[08/09] 37ème J: Strasbourg / Reims : 3-2

[argueti]

Ben regarde juste au dessus

[fan_racing]

Si Reims venait à  apprendre que trois points leur sont retirés avant de nous affronter, ça risque de leur porter un coup au moral.

[FM17]

on va gagner

[nikos68770]

Infos Billetterie :

14000 billets vendus ce matin

Source : Journal du Racing sur top music

[Keating]

Sévérité pour Reims et Nîmes

La commission de discipline de la LFP a infligé de lourdes sanctions à  l'encontre des divers acteurs de la bagarre déclenchée à  la fin du match Reims-Nîmes (2-1), comptant pour la 32e journée de L2, le 17 avril dernier. «Quatre matches ferme ont été infligés à  Mickaël Tacalfred (Stade de Reims), trois matches fermes à  Salim Arrache, Younousse Sankharé et Christophe Mandanne (Reims), ainsi que deux matches ferme à  Mickaël Colloredo, Mehdi Mostefa, Jean-Jacques Mandrichi et Johan Cavalli (Nîmes Olympique)», indique le communiqué de la LFP. Les deux entraîneurs, Luis Fernandez (Stade de Reims) et Jean-Michel Cavalli (Nîmes Olympique) ont eux écopé «de deux matches avec sursis d'interdiction de banc de touche et de vestiaire d'arbitres».

Fabrice Harvey, directeur commercial du Stade de Reims, et Jérôme Arpinon, entraîneur-adjoint du Nîmes Olympique, sont par ailleurs interdits «de banc de touche, de vestiaire d'arbitres et de fonctions officielles jusqu'au 31 décembre 2009». Enfin, les deux clubs devront s'acquitter «de 75.000 euros d'amende». Ces sanctions prendront effet le lundi 25 mai 2009 à  00h00.

Ca aurait pu être bon pour nous ... Ben non
Ca me rappelle quand ils étaient sympa avec le PSG l'année dernière Ca sert à  quoi d'avoir pris si longtemps pour prendre ces décisions ? Simplement à  que Reims ne soient pas trop plombée pour sa fin de saison ... Ils ne seront embêtés que pendant un match ....

[argueti]

Un Racing hors cadres

La défaite de lundi à  Boulogne (1-0) l'a encore confirmé : en l'absence d'éléments majeurs, le RCS se transforme en équipe de Ligue 2 « immature et inconstante », selon son entraîneur Jean-Marc Furlan. Un constat maintes fois dressé cette saison.

C'est un fait. Incontestable et avéré. Qui témoigne de la fragilité de l'équilibre trouvé par le Racing cette saison et, surtout, des limites de son effectif. À chaque fois que les maladies, blessures, sélections et autres suspensions se sont conjuguées au pluriel, le club strasbourgeois s'est retrouvé en difficulté, perdant matches et points. Lundi à  Boulogne, les absences de Steven Pelé (suspendu, mais de retour vendredi contre Reims), Harlington Shereni et Emil Gargorov (touchés à  la cuisse et encore forfait face aux Rémois dans 48 heures, le Bulgare étant même out jusqu'à  la fin de saison) se sont révélées préjudiciables. Faut-il s'en étonner quand on sait qu'un Marcos, remis d'une blessure aux cervicales, et un Zoltan Szelesi, freiné par un long séjour sur le banc, n'avaient plus joué depuis le 13 avril à  Lens ? Le Brésilien, d'ordinaire si précieux, n'a rien réussi de bon au stade de la Libération. Pas vraiment une surprise après une longue indisponibilité. « Il suffit de deux blessés et d'un suspendu pour que nous soyons moins bons », constatait à  chaud un Jean-Marc Furlan qui a déjà  cent fois - ou presque - établi cette constatation. « Cette défaite à  Boulogne est à  l'image de notre saison et d'une équipe capable de signer de gros matches comme de passer à  côté. Nous ne sommes pas les seuls. Montpellier, Tours, Boulogne et Metz, Lens même à  un moment donné, sont confrontés à  ces sautes de rythme. C'est pour ça que le championnat est aussi serré. J'ai connu des millésimes de L 2 bien meilleurs. » À Strasbourg, 2008-2009 pourrait se résumer par cet aphorisme : un ou deux êtres vous manquent et tout le collectif est dépeuplé. Moins d'impact, moins d'application - peut-être pas d'implication - et le RCS repart ainsi de Boulogne avec le sentiment d'être passé à  côté de son match et de quelque chose. « On a été poussifs et timorés », enrage un Grégory Paisley qui, s'il a parfois péché dans la relance, s'en est bien sorti dans son duel viril, mais correct avec Grégory Thil. « Je ne comprends pas. J'ai du mal à  y croire, car c'est incroyable. Nous pouvions tout tuer et nous n'y avons même pas mis les moyens. C'est à  l'image de notre saison. Nous donnons le bâton pour nous faire battre. Nous avons senti tout de suite que nous n'y étions pas. Tu as beau rameuter tes troupes et gueuler, quand le problème est collectif, c'est insoluble. » À deux journées de la fin, le RCS garde tout de même un atout dans son jeu, selon le coordinateur sportif Ferhat Khirat : « Contrairement à  nos adversaires, nous avons notre destin entre nos mains. »

« Nous jouons avec le feu »

Peut-être, mais avec un déplacement à  Montpellier pour la clôture le vendredi 29 mai, il est hautement conseillé aux Bleus de s'imposer vendredi (20 h 30) à  la Meinau face à  un Stade de Reims au bord du précipice. « C'est vrai que nous avons encore notre destin en main », acquiesce Paisley. « Mais nous jouons avec le feu et les nerfs de nos supporters. » Même s'il assure « ne pas avoir peur », l'ex-capitaine envisage toutes les hypothèses. « Cette défaite à  Boulogne est une déception d'autant plus grande que nous connaissions les enjeux. Tu as le droit de perdre chez les Boulonnais, mais seulement s'ils te sont vraiment supérieurs. Là , ils n'ont pas produit un niveau de jeu très élevé. Ça donne une idée du nôtre. Nous savons que nous pouvons très bien jouer la montée à  la 95 e minute du dernier match à  Montpellier. Nous y sommes préparés depuis le début de saison et n'en sommes pas surpris. » Personne ne l'est effectivement. Mais dans l'encadrement et l'environnement des Bleus, cette certitude de longue date n'empêche pas une pointe d'angoisse de poindre.

Stéphane Godin

[FM17]

Ah les blessés....heureusement que nous avons l effectif le plus étoffé de la L2 hein ? Tours perd Keseru, leur meilleur joueur et ne pleure pas...
Que ces perpétuelles excuses me gonflent...Quand tu vois le Racing sans fond de jeu (on balance de grands ballons devant), tu n as pas le droit de parler d absences...on ne voit pas de bloc équipe...le système n évolue jamais...Il manque un mec à  gauche ? et bien on met des mecs dont ce n est pas le poste (Cohade, Marcos, Bah) au lieu d essayer d adapter le jeu avec les forces en présences...Trop d espace entre Cohade/Lacour et les mecs de devant, Marcos ne révélant d une lenteur absolue au poste de meneur de jeu...Traoré est trop esseulé aussi...Le racing a mieux joué quand Bezzaz est rentré et que un 2è attaquant à  été aligné..

[supppourtjs]

Tu sais très bien que notre logique du placement des joueurs n'est pas la même que celle du coach.

[fan_racing]

Sans animosité, vous auriez mis qui à  gauche, sachant que Bezzaz ne pouvait pas tenir un match ?
Je n'aime pas non plus les excuses à  répétition, mais force est de constater que Furlan a raison sur le point des blessés : avec un effectif au complet, nous avons fait des matchs sympas. Tours perd Keseru ok (d'ailleurs ils ont fait un nul à  Reims, ceci dit ça n'a sans doute pas grand chose en rapport avec sa blessure), nous on perd Gargorov, Pelé, Shereni, et on récupère Marcos et Bezzaz qui ont à  peine un match de CFA dans les jambes. Il y a une nuance. La connerie de Furlan n'est pas de penser que les blessures nous ont handicapé, car c'est le cas ; sa connerie, c'est de le répéter en permanence, car ça finit par lasser.

[fan_racing]

En revanche, aujourd'hui devrait tomber la décision sur le retrait ou non de leur trois points glanés contre Brest. Ils sauront donc avant vendredi s'ils peuvent encore espérer quelque chose ou non.