[05/06] 3ème J: RCS / Monaco - 1/2

[Manu]

Montbéliard - lyon 03h05
Montbélard - Strasbourg 01h49

à  défaut de vouloir faire le malin renseignes toi avant et jusqu'à  preuve du contraire je suis Alsacien et non supporter Lyonnais.

[Keating]

Bah oui, mais faut savoir ce que tu veux ... si tu veux supporter le Racing, tu vas à  la Meinau ... si tu veux voir une victoire à  chaque fois que tu te déplaces, je ne sais pas si tu as bien choisi

[Manu]

Qui ne part avec l'idée de voir le Racing gagner ses matchs à  la Meinau par rapport au calendrier difficile qui nous attend ?

[ovic]

J'étais au stade hier et voici ce que j'ai à  dire :

Deux fautes défensives, deux buts, même si le but de Squilacci n'était pas valable puisqu'il le met de la main. Espérons que ce n'était qu'une erreur passagère pour Cassard. Keita nous a beaucoup manqué après son très bon début de match. Haggui m'a énormément plus hier au contraire de Devaux. Au contraire des DNA, je trouve que Boka a fait un très bon match, ce fut pour moi le meilleur Strasbourgeois en deuxième mi-temps, il devrait peut-être essayé d'aller plus vers le but, il pourrait faire mal. Lacour a fait ce qu'il a pu. Une bonne entrée de Deroff. Les frères Farnerud était à  la rue. J'espère voir Diané au prochain match à  la place d'Alex, il a été plus dangereux hier. Un match honorble de Pagis; Un très bon match de Le Pen, et je pense que le but qu'il a mit nous aidera pour les prochains match (Ah!!! La confiance!!!). Pour Gmamdia, il n'a pas eut de ballle à  exploiter, je pense qu'on ne peut pas le juger sur le match d'hier, laissons lui un peu de temps, même si on en a pas trop.
La rentrée de Hosni devrait nous faire du bien d'après ce que j'ai entendu sur lui jusque-là .

Ma mention spéciale va aux arbitres : faudrait expliquer au juge de touche (à  madame) que même si elle a un drapeau entre les mains, elle est pas obligé de le lever à  chaque fois que Pagis touche la balle. Elle nous a volée deux buts (les ralentis l'ont confirmés), et donc je pense avec ca la victoire. M. Poulat n'a pas était meilleur hier soir, compensant son premier jaune à  Bernardi, donnant un jaune à  Boka à  la fin et pas à  Bernardi, sifflant souvent alors qu'il n'y avait rien à  siffler. On nous parle du respect de l'arbitre, faudrait déjà  qu'il siffle bien. Et cette journée nous l'a encore prouvée, la vidéo devient indispensable.

Le mot de la fin : victoire obligatoire samedi à  Metz, surtout que Metz et complètement à  la rue jusque-là .

[argueti]

L'été en pente raide

Avec un nul et deux défaites, le Racing, battu hier à  la Meinau par un Monaco réaliste (1-2), se retrouve dans une position délicate avant d'aller défier Metz samedi à  Saint-Symphorien. Le derby s'annonce très chaud.

Les oiseaux de mauvais augure voudront y voir un signe. Un mauvais signe, forcément. Ce matin, après trois journées, le Racing « totalise » un point sur neuf. Exactement comme l'an passé à  la même époque. On sait où ce début de saison chaotique l'avait conduit. Ou plutôt à  quoi : à  l'éviction de son coach Antoine Kombouaré au lendemain d'un échec cuisant à  la Meinau contre Nantes lors de la 9e journée (0-2). Oui, mais voilà , ces oiseaux de mauvais augure ne tiennent sûrement pas compte de la qualité du football que développe le RCS en ces premières heures de la saison 2005-2006. Ce qui, on l'aura compris, fait une belle jambe à  un Jacky Duguépéroux certes désireux de voir son équipe séduire, mais surtout soucieux de ne pas la voir s'engluer au fond du classement. La lecture du tableau de Ligue 1, où le RCS pointe au 16e rang, doit, ce matin, lui rendre le goût des croissants un brin amer. D'autant d'ailleurs qu'il aura sans doute revu cette nuit la rencontre et eu la confirmation de ce qu'il avançait hier en salle de presse (voir ci-dessous) sans avoir visionné la cassette. M. Poulat aurait pu – dû ? – accorder à  Lacour et Pagis les deux buts qu'ils ont inscrits en première période. Et il aurait tout aussi bien pu – dû ? – refuser à  Squillaci l'ouverture du score sur une main involontaire du défenseur international sitôt le repos.

« Pas encore dans le rouge »

Aujourd'hui, Strasbourg pleure et Monaco respire. Victorieuse à  Nancy pour l'ouverture de la saison (1-0), puis battue à  Louis II par Auxerre (0-2), l'ASM de Didier Deschamps a remporté son second match en deux déplacements, avant de s'en coltiner un troisième en quatre journées le week-end prochain à  Bordeaux. « Je ne vais pas faire le difficile, parce que l'important, dans ce premier mois de compétition, est de prendre des points », réagit le champion du monde et d'Europe. « Nous avons produit du jeu, mais nous avons justement été un peu trop joueurs. Avec un peu plus de lucidité, d'adresse et de réalisme, puisque nous avons touché deux fois les poteaux, le score aurait pu être plus large. Mais j'admets que nous aurions tout aussi bien pu encaisser d'autres buts. Nous n'avons pas su trouver le parfait équilibre entre notre volonté offensive et une rigueur défensive. » Jacky Duguépéroux peut lui retourner le compliment. Piégé sur deux erreurs, son Racing a pourtant inscrit trois buts, dont deux refusés pour des hors-jeu plus que douteux. « Si le premier but nous est accordé, ça change tout », estime Amara Diané, l'attaquant ivoirien du RCS. « Nous avons essayé, mais ça n'est pas passé et nous sommes très déçus. En une soirée, nous avons cumulé les buts refusés pour hors-jeu, sans parler de celui inscrit par Squillaci de la main. Ce premier but nous a sonnés et nous avons plongé mentalement. Le coach et les dirigeants sont frustrés. » Les Strasbourgeois peuvent l'être eux aussi. Car face aux trois grosses cylindrées que sont Auxerre, Lyon et Monaco, ils n'ont jamais souffert de la comparaison. Seul leur bilan comptable fait mal. « S'il y a le feu ? Oui et non », rétorque Yves Deroff qui doit avoir quelques ascendances normandes. « Il devient urgent de prendre trois points, c'est sûr. Mais nous avons connu pire la saison dernière et nous n'en sommes pas là . Ce soir (hier), nous avons réalisé une bonne entame, comme à  Lyon, et fait ce qu'il fallait pour perturber Monaco. Le but de Micka (Pagis) était d'ailleurs valable. Même si, en 2e mi-temps, nous avons payé cash deux erreurs, je refuse de croire que nous sommes dans le rouge après seulement trois journées. » Les Bas-Rhinois pourraient cependant vite l'être si leur déplacement de samedi (20 h) chez les Grenats messins venait à  tourner au vinaigre. Le derby entre les « frères ennemis » de l'Est, respectivement 17e s et 16e s, sent déjà  le soufre.

« Redescendons de notre nuage »

Il est 20 h 15 hier en salle de presse. Jacky Duguépéroux n'a pas vraiment la tête des mauvais jours, même si son équipe vient de concéder sa seconde défaite consécutive et n'a toujours pas remporté la moindre victoire après trois journées de Ligue 1. Il commence par évoquer « une soirée cadeau, ce qui, contre Monaco, ne pardonne pas. » Puis sans chercher d'excuses, il s'attarde tout de même sur le scénario contraire de la rencontre. « La sortie de Sidi Keita (voir par ailleurs) nous a fait très mal. Le premier but encaissé aussi. Et d'après ce qu'on m'a dit, même si je n'ai pas encore revu les images, le but inscrit avant la mi-temps par Mickaël Pagis était valable. Ceci étant, une fois le but encaissé, nous avons joué battus. Nous avons réalisé une bonne première heure, mais nous n'avons pas bien réagi après l'ouverture du score monégasque. Mentalement, nous avons baissé de pied. Mais puisqu'il faut bien tirer quelque chose de positif de cette défaite, j'espère que le but inscrit dans les arrêts de jeu par Lulu Le Pen, le premier de notre saison, va complètement débloquer notre compteur. » De son banc de touche, le coach bas-rhinois assure « n'avoir pas retrouvé la fluidité dans le jeu que l'équipe avait su produire à  Lyon. » Et sans avoir besoin de sortir la calculette, il admet sans peine que « sur le plan comptable, nous ne sommes pas bien. » Avant de rectifier, puisqu'il n'est pas du genre à  courber l'échine dans l'adversité. « Ne baissons pas la tête. Vous (Ndlr : la presse) m'aviez annoncé un calendrier et un début de saison difficiles. Ça se vérifie. Il n'y a pas lieu de trop s'inquiéter. Mais c'est ch… Car si d'autres équipes sont dans le même cas que nous, nous comptons déjà  trois points de retard sur le gros de la troupe. Quand on voit les résultats, on constate combien les autres clubs se sont bien renforcés. Regardez Le Mans qui vient de passer quatre buts à  Rennes. Je veux bien qu'Auxerre, Lyon et Monaco soient des adversaires difficiles à  jouer, mais à  mes yeux, Troyes ne l'est pas moins. » Et qu'hier encore, son équipe ait pratiqué, au moins pendant une heure, un jeu séduisant ne le console guère. « Ça fait trois matches qu'on dit ça. Ça suffit. Je n'ai pas l'intention de passer pour un pleureur. Ce soir (hier), je constate que nous avons été défaillants sur le plan défensif. Quand on ne prend pas de but, on est au moins sûr de récolter un point. Ça peut arriver d'être mené au score. Mais on peut difficilement comprendre de ne pas réagir alors qu'il reste 40 minutes à  jouer. Nous avons attaqué ce championnat en nous appuyant sur les certitudes de la fin de saison passée. Mais aujourd'hui, il faut redescendre de notre nuage. Le derby à  Metz? Oui, il s'annonce chaud, mais tous les matches le seront. J'ai pronostiqué à  l'intersaison un championnat très dur. Je maintiens. »

Monaco à  sa main

Un but heureux de Sébastien Squillaci, inscrit sur une main involontaire sitôt la pause, a fait pencher la balance en faveur de Monaco.

C'est le genre de match qui peut basculer d'un côté comme de l'autre. Quand deux équipes développent un jeu sensiblement identique, fait de passes croisées dans le dos des défenses, il suffit parfois d'un rien. Tantôt une décision litigieuse, tantôt un coup de pouce ou de main du destin. Le Racing a eu droit aux deux hier soir face à  Monaco. D'abord en inscrivant deux buts refusés pour des hors-jeu contestables, pour ne pas dire plus. Sur le premier, Mickaël Pagis, sur le fil du rasoir avec la défense monégasque, adresse un centre parfait que Guillaume Lacour, auteur d'une première période « mammouthesque », convertit d'une superbe tête au second poteau. Le latéral droit de poche du RCS va, l'espace de quelques instants, croire qu'il vient de marquer le premier but de sa carrière en Ligue 1. Il longe la tribune animé d'une joie légitime, mais finit par freiner sa course en apercevant le bras dressé, synonyme de coup franc indirect pour Monaco, de l'arbitre Eric Poulat qui a suivi les indications de son assistante Corinne Lagrange (21e). Sur le second, signé par le capitaine strasbourgeois lui-même, le doute n'est même pas permis. Mis sur orbite par un tacle rageur de Pontus Farnerud qui chipe le ballon dans les pieds de ses anciens partenaires, « Pagistral » trompe Roma d'une pichenette tout en finesse. Un geste qui, pour ceux qui suivent régulièrement les entraînements, constitue sa véritable marque de fabrique. Cette fois encore, Mme Lagrange a levé son drapeau. A tort. On joue alors les arrêts de jeu de la première période. Ces deux buts refusés, qui auraient pu changer la face de la rencontre, vont coûter cher aux Strasbourgeois. Car dès le retour des vestiaires, Monaco va bénéficier d'un coup de dés, de billard ou du sort – appelez ça comme vous voulez – pour ouvrir le score. Sur un corner de Meriem, Stéphane Cassard boxe un peu mollement le ballon qui rebondit… sur la main de Squillaci et revient comme un boomerang dans les filets alsaciens. A vitesse réelle, impossible à  voir ou presque pour M. Poulat qui se dirige aussitôt vers le rond central. Mais main involontaire ou pas, ce but monégasque est pourtant de ceux qui se refusent.

Le Pen pour l'honneur

Après la rencontre, Jacky Duguépéroux stigmatisera l'absence de réaction de ses troupes. Mais à  leur décharge, il faut bien admettre qu'autant d'événements contraires ont de quoi refroidir et déstabiliser même les hommes les plus déterminés. Peu à  peu, le RCS finit pourtant par recouvrer ses esprits et retrouver son football. Comme à  Lyon, Jacky Duguépéroux jette toutes ses forces vives et offensives dans la bataille, en lançant successivement Diané et Gmamdia. Mais de son côté, Didier Deschamps a lui aussi décidé de lancer du sang frais en injectant notamment Souleymane Camara. En un gros quart d'heure, le Sénégalais va mettre le feu dans la défense alsacienne. A son actif, deux frappes sur le montant droit de Cassard (78e et 86e) et, surtout, une passe millimétrée et décisive dans la course de Chevanton, après une interception sur un ballon mal assuré par Lacour, très brillant par ailleurs. Malheureux jusque-là , l'Uruguayen ajuste cette fois sa frappe instantanée et le gardien bas-rhinois (79e). On l'aura compris : le Racing, parti à  l'abordage, frôle alors la punition. Par un juste, mais insuffisant retour des choses, il finira tout de même par réduire le score dans les arrêts de jeu, sur un magistral coup franc d'Ulrich Le Pen. Trop tard. Trop tard surtout pour atténuer ses regrets. Avec un scénario un rien moins défavorable, l'épilogue aurait pu être tout autre.

[Michel]

Vous n'en parlez pas beaucoup, mais j'aimerais savoir ce que pense les personnes présentes au stade du relâchement vers la 70ème.
C'était de la résignation, de la fatigue ?
On offre le second but à  Monaco, on leur offre le poteau de Camara (le deuxième) et on le laisse frapper tranquilement.
On a bien vu que Monaco était complètement dépassé dans les 8-10 dernières minutes du temps règlementaire, et ça on en a pris conscience au début du temps additionnel, et finalement ce dernier face à  face Pagis-Roma et le but de Le Pen.

[TCBK]

Je trouve personnellement que l'article de l'ALSACE résume bien le match, par contre celui des DNA je le trouve dur avec l'équipe qui a fait une bonne première période en inscirvant deux buts refusés injustement par la juge de ligne qui devait avoir perdu ces lunettes.

Pour répondre à  Michel l'équipe c'est éteinte progressivement après l'ouverture du score, c'est un peu compréhensible avec tant de malheur, je trouve juste dommage que les joueurs expérience comme PAGIS, LE PEN, PONTUS... n'avait pas l'air d'essayer de remmobiliser les troupes, il était peu être sonner par ce qui leurs arrivait.

Avec les entrés successives de DIANE et GMANDIA, l'équipe m'a sembler ressortir la tête de l'eau, mais c'était trop tard, à  2-0 DESCHAMPS a cadenacé l'arrière.

Maintenant, il faudra gagner à  METZ, au risque de ce retrouver relégable au soir de la 4ème journée, et de perdre confiance. Je sens que DUGUEPEROUX va devoir se mettre à  la psychologie, ce qu'il avait su faire l'année dernière après avoir remplacer KOMBOUARE.

Je reste tout de même confiant et pense que nous avons les moyen de faire une belle saison.

[Alex Barotchais]

Faut peut être un peu arreter de toujours le défendre ... à  force ca devient du fanatisme te concernant ... tu encense un peu trop le joueur tu crois pas ...

[...]mauvais match de devaux, et A Farnerud, c'est clair et net, [...]

il a fait un mauvais match [...]

tu connais la définition du mot défendre? ou encenser? ou encore fanatisme?

[Pinon]

il a fait un mauvais match d'accord, et? le banc comme punition? si on fait ça a tout les joueurs qui loupent un matche c'est pas gagné! il n'a que 20ans.

Il suffit de lire quelques messages que tu as écrit dans le Topic concernant le joueur ... ou encore la citation ci dessus ... pour remarquer que tu es très souvent derrière le joueur à  le défendre ou à  lui trouver des excuses (il n'a que 20ans...)

Ensuite tu as de toi même fait une banderole pour le joueur ... donc dit moi à  quoi elle sert si tu es pas Fan du joueur ... car si c'est juste pour le soutenir autant le faire avec d'autres joueurs qui viennent d'arriver et qui aimerait certainement avoir une banderole pour leur adaptation ... tu pense pas ...

Puis c'est bien beau de citer quelques passages que tu as écrit ... mais faut aussi dire que tu defends le joueur le passage d'après ... en signalant que si Farnerud devait débarquer sur le banc quelques joueurs devraient le suivre ... (Devaux par exemple étant donné qu'il a fait un mauvais match à  tes yeux) ...

En tout cas ... chacun à  ces opinions

[matt57]

Bousculés par Strasbourg pendant la première période, les Monégasques ont pris trois points précieux à  la Meinau dimanche soir. Un succès qui satisfait en partie Didier Deschamps, même si l'entraîneur monégasque constate encore quelques lacunes au sein d'une formation qui monte doucement en puissance.

Une ouverture du score heureuse de Sébastien Squillaci, deux buts injustement refusés à  Strasbourg : la tournure des évènements a clairement souri à  Monaco dimanche soir à  la Meinau. Surtout lors d'une première mi-temps mal maîtrisée par les joueurs de Didier Deschamps, bien conscient des lacunes de sa formation. « On n'a pas été très solides mais on s'est montré réalistes, a ainsi sobrement analysé le coach de l'ASM à  l'AFP. Tout n'est pas parfait mais je ne vais pas faire le difficile. Il est important dans le premier mois de compétition de prendre des points pour emmagasiner de la confiance et de la sérénité. Et c'est toujours agréable de pouvoir le faire à  l'extérieur. »

Il s'en est pourtant fallu de peu pour que les Monégasques rejoignent les vestiaires avec deux buts de retard. Mais deux drapeaux levés à  tort pour signaler des hors-jeux strasbourgeois imaginaires sont venus donner un gros coup de pouce à  l'ASM. Avec un peu plus de réalisme, ce sont même les joueurs de la Principauté qui auraient pu très vite tuer ce match. Mais Adebayor puis Maoulida ont perdu leur duel face à  Cassard. « On s'est créé beaucoup d'occasions mais on n'en a pas concrétisées assez, a d'ailleurs regretté Didier Deschamps. Avec plus d'adresse, le score aurait pu être plus lourd. On tire quand même deux fois sur les poteaux. Je suis quand même satisfait d'avoir gagné mais aussi de la manière, de l'animation, de l'envie de créer du danger. Même si par moments, on n'a pas toujours eu ce fameux équilibre. »

Un discours résolument positif pour une équipe qui monte progressivement en puissance. « Cela va de mieux en mieux, reconnaît ainsi Sébastien Squillaci sur le site officiel du club. On trouve des automatismes mais on doit continuer à  travailler. J'espère que cela va porter ses fruits. » Et au terme de cette soirée réussie, le plus heureux était peut-être finalement Souleymane Camara. De retour en Principauté après un prêt à  Guingamp, l'attaquant n'entrait pas vraiment dans les plans de Didier Deschamps lors de l'intersaison. Mais son entrée en jeu en fin de match lui a certainement fait marquer des points. Une passe décisive, deux frappes sur les montants : de quoi sourire. « J'avais très envie de me faire plaisir et de montrer que l'on peut compter sur moi », a juste commenté le joueur sur le site de l'ASM. Sans trop en rajouter au terme d'une soirée qui aurait quand même pu bien mal se terminer…

edit Arg : Un peu de mise en forme ne tue personne.