[04/05] Finale CDLL : Caen / RCS : 1-2

[NianKaRud]

Non non ça fait pas footix lol . C'est clair qu'il faut que tout le monde viennent en bleu et blanc. Et je suis tout à  fait d'accord avec la compo de Stan.

[Alex Barotchais]

blanc c'est a défaut de bleu, le mot d'ordre c'est vraiment le bleu.

non le maillot ne fais pas footix, le maillot ça passe, la définition du footix c'est ça:
>>a évité:
le look «mastre» (une perruque sur la tête, des écharpes un peu partout, une trompette, du maquillage sur tout le visage, voire chez nous une cigogne au sommet du crâne). En effet, non seulement ce genre de déguisement déprécie l'image du supporter qui passe alors pour un clown ou un abruti mais en plus il est souvent associé à  un état d'esprit et un comportement que nous refusons : il chante avant et après le match mais très peu pendant, il peut passer de «entraîneur enculé!» à  «vive l'entraineur !» en moins d'une minute suivant l'évolution du score, il prône le fair-play mais est le premier à  fustiger les joueurs et supporters adverses, il provoque des supporters adverses à  l'abri derrière un grillage ou derrière des CRS, etc. De plus, le mastre, à  l'instar des touristes Coupe du Monde 98 des tribunes, lance souvent des chants déplacés («Auxerre on t'encule» alors qu'on en a rien à  foutre des Auxerrois, «mais ils sont où les Marseillais?» alors que eux se sont déplacés, etc...) ou reprend le célèbrissime «Et 1 et 2 et 3 zéro», symbole d'une Coupe du Monde du fric qui appartient aux touristes et supporters d'un soir qui ne se mettent à  chanter qu'une fois que le match semble gagné.

[Stan]

Il faut le plus de bleu possible du côté des supporters du racing...

De mon côté c'est décidé, je mettrai le maillot de cette saison et mon père celui de la saison dernière..

Et je sais pas pourquoi ce maillot je l'associe toujours à ... Dorsin.

[Psychogene]

(une perruque sur la tête, des écharpes un peu partout, une trompette, du maquillage sur tout le visage, voire chez nous une cigogne au sommet du crâne)

oh bab UNE PHOTO, UNE PHOTO !!!

[Alex Barotchais]

Et je sais pas pourquoi ce maillot je l'associe toujours à ... Dorsin.

moi aussi!


psychogene.. désolé j'ai pas de photo en stock.. mais il me semble que en populaire nord il y a un beau spécimen avec un tambour....

[lolo]

S'il a un tambour, c'est qu'il fait peut être plus de bruit que certains spectateurs du kop, non?

[lolo]

Duguépéroux rétrécit son groupe

Christian Bassila, de retour de suspension : Jacky Duguépéroux n'a que l'embarras du choix. (Photo DNA-Alain Destouches)
L'entraîneur du Racing a choisi les 18 joueurs pour la mise au vert. Egon Gindorf a lancé un dernier message aux joueurs avant leur départ pour la capitale et le Stade de France-Paris 2012, dont ils découvriront la pelouse cet après-midi.


LE GROUPE. - Jacky Duguépéroux a retenu 18 joueurs pour la mise au vert : Vercoutre, Cassard, Deroff, Lacour, Devaux, Kanté, Boka, Keita, Bassila, Abdessadki, Johansen, Farnerud, Arrache, Camadini, Le Pen, Niang, Pagis et Mphela.
Deux éléments de cette liste suivront la rencontre des tribunes, l'entraîneur ne pouvant coucher que seize noms sur la feuille de match.
LES MOTS D'EGON. - La dernière séance d'entraînement, programmée hier matin sur le terrain annexe de la Meinau, a été ponctuée par un petit discours d'Egon Gindorf. L'ensemble du groupe strasbourgeois a formé un demi-cercle devant le président du Racing, qui a délivré un petit message à  ses hommes. L'un des derniers pour celui qui passera le relais en fin de saison à  Philippe Ginestet.
KEITA EST PRàŠT. - Sidi Keita est jugé apte pour le service. Le milieu de terrain strasbourgeois, touché au mollet droit samedi dernier contre Lille, a rejoint hier matin ses coéquipiers sur la pelouse. « Il n'a pas participé à  la séance collective, plutôt ludique, mais il a travaillé deux fois plus avec Michel Dufour (le préparateur physique), dit Duguépéroux. Pour moi, il est prêt. » Keita devrait donc disputer une place de titulaire à  Christian Bassila dans l'entrejeu.
MISE AU VERT ET PETANQUE. - Partis hier à  15h par un vol régulier, les Strasbourg sont désormais au vert à  Maffliers. En fin d'après-midi, ils se rendront au Stade de France reconnaître la pelouse. « Ne vous inquiétez, nous allons occuper notre temps libre, a souri Jacky Duguépéroux. Et s'il fait beau, je n'exclue pas l'idée de jouer à  la pétanque. »
CAEN QUI GAGNE. - Si les footballeurs de Caen filent plutôt un mauvais coton en championnat, il est un autre club de la ville normande qui a le vent en poupe. Les hockeyeurs, adversaires cette saison de l'Etoile Noire, ont décroché mardi soir leur billet pour la Ligue Magnus. Les Drakkars ont remporté leur barrage aux dépens de Clermont-Ferrand et réussissent là  où Strasbourg a échoué.
MOMHA EN CFA. - Jacques Momha, non retenu, jouera ce soir en CFA à  Vesoul.
ROLAND ENCENSE. - Roland Weller ne tarit pas d'éloges sur Jacky Duguépéroux avec lequel il a remporté la finale 97. « C'est un meneur d'hommes, Il a su donner une âme au Racing. C'est un grand entraîneur, souligne-t-il. Quand je vois où en était l'équipe quand il l'a reprise en main et ce qu'il en a fait aujourd'hui, je dis bravo. Surtout que c'est la deuxième fois qu'il réussit ce challenge puisqu'il nous avait déjà  emmené en finale en 1997. Il a inculqué aux joueurs la volonté de se battre et le respect du maillot. J'ai beaucoup d'estime pour lui, même si je l'ai un peu taquiné quand il était responsable du centre de formation et qu'il "piquait" des jeunes au Sporting Schiltigheim... »
GILBERT CORRIGE. - Gilbert Gress a sursauté à  la suite des propos de Fabien Weber (cf DNA de mardi) lui faisant dire en substance : « Si vous jouez mal, vous n'aurez pas de contrat pro... ». « Il m'est impossible d'avoir dit cela, précise l'ancien entraîneur du FC Sion. Je n'ai aucun doute là  dessus. Comment aurais-je pu tenir de tels propos, alors que j'ai fait débuter Glassmann à  16 ans en Coupe d'Europe ? »

[lolo]

La cerise, pas le gâteau

C'est la mobilisation générale chez les supporters de Caen qui seront 30 000 demain soir au Stade de France.(Photo DNA - Cédric Joubert)
Soumis au régime de la douche écossaise, les supporters caennais se rendront en masse au Stade de France pour prendre une dernière goulée de plaisir cette saison. Avant de rejoindre la L2, ils en sont désormais persuadés.


La phrase de jour ? « On a la cerise, mais pas le gâteau. C'est un peu con ». Depuis la défaite de samedi dernier face à  Bastia dans la « finale » des relégables, le coeur n'y est plus tout à  fait. La finale est là , certes, mais le coeur n'y est plus.
« C'est bien, on va au Stade de France, mais si on gagne, on fait quoi en coupe d'Europe ? », se demande « Titou », les mains dans les poches de son jean et la lippe boudeuse.
Bon, lui sera évidemment à  Paris. Parce que ce n'est pas trop loin (moins de deux heures de voiture), que c'est une finale et que c'est historique.


Le choc passé


Jamais en effet le Stade Malherbe de Caen n'avait atteint la moindre finale au cours de son histoire. Alors même assombri par la descente désormais quasi inéluctable, l'horizon n'est pas si sombre.
Et puis Caen ne serait pas le premier club de L2 à  goûter aux joies de l'Europe. Gueugnon, Châteauroux... le Racing n'ont jamais boudé leur plaisir. Pas de raison qu'il en soit autrement ici.
Passé le choc de la défaite face aux Corses, le public est d'ailleurs venu en masse soutenir les coéquipiers de Sébastien Mazure.
Plus de 200 personnes chaque jour derrière la main courante à  l'heure de l'entraînement. Des jeunes, beaucoup, vacances scolaires obligent.


11 000 maillots vendus


Dans les rues de la ville on n'y voit même que du bleu. Et du rouge aussi. Dans chaque vitrine des calicots, des ballons, des maillots. Le tout barré de slogans scandant « Allez Malherbe ».
Au lendemain de la victoire à  Nice, qui devait être celle amorçant l'opération maintien, quelques banderoles barrées d'un « Merci Malherbe » avaient même été hissées.
La défaite de la semaine dernière a fait retomber l'ambiance d'un coup d'un seul. Même si un regain d'énergie a été enregistré ces derniers jours à  la boutique du club où se sont arrachés casques de vikings, maillots spéciaux et autres écharpes.
11 000 de ces maillots vendus 15 € pièces ont ainsi déjà  été vendus. Un livre « Sur la route de l'exploit » estampillé « Unique » édité.


Trente mille et un âne


« Oui et dès la semaine prochaine, nous sortirons le DVD de la finale, se réjouit Kadour Mokkadel, connu comme le loup blanc sous le pseudonyme de « Pilou » et chargé de la communication du club. Cette finale va être une grande fête. C'est vrai qu'on a pris un grand coup de massue sur la nuque samedi et que nos supporters ont été très éprouvés, mais ce week-end, c'est autre chose. C'est un événement historique pour nous. Tout le monde sera derrière Malherbe ».
Trente mille Normands sont ainsi attendus au Stade de France. Trente mille plus un âne chaussé de bas rouge et bleu, ce qui n'en fait donc pas un âne bâté, qui pénétrera sur la pelouse avec une « amazone » sur le dos.
Rien que pour ça, ça vaudra le déplacement.

[lolo]

« Toute l'Alsace à  Paris »

25000 supporters prendront demain la direction du Stade de France-Paris 2012 pour porter le Racing vers un second sacre en Coupe de la Ligue contre Caen. Ils sont prêts.
La scène se déroule lundi à  Munster et est rapportée par Muriel Lang, responsable des déplacements du Kop Ciel et Blanc, dernière née des sections de supporters du Racing après une séparation avec le Club Central. Comme il le fait régulièrement, le club bas-rhinois est parti à  la rencontre de ses fans au fin fond de la vallée haut-rhinoise, pour renforcer un rayonnement qu'il veut plus que jamais régional. Le directeur général Marc Keller, le secrétaire général Alain Plet, le directeur du marketing et de la communication Pierre Brochet, le directeur du centre de formation Nasser Larguet et son responsable technique Jean-Marc Kuentz répondent dans une ambiance détendue aux questions d'une salle bondée. Marc Keller, évidemment comme chez lui dans le Haut-Rhin (il est né à  Balgau), inverse alors les rôles. « Qui, parmi vous, sera samedi à  Paris ?», interroge-t-il. « Toutes les mains se sont levées », témoigne Muriel Lang. « Et si, au fin fond de la vallée de Munster, il y a un tel engouement (Ndlr : le club munstérien a, à  lui seul, rempli quatre bus), ça veut dire que toute l'Alsace sera à  Paris. » Demain, 300 bus, un train et d'incalculables véhicules particuliers participeront à  la grande transhumance. Le Club Central des Supporters (22 bus), le Kop Ciel et Blanc (9) et les UB 90 (6, plus 3 venus du club jumelé de Karlsruhe) sont sur un pied qu'on préférera qualifier de paix plutôt que de guerre. « L'organisation a mangé mon temps, c'était un boulot de fou », sourit Muriel Lang, « mais là , c'est carrément le stress. Je ne dors plus. Je me suis fait teindre les cheveux en bleu et je suis allée travailler ce jeudi avec un maillot du Racing. La pression monte. C'est palpable à  la Meinau lors des entraînements. Pour préparer ce déplacement, le club a été top. Il nous a beaucoup aidés. Samedi, nos bus emprunteront la RN 4, pour une question de coût et de trafic. Le KCB distribuera gratuitement 400 écharpes spécialement confectionnées pour la finale. » Chez les supporters, tout le monde a ainsi mis la main à  la pâte et au portefeuille. Comme ils le font à  la Meinau pour les grands événements, les UB 90 organiseront un gigantesque tifo avant le coup d'envoi. « Je ne vous dévoilerai pas son contenu », prévient leur président Frédéric Kientzler, « Notre premier bus part ce samedi à  2 heures pour arriver au stade vers 10 h. Nous préparerons le matériel toute la journée. 17000 feuilles de couleur, accompagnées de consignes, seront installées dans le cercle Sud des gradins. L'opération génère une dépense de 3500 euros que nous avons autofinancée, sans rien demander au club. Car nous sommes indépendants et tenons à  le rester. En fait, le gros du boulot a déjà  été fait en amont. Je n'ai qu'un regret : que nous n'ayons pas droit à  une sono. Les mégaphones sont autorisés, mais ils ne servent à  rien dans une enceinte de cette dimension. Ceci dit, on l'a vu contre Amiens en 2001 pour la finale de la Coupe de France où nous nous étions fait manger par les supporters amiénois : l'ambiance que mettra le public alsacien dépendra beaucoup du jeu que développera l'équipe.»

Blum : « Les UB ont un savoir-faire »
Le CCS, lui, convoiera quelque 1200 supporters. Objectif ouvertement affiché : la convivialité, selon son président Jean-Marie Blum. « Les UB se sont proposés pour mettre en place l'animation des tribunes et nous leur reconnaissons bien volontiers un indéniable savoir-faire. A tout seigneur, tout honneur donc. Pour notre part, nous avons, avec les 13 membres du conseil d'administration et des volontaires et amis, tout fait pour faciliter ce déplacement. Pour agrémenter le voyage, nous avons prévu des pots de maquillage, l'organisation d'un concours de pronostic. Dans les bus qui disposent de magnétoscopes, nous diffuserons une copie de la cassette qu'avait éditée le Racing en 2001, retraçant l'euphorie de l'aventure. Et tous nos bus seront équipés sur la vitre arrière de drapeaux aux couleurs du club et de l'Europe pour rappeler que si Paris est la capitale de la France, Strasbourg est celle de l'Europe. » Demain à  2 h, le premier bus des UB 90 donnera le départ de la grande migration bleue vers Paris. Pour aller soutenir un Racing visiteur d'un soir au Stade de France et qui jouera… tout de blanc vêtu.

[Kriskool]

Et je sais pas pourquoi ce maillot je l'associe toujours à ... Dorsin.

moi aussi!


psychogene.. désolé j'ai pas de photo en stock.. mais il me semble que en populaire nord il y a un beau spécimen avec un tambour....

oui en tout cas ce type je peux pas le blairer...