lequipe a écrit :Le suspense a pris fin et Strasbourg va pouvoir se reconstruire. Selon nos informations, Jean-Claude Plessis va être nommé président du RCS. L'ancien président de Sochaux remplacera ainsi Luc Dayan. Mis sur la brêche par la Ligue en début de semaine, Alain Fontenla (actionnaire majoritaire du club avec Jafar Hilali) arrondit ainsi les angles avec ses ennemis en mettant en poste Plessis, ancien dirigeant de la commission marketing de la LFP.
Mais c'est quoi ce bordel encore Encore un changement à la va-vite
L'Alsace a écrit :Jean-Claude Plessis président du Racing Strasbourg: c'est le dernier rebondissement du feuilleton strasbougeoois. Selon le site de RMC, l'ancien président du FC Sochaux succède à Luc Dayan. « Strasbourg est un club intéressant, a répondu l'intéressé aux questions de nos confrères. Il y a un gros challenge. Cela va me permettre de sortir de ma torpeur. J’ai été contacté par les deux actionnaires. On s’est rencontrés. On s’est mis d’accord. Je vais remplacer Luc Dayan. Il y a quelques difficultés avec la mairie mais je vais m’en occuper. Je suis prêt à foncer. J’ai confiance. Il y a un beau projet mais c’est compliqué. C’est pour cela qu’on a fait appel à moi (rires). Je vais rencontrer les joueurs la semaine prochaine. Je suis là pour construire dans la durée. »
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Très belle manoeuvre de Fontenla, et surtout très bonne pioche (un ancien salarié PSA, c'est forcément bien )...
Je refuse d'admettre que l'humanité soit si tragiquement vouée à la nuit privée d'étoiles du racisme et de la guerre, que l'aube brillante de la paix et de la fraternité ne puisse jamais poindre.
Avec de la chance il viendra boire des verres à la Couronne !
Dans la soirée du mercredi 4 juin 2008, Jean-Claude Plessis est conduit au commissariat de Montbéliard. Après un barbecue avec des amis dans la journée, et ayant fini la soirée dans un bar, Jean-Claude Plessis, passablement éméché s'en prend à des fonctionnaires de police alertés par des riverains, refusant ensuite de s'excuser. Il est alors plaqué contre le mur, arrêté pour «outrage à agents» puis menotté. «C'est vrai que j'ai dit un mot désagréable, mais qui ne me semble pas insultant», témoignera-t-il jeudi 5 juin 2008 dans le journal l'Est républicain, après avoir retrouvé ses esprits.
Manu, tu sais, t'es vraiment un gars chouette et je t'apprécie énormément...
('tin, pas envie de finir en tôle à Montbé, moi... )
Je refuse d'admettre que l'humanité soit si tragiquement vouée à la nuit privée d'étoiles du racisme et de la guerre, que l'aube brillante de la paix et de la fraternité ne puisse jamais poindre.
Je refuse d'admettre que l'humanité soit si tragiquement vouée à la nuit privée d'étoiles du racisme et de la guerre, que l'aube brillante de la paix et de la fraternité ne puisse jamais poindre.