OUF !!!!!!!!
Marc Keller
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C'est vrai que la on voit que le club a changé, une crise qui dure seulement 2 jours (en ésperant que c'est bel est bien fini...) ...
Le trio Gindorf-Keller-Dugué de retour pour la saison prochaine, je suis pour...
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edit Arg : Merci de faire un minimum de mise en page et non un simple copier-coller !L'Alsace a écrit :Le retour à la raison
Après la guéguerre entre Marc Keller et l'actionnaire majoritaire Philippe Ginestet, l'apaisement a prévalu hier au Racing. Le second a accepté de redevenir minoritaire, mais pourrait tout de même prendre la présidence.
« Ça restera une tempête dans un verre d'eau. » Le président Egon Gindorf, qui aurait dû passer la main hier à Philippe Ginestet, est apaisé. Il est 20 heures hier et l'industriel allemand vient d'en finir avec deux réunions marathons. La première s'est déroulée toute la matinée dans les locaux de la Meinau entre les actionnaires minoritaires (moins Pierre Schmidt, en vacances en Afrique). La seconde s'est tenue entre ces mêmes actionnaires et l'homme qui contrôle le club avec 51 % des parts, Philippe Ginestet, dans l'oeil du cyclone depuis 48 heures pour un délit d'ingérence dans les affaires sportives. Après des échanges aigres-doux durant deux jours sur la place publique, les deux antagonistes, le directeur général Marc Keller, et son patron, Ginestet (depuis que ce dernier a pris la majorité absolue en injectant à l'automne 3,2 millions d'euros), ont rangé les sabres au fourreau. En quatre heures et demie, les têtes pensantes du club bas-rhinois ont mis à plat leur contentieux et l'ont effacé, aux dires du président strasbourgeois, appelé à conserver les clefs de la maison bleue jusqu'à jeudi au moins, puisque c'est ce jour-là , à 15 h, que les dirigeants alsaciens tiendront une conférence de presse pour détailler le nouvel organigramme. « La bonne volonté est là . Il y a eu un rapprochement entre Marco et Philippe. Nous sommes tout près d'une solution et la collaboration est encore possible. Les stigmates des querelles de ces dernières heures vont disparaître très vite. Nous avons apaisé les problèmes de famille. » Techniquement, Philippe Ginestet se prépare à revendre une partie de ses actions aux cinq autres (Egon Gindorf, Patrick Adler, Marc Keller, Thierry Wendling et Pierre Schmidt), à une hauteur a priori pas encore définie. « Il y aura un changement dans l'actionnariat », confirme le président Gindorf. Le fonctionnement devrait redevenir celui qu'il était avant l'augmentation de capital d'octobre qui avait permis à Ginestet de prendre le contrôle. Au soulagement de Marc Keller qui « souhaite que nous retrouvions la collégialité qui a fait notre force ces dernières années. Je ne cache pas que depuis quelque temps, je ne sentais pas le nouveau fonctionnement. » Pas question cependant pour le directeur général de revendiquer une gestion autocratique dont il serait l'axe central. « J'aime décider, c'est vrai, mais je rends toujours compte de mes choix à des actionnaires qui décident de la stratégie. Jusqu'ici, les six actionnaires avaient leur mot à dire. Ma volonté, celle de Philippe aussi, est de retrouver l'ambiance sereine qui présidait à nos relations. »
Puydebois arrive demain
Aujourd'hui, Marc Keller et Patrick Adler iront défendre le budget du club devant la DNCG à Paris. Philippe Ginestet, lui, sera en Belgique pour ses affaires immobilières. Tous se reverront donc ce mercredi pour finaliser l'accord de principe trouvé hier soir, mais dont les détails n'ont semble-t-il pas été arrêtés. Contre toute attente, le PDG d'Eurinvest pourrait même prendre la présidence ce jeudi, trois jours après son intronisation programmée, puis annulée, selon Egon Gindorf. « Oui, il est possible que Philippe prenne la présidence », reconnaît celui qui va donc s'effacer après deux années de « règne », mais restera évidemment au RCS, dans un rôle de « vieux sage » et de médiateur. « Aussi longtemps que le club aura besoin de moi, dans une limite de durée raisonnable, je serai là . » La crise de ce début de semaine aura en tout cas offert à Marc Keller une assurance capitale à ses yeux : la disparition d'un actionnaire majoritaire susceptible de lui imposer en force des orientations unilatérales et l'instauration d'une majorité de blocage à même de le soutenir. Que Ginestet puisse accéder à la présidence en devient donc à ses yeux presque accessoire. « La question centrale n'est pas de savoir qui présidera, mais d'éviter une majorité absolue dévolue à un seul homme, et de retrouver l'équilibre collégial qui a guidé notre action depuis deux ans. » A supposer que ce consensus soit ratifié demain, le directeur général pourra reprendre le cours normal de ses activités. Et se pencher à nouveau sur les transferts. Ça tombe à pic, puisque ce mercredi matin précisément, le gardien lyonnais Nicolas Puydebois débarquera à la Meinau pour y satisfaire à la traditionnelle visite médicale et signer ensuite un contrat de trois ans.
Stéphane Godin

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