[07/08] 15ème J: Strasbourg / Valenciennes : 0-0

[argueti]

Peu d'écho sur le match de demain ... On risque d'avoir du mal à  atteindre les 20000 spectateurs ...

En tout cas faut une victoire, marre de rentrer après le match sans avoir les trois points de plus au compteur ...

[raphou96]

Vu le temps de ces derniers jours Valencienne n'attire pas les foules.

Bon si j'avais pas eu une place, je n'y serait pas aller non plus

[EDES]

Une victoire, VA A L'ANCIENNE !!!
C'est pas comme en 14, mais j'aimerai revoir un Racing comme en ... Gilles a dit, ce sera dans 50 ans après 79
Pouvez pas faire un effort pour que ce soit plus tôt BDM
Après les années de transition, de foutage de gueule (Mac Proisy et le Roi (Leroy) de la connerie), la reine Catherine et son Herr Mann (En fait c'est ce co. qui a fait que Strossburi, capitale de l'Europe, "il paraît", n'a pas eu droit à  la CM98), de remontées et descentes, des promesses (Paroles, paroles , paroles, paroles, paroles, j'en ai rajoutées pour faire plus vrai),
IL Y EN A MARRE
Si Strasbourg n'est pas foutu de trouver un sponsor d'envergure pour créer un club de dimension européenne, on n'a qu'à  s'inscrire au Beach Soccer de Cantona (Encore une belle connerie, à  part voir les supportrices brésiliennes) dès fois que celà  devienne une discipline olympique
Bref, celà  fait maintenant depuis août qu'on a pas vu une victoire du Racing à  la Meinau: Alors, magnez-vous le CU.

[tredtred]

t'as juste oublié l'accent....

[Pinon]

Une lumière à  rallumer

Les Strasbourgeois ont eu quinze jours pour se remettre les idées en place après la douloureuse claque essuyée à  Monaco. Ce soir, face à  d'entreprenants Valenciennois qui le devancent de deux points au classement, le Racing devra rallumer la lumière. Histoire de se mettre au diapason des festivités, dans la capitale de Noël.

Tiens, voilà  Valenciennes. Pas sûr que cette perspective fasse lever les foules, ni même incite le public à  se rendre à  la Meinau en ce premier samedi du marché de Noël. C'est assurément un tort.
Dans l'ombre - médiatique - de Lille et surtout de Lens, les « petits » Nordistes n'attirent pas franchement la lumière. Quand un rayon les éclaire, il émane encore du néon cru des faits divers.
Une vieille histoire de petits arrangements entre malfaisants et d'argent enterré au fond du jardin qui resurgit de temps en temps, histoire de rappeler combien ces gens-là  ont souffert et longuement traîné leur misère. Il y a dix ans, « VA » évoluait en CFA. Le redressement est spectaculaire.

« Une équipe que je crains et qui a du mérite »

Aujourd'hui, la troupe d'Antoine Kombouaré traite d'égal à  égal avec les plus grands et inspire le respect, du haut de sa sixième place. Comme son homologue strasbourgeois, l'entraîneur néo-calédonien se veut le chantre du jeu offensif. Dans le Nord, il parvient à  mettre en musique une partition dont les couacs lui avaient coûté sa place sur le banc du Racing, en octobre 2004.
« C'est une équipe que je crains et qui a beaucoup de mérite, dit Jean-Marc Furlan. L'an dernier, pour son retour en Ligue 1, on lui prédisait les pires tracas. Ils se sont baladés. Dans l'effectif, il n'y a pas de noms ronflants mais les valeurs mentales et humaines font la différence. C'est bien simple, en tant qu'entraîneur, je ne les ai jamais battus. »
Voilà  exactement le genre de lacunes que le coach strasbourgeois voudrait combler. Et encore fissa. Histoire, certainement, de ne pas se retrouver la tête dans le sac.

« A Monaco, c'était trop gros pour être vrai »

Car si Furlan parle de cette rencontre comme « d'un excellent virage positif à  prendre », il sait pertinemment qu'un troisième revers de rang, ou même un nul, attirerait les siens vers le bas du classement. Avec la perspective alors plus angoissante que réjouissante de défier Lyon, Rennes, Nancy et Caen avant la Noël. Bigre.
Pour l'heure, les Strasbourgeois se montrent sereins et rassurants. L'enchaînement des cinq dernières rencontres de l'année reste « difficile mais passionnant », selon Furlan, persuadé que les siens ont bien digéré le revers domestique contre le PSG (1-2) et sauront tirer profit de la « très forte décharge prise en pleine tronche » en Principauté (3-0).
« J'ai le sentiment qu'à  Monaco, c'était trop gros pour être vrai, ajoute-t-il. Et surtout trop loin de notre prestation face à  Paris. » Va donc pour la thèse de la glissade incontrôlée ou de la sortie de route, celle qui peut se produire à  une reprise au cours d'une saison.

Près de trois mois d'insuccès à  la Meinau

Ce soir, les Alsaciens devront en tout cas se raccrocher au fil conducteur qui a guidé leurs crampons jusqu'à  cette funeste quatorzième journée. Et, partant, mettre un terme à  ce qui commence à  ressembler à  une vilaine série.
Les coups d'éclat à  l'extérieur font en effet oublier que le Racing ne s'est plus imposé à  la Meinau depuis le 25 août, pour la venue de Lens (2-1). Soit près de trois mois d'insuccès.
« Au-delà  de ce que laissent transparaître les résultats, on aime jouer à  la Meinau, assure l'entraîneur strasbourgeois. Face à  un « VA » parfois trop espiègle, qui reste quand même sur quatre défaites de suite hors de Nungesser - Le Mans Lille, Bordeaux et Lyon -, l'occasion de le prouver est offerte aux Alsaciens. Pas de cadeaux, hein !

Fatigue

Jean-Marc Furlan pourrait titulariser pour la première fois Jacob Mulenga à  la place de Wason Renteria, rentré tardivement de sélection. A droite, Kevin Gameiro tient la corde pour occuper le couloir à  la place de Fanchone.
Derrière, le Hongrois Szelesi, qui a lui aussi joué mercredi soir, pourrait être remplacé par Ducrocq. Enfin la dernière interrogation concerne l'état de forme de Bellaïd, qui a écourté son entraînement hier après-midi en raison d'une douleur à  la cuisse. Sa participation au match ne serait toutefois pas remise en cause.

Qui devant ?

Antoine Kombouaré a l'embarras du choix à  l'avant. Avec le retour de son meilleur buteur Johan Audel, ils sont quatre à  postuler pour deux places. Le Slovaque Sebo, auteur d'un doublé lors du dernier match, devrait être titulaire. Reste ensuite à  choisir entre la vitesse de Savidan, le jeu de tête de Pujol ou la réussite d'Audel, auteur de 5 buts en 7 matchs disputés.

[télésupporteur]

qu'en est'il de la participation de bellaïd ce soir

[NéRiK]

A priori titulaire.

[Keating]

Aux dernières nouvelles non ...

Habib Bellaïd, qui souffre d'une contracture à  l'ischiojambier droit, est forfait pour le match contre Valenciennes.

Aïe Aïe Aïe ...
Ducroq va devoir jouer au centre alors ... A moins que Szelezi, qui joue en sélection en défense centrale prenne cette place et laisse son couloir à  Ducroq ... Va falloir être costaud ce soir face à  la paire Savidan - Pujol qui est bien explosive

[Pinon]

Bellaid forfait

Officiellement, la décision n'était pas encore prise hier soir. Mais dans l'esprit de Jean Marc Furlan, elle ne semblait plus faire de doute. Habib Bellaid, qui a écourté l'entraînement vendredi après-midi, ne jouera pas ce soir, sauf miracle. L'international espoirs souffre d'un point de contracture à  l'ischiojambier droit, douleur qui l'avait déjà  contraint au forfait avec les Bleuets l'autre jeudi à  Colmar contre l'Arménie en amical. "Habib se dit prêt à  jouer, s'il le faut", indiquait le coach après consultation du joueur et du staff médical. "Mais les médecins estiment qu'il y a un risque, sachant qu'une vraie blessure musculaire pourrait l'eloigner des terrains jusqu'à  la trêve de Noel. C'est aussi une question de gestion d'effectif. Pourquoi forcer absolument sur un joueur? Je dois montrer aux autres que je compte sur eux."

En principe, Pierre Ducrocq fêtera donc sa troisième titularisation tout à  l'heure. La première en charnière centrale aux côtés de Grégory Paisley. Zoltan Szelesi, rentré fatigué de sélection, devrait tenir sa place sur le côté droit de la défense. Mais en cas de panne sèche du hongrois sur le plan physique, Yacine Abdessadki pourrait le suppléer en cours de partie.

Le trio Gameiro, Johansen, Mouloungui sera chargé d'approvisionner l'attaquant zambien Jacob Mulenga, titularisé pour la première fois,depuis son arrivée en Alsace

Avantage Racing.

En 25 confrontations à  la Meinau (dont 3 en L2), le RCS l'a emporté à  15 reprises contre Valenciennes, pour 7 nuls et seulement trois défaites. Le dernier succès nordiste en terre alsacienne remonte au 2 mai 1969 (1-0). Depuis, les Strasbourgeois ont enchaîné 9 victoires et 4 nuls.

[GeoGeo]

fanchonne est donc sur le banc?

en espérant que mulenga prenne sa chance et nous claque un ou 2 buts