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La première fois que j'avais emmené mon épouse, c'était contre Sochaux en plein hiver, il faisait -7°...elle avait les cuisses bleu-violet comme la couleur du racing....depuis je suis tranquilleFM75 a écrit :au match aller et défaite 0-2...première fois que j emmenais ma femme à la Meinau...
tu l'as emmenée en short pour voir la couleur de ses cuissesTenor a écrit :La première fois que j'avais emmené mon épouse, c'était contre Sochaux en plein hiver, il faisait -7°...elle avait les cuisses bleu-violet comme la couleur du racing....depuis je suis tranquilleFM75 a écrit :au match aller et défaite 0-2...première fois que j emmenais ma femme à la Meinau...
DNA a écrit :Pas de mystère à l'Ouest
Avec un seul point pris lors des trois dernières journées, le Racing a perdu sa place sur le podium de Ligue 2. Du coup, les hommes de Furlan n'ont plus le choix : il faut aller chercher la victoire à Guingamp pour ne pas laisser s'échapper le trio de tête.
« L'heure du dénouement approche. Il ne reste que cinq journées, alors forcément, on a de moins en moins droit à l'erreur », lance d'emblée Jean-Marc Furlan. Sûr qu'à l'aube de cette 34e journée de Ligue 2, le Racing n'a plus vraiment de joker à faire valoir. Et au vu du calendrier dantesque qui attend encore les hommes de Furlan, ces derniers seraient même bien avisés de décrocher les trois points en Bretagne.
Dans l'obligation de gagner
Car deux défaites (face à Lens et Tours), puis un match nul à la Meinau (face à Metz) ont précipité le Racing au pied du podium. Devenu chasseur, après avoir été chassé, le Racing se retrouve dans l'obligation de gagner au Roudourou pour ne pas voir ses rivaux prendre - définitivement ? - leurs distances au classement. Ceci une fois énoncé, reste à savoir si les Strasbourgeois ont réellement les moyens de faire tomber une équipe guingampaise euphorique après sa qualification pour la finale - 100% bretonne - de la Coupe de France. Et qui a prouvé qu'elle valait certainement mieux que sa 11e place actuelle au classement. Pour les Strasbourgeois, ce dernier point n'est pas une surprise. Car le 28 novembre dernier, l'EAG avait été la première équipe à faire chuter le RCS à la Meinau, avec deux buts signés Koné et Ogounbyiy.
« Une finale de Coupe à préparer »
D'après Victor Zvunka, le coach breton, cette victoire à l'aller est cependant à relativiser, car « le Racing était à ce moment là dans une situation difficile, avec beaucoup de blessés et de suspendus ». Certes. Mais Jean-Marc Furlan, lui, craint tout de même cette équipe guingampaise qui évolue avec l'esprit libéré. Les Bretons n'ont en effet rien à perdre, seulement « une finale de Coupe de France à préparer » (dixit Zvunka) lors de cette confrontation avec le Racing dans leur antre du Roudourou. « A part Lens, Guingamp est la plus grosse équipe de L 2, précise pour sa part le coach strasbourgeois, le club a des infrastructures de L 1, un budget important. Et surtout, c'est l'équipe qui m'a fait la plus belle impression à la Meinau. C'est d'ailleurs une des seules qui nous a donné une telle leçon ». A ce tableau, assez noir, on pourrait encore ajouter que l'En-Avant-Guingamp se présentera demain soir dans une configuration optimale. Soumah, Oruma et le maître à jouer Eduardo seront de retour sur le terrain, après avoir été mis au repos lors du déplacement de leur équipe à Tours, la semaine passée.
« Mettre en jeu notre intégrité physique »
« Le seul point positif, c'est que Guingamp aura peut être la tête à la Coupe, espère Furlan, mais sinon, c'est un match de l'extrême, comme le seront les cinq derniers matchs de la saison ».
Un match de « l'extrême » où les Strasbourgeois devront « mettre en jeu leur intégrité physique », comme l'assène le coach strasbourgeois. Car pour gagner cette rencontre, le RCS n'a guère le choix. Orphelins de leur technicien Marcos, les Strasbourgeois vont devoir faire la différence grâce à leurs « tripes ». Pour ce faire, Jean-Marc Furlan pourra heureusement compter sur le retour des « deux guerriers » du Racing, à savoir Renaud Cohade et Harlington Shereni, qui ont purgé leur match de suspension. Bref, il n'y a pas de mystère dans cette confrontation face à l'épouvantail du grand Ouest. C'est encore une fois « avec un état d'esprit remarquable » que les Alsaciens pourront s'imposer. Ne reste plus qu'à espérer que cette volonté seule suffira...
Qui à gauche ?
Avec les retours de suspension de Cohade et Shereni, Jean-Marc Furlan va réorganiser son onze de base. Et cherche toujours le nom de son titulaire sur le flanc gauche de l'attaque.
DES CHOIX A FAIRE. - Jean-Marc Furlan a décidé d'emmener un groupe de 18 pour le déplacement en Bretagne. Ducrocq - incertain après sa béquille - devrait pouvoir tenir sa place. S'il est finalement forfait, Szelesi sera sur la pelouse au coup d'envoi. Shereni (en défense centrale) et Cohade (au milieu) récupèrent leurs places de titulaires, au détriment de Paisley et Bah, de retour sur le banc (lire ci-contre).
Dja Djedje ou Gueye ?
« Il y aura du turn-over sur le banc. Ce que je veux, c'est que celui qui rentre soit décisif », a indiqué le coach, en prenant l'exemple de Ledy, qui avait offert la passe décisive à Lacour sur le 2e but strasbourgeois, à Troyes, juste après son entrée jeu. Une logique dont Kébé fait les frais, puisqu'il ne sera pas du voyage après son entrée peu convaincante face à Metz.
QUI A GAUCHE ? - « A gauche ? C'est toujours le même problème », a indiqué hier Jean-Marc Furlan. Bezzaz toujours blessé, le coach a tenté l'option Zenke, mais ce dernier n'a pas convaincu lundi. Du coup, deux noms tiennent la corde : celui de Dja Djedje (qui a déjà occupé ce poste à Troyes) et celui de Gueye (qui a tenu le couloir face à Lens). A moins que le coach ne procède finalement à une réorganisation tactique en 4-3-3, avec Bah, Lacour et Cohade au milieu et la triplette Fanchone-Traoré-Gargorov à l'avant.
GUINGAMP EN FORME. - La qualification pour la finale de la coupe de France a donné un coup de projecteur sur l'équipe de Victor Zvunka. Cette qualification, acquise face à Toulouse, vient s'ajouter à la belle fin de saison des Bretons en championnat. « Ils se sont rattrapés en Coupe, après un début de saison ratée, et cherchent maintenant à battre les gros. Avec Tours, c'est le déplacement qui fait le plus flipper », a même affirmé Jean-Marc Furlan hier.
RETROUVAILLES. - Christian Bassila, Jean-Christophe Vergerolle, Yves Deroff... la défense guingampaise est à 75% néo-strasbourgeoise. Quant à celle du RCS, elle est à 50%... guingampaise, puisque Shereni et Pelé ont évolué à l'EAG.
L'ESPRIT LIBERE. - « Pour nous, cette fin de saison est très intéressante, a expliqué Yves Deroff avant cette rencontre, après avoir mal débuté le championnat, on a bien repris le truc en mains. Là , il nous reste que des gros matchs à jouer. On n'a plus rien à perdre au classement et notre but est de prendre du plaisir, en essayant de se caler dans les 10 premiers ».
Barbara Schuster
et donc le racing va gagner