[07/08] 32ème CDF : Rouen / RCS - 0/0 tab 4/5

[lolo]

Il a joué 3 matchs en 78-79 (2 de championnat, 1 en C3), tous en tant que titulaire...

[D520]

OK MERCI

[FM17]

tu me demandes D520 la prochaine fois...

[Pinon]

Racing Dans la continuité

Jean-Marc Furlan, son staff et ses joueurs ont repris le chemin de l'entraînement, hier matin. Le Racing rejoint la Grande Motte dès aujourd'hui.

Ils ont repris sans vraiment s'arrêter. Une grosse semaine après la défaite concédée à  Caen (2-0), l'effectif strasbourgeois s'est retrouvé hier matin, à  la Meinau, pour se consacrer à  son ultime séance d'entraînement pour l'année 2007. Après quelques exercices en salle et un footing, les joueurs ont pu s'en aller préparer leur réveillon, sans envisager des agapes trop tardives.
Dès ce matin, ils sont, en effet, convoqués pour rejoindre la Grande Motte où ils prépareront leurs débuts en Coupe de France, programmés samedi, à  21 heures, à  Rouen. Dans l'esprit de leur entraîneur, ce retour à  la compétition comme sur le terrain revêt un caractère particulier. « On est dans la continuité du dernier match disputé à  Caen », considère le technicien. « On achève des vacances très courtes et on se focalise sur un match avec un double objectif : la qualification et la préparation du match de Nice ». Calé à  la 14e place du classement de la Ligue 1, le Racing, malgré une première partie de championnat satisfaisante, ne peut perdre de vue la lutte pour le maintien qui l'attend dans les mois à  venir et qui risque de concerner les deux tiers de l'élite française.

Les titulaires à  Rouen

Et rodé à  l'exercice à  la faveur de son bail à  Troyes, Jean-Marc Furlan manifeste une attention obsessionnelle à  une présence durable au plus haut niveau national. « Je rêve de remporter cette Coupe de France », a-t-il poursuivi hier. « C'est une épreuve majeure en Europe avec un nombre de participants impressionnant. Mais je sais aussi qu'il y a des contingences économiques ». Et le manager strasbourgeois a vite fait ses calculs.
Une victoire en championnat peut ramener autant d'argent dans les caisses alsaciennes qu'une victoire finale au Stade de France. Il n'est néanmoins pas question de galvauder la rencontre face aux Normands. « Comme pour tous les matches amicaux, je ferai jouer l'équipe des titulaires », garantit Jean-Marc Furlan. « L'important pour réussir dans l'opération maintien, c'est la cohésion du groupe et la compétence. Notre championnat est compliqué. Mais la Coupe de France ne le complique pas avant les 8es de finale ». Il sera toujours temps de revoir ses plans par rapport à  cet objectif, à  la mi-mars. En dehors d'un cadre héraultais original et surtout moins rigoureux que l'alsacien, entre 2007 et 2008, le Racing ne compte donc rien changer.

[FM17]

justement, j espere que ce ne sera pas dans la continuité des matchs à  Monaco, Lyon ou Caen !

[argueti]

Des Diables rouge pâle

Malgré un passé glorieux, le FC Rouen végète actuellement en championnat de France amateur. Mais en Coupe de France, les Diables rouges ont déjà  fait tomber Laval et rêvent d'un nouvel exploit, samedi, face au Racing.

« Pour les joueurs, c'est la cerise sur le gâteau », lance d'emblée Eric Garcin, l'entraîneur du FC Rouen. Le coach des Diables rouges, plus habitué aux joutes de CFA, ne boude pas son plaisir à  quelques jours de recevoir une équipe de Ligue 1 pour ces 32es de finales de Coupe de France. Une première division que Rouen a connue au début des années 80. L'équipe normande reste même trois ans au plus haut niveau, avec dans ses rangs un buteur nommé... Didier Monczuk. Mais la relégation, fin 1984, sonne le glas des ambitions normandes. Rouen a bien du mal à  se stabiliser et le maillot local vire au rouge pâle. Après un dernier sursaut - une saison en L 2 en 2003-2004 - les Rouennais dégringolent pour se retrouver en CFA. Et l'objectif - annoncé depuis deux ans déjà - de remonter les échelons ressemble à  un serpent de mer. Actuellement 7es, à  8 points de Dunkerque, leader de leur groupe, les Diables rouges (qui comptent toutefois un match en retard) devront réaliser une fin de saison canon pour espérer accrocher une place en National.

« Ils veulent prouver qu'ils peuvent rivaliser »

Dans ce contexte un peu morose, la venue de Strasbourg a tout de « l'embellie » pour Rouen, comme le répète Eric Garcin. « Ici, il y a un vrai public d'amateurs de football. Et ça fait 10, voir 15 ans qu'ils n'ont pas eu l'occasion de voir une équipe de Ligue 1, pour eux ça va être fantastique », raconte le coach. Habitués à  jouer devant 2 000 personnes, les joueurs du FCR attendent cette fois plus de 10 000 spectateurs. Et rêvent tout haut d'un deuxième exploit après avoir éliminé Laval (National) au tour précédent.

« Sur un match, on peut être la bonne surprise »

« Quand mes joueurs rentrent sur le terrain, c'est pour faire le maximum. Et comme ils vont jouer face à  une première division, ils voudront prouver qu'ils peuvent rivaliser. Sur une saison entière on sait que c'est impossible, mais sur un match, on aimerait bien être la surprise de ces 32es », poursuit encore le coach rouge et blanc. Ligue 1 en face ou pas, Eric Garcin n'a en tous cas pas bouleversé sa façon de travailler avant ce match de gala. « Je ne veux pas mettre de pression particulière aux joueurs, on va faire une préparation très classique », annonce l'entraîneur normand. Et comme à  son habitude, le FC Rouen va donc devoir compter sur un « collectif soudé et compact » et une solidité défensive à  toute épreuve pour essayer de contenir le RCS. En espérant que le buteur maison, Jean-Marie Eveno, trouve ensuite la faille comme il l'avait fait face à  Laval. « Strasbourg est une belle équipe qui sait jouer au ballon, reconnaît encore Eric Garcin, mais quand mes gars montent sur le terrain, c'est pour gagner et pas pour faire de la figuration. Quel que soit l'adversaire... »

Barbara Schuster

[silex57]

on aimerait bien être la surprise de ces 32es

Ben pas nous !

[FM17]

on a l habitude en même temps...

[Phapha]

Pas tout de suite. En quarts de finale contre une équipe de CFA2 ça aura beaucoup plus de classe.

[télésupporteur]

aucune indication de la compo prévisible du racing