FC Mulhouse

[Kaniber]

Yzeure - Mulhouse 0 - 0

[Kaniber]

j'avais oublier
Mulhouse - Sarre-Union 0- 2
ça fait plaisir a lire

[Tenor]

pas facile d'être Président et de ne pas avoir à se mêler du domaine sportif...seulement voilà c'est lui qui va au casse pipe dans les coulisses, c'est lui qui se démène de recruter des sponsors, c'est lui qui est l'interlocuteur avec les politiques, c'est encore lui qui demandait il n'y a pas si longtemps des subventions identiques que le Racing : et le résultat est que l'équipe part en vrille en fin de saison, quelque part il a complètement raison de pousser sa gueulante, que ça plaise ou non, à ce niveau il y en a qui ne se rendent pas vraiment compte de l'investissement perso des personnels qui permettent à des pseudos starlettes de bien vivre, et qui n'ont rien d'autres à penser qu'au football. Un club qui a l'ambition de finir dans le haut du pavé et perdre à domicile contre le dernier fait en tout cas désordre, d’ où son mécontentement : ganz richtig
Bon virer tout le monde n'est pas la solution, sa pensée a dépassé sa colère sur le moment et ça se comprend

[Kaniber]

http://www.lalsace.fr/sport/2013/05/25/ ... u-six-mois

[Tenor]

suspension de 6 mois ???? ils sont devenus fou

ben j'attends avec impatience la sentence sur le cas Leonardo du PSG

on va voir l’équité hein

[Its_me]

En tout cas ils menaient 3-2 contre Grenoble à la 90ème minute ... et on perdu 4-3
Du coup Grenoble nous passe devant

[télésupporteur]

suspension de 6 mois ???? ils sont devenus fou

ben j'attends avec impatience la sentence sur le cas Leonardo du PSG

on va voir l’équité hein

le PSG va négocier l'effectif de l'équipe qui sera présentée lors du match contre le vainqueur de la coupe

[argueti]

Fabrice Leroux, à peine arrivé, déjà parti

À peine quatre mois après son arrivée, Fabrice Leroux, responsable commercial, communication et développement du FC Mulhouse, quitte l’Alsace pour rejoindre Beauvais. Malgré son parcours, il n’a jamais été accepté par les membres du club.

Sa vie a été consacrée au football de haut niveau. Formé au départ par Jean-Claude Darmon lui-même, Fabrice Leroux a fait le bonheur de nombreux clubs, et non des moindres : Rennes, Montpellier, Le Mans, Niort, Angoulême, Bayonne, Cherbourg. Il est même élu « meilleur commercial de France en matière sportive » en 1987. Quand, en janvier dernier, Alain Dreyfus, le président du FC Mulhouse, le convainc de poser ses valises à Mulhouse, il est persuadé d’avoir réussi un gros coup. Mais Fabrice Leroux, 67 ans, nommé responsable commercial, de la communication et du développement, quittera l’Alsace à la fin de la semaine, pour rejoindre l’AS Beauvais, qui évolue en CFA. Il s’en explique ici.

Fabrice Leroux, comment êtes-vous arrivé à Mulhouse ?

J’ai rencontré Alain Dreyfus à Paris. Il voulait restructurer le club, notamment au niveau administratif, et souhaitait que je prenne en charge tout le secteur commercial. J’ai eu un véritable coup de foudre pour un type comme Alain Dreyfus pour tout ce qu’il fait en faveur de ce club.

Comment se sont effectués vos premiers pas à Mulhouse ?

Disons qu’il s’est immédiatement posé un problème d’organisation, de prospection et de relationnel. Dès qu’il y avait une personne trouvée pour un rendez-vous, il se trouvait toujours quelqu’un à l’avoir vue avant moi. Passé le cap de la surprise, je m’en suis ouvert au président, d’une gentillesse extrême. Il a son fonctionnement qui lui appartient, c’est le « big boss ». J’ai d’ailleurs du mal à comprendre qu’il investisse comme ça à fonds perdus. Je lui ai fait comprendre que si le club devait être structuré, il était impensable de continuer à fonctionner comme aujourd’hui. Mais ce n’est pas l’organisation qui me fait quitter Mulhouse aujourd’hui.

« Je suis tombé sur un mur »

Pourquoi quittez-vous donc le club alors que vous étiez sous contrat jusqu’en juin 2014 ?

Quand j’ai voulu mettre en place une structure administrative et commerciale digne de ce nom, je suis tombé sur un mur, tant sur le plan du secrétariat que sur les bénévoles qui gravitent autour de ce club et qui sont toujours là, en permanence. Dès mon arrivée, j’ai été considéré comme le vilain petit canard, prêt à dénoncer, l’œil de Moscou du président. Celui-ci pourra vous le confirmer, je ne lui ai jamais fait de rapport sur ce qui se passe à l’intérieur du FCM. Vouloir réorganiser le club va à l’encontre de l’intérêt de certains, des habitudes qui existent parfois depuis 40 ans. Des bénévoles ont les clés de tous les locaux, je n’ai même pas eu celles du portail… Il y a une forme de relais, principalement le matin. Il y a toujours quelqu’un du groupe des bénévoles à être présent, à ouvrir les portes, à répondre au téléphone, qui a toutes les clés. Ce n’est pas logique dans un club.

« Le président ne dirige pas le club »

Quel est votre avis sur la vie du club ?

Le président, c’est lui qui paye, mais ce n’est pas lui qui dirige le FC Mulhouse. La plaque tournante du club est le secrétariat. Dès que je demandais quelque chose, le ton montait très rapidement. Le problème du FCM, c’est qu’il y a un mélange des genres entre le travail, le groupe de bénévoles et la famille. Tout est lié. À un moment, j’ai même été gravement insulté et je me suis fait bousculer violemment. D’entrée, certains ont voulu me mettre dans un placard. Dans ce contexte du bénévolat, c’est la raison pour laquelle je m’en vais.

Le FCM végète depuis 15 ans en CFA. Que doit-il faire pour en sortir ?

Il n’y a pas de mystère. Il n’y a pas que l’équipe une, mais aussi les jeunes, les infrastructures. En CFA, il faut un truc tout simple. Le FCM a besoin d’un manager général qui a autorité – je dis bien autorité – sur le personnel, y compris le commercial, et les bénévoles.

Le club éprouve également de grandes difficultés pour attirer des partenaires.

Mais son service commercial est trop éparpillé ! Il y a trop d’intervenants. Et il n’y a pas d’osmose entre les uns et les autres, chacun considère que c’est sa chasse gardée. Le président demande de la cohésion, mais personne n’écoute ou ne répond. Et chacun s’estime indispensable dans la gestion de tel ou tel dossier. C’est comme si Gharib Amzine s’entourait de cinq ou six bénévoles pour entraîner l’équipe autour de lui. Quand j’ai débuté, 80 % des recettes étaient de la panneautique, avec les maillots, les programmes des matches et un calendrier mural. Ce modèle est dépassé. Aujourd’hui, 80 % des recettes se font sur les relations publiques, les VIP, la communication d’entreprise. S’il n’y a pas de structure pour faire du réceptif, tu ne peux plus faire de recettes. Une des faiblesses d’Alain Dreyfus, c’est qu’il n’est pas entouré par des chefs d’entreprise qui ont du pouvoir sur la place locale. Et qui ont un carnet d’adresses fourni. C’est indispensable si on veut avoir de l’ambition.

« Il y a un énorme potentiel ici »

Comment voyez-vous l’avenir du FCM ?

Alain Dreyfus n’a pas d’autre choix que de donner un grand coup de poing sur la table. Ce n’est pas aux bénévoles d’avoir les clés du paradis. On n’achète pas le pain chez le boucher… Le président a la chance d’avoir un nouvel entraîneur et des joueurs qui sont adorables. Son équipe n’a pas trop mal tourné cette saison. Avec les U19, U17 et U15 au plus haut niveau, le FCM est le premier club en terme de formation en Alsace. Avec tout l’argent qu’a investi Alain Dreyfus jusque-là, avoir son équipe en CFA est un vrai gâchis qui me désole. Je suis convaincu qu’il y a un énorme potentiel ici, y compris en terme commercial. J’ai adoré cette région que je quitte avec regret. Et je souhaite beaucoup de succès à Alain Dreyfus.

Recueilli par Marc Wilb

[Tenor]

ce n'est pas un peu le bordel à Mulhouse où chacun fait comme il l'entend d'après l'IW

[télésupporteur]

j'avais l'impression qui parlait d'un racing il y a peu