Bien mérité s'il trouve pas club.argueti a écrit :Pour Papin ca sera Bordeaux, Le Mans ou ... rien
Quand à Furlan, j'accroche pas du tout.
Les inscriptions au forum sont rouvertes


Magnifique : que du bonheur dans ce club qui est redevenu celui des guignols !L'Alsace a écrit :Jean-Pierre Papin ne reviendra pas
Lundi, le président Philippe Ginestet indiquait vouloir discuter « de visu » en milieu de semaine avec son entraîneur pour éclaircir la situation bien obscure du Racing. Finalement, le numéro un du club en sera quitte pour des négociations téléphoniques afin de dénouer l'imbroglio actuel, qui marque le rapport entre un entraîneur sous contrat, qui ne voit visiblement plus son avenir à Strasbourg (privilégiant Bordeaux ?), et son employeur qui marche sur des Å“ufs pour pouvoir s'en débarrasser à moindre frais. Joint à New York hier après-midi, Antoine Wacker, le représentant de l'ancien Ballon d'or, présent lors des différentes réunions tenues la semaine passée au sommet, se montrait d'ailleurs assez clair quant à un éventuel passage en Alsace de celui qui est toujours, ce matin, l'entraîneur strasbourgeois, mais qui avait vidé une partie de son bureau, selon « Radio vestiaire », dès la saison achevée. « Je ne m'exprime pas au nom de Jean-Pierre Papin, mais je ne pense pas qu'il sera présent à Strasbourg, cette semaine », a indiqué Antoine Wacker lors d'une conversation qu'il a voulu la plus courte possible. « Et cette position dépend d'une donnée très simple : il n'y a rien à discuter ». On pourrait interpréter une telle présentation des faits comme une volonté de laisser pourrir une situation qui contrarie bigrement les plans strasbourgeois. Mais, muré dans un silence médiatique total, « JPP » n'a pas totalement coupé le fil de la relation au président strasbourgeois. « Je suis fatigué de cette histoire », a avoué Philippe Ginestet dans la soirée. « Mais j'ai Jean-Pierre au téléphone assez régulièrement ». La tendance décelée laisse à penser qu'une solution définitive est envisageable pour aujourd'hui. Pour un accord à l'amiable ou pour une bataille juridique finale ? Rien n'a filtré sur le sujet. Mais le paiement de l'année de contrat de Papin et de son adjoint concerne une somme totale comprise entre 500 et 600 000 euros. Entre la nomination tardive du successeur désigné, un Jean-Marc Furlan qui part en vacances … ce matin, et une enveloppe de recrutement amputée d'autant, on est au moins assuré que l'intersaison du promu alsacien ne démarre pas sur les meilleures bases.


DNA a écrit :A petits pas
Jean-Pierre Papin ne sera plus entraîneur du Racing, c'est un fait. Reste aujourd'hui à trouver un terrain d'entente pour que la séparation ne soit pas entérinée dans la douleur, devant un tribunal. Il sera alors temps d'introniser Jean-Marc Furlan.
La semaine dernière, Alain Perrin avait ouvert le bal. En posant ses valises sous le banc de sextuple champion de France lyonnais, laissé vacant par Gérard Houiller, l'ex-entraîneur de Sochaux a mis en branle les chaises musicales dans les clubs de Ligue 1. Frédéric Hantz lui a emboîté le pas, quittant le Mans pour s'installer dans le Doubs. Trois gros calibres du championnat - Lens, Bordeaux, Monaco -, sont à leur tour entrés dans la danse. Dans cette soudaine frénésie de mouvements, Jean-Pierre Papin s'est peut-être senti pousser des ailes. Fort de son expérience au Racing, sa première sur un banc professionnel, habité de cette confiance inébranlable qui le caractérise, le Ballon d'Or a en tout cas engagé une épreuve de force avec son président. Celui-ci l'avait confirmé dans ses fonctions jeudi dernier, JPP a pris dès le lendemain des contacts avec le directeur général de Lens (lire nos éditions précédentes).
« Les conditions ne sont plus réunies »
Depuis, le fil est rompu. Et hier, le président a pour la première fois dressé « un constat » qui confirme l'imminence de la rupture. « Compte tenu des faits qui se sont déroulés ces derniers jours, je considère que les conditions pour suivre une collaboration constructive ne sont plus réunies », dit Philippe Ginestet. On l'aura compris, le président s'entoure de toutes les précautions oratoires pour que cet interminable feuilleton connaisse enfin son épilogue. Si possible dans un cadre contractuel où chacun puisse y trouver son compte. En clair, Papin et son adjoint Sébastien Migné, qui sont encore liés au Racing une saison, vont négocier le « rachat » de leur contrat. Celui-ci s'élève, grosso modo, à 500 000 €. Philippe Ginestet et son directeur général, Jean-Luc Herzog, qui tient les cordons de la bourse, devraient tenter de revoir la somme à la baisse.
Les portes se referment les unes après les autres
A ce titre, ils auraient assurément aimé voir Papin trouver un club. Dans ces conditions, c'est même Strasbourg qui aurait pu « banquer. » Mais l'affaire n'en prend apparemment pas la tournure. Hier, la porte lensoise s'est déjà refermée. Guy Roux, le Bourguignon, reprend en effet du service à 68 ans dans le Pas-de-Calais. « J'entre dans une famille très unie, très chaleureuse, a déclaré le nouvel entraîneur Sang et Or, qui avait été sollicité par plusieurs clubs. Lens et Bordeaux étaient en finale. » Bordeaux, voilà peut-être la dernière destination vers laquelle Papin peut espérer se diriger. Depuis hier, l'homme s'en est déjà rapproché, puisqu'il a décidé de passer deux jours de vacances dans le Bassin d'Arcachon. Toujours injoignable, JPP a semble-t-il fait acte de candidature pour succéder à Ricardo, qui doit s'engager dans les prochaines heures à Monaco. « Nous sommes disposés à examiner toutes les candidatures, y compris celle de Jean-Pierre Papin », a ainsi expliqué le président Jean-Louis Triaud à un confrère du journal Sud-Ouest. Mais le toujours entraîneur du Racing ne tiendrait visiblement pas la corde. Didier Deschamps, qui était également en course pour le poste lensois, Laszlo Bà¶là¶ni voire Jean-Marc Furlan : voilà les noms qui reviennent le plus souvent. M 6, qui tire les ficelles du club girondin, pourrait toutefois se laisser tenter par l'image dynamique et l'aura médiatique que dégage JPP, lui qui est un ancien de la maison.
Négociations par téléphone interposé
Mais si la porte de Bordeaux venait à son tour à lui claquer sous le nez, Papin risque fort de se trouver marri. D'où l'intérêt de trouver, côté strasbourgeois, un accord à l'amiable dès aujourd'hui. Tout devrait être négocié par téléphone interposé entre les dirigeants alsaciens et les représentants de Papin. Celui-ci, attendu dans un premier temps en Alsace, ne tient visiblement pas à se dépêcher sur les lieux. Si les négociations venaient à achopper, la voie du licenciement « classique » serait alors suivie. Mais entre l'envoi d'une lettre recommandée, le délai de 5 jours à respecter avant l'entretien obligatoire et les 48 heures de réflexion qui précèdent la décision définitive, le Racing perdrait encore un temps précieux. Or, son souci est aujourd'hui d'officialiser la venue de Jean-Marc Furlan, actuellement en vacances en Nouvelle-Calédonie et qui a donné sa parole à Philippe Ginestet. Une annonce qui peut intervenir demain comme dans une semaine. Bref, on avance. Mais à tout petits pas.
Séb.K.

Source l'équipe...Si les pistes menant à Didier Deschamps, Didier Tholot ou Jean-Pierre Papin ont un temps été évoquées en Gironde, deux noms auraient particulièrement retenu l'attention des dirigeants bordelais, selon L'Equipe de mercredi : Laszlo Boloni et Laurent Blanc. Le premier est sans club depuis son licenciement par... Monaco en octobre. Le second n'a encore jamais entraîné. S'il venait à débarquer à Bordeaux, il serait assisté d'un ancien Montpelliérain (Baills ou Bernadet ?). Il aurait réservé sa réponse pour mercredi

Jijo 92 a écrit :Pauvre Sébastien Keller...
Un frustré qui a autant dû toucher de ballons qu'il a brillé par la moindre performance sportive... La critique est facile mais l'art est difficile...
Comme disait l'autre, on est journaliste quand on n'est pas expert... bref le pauvre Keller n'a eu que le journalisme pour exister... Enfin peut-on vraiment parler de journalisme pour un type qui n'a que talent que pour une critique gratuite et infondée... Il est une insulte pour le métier...
Durant cette saison, il n'a eu de cesse que de critiquer le RCS et ses acteurs qui, quoi qu'on en dise, se sont toujours battus pour un noble objectif: le défi sportif...
Et Keller continue avec ses états d'âme miteux alors qu'aujourd'hui son rôle serait de galvaniser les alsaciens et les supporters du RCS autour de l'avenir du club que chacun souhaite positif.
Cessons ces critiques viles et demandons enfin des attitudes constructives qui nous permettront de nous sortir de cette situation d'immobilisme que nous vivons depuis ces derniers jours.
Positivons enfin sur l'avenir du RCS!!