[09/10] 31ème J : Strasbourg / Metz - 1/1

[Bou]

1-1 reste 3 min

[raphou96]

Un point de plus !

[supppourtjs]

1 bon point pour le RCS et 2 points de perdus pour Metz.

[julio-césar]

Dingue l'écart entre ces 2 équipes, quelle fludité de jeu et entente collective coté messin .

[fab]

match vu sur eurosport.

Difficile de se faire une opinion. Un but assez opportuniste face à une équipe de metz dominatrice presque tout le temps.

Là ou on est vraiment faible c'est au milieu de terrain, ce qui ne nous permet pas de poser le jeu! Franchement sur ce match, on a pas l'effectif pour jouer la montée... A noter aussi: les relances de la defense sont toujours difficiles, mais ça tient beaucoup au fait que personne ne se rend disponilbe au milieu!

Cassard: Correct. une belle intervention mais au final n'a pas eu grand chose à faire.
Lacour: Volontaire comme d'habitude, mais maladroit offensivement. Je le préfère qd même au milieu
Maire: Bonnes interventions. Un match propre.
Sikimic: rassurant par son engagement. Bon match. A noter des relances assez faibles de l'axe, mais dont l'origine est pour moi un manque de dispo de l'équipe.
Othon: Bon match également, même si je le préfère en milieu gauche.A bien tiré ses coups francs
Rodrigo: je l'ai pas souvent vu. Fais partie de ce milieu de terrain qui est la cause de l'absence de jeu du racing
Bah: Quelques offensives qui font que j'aime bien ce joueur. Doit faire mieux
Brahmia: de la volonté, quelques beaux gestes, de l'audace.; Doit être plus régulier et peser plus que par des coups d'éclat
Gargorov: Là aussi, quelques beaux gestes et orientations de jeu. Mais globalement peu influent. encore blessé comme d'hab
Carvalho: un but opportuniste.un peu maladroit même si c'est pas son pire match; au niveau global de l'équipe.
Gueye: a bien provoqué. des phases intéressantes. Mais globalement à l'image des autres.
Fauvergue: toujours précieux en point d'appui, bon retour
khiter: pas vraiment vu, mais j'ai tendance à le confondre avec brahmia
baning: apporte un certain impact physique au milieu, mais ce n'est pas vraiment ce dont on a besoin...

En conclusion, on a vraiment un gros manque dans cette equipe: la présence d'un ou de deux milieux relayeurs qui permettent de poser le jeu et de transmettre le ballon devant dans des conditions acceptables.
On a des joueurs de types defensifs mais limités dans ce domaine: rodrigo, baning, lacour et juste apres on a des joueurs de "rupture" type gueye, carvalho ou gargorov pour crée des breches.

Le role de relayeur est tenu par bah voire Bramhia quelque fois, mais ces joueurs sont encore un peu tendre pour cela. En face rocchi, cardy voire johansen c'etait autre chose...

Au final c'est un bon point de pris...

[argueti]

On a quand même les occasions pour tuer le match et on les met pas au fond.

Pour moi on ne gagne ce match lors de la blessure de Bah qui tenait le ballon au milieu, Baning est mou comme c'est pas permis ! Il joue au ralenti c'est pas possible ...

Quant a Carvalho, hormis son but, pour moi il n'a rien d'un aillier, a raté des choses pas possible

Pour le reste, je te suis fab sur le manque d'un milieu relayeur qui fait remonter le ballon.

Palme a Brahmia pour s'être battu jusqu'au bout !!!

[argueti]

Un petit pas de plus

Globalement dominés par les Messins, les Strasbourgeois peuvent apprécier le point pris hier, à la Meinau, au terme d'une rencontre verrouillée. Le Racing conserve sa marge d'avance sur les relégables mais il reste du chemin avant d'assurer le maintien.

Dans une ambiance de gala, avec des kops qui s'en sont donné à gorge déployée et même un propriétaire du club, Alain Fontenla, premier arrivé dans la corbeille présidentielle, il a flotté comme un parfum de grand soir. Messins et Strasbourgeois se sont quittés dos à dos, peut-être pas bons amis, car, finalement, la bonne affaire n'est pour personne. Basile De Carvalho, grâce à qui le Racing a pu entrevoir la lumière, n'est pas dupe, même s'il a préféré rester positif : « On laisse Guingamp et Châteauroux à cinq points. Il faut que l'on reste vigilant, le maintien risque de se jouer jusqu'au bout. »

La bande à Janin a évité la grosse tuile

Au moins, la bande à Janin n'a pas laissé la pente savonneuse caractériser sa dernière quinzaine. En tenant tête aux Lorrains, elle a oublié (un peu) la piteuse défaite enregistrée à Tours (2-0). De plus, elle a évité la grosse tuile qui aurait pu sanctionner les débats. Janin s'est ainsi montré lucide en constatant que « Metz a montré plus d'aisance technique ». Désolé pour les voisins messins, au regard de l'ensemble du match, le petit pas en arrière est donc pour les Grenats. Loin de ces considérations, le Racing n'en a cure et il a bien raison. Pour la clôture de la 31e journée, les locaux ont mordu dans la rencontre comme un enfant dans son lapin en chocolat. Gargorov a fait montre de son envie pour afficher une disponibilité enjouée quoique passagère. Mais l'énorme "occase" a été pour Metz avec une tête de Mendy au-dessus. L'emprise était bel et bien alsacienne en un quart d'heure aussi rassérénant que la suite allait inquiéter. Car Johansen s'est révélé progressivement dans un bon jour. Et la puissance messine a enquiquiné au possible une équipe comme le décrit si souvent son coach : volontaire mais sans talent. Lacour, Rodrigo et les autres ont eu le mérite de mettre de l'intelligence dans la bataille. Mais les corners ont succédé aux mauvaises relances de joueurs repositionnés et empruntés. Il a fallu guetter l'erreur adverse et les hoquets d'une mécanique en apparence bien huilée. Et comme un paradoxe si évident dans le déroulement d'un match, alors que les petits Bleus n'ont jamais semblé autant en manque d'oxygène avec un ballon fuyant, la lumière a jailli dans l'entrebâillement du cercueil où les vagues lorraines étaient proches d'engloutir le camp alsacien. L'espoir d'un improbable hold-up n'a pas duré. Les guerriers strasbourgeois ont quitté le pré, touchés à divers degrés. Gargorov, Bah et Gueye remplacés l'un après l'autre, ceux qui sont demeurés sur le pré ont progressivement perdu haleine. L'égalisation messine a procédé d'une certaine forme de logique. Elle n'est pas intervenue avant la pause quand le Racing a joué un temps à neuf, quand Sikimic se faisait soigner et Gargorov, blessé, demeurait statique comme un piquet.

Le gardien strasbourgeois peut revendiquer une partie de ce 37e point

L'égalisation a suivi le repos. Et la 2e mi-temps a semblé durer comme un jour sans pain. Encore que le favori mosellan s'est refusé à se ruer sur le but de Cassard. « J'ai des regrets, a lâché Yvon Pouliquen, l'entraîneur visiteur après coup. Notamment après l'égalisation. On a mis un quart d'heure pour se remettre à rejouer. Il ne restait qu'un quart d'heure. » Il a paru bien long pour l'épatant Brahmia qui n'a eu de cesse de courir dans tous les sens, mais pour finir par perdre haleine. Sur le flanc droit de la défense strasbourgeoise, Lacour s'est efforcé de colmater les brèches que Bessat a tenté de créer dès son entrée. Mais finalement, les acteurs les moins actifs de la rencontre révèlent la teneur globale des débats. Marichez et Cassard auraient pu opter pour le jogging plutôt que le short en une soirée printanière un peu frisquette. Le gardien strasbourgeois peut revendiquer une partie du 37e point pris cette saison repoussant une volée presque décisive de Johansen qui, au fond, aurait placé le Racing dans de sales draps.

Les forces ont manqué

Solides en première mi-temps, à défaut d'être brillants, les Strasbourgeois ont manqué de force et de conviction pour préserver leur avantage. Le premier but de Basile De Carvalho au Racing n'a pas suffi.

CASSARD (****) : n'a pas eu à s'employer lors d'un premier acte où les Messins n'ont pas cadré la moindre frappe. Son premier ballon "chaud", il le ramasse au fond de ses filets, lorsque Mendy vient placer sa tête au-dessus de Maire. Décisif, sur la reprise de Johansen (81e'), grâce à une parade spectaculaire.
LACOUR (****) : en l'absence de Pichot, blessé, le capitaine à tout faire a reculé d'un cran pour occuper le flanc droit de la défense. Face à Pied puis Bessat, il s'est sobrement acquitté de sa tâche, en dépit d'une mise en route délicate, à l'image de l'une ou l'autre relance mal assurée.
MAIRE (***) : une entame solide face à Wiltord, l'ex-international ne parvenant que rarement à se défaire de son marquage serré. Quelques interventions tranchantes, comme ce retour dans les pieds de Mendy, parti pour aller défier Cassard en tête à tête (34e'). Battu dans les airs par Mendy sur le but égalisateur (56e').
SIKIMIC (****) : est parvenu à placer les attaquants messins sous l'éteignoir en première mi-temps. Ses bons jaillissements, parfois loin de sa surface, ont régulièrement brisé l'élan adverse. Sa présence à l'autre bout du terrain sur les coups de pied arrêtés a aussi enquiquiné la défense grenat. A connu plus de difficultés sur la fin.
OTHON (****) : a démarré la rencontre sur les chapeaux de roues à travers des montées rageuses dans son couloir gauche. Passeur heureux, mais décisif, sur l'ouverture du score lorsqu'il reprend en force un ballon dégagé par la défense mosellane, pour son huitième "caviar" de la saison. Moins tranchant sur la fin, comme le reste de la troupe.
RODRIGO (****) : a abattu sa part de boulot dans l'entrejeu face à Rocchi et Cardy, qui ont longtemps peiné à ressortir les ballons proprement. A eu la balle du 2-1 sur la tête, mais sa reprise était un poil trop décroisée.
BAH (****) : n'a pas ménagé ses efforts pour remporter la bataille du milieu. La valeur de son impact a pu se mesurer à sa sortie, sur blessure, lorsque BANING (51e') a pris le relais de manière moins avantageuse.
BRAHMIA (*****) : l'amateur de la bande à Janin a croqué à pleines dents dans la partie, une première frappe dans le petit filet (12e') le mettant visiblement en confiance. Le petit ailier a apporté sa fraîcheur, son insouciance et sa vivacité, sans pour autant bâcler le travail défensif. Peut-être le meilleur strasbourgeois hier soir.
GARGOROV (**) : le Bulgare est un être fragile. Pimpant durant un premier quart d'heure enlevé, il s'est progressivement éteint après avoir mis une dernière fois Vivian au supplice sur un crochet. S'est arrêté de jouer à la 40e', victime d'une douleur à la cuisse droite. Remplacé par FAUVERGUE (46e, ***), de retour après six semaines d'absence en raison d'une blessure à la cheville. Le meilleur buteur alsacien a mis quelques minutes avant de retrouver ses repères et de placer une tête non cadrée. A ensuite délivré un ballon de but à Gueye, stoppé dans son élan par l'arbitre.
DE CARVALHO (***) : l'ex-Brestois ne manque pas de volonté, c'est indéniable. Mais il peine à se montrer constant dans l'effort, ses dribbles étant finalement rarement efficaces. A eu le mérite d'inscrire son premier but sous le maillot bleu, d'une astucieuse reprise (31e'). Laisse toutefois une impression mitigée, au regard d'un déchet trop important.
GUEYE (***) : en-dehors d'une frappe initiale contrée par Borbiconi (2e'), l'international espoir a rarement eu l'occasion de se mettre en évidence dans le rôle d'attaquant de pointe, les ballons exploitables étant rares. Replacé sur le côté après la rentrée de Fauvergue, il croit faire le plus dur sur une déviation du grand attaquant et une frappe en pivot. Mais l'arbitre lui refuse le but, pour s'être aidé de la main (70e'). Remplacé par KHITER (77e'), dont les accélérations n'ont pas suffi à déstabiliser la défense.

François Namur

[argueti]

Pas si nul que ça

Malmené une bonne partie du match par une solide équipe de Metz, le Racing a décroché le point du nul ce lundi soir lors du derby de l’Est (1-1). Dans sa situation, il s’en contentera largement.

Battu sans jouer face à Tours il y a 10 jours, le Racing ne s’est pas rattrapé sur le plan comptable ce lundi soir face à Metz, mais au moins, il a retrouvé certaines valeurs. Dans sa situation peu enviable, c’est déjà pas si mal. Au terme de ce derby, il pointe ainsi toujours au 15e rang de la Ligue 2, avec cinq unités de plus au compteur que le premier non relégable, Châteauroux. A l’heure du sprint final, c’est encore trop juste pour pouvoir se libérer. Mais sa prestation pleine de courage face à une équipe de Metz supérieure collectivement laisse de l’espoir à l’heure de se déplacer chez un concurrent direct au maintien, Istres ce vendredi à 20h.
Privé de ses deux défenseurs latéraux, Stéphane Pichot (blessé) et Jean-Alain Fanchone (relégué en équipe réserve par Pascal Janin pour un écart de comportement), le onze strasbourgeois apparaissait profondément remanié tactiquement, avec Guillaume Lacour et Quentin Othon redescendu d’un cran dans leurs couloirs respectifs, et Magaye Gueye seul en pointe, en lieu et place d’un Nicolas Fauvergue tout juste revenu de blessure et laissé sur le banc au coup d’envoi.
C’est pourtant les Racingmen qui démarraient le mieux la rencontre, emmenés par un Farez Brahmia virevoltant pour sa première titularisation à la Meinau en championnat. Le petit lutin ludovicien allumait les premières banderilles, en reprenant d’abord dans le petit filet extérieur un corner joué en retrait par Gargorov (12e), puis en obtenant deux bons coups francs aux abords de la surface de réparation lorraine. Mais au terme de ce premier quart d’heure plutôt enthousiasmant, les Messins s’installaient dans le camp strasbourgeois et faisaient passer des frissons dans le dos des quelque 17000 spectateurs de la Meinau, d’abord par Borbiconi (17e), puis Vivian (27e), tous deux sur corner. C’est le moment que choisissait le Racing pour ouvrir le score, un peu à la surprise générale. Sur un nouveau corner de Gargorov de la gauche, le ballon revenait dans les pieds de Quentin Othon qui déclenchait une frappe un peu écrasée, déviée dans la lucarne de Marichez par un Basile de Carvalho esseulé à l’entrée des 6 mètres. Sur le coup, tout le monde croyait au hors jeu, mais l’ancien Brestois avait eu la bonne idée de ne pas bouger alors que toute la défense lorraine remontait. C’est le premier but du Sénégalais sous les couleurs du RCS.

Pouliquen : « Ils se sont arrêtés de jouer »

Cette avance au score n’était qu’une illusion. Au retour des vestiaires, Emil Gargorov d’abord, Mamadou Bah cinq minutes plus tard, étaient tous deux contraints de céder leur place sur blessure (voir ci-dessous), remplacés respectivement par Fauvergue et Baning. Ce nouveau remaniement tactique n’était pas la cause de l’égalisation messine, mais pour sûr, il n’aidait pas les Strasbourgeois à régler leurs difficultés dans l'organisation collective. Peu avant l’heure de jeu, Metz refaisait donc son retard grâce à une tête croisée de Mendy légèrement déviée par Arnaud Maire, suite à un corner de Jérémy Pied de la droite (56e). Pas de quoi crier au scandale, d’autant plus que les hommes d’Yvon Pouliquen ne relâchaient plus leur emprise jusqu’au coup de sifflet final. « Après notre égalisation, ils se sont arrêtés de jouer, analysait d’ailleurs l’ancien coach du Racing au terme de la rencontre. On a terminé plus fort qu’eux. » Tellement plus fort que Pascal Johansen, l’enfant du pays, ne devait de manquer la cible qu’à une incroyable parade de Stéphane Cassard après un joli centre au cordeau de Vincent Bessat, entré en jeu dix minutes plus tôt (81e). « Metz joue la montée, nous on joue le maintien, ce sont deux objectifs diamétralement opposés. Sur ce qu’on a vu ce soir, on est obligé de se satisfaire de ce match nul », avouait objectivement le buteur strasbourgeois du soir, Basile de Carvalho. Avant d’ajouter, lucide : « Dans notre position, il vaut mieux prendre un point que zéro. » Un point qu’il est toujours possible de faire fructifier si les Strasbourgeois ont la bonne idée d’aller décrocher leur première victoire à l’extérieur de la saison ce vendredi à Istres.

Les notes des joueurs

Cassard 6. Othon 5,5. Maire 6. Sikimic 6,5. Lacour 5. Rodrigo 4. Bah 4,5. Gargorov 4 (Fauvergue 5,5). Brahmia 7. Gueye 5. De Carvalho 5,5.

Les échos de la Meinau

Une banderole malgré tout. Jean-Claude Plessis, entré officiellement en fonction au poste de président du RCS la semaine dernière, a rapidement rencontré les différents groupes de supporteurs. Ces entrevues ont porté partiellement leurs fruits. Le nouvel homme fort du Racing, qui avait demandé que les banderoles hostiles à l’actionnaire majoritaire du club, Alain Fontenla, disparaissent du kop strasbourgeois, a ainsi vu à l’entrée des équipes le message suivant être déployé par les Ultra Boys 90 : « On fait confiance à Plessis mais… Fontenla, on n’oubliera pas comme ça. » Alain Fontenla, accompagné hier soir en tribune présidentielle de son porte-parole Olivier Kachkach, a sans doute pris bonne note.

Gargorov et Bah touchés. Le match face à Metz a fait quelques dégâts dans les rangs du Racing. Emil Gargorov, victime d’une élongation en fin de première période et remplacé par Nicolas Fauvergue à la mi-temps, est sans doute déjà forfait pour le déplacement à Istres vendredi. Mamadou Bah, lui aussi touché avant la pause, souffre d’un hématome au tibia. Sa participation au prochain match dans le sud de la France n’est en revanche pas remise en cause.

Brahmia joueur du mois de mars. Le jeune milieu de terrain du Racing, Farez Brahmia, auteur d’une belle rentrée hier soir, a été élu meilleur joueur du mois de mars par les internautes du site internet officiel du RCS. Le Ludovicien a recueilli près de 30% des suffrages, et devance Stéphane Cassard et Guillaume Lacour au classement.

Fabien Rouschop

[baskath]

la lumière a jailli dans l'entrebâillement du cercueil où les vagues lorraines étaient proches d'engloutir le camp alsacien

Ca, c'est de la métaphore !

au terme d'une rencontre verrouillée

S'il y a un match que je n'ai pas trouvé verrouillé à la Meinau cette saison, c'est bien celui d'hier !

Je trouve tout le monde un peu dur hier. C'est vrai que les messins avaient une circulation de balle supérieure aux strasbourgeois, mais je ne trouve pas que l'on puisse parler d'un point de hold-up quand même. Les deux équipes ont eu des occasions, et je trouve le partage des points mérité pour Metz comme pour Strasbourg.

[urotsukidogi]

Pour ceux qui ont vu le match, Brahmia a-t-il vraiment été le meilleur hier soir? Faut-il vite lui faire signer un contrat?