un point rapide sur l'effectif mis à sa disposition
matches joués l'année dernière en national
aupic 14
donzelot 32
golliard 33
guignery 13
sichy 18
ledy 37
genghini 31
et les 21 matches de L2 de pinaud
( et j'en oublie peut-être )
en rajoutant tous les jeunes pour lesquels le niveau de l'année dernière ne signifie plus rien
alors je dis simplement que si le racing n'est pas en tête de son groupe de CFA2 à la mi-saison, il faudra savoir changer d'entraîneur et remettre keller là ou il est comlpétent, c.à.d. à la formation
télésupp, tu oublies un détail, on est en CFA2 .... quel "meilleur" entraineur accepterait de venir faire le boulot à ce niveau là ? on n'a pas le choix, on aura pas mieux que Keller, du moins pas avant le national.
un autre ancien pensionnaire de Ligue 2 (comme Ledy avec le RCS et Golliard avec Besançon) a donné son accord de principe. En fin de contrat à Châteauroux qui ne l’a pas conservé, Gauthier Pinaud sera à pied d’œuvre aujourd’hui à la Meinau pour s’entraîner d’abord, signer un contrat de trois ans ensuite. Sollicité sans suite par Vannes en début de mercato, l’ex-Castelroussin a disputé 21 matches de L2 en 2010-2011 (44 en trois saisons, 1 but)
on parle de Pinaud .....
depuis le début de la saison, il n'a pas encore montré grand chose à domicile ....
un bon centreur certes mais contre Pontarlier il n'est pas souvent passé à droite.
si le racing se debrouille bien, il a une chance de faire venir wenger en Juillet 2014. Les conditions
- monter chaque annee, le racing serait donc en L2
- renforcer le club financierement.
avant cette date, aucune chance. Il aura besoin de garantie financiere. on verra bien.
il faut comparer ce qui est comparable, qu'est ce que Wenger ferait en 2015 à la Meinau ? à son âge il pourrait prendre une retraite dorée, et c'est ce qu'il fera, faut pas rêver là
« Je n’ai pas entraîné tous les Schilikois passés par le Racing, mais certains, oui. Faire de la formation est difficile quand tu dois annoncer à un gamin que tu te sépares de lui. Je garde toujours à l’esprit le moment où il m’a fallu le dire au petit Romain Bertoli. Que c’est dur de faire comprendre à un gamin que tu aimes que tu ne le conserves pas ! Je me souviens que ses parents, qui étaient présents à l’entretien, m’avaient remercié des mots et de la manière que j’avais employés. »