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 Autant que ce soit réglé le plus rapidement possible et que l'équipe n'engrange pas de la déception après la fin de match regrettable à Vesoul ...
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DNA a écrit :« Ça reste un rêve »
Au sein du Racing, beaucoup de joueurs découvrent cette saison la Coupe de France. Une compétition qui fait toujours rêver…
On le sait, la Coupe de France n’est pas une priorité pour le Racing en cette saison 2011/2012. Mais cela n’empêche pas les Strasbourgeois d’être toujours en course… et de montrer une réelle envie de poursuivre leur parcours. Et ce, d’autant plus qu’une bonne partie des troupes de François Keller découvre cette saison cette compétition mythique.
« Avoir une grande équipe à la Meinau, ce serait super »
« J’ai déjà joué la Coupe d’Alsace, mais là, c’est quand même plus prestigieux, plus attrayant , lance ainsi Steven Keller. Et si jamais on passe ce tour, on pourra rencontrer une Ligue 1. » Se mesurer à un “gros” tel est le rêve de nombreux footballeurs qui évoluent aux étages inférieurs. « La priorité, c’est le championnat, explique ainsi Adel Benchenane. Mais avoir une grande équipe à la Meinau, ce serait super. »
Même son de cloche du côté de Thomas Martin. Le milieu de terrain, formé au Havre, a lui aussi découvert la magie de la Coupe de France avec le Racing. « Quand on est un “petit”, c’est une compétition historique. Parce qu’on peut rencontrer un “gros”. Ça permet de rêver. On joue au foot pour ce genre de match. Passer encore un tour serait vraiment bien. Arriver en 32 es, ce n’est pas rien. » Pour Thomas Martin, il y a d’ailleurs une vraie différence de perception de cette Coupe de France, selon qu’on se situe du côté “pro” ou du côté “amateur”. « Les équipes de L 1 et L 2 n’envisagent pas cette compétition de la même manière. Elles mettent des équipes “bis” sur le terrain. Mais pour des joueurs comme nous, ce genre de matches permet de nous montrer. »
Bref, « la Coupe reste un rêve » (dixit Martin), « surtout pour des joueurs qui n’ont encore rien gagné ». Mais à la différence de ses compères Keller et Benchenane, Thomas Martin ne cracherait pas… sur un nouveau “petit” au tour suivant, si d’aventure le Racing passe l’obstacle Pontarlier. « Continuer contre un petit, pourquoi pas ? », lance ainsi le milieu de terrain. Mais si jamais le Racing affronte un gros, le milieu est prêt à relever le défi. « Tomber contre une équipe supérieure permettrait de nous étalonner, de voir comment on se comporte. Ce genre de match, si on le gagne, permet d’avoir ensuite plus d’ambition et plus de confiance. »
Mais avant de rêver à une belle affiche, il faut se défaire de Pontarlier. Une mission qui s’annonce tout sauf simple…
Barbara Schuster

 je vois strasbourg favori, je vois meme un strasbourg sans pression.
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A partir du 6ème tour, chaque équipe perçoit une somme de 1 500 euros. Durant les tours suivants, les équipes vainqueurs touchent 6 000 euros au 7ème tour jusqu'à 560 000 en demi-finale. Le vainqueur de la Coupe de France 2008-2009 empochera, quant à lui, près de 700 000 euros pour sa victoire finale.

Pinaud est opérationnel. Absent depuis sa blessure à l’adducteur gauche à Dijon le 23 octobre, Gauthier Pinaud a repris l’entraînement collectif mardi matin et sera du déplacement en Coupe de France ce samedi (15h) à Pontarlier. Le retour de l’ailier droit, d’abord annoncé absent jusqu’à la trêve hivernale, est une bonne nouvelle pour un François Keller confronté prochainement à une cascade de suspensions.

c'est juste du foutage de gueule 5 matchsRacing Dans le dur dans le Doubs ?
le 10/12/2011 à 05:01 par S.G. (avec M.C.)
Éloigné des pelouses durant un mois et demi pour une blessure à l’adducteur droit, Gauthier Pinaud effectue sa rentrée. Son sens du débordement pourrait être un atout précieux, même s’il devrait débuter la rencontre sur le banc. Archives Jean-Marc Loos
Éloigné des pelouses durant un mois et demi pour une blessure à l’adducteur droit, Gauthier Pinaud effectue sa rentrée. Son sens du débordement pourrait être un atout précieux, même s’il devrait débuter la rencontre sur le banc. Archives Jean-Marc Loos
Pour la première fois depuis son entrée en lice, le RCS affronte à 15 h au 8 e tour de la Coupe de France un adversaire de son calibre. Il va devoir aller chercher son billet pour les 32 es chez son seul vainqueur de la saison, Pontarlier, déjà tombeur de Besançon (National) et Amiens (Ligue 2).
Le Racing a failli ne pas passer l’été. Mais en Coupe de France, il se verrait bien passer l’hiver et avoir le bonheur de disputer un 32 e de finale les 7 et 8 janvier, de préférence contre une Ligue 1 à la Meinau. Entré au 3 e tour à Weyersheim, le club bas-rhinois a effacé ses cinq premiers obstacles (Weyersheim, Mutzig, Duttlenheim, Kronenbourg et Verdun) sinon sans trembler, du moins sans concéder de but. Mais il n’a toujours affronté que des adversaires de niveau inférieur.
Cet après-midi (15 h) lors du 8 e tour, ce sera une autre paire de manches. Ou de crampons, si vous préférez. Pour son 6 e déplacement consécutif, l’équipe de François Keller est attendue de pied ferme dans l’antre de son seul tombeur 2011-2012, le CA Pontarlier, vainqueur à la Meinau le 24 septembre (2-1). Le CAP, 3 e du groupe C de CFA 2, le devance d’un point (32 contre 31). Mais ce classement est évidemment faussé par le match en retard que les Racingmen disputeront dans quelque temps à domicile face à Neuves-Maisons (1).
Sans en faire une obsession, François Keller n’a évidemment pas oublié le revers de ses troupes fin septembre à la Meinau. « Ce sont deux matches totalement différents. Le premier a eu lieu chez nous en championnat. Le deuxième se déroule chez eux en Coupe. Mais qu’ils soient venus gagner à la Meinau doit nous amener à plus de vigilance. Le meilleur moyen de sortir de ce traumatisme, c’est d’y replonger. Pontarlier a prouvé lors des deux tours précédents, en sortant Besançon (18 e de National, 1-0) et Amiens (17 e de Ligue 2, 3-1), qu’il constituait un gros morceau à domicile. À nous de faire du mieux possible pour essayer de passer. »
S’il évoque logiquement un environnement hostile - « c’est normal pour un 8 e tour à l’extérieur » -, le technicien bas-rhinois s’attend plus à un bon match de foot qu’à un combat. « Cette saison, nous avons été surpris par l’animosité de beaucoup de nos adversaires. Ça n’a pas été le cas avec Pontarlier. Les Franc-Comtois nous ont battus chez nous à la régulière, à la loyale. Ce sont des joueurs de foot seigneurs. S’ils ont baladé Amiens au 7 e tour, ce n’est pas pour rien. »
« La Coupe est révélatrice »
Son homologue pontissalien Jean-Luc Courtet, dont l’équipe a concédé samedi dernier à Schiltigheim sa 2 e défaite (1-0), se réjouit lui aussi d’avance d’une rencontre couperet très prometteuse. « J’aurais signé pour vivre de nouveau un match comme celui-là face à une grosse opposition. On espère que ce sera serré. Ça voudra dire qu’on est dedans. Mais Strasbourg va sûrement être vexé de sa défaite à la Meinau et jouera sans doute avec moins de pression qu’en championnat où, autour de lui, il y a beaucoup d’attente. Notre but est de faire douter les Strasbourgeois et de nous appuyer sur les 2000 personnes qui seront derrière nous. Ça nous servira dans les moments chauds et il y en aura. »
Désireux d’entamer 2012 plutôt par un 32 e que par le match en retard contre Neuves-Maisons, F. Keller répète à l’envi que « la Coupe n’est pas un objectif en soi », mais que le Racing « aborde chaque match pour le gagner. » D’autant qu’il voit dans une épopée en Coupe un accélérateur de croissance pour un effectif loin d’être à maturité. Son gardien Vauvenargues Kéhi en témoigne : « Comme le dit le coach, la Coupe est souvent révélatrice de l’état d’esprit et de la cohésion d’un groupe. Jusqu’ici, aucun match n’a été facile, mais nous nous en sommes toujours tirés. »
Certes. Mais jamais, jusque-là, l’adversaire n’avait paru aussi coriace.
Pontarlier : Laurent (g), Ménestret (g) – R. Marguier (?) ou Giroux, Jacquet, Pretot, Vieille, Journot, Bonnet, Benkara (cap), Roussel, Letellier, Tournier, Khrimou, Schulzendorf, De Morais, André. Entraîneur : Jean-Luc Courtet.
Strasbourg : Kéhi (g), Duki (g) – Donzelot, Radisavljevic, Golliard (cap), Modeste, Keller, Martin, Coulibaly, Genghini, Pinaud, Benchenane, Sichi, Sow, De Jong, Ledy. Entraîneur : François Keller.
(1) Ce match, reporté lors de la 1 re journée le 20 août alors que le RCS pro n’avait pas encore été liquidé judiciairement, sera fixé sitôt l’élimination du club strasbourgeois en Coupe de France.
Echo : Guignery suspendu cinq matches. Expulsé samedi dernier à Vesoul pour un coup de coude à la face de Julien Lux, le latéral gauche du Racing Vincent Guignery a pris cher hier en commission de discipline. L’ancien Niortais va devoir purger cinq matches de suspension. Il ne rejouera au mieux que le 28 janvier à la Meinau contre Belfort Sud.