de faire son retour en Ligue 1, après deux ans d'exil au Portugal. « Je pensais vraiment finir ma carrière dans mon club formateur », reconnaît le défenseur latéral, revenu à  l'ASM en janvier 2006.
Las, ce retour au bercail a finalement fait long feu. « Aujourd'hui je suis heureux d'être ici, à  Strasbourg, mais c'est vrai qu'en fin de saison dernière, quand le staff monégasque ne m'a pas conservé, j'étais déçu, surtout qu'on ne m'a pas donné de raisons », souligne le défenseur latéral qui compte plus de 250 matchs en L 1.

Un maillon indispensable du système défensif

La déception une fois passée, Dos Santos affirme n'avoir « aucune rancoeur » à  l'égard de son ancien club. Surtout qu'il a su « rebondir », comme il le dit lui-même, depuis son arrivée en Alsace.
« Quelque part, c'était peut-être une chance que Monaco ne me garde pas, pour l'instant c'est même tout bénef', parce qu'on est 6e et que je prends vraiment du plaisir à  jouer », ajoute-t-il.
A son arrivée à  Strasbourg au courant de l'été, le latéral gauche manque de rythme. Son premier match face à  Marseille est correct sans être génial, avant qu'il ne se fasse expulser à  Nice. De retour de suspension, il s'affirme enfin, au point de devenir un maillon indispensable du système défensif mis en place par Jean-Marc Furlan, subtil mélange d'expérience (Cassard/Paisley/Dos Santos) et de jeunesse conquérante (Bellaïd).
« Je pense que la force de l'équipe du RCS est d'être sereine. On ne s'enflamme pas quand on gagne et on ne panique pas dans la difficulté », estime-t-il. Un sang-froid que Manuel Dos Santos a acquis au gré de ses pérégrinations footballistiques, que ce soit à  Montpellier, dans l'ambiance électrique du Vélodrome marseillais ou encore au Benfica Lisbonne, où le joueur originaire du Cap-Vert accroche à  son palmarès un titre de champion du Portugal dès sa première saison.

« Pour faire une bonne équipe, il ne faut pas que des noms, il faut aussi la cohésion et l'envie »

Et pour espérer bousculer une équipe de l'AS Monaco en plein boum après sa victoire à  Rennes, il faudra encore de la lucidité à  cette équipe strasbourgeoise. « Il va falloir imposer notre jeu, parce que quand on ne gagne pas à  la maison, faut aller chercher les points à  l'extérieur », explique-t-il.
Tout en se méfiant du « jeu de tête de Koller » et en espérant que « ni Menez, ni Meriem », deux des talents bruts de l'ASM, ne soient dans « un grand soir ».
Pour Dos Santos, la faille, côté Monaco, est à  chercher dans un collectif en perpétuel construction. « Il y a eu de nombreux changements d'entraîneurs et l'équipe a du mal à  trouver une stabilité, une cohérence. Or pour faire une bonne équipe, il ne faut pas que des noms, il faut aussi la cohésion et l'envie », achève Manuel Dos Santos.

Barbara Schuster

[Kanté]

"au point de devenir un maillon indispensable du système défensif mis en place par Jean-Marc Furlan,"

Oulala c'est sûr qu'il est titulaire mais c'est faute de défenseur gauche...

[kablanovka]

Ben je trouve qu'un Thuram est plus sûr

ouai, enfin Thuram c'est quand même Thuram...