Association support RCS

[RACING1906]

Evoluer, ça veut dire descendre plus bas ou disparaître ?

[PoY]

Quelques bribes du compte-rendu du débat sur le RCS au conseil municipal

Robert dénonce les "amitiés personnelles" qui interviennent dans ce dossier dans le traitement qu'en a la municipalité.
Pour Robert, celui qui investit doit avoir "les pleins pouvoirs", pouvoir "décider librement du choix des fournisseurs", il doit avoir un droit de regard sur les dépenses de l'associations.
Pour Robert, "il y en a assez d'entendre parler des historiques". "Il faut laisser ceux qui financent s'organiser comme ils l'entendent".
Robert regrette que des personnes qui n'ont "jamais mis un euro dans ce club dictent leur loi". Il évoque le cas de M. Ancel qui intervient "en sous-marin", "à quel titre ? Avec quel droit ?"
Robert : "'il n'appartient à personne de dire aux responsables du club avec qui ils doivent travailler".
Robert : "Il faut s'interroger sur l'utiliter à garder un centre de formation". Il évoque une fermeture provisoire du centre de formation qui forme des joueurs qui partent ailleurs.
Robert : "tout le monde essaie de manipuler tout le monde".
Alain Fontanel : regrette les contre-vérités et insinuations de M. Robert, mais il reconnaît que c'est un dossier compliqué.
Fontanel : "la liquidation n'a pas suffit à liquider le passif". (première nouvelle, il semblait que la liquidation liquiderait tout le passif, c'est ce que la Municipalité nous a pourtant vendu en vantant son "plan B" )
Fontanel :les difficultés viennent de la phase de transition, l'association n'est pas organisée tant dans ses statuts que dans ses moyens ( ). La SAS de Sitterlé est encore une coquille vide.
Fontanel : la convention de gestion aujourd'hui signée sera validée dans les prochaines semaines par le préfet. Si Sitterlé veut se retirer, il peut le faire. (ou comment le motiver...)
Fontanel : le centre a perdu son agrément et les joueurs ont perdu l'obligation de jouer au RCS. Mais des solutions existent avec des contrats de formation.
Fontanel : le centre de formation, c'est l'avenir du club. Tant qu'il reste un club, il faut garder le centre.


Fontanel : nous attendons que Sitterlé et Spielmann assument leurs responsabilités
Fontanel : [...] Mais nous souhaitons que chacun prenne ses responsabilités.
Fontanel : chacun, aujourd'hui, doit prendre ses responsabilités.

[argueti]

Un audit pour faire taire les rumeurs…

Alain Fontanel a annoncé hier que la Ville allait diligenter un audit pour faire la lumière sur les rumeurs de malversations au sein de l’association Racing.

Les rumeurs ont débuté à l’automne dernier. Dans un entretien dans nos colonnes (DNA du 19 février), Frédéric Sitterlé avait en effet pointé du doigt des « mauvaises habitudes » prises par certains au sein de l’association Racing. « Il y a eu certaines rémunérations indues, certaines commissions touchées… Quand j’ai pris l’engagement de financer le Racing, on m’a annoncé un déficit prévisionnel de 1,2 million d’euros. En prenant la présidence (de l’association), je me suis rendu compte que le déficit était de l’ordre de 2,3 millions d’euros », avait notamment indiqué l’entrepreneur de Blodelsheim.

Des propos forcément peu appréciés par Patrick Spielmann, qui avait, à plusieurs reprises, argué de sa probité. « En quinze ans de présidence, je n’ai jamais touché un euro », a d’ailleurs encore précisé le président de l’association hier. Ces rumeurs sont revenues, hier, dans la bouche de Jean-Emmanuel Robert lors du conseil municipal. Mais l’élu UMP n’a pas souhaité trancher ce débat où la parole de Frédéric Sitterlé va à l’encontre de celle de Patrick Spielmann. « Je ne sais pas qui a raison ou tort, parce que dans cette affaire, tout le monde essaie de manipuler tout le monde », a lancé le conseiller municipal de l’opposition.

Des propos entendus par Alain Fontanel. « Si vous avez connaissance de malversations, vous devez saisir la justice. Procéder par insinuations, c’est dangereux », a ainsi rétorqué l’adjoint de Roland Ries. Ces joutes politiques une fois achevées, reste une proposition, qui a fait l’unanimité : celle de faire un audit pour trancher (enfin) ces questions de gros sous et, si possible, assainir l’atmosphère autour du club. « Avec cet audit, on en saura plus. Cela permettra de bien connaître la situation et d’en tirer les conséquences nécessaires si besoin », a indiqué Alain Fontanel.

« Cela veut bien dire que vous partagez nos insinuations, a alors rebondi Jean-Emmanuel Robert. J’espère que cet audit sera diffusé avec transparence. » Sur ce point-là, c’est Roland Ries lui-même qui s’est chargé de répondre à l’opposition. « Ayons cet audit et rendons le public ! Cela paraît nécessaire pour y voir plus clair. » Il n’est pas certain que l’examen financier des comptes de l’association règle tous les problèmes. Mais il permettra peut-être de lever quelques doutes…

Strasbourg : relire le compte-rendu du débat sur le RCS au conseil municipal

[alphons]

aujourd hui tous ces jeux de mots ne sont que querelles de gamins. On s'en fou que l'association ait payé certains fournisseurs plus que normal, ce n'est pas la peine de faire un audit, ca coute de nouveau de l'argent...

il faut faire une croix sur le passé et se concentrer sur le futur

Premiere solution
1. validation de la convention
2. demissions des membres de l'association
3. Virement de l'argent de Sitterlé

Deuxieme solution
1. Rachat de la Marque rcs que detient Sitterlé, depart de Sitterlé
2. Investissement des historiques qui financent la fin de saison et la prochaine saison.

L'arrivee à court terme d'un investisseur exterieur me parait peu probable. Aujourd'hui il faut des actes. Le temps des paroles est passée.

[argueti]

aujourd hui tous ces jeux de mots ne sont que querelles de gamins. On s'en fou que l'association ait payé certains fournisseurs plus que normal, ce n'est pas la peine de faire un audit, ca coute de nouveau de l'argent...

Un acteur du club m'a dit un jour : "Tu sais, tout coute plus cher quand tu t'appelles Racing Club de Strasbourg. Tous pensent qu'il y a (avait) beaucoup d'argent".

[PoY]

Surtout quand il n'y a pas de mise en concurrence

[alphons]

logique, d'ou l'obligation de bien negocier et de faire des appels d'offres.

[argueti]

Surtout quand il n'y a pas de mise en concurrence

Est ce que j'ai dis qu'il n'y avait pas de mis en concurrence ? Faut arrêter de mettre tout dans le même paquet

[PoY]

Toi non, mais Sitterlé et Chauveau oui

[RACING1906]

Tu peux aussi faire baisser les prix en baissant le niveau de prestations.

C'est peut être ça le hic.