Placebo19 a écrit :Par contre, l'année dernière ils étaient dit que le prochain match face au Racing serait interdit pour les supp' parisiens enfin c'est ce que j'avais entendu maintenant j'en suis pas sur
C'est tout à fait exact : Déjà condamné à disputer un match à huis clos l'été dernier, à la suite d'affrontements entre ses propres supporteurs lors d'un déplacement à Strasbourg (1er mai), le PSG avait finalement été condamné par la commission supérieure d'appel de la FFF à jouer un match sur terrain neutre.
Une conciliation du CNOSF avait néanmoins abouti à une transformation de cette suspension en une amende de 50.000 euros assortie de l'interdiction de déplacement de supporteurs parisiens à Strasbourg lors de la saison 2004-2005.
D'ici à ce qu'ils perdent contre Bordeaux en CDF, ils ne seront pas très nombreux à faire le déplacement
On risque de les retrouver dans les tribunes hors du quart reservé ...
L'Equipe.fr a écrit :L'hypothèse Fournier-Roche
Les quelques déclarations de Francis Graille, dimanche soir au sortir de la nouvelle humiliation du Paris-SG contre Lens (0-2), semblent avoir dessiné ce scénario : si le PSG se qualifie pour les huitièmes de finale de la Coupe de France, dimanche contre Bordeaux, Vahid Halilhodzic pourra espérer rester en place jusqu'à la fin de saison. En cas d'élimination, son sort serait scellé.
Dans "L'Equipe" de mardi, l'entraîneur parisien assure cependant qu'il continuera son travail malgré l'avalanche des mauvais résultats. «Je crois à mon travail et je continue avec beaucoup de détermination.» Le salut de son équipe passera par «les joueurs, dit-il : Rothen va revenir, Ljuboja va revenir, Cissé aussi et M'Bami...». Il semble cependant qu'un bras de fer se soit engagé entre Vahid Halilhodzic et ses joueurs, dont la plupart n'envisagent pas de terminer la saison avec lui. Dans les heures à venir, sa volonté de partir au vert dès jeudi pour préparer Bordeaux - Paris-SG pourrait se heurter à l'intransigeance du vestiaire.
Selon "Le Parisien", celui-ci se demande s'il lui faut jouer à fond le huitième de finale de dimanche, comme si la meilleure solution n'était pas de lâcher l'entraîneur parisien, comme les joueurs avaient lâché Philippe Bergeroo en novembre 2000 à Sedan (5-1). Le scénario d'une possible succession aurait déjà été élaboré par les dirigeants parisiens. Il consisterait à remplacer Vahid Halilhodzic par un duo recruté en interne composé de Laurent Fournier et Alain Roche, respectivement entraîneur de la réserve et membre de la cellule recrutement. Une solution qui laisserait à Francis Graille le temps de préparer l'avenir.
C'est clair, on a tellement de chance que Vahid va se faire virer dés samedi, Fournier et Roche vont prendre le contrôle, les joueurs seront pire que motivés pour prouver qu'ils ont leur place dans l'équipe et ont risque de se faire enchainer à la Meinau voilà pour le scenario catastrophe
Autrement, Vahid reste en place, on enchaine le PSG par une humiliante défaite qui scelle définitivement le sort de Vahid qui se faire direct virer après le match voilà le bon scenario
C'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches. Victor Hugo
Être riche, c'est avoir suffisamment de nourriture pour toute l'année Paysan Népalais
Tout ce qu'ils veulent c'est une France qui ferme sa gueule Dub Inc
Une qualification contre Bordeaux ne devrait rien changer à l'avenir de Vahid Halilhodzic. Lundi, ses joueurs, au bord du gouffre et secoués par leurs supporters, ont même refusé d'obéir à ses ordres. Les jours de Vahid aux commandes du PSG semblent comptés.
Surréaliste. Depuis quelques semaines, l'actualité du PSG échappe de plus en plus à l'entendement. Entre le public qui abandonne son équipe, les supporters qui s'en prennent aux joueurs ou ces derniers qui boycottent les décisions de leur coach, on se demande vraiment où va s'arrêter le climat très lourd qui pèse actuellement sur le club parisien. Et ce n'est pas le déroulement de la journée de lundi au Camp des Loges qui risque de ramener le calme au sein d'un groupe déjà chahuté depuis le début de saison par les nauséabondes affaires de « taupes ». On se doutait que la défaite de Lens – la septième des Parisiens cette saison en championnat – resterait en travers de la gorge de beaucoup de monde. Mais pas au point de mettre autant le feu aux poudres.
Pourtant, c'est bel et bien une sorte de rébellion qui s'est déployée lundi autour de Vahid Halilhodzic, dont le siège n'a jamais été aussi près de l'éjection. A l'heure où l'on commence déjà à parler de Laurent Fournier comme successeur du Bosniaque, l'entraîneur du PSG souhaitait créer son électrochoc à lui en emmenant ses hommes en stage avant Bordeaux. Une proposition soufflée par son président Francis Graille. Mais c'était sans compter sur la réaction des joueurs d'Halilhodzic, bien décidés à ne plus garder leurs états d'âme pour eux. Plutôt que de se plier aux ordres de leur entraîneur et de rejoindre le lieu de préparation avec la mine des mauvais jours, les cadres de l'équipe ont carrément opposé leur veto à la décision de « Coach Vahid ».
Les Parisiens ne partiront donc pas à l'écart pour préparer le 16eme de finale de Coupe de France face aux Bordelais au Parc. Pas plus qu'ils ne se rendront au vert dès le vendredi soir. Car, là aussi, les Pierre-Fanfan, Pauleta et consorts ont rendu une réponse négative à leurs dirigeants. On ne sait pas encore si cette réaction épidermique de l'ensemble du groupe parisien est la conséquence du début d'altercation entre certains membres de l'équipe et des supporters en colère, lundi à la sortie du décrassage. En tout cas, la rupture de divorce entre Halilhodzic et ceux qui, bien malgré eux, respectaient ses consignes il y a encore un mois, semble en phase plus qu'avancée. Pour réclamer la tête de leur coach, les Parisiens pouvaient difficilement mieux s'y prendre. Le peuple avait eu raison de Louis XVI, mais reste à savoir qui, du Roi Vahid ou de ses soldats, aura le dernier mot au PSG.
C'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches. Victor Hugo
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