Jean-Claude Plessis
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Re: Jean-Claude Plessis
alors s'il n'y a rien à gagner , quel est l'intêret ??
- Keating
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Re: Jean-Claude Plessis
Cool, on sait déjà à quoi servira l'argent de Gameiro ...L'Alsace a écrit : Plessis : une sortie à négocier
Comme souvent en pareil cas, il ne faudra guère attendre une confirmation officielle du départ de Jean-Claude Plessis avant quelques jours, voire plusieurs semaines. Mais comme révélé dans notre édition d’hier, le président du Racing quittera prochainement ses fonctions. Sous contrat à durée indéterminée, mais avec un engagement moral de cinq ans, l’ancien patron du FC Sochaux devra évidemment être dédommagé. Le montant de son indemnité de départ fera l’objet de discussions qui devraient logiquement retarder l’annonce de son éviction. Ce dossier financier vient s’ajouter à la liste des litiges en cours depuis l’arrivée des nouveaux propriétaires.
Le premier concerne le premier président de l’ère londonienne, Julien Fournier, qui, dans l’absolu, peut prétendre après son limogeage à une indemnité maximale de 1,3 million d’euros. Le club a provisionné 100 000 euros pour régler cette affaire. On doute que cette somme suffise si l’ex-PDG du RCS obtient gain de cause. Une audience de conciliation organisée début septembre n’a débouché sur aucun accord amiable. J. Fournier a donc engagé une procédure aux Prud’hommes dont l’issue pourrait ne pas être connue avant fin 2011.
Son successeur à la présidence, Luc Dayan, est lui aussi toujours en conflit juridique avec les propriétaires du club. « Racing Investissement (Ndlr : la holding de tutelle du RCS que contrôlent Hilali et Fontenla) a reçu deux injonctions de payer du tribunal, mais a fait appel. Les Londoniens refusent de verser les 75 000 euros HT correspondant aux trois derniers mois de ma mission. Je leur réclame toujours cette somme, mais aussi désormais un dédommagement pour le préjudice subi. »
Enfin, l’ancien entraîneur Pascal Janin, viré en juin alors qu’il était sous contrat jusqu’en 2011, n’a pas lui non plus trouvé de terrain d’entente. Les avocats des deux parties n’ont pas rompu les ponts, mais une action aux Prud’hommes semble là aussi se dessiner. Dans ce cas, le RCS encourrait un risque un peu supérieur à 200 000 euros (préjudice compris).
- urotsukidogi
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Re: Jean-Claude Plessis
On va réussir à se faire reléguer administrativement juste à cause des procédures à notre encontre si ça continue
30/10/09 Ca y est le racing est en national
06/01/10 Euh c'est peut être la CFA
Mais heureusement sur FM 2010, on peut jouer de la CFA (même CFA 2, les gars on peut faire mieux!!)
Bon ça y est les conneries sont finies on est en L1!!!!!!!!!!!!!!!!!!
06/01/10 Euh c'est peut être la CFA
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Re: Jean-Claude Plessis
Comme déjà souvent répété, l'argent injecté dans ce club ne sert qu'à payer les procédures en cours des dirigeants qui s'approprient la gestion sans que personne n'en a à redire .
GRESS avait mille fois raisons et ça se confirme à nouveau
Comment voulez-vous faire fonctionner un club dans ces conditions
Si ça reprend à se tirer dessus dans les coulisses, le club sera mort et définitivement
GRESS avait mille fois raisons et ça se confirme à nouveau
Comment voulez-vous faire fonctionner un club dans ces conditions
Si ça reprend à se tirer dessus dans les coulisses, le club sera mort et définitivement
- lolo
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Re: Jean-Claude Plessis
Le dossier Gress est-il déjà passé aux prud'hommes?
Je refuse d'admettre que l'humanité soit si tragiquement vouée à la nuit privée d'étoiles du racisme et de la guerre, que l'aube brillante de la paix et de la fraternité ne puisse jamais poindre.
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Re: Jean-Claude Plessis
j'ai quand meme l'impression qu'on approche de la fin !!
- argueti
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Re: Jean-Claude Plessis
Il est invité jeudi dans Planète Racing, j'attends sa confirmation ...
L'histoire est en marche ...
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Re: Jean-Claude Plessis
Faut faire vite !
"Tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort" Nietzsche.
- Jeter
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Re: Jean-Claude Plessis
peut faire un direct de Toulouse !!!
- argueti
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Re: Jean-Claude Plessis
L'ALsace a écrit : Plessis ouvre la porte
S’il assure que son départ n’est pas encore acté, le président confirme qu’il devrait quitter le Racing dans quelques jours. Sauf à reprendre les rênes que lui a subtilisées le propriétaire Jafar Hilali. Plus qu’improbable.
C’est un réflexe chez Jean-Claude Plessis : nier d’abord l’évidence, quitte à devoir la reconnaître ensuite au fil des événements. Ainsi, après l’annonce de l’imminence de son départ dans notre édition du dimanche 3 octobre, le président du Racing Strasbourg est-il monté sur ses grands chevaux et a-t-il farouchement démenti.
Mais moins d’une semaine plus tard, l’ancien patron du FC Sochaux admet à mi-mots qu’il s’apprête à quitter ses fonctions. Il rencontrera son actionnaire Jafar Hilali jeudi à Paris pour formaliser son retrait. Même s’il assure que son départ n’est pas acté et se donne une chance de rester à condition de reprendre la main, tout le monde a bien compris que le point de non-retour est atteint. Lui prétend qu’il s’en ira de son propre chef. Mais dès l’autre vendredi, Hilali a confié à pas mal de monde avoir pris la décision de le virer.
Jean-Claude, votre départ est-il inéluctable ?
Il n’est pas acté. Les données sont simples : si je peux reprendre la main, je reste. Mais si Jafar Hilali confirme vouloir la garder, je m’en vais. Je dois le voir jeudi à Paris pour lui faire rencontrer des spécialistes de la construction des stades. Nous discuterons de tout ça ce jour-là.
Son action contre les supporters (1), à laquelle vous n’avez pas été associé, confirme qu’il ne vous consulte plus…
La fracture entre nous date de sa rencontre à Paris le 14 septembre avec le président de la Région Alsace, Philippe Richert, à laquelle il a associé Jacky Kientz (Ndlr : président du RCS de 1990 à 1992, nommé vice-président du conseil de surveillance le 22 septembre) sans m’en informer. Jusqu’à cette date, j’assume tout. Je n’ai pas signé les lettres de licenciement des salariés. Je l’assume aussi. J’avais dit à Jafar que sa montée en première ligne lors de la réunion face aux supporters mercredi n’était pas une bonne idée. J’étais prêt à prendre les coups à sa place. Il n’en a pas tenu compte. On en voit aujourd’hui les conséquences. Un actionnaire n’est pas toujours un excellent dirigeant. Pour l’être, il faut aimer le foot, être animé par la passion. Un club ne se regarde pas derrière un écran d’ordinateur.
Négocierez-vous jeudi les conditions de votre départ ?
Oui, s’il me confine à un rôle de président bis. Mais ce sera une négociation très simple. Je ne cherche pas à faire fortune sur ce coup-là. Je ne m’en irai pas fâché, mais avec tristesse. Ma mission sera terminée plus tôt que prévu.
S.G.
(1) Chahuté vendredi par les inconditionnels de la Meinau alors qu’il n’assistait pas au match (en dix mois à la tête du club, il n’a assisté à aucun), le financier londonien a décidé hier de fermer leur quart de virage lors des trois prochains matches à domicile et menace de jouer à huis clos jusqu’à la fin de saison.
L'histoire est en marche ...