On reconnaît bien ceux qui n'ont pas connu les deux dernières grandes époques du Racing (77-81 et 91-94) qui correspondent précisément à la présence de Gress à la tête de l'effectif (la période Weller tenait la route également mais le taux de remplissage du stade était curieusement inférieur).
En 91-92, le Racing était en L2 mais la Meinau ne désemplissait pas. Leboeuf, Keshi, Etamé... L'équipe avait de la gueule et les mecs marchaient au pas. Le chassé-croisé avec Bordeaux était incroyable et le niveau de ces deux formations digne de la L1.
Fernandez? Why not...mais je reste très étonné par l'enthousiasme que sa venue soulève. Sans doute une popularité acquise à la radio...
Du coup, tout cela tient un peu du dialogue de sourds. Entre nostalgiques et plus jeunes nourris à la sauce C+...
J'ai confiance en Specht pour trouver l'homme idoine. Patience donc. Plus que deux fois dormir les enfants...
Personnellement, je ne me sens pas capable de porter un jugement sur aucun des noms cités.
Mais on ne peut pas dire que "l'enthousiasme" dont tu parles ne puisse venir que de la "sauce Canal +" ! Fernandez a tout de même un palmarès sympathique en tant qu'entraîneur : une Coupe des Vainqueurs de Coupe, une Coupe de France, une Coupe de la Ligue, deux places de vice-champion (France et Espagne) par exemple. Ca justifie un espoir, qu'on ne peut pas uniquement porter sur le compte de son aura médiatique.
Sinon, je voyais sur Infosport Rudi Garcia très malheureux d'avoir été sorti de Lille, et penser que tous les postes d'entraîneurs de L1/L2 étaient pourvus, et donc s'attendre à une période de chômage. Ce serait dommage, non ?
est ce vraiment bon de vouloir un entraineur par nostalgie?
Les dernieres expériences de gress en tant qu'entraineur se sont soldées par un désastre. ça fait 9 ans que sa carrière n'a rien donné de positif.
Alors pourquoi pas un ticket Gress+ xxx, xxx etant un jeune technicien qui assurerait la gestion et l'entrainement du groupe alors que gress superiviserai (et motiverai) tout ça
Si un problème a une solution, il ne sert à rien de s'inquiéter. S'il n'en a pas, s'inquiéter n'y changera rien
Les administrateurs du RCS se réunissent ce matin. Pour valider enfin le nom du nouvel entraîneur ? Luis Fernandez, qui a confirmé avoir été contacté, et Gilbert Gress, qui se refuse à le faire, paraissent être les deux plus sérieuses hypothèses. Les seules ?
Si l'on se réfère à la ligne de conduite adoptée par les dirigeants du Racing et leur nouveau président Léonard Specht depuis une semaine, il n'est pas certain que l'on connaisse aujourd'hui le nom du nouvel entraîneur strasbourgeois. Pour la même simple et bonne raison, rabâchée ces quinze derniers jours par les décideurs bas-rhinois : pas question de dévoiler l'identité du successeur de Jean-Marc Furlan tant que le cas de ce dernier ne sera pas réglé.
Or, le toujours coach a rendez-vous demain matin à Paris avec le RCS pour une réunion de conciliation devant la commission juridique de la Ligue de Football Professionnel. A l'issue de cette confrontation seulement, le club pourra adresser à son futur ex-entraîneur sa lettre de licenciement. Sauf si les deux parties s'entendent sur une transaction amiable toujours possible. Du coup, il paraît peu probable que la direction du Racing s'exprime ce lundi, alors que les administrateurs ont pourtant rendez-vous à 11 h avec Léonard Specht. Au jour d'aujourd'hui, que sait-on ?
1. Que Joël Muller, priorité de Specht lors de sa nomination le samedi 6 juin, a refusé l'offre strasbourgeoise.
2. Que Gernot Rohr, choix de Philippe Ginestet, mais à l'évidence pas celui de son successeur, a senti le vent tourner et s'est engagé à Nantes.
3. Que Luis Fernandez a bien été approché. L'ancien coach du PSG vainqueur de la Coupe des Coupes 1996 l'a confirmé hier dans ces colonnes. « Léonard Specht m'a appelé deux fois cette semaine (…). Je suis complètement ouvert au dialogue. J'attends en tout cas qu'on me fasse une proposition de projet pour en reparler. » Aux dires de son entourage, Fernandez reste bien placé pour s'asseoir sur le banc strasbourgeois.
4. Que Gilbert Gress, dont le énième retour est un vieux serpent de mer, est susceptible de s'inviter à la table des discussions. Le coach champion de France 1979 en aurait même eu une avec le nouveau président en fin de semaine. « Je n'ai pas de commentaire», botte-t-il en touche. « Luis Fernandez a confirmé avoir été contacté ? Très bien pour lui. Moi, j'ai toujours dit que je n'étais pas un entraîneur en retraite, mais à la recherche d'un club. C'est plus vrai que jamais. » A 67 ans (Ndlr : il fêtera ses 68 printemps le 14 décembre), Schilles est donc prêt à replonger et la forte houle qui secoue le Racing depuis quinze jours ne l'effraie pas. « Le club a toujours bougé. C'est pour ça qu'on l'a surnommé le Marseille de l'Est, non ? Avec Léo, on se connaît bien. J'ai joué avec lui, été son entraîneur, son successeur aussi comme coach au Racing (en 1991). Laissons le temps au temps. »
Gress : une option qui prend de l'épaisseur
En interne, sa forte personnalité et ses méthodes rigoristes peuvent s'appuyer sur certains soutiens, mais comptent aussi leur cortège de détracteurs. Dès le 6 juin, son nom avait été évoqué en conseil d'administration. A l'époque, il avait soulevé des résistances, motivées par les interrogations suivantes : son caractère bien trempé d'homme à poigne peut-il s'accommoder des changements de mentalité dans le monde du foot, notamment auprès des jeunes joueurs ? Surtout après deux ans d'inactivité ? Toutefois, au fil des jours et des désistements, l'option Gress aurait pris de l'épaisseur. D'aucuns en font le grand favori. Hier, la rumeur accréditait même la thèse d'une signature imminente. Mais elle indiquait aussi que le technicien alsacien poserait ses conditions, comme la mise à l'écart d'un certain nombre de personnes du club avec lesquelles il ne souhaiterait pas travailler. La réunion du CA programmée ce matin devrait permettre d'en savoir plus. Sauf si l'omerta très en vogue ces temps-ci est, comme c'est prévisible, prorogée de 24 heures. « Je vois mal Léonard Specht en dire plus avant mardi après-midi », suggère un observateur.
Le nouveau président du Racing, Léonard Specht, va procéder au choix de l'entraîneur, cette semaine. Sa première décision à la tête du club strasbourgeois n'est pas loin de constituer la plus importante. Elle inspire des volontés d'interférer sur une orientation majeure.
Pour ses premières sorties médiatiques dans son nouveau rôle surexposé, Léonard Specht n'a pas manifesté une obsessionnelle attention à définir son pré carré et à affirmer son autorité. Plongé dans le monde de l'entreprise depuis plus d'une douzaine d'années, il en a au moins appris qu'il y « a toujours des comptes à rendre, comme un employé le fait à l'égard de son patron. » « Je ne me considère pas comme un Triaud à Bordeaux ou un Diouf à Marseille, même si mes décisions doivent recevoir l'aval du principal actionnaire, a-t-il souligné depuis Duppigheim et son bureau à Lohr Industrie. Car je ne changerai pas de vie et je continuerai le travail qui me plaît. »
« Choisir l'entraîneur avec l'accord de l'actionnaire »
Quoi qu'il arrive, il demeurera le directeur des ressources humaines chez Lohr Industrie. Et être devenu le 16e président de l'histoire professionnelle du Racing ne change rien à l'affaire. Cela suppose toutefois quelques aménagements dans un emploi du temps chargé et d'assumer quelques responsabilités à l'heure où le club phare alsacien est en friches. Le processus de licenciement de Furlan a pris une tournure classique et irréversible. Un club et tous ses suiveurs sont en attente de l'élu en charge de remplacer l'homme du sud-ouest. Il est l'heure pour le nouveau n°1 du club de se consacrer à l'une des rares prérogatives qu'il revendique pleinement. « Le président, c'est tout de même le patron du club, considère l'ancien international. Il doit arbitrer et donc choisir l'entraîneur, avec l'accord de l'actionnaire. » Léo va trancher.
« Des décisions prises par quelqu'un qui a le sens du consensus »
Autour de lui, les tentations d'influer sur une décision décisive ne manquent pas de s'exprimer. Au Racing, le pouvoir, au moins dans la forme, a changé de main il y a une semaine. Lors du transfert intervenu samedi dernier, Philippe Ginestet, le démissionnaire, n'a pas manqué de détailler les qualités de son successeur. « Avec Léonard Specht, on est dans une continuité qui amène du souffle qui s'organise, considère l'homme d'affaires, toujours actionnaire majoritaire. Les décisions sportives seront prises par un homme qui a été quatre fois champion de France. Elles seront également prises par quelqu'un qui a le sens du consensus. » Le choix de l'entraîneur ne devrait donc pas s'organiser selon une démarche qui a eu cours ces dernières années. Jean-Pierre Papin a succédé à Jacky Duguépéroux dans une indiscrétion au Vélodrome qui a fait l'effet d'une bombe dans le milieu médiatique. Jean-Marc Furlan a pris la place de « JPP » au terme d'une agitation et d'un ballet de « je t'aime, moi non plus » passablement ridicule. Là , Léonard Specht tient à respecter un protocole. Il a brossé une chronologie en creux. Il s'est agi de régler, au moins en partie le dossier Furlan, pour passer à la suite. Depuis vendredi et l'entretien préalable au licenciement qui exclut tout retour en arrière, l'éviction officielle de l'entraîneur a débuté.
« Moins il y aura de rendez-vous, mieux ce sera »
Il ne tient plus qu'aux deux parties de jouer la montre ou de se séparer rapidement. Le président a dans l'intention de rencontrer les techniciens susceptibles de faire l'affaire. « Moins il y aura de rendez-vous, mieux ce sera, car cela voudra dire qu'on n'a pas le sentiment de se tromper », a expliqué encore Specht. Il reste qu'en respectant l'aspect collégial de son règne, l'ancien international doit prêter une oreille aux autres. Et ils sont quelques-uns à revendiquer une voix - plus ou moins légitime - au chapitre. Entre les membres du tour de table ayant investi au club, les agents qui cherchent à caser leurs protégés d'entraîneur au chômage, et les suiveurs, qui s'arrogent le droit d'avoir un avis, les volontés d'influer ne manquent pas. Elles conduisent à l'émergence d'un catalogue de dizaines de noms. Elles entretiennent une agitation dont l'homme en plein cyclone se méfie. « Je suis au coeur de l'actualité et ce n'est pas le rôle du président », s'amusait-il la semaine dernière. Il devra se résigner à l'être encore quelques jours, voire quelques heures. Une fois son avis rendu dans la liste des candidatures en rafale, Léonard Specht pourra se replonger dans une forme de discrétion qui lui convient plus. Au milieu des influences, ce sera à son entraîneur de s'en sortir.
Fernandez est un mec qui a pas deux ronds d'intelligence mais comme entraineur il a quand même réussi des trucs plutôt pas mal. Son expérience à Reims est à classer dans les négatifs mais sinon avant (bien que ses expériences moyen orientales soient assez mystérieuses) c'était plutôt pas mal. C'est un mec qui gueule, a de la psychologie à hauteur de la table basse devant le canapé ou est posé la bière, donc pour une opération remontée pourquoi pas. Deux points noirs tout de même, son émission sur RMC qui l'accapare plus qu'autre chose et surtout quelque soit le résultat de la saison on ne le reverra pas chez nous ensuite c'est certain, donc pour la continuité et la construction on repassera.
Gress, un nom ronflant..... chez nous et rien que chez nous, il est en "pause" depuis 2 ans. On craint qu'il ne sache pas parler aux jeunes, Gress gueulera ça les changera et peut être pas en mal d'ailleurs, non par contre ce qui m'inquiète le plus c'est sa capacité à nous trouver les joueurs pas chers et bons dont on a besoin, Luis au moins avec son nom ce sera un peu plus facile.
Franchement Rudy Garcia, ça c'eut de la gueule
30/10/09 Ca y est le racing est en national
06/01/10 Euh c'est peut être la CFA
Mais heureusement sur FM 2010, on peut jouer de la CFA (même CFA 2, les gars on peut faire mieux!!)
Bon ça y est les conneries sont finies on est en L1!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Vu la situation du club, si on veut remonter il va falloir un electrochoc pour tenter de remobiliser une opinion autour de ce club et éviter à présent de végéter deux à trois saisons en L2, car en fait, c'est exactement ça qui nous pend au nez...
Dans cette optique et sachant qu'il va falloir s'appuyer sur des jeunes du centre encardrés par quelques gars expérimentés et capables d'influer une réelle envie de remonter (contrairement à certains soit disant cadres de l'équipe qui sont usés après tant d'échecs --> Lacour, Paisley, Cohade etc etc)...
Alors oui dans cette optique d'electrochoc, Fernandez et Gress (Courbis entre aussi dans shéma) sont des entraineurs charismatiques capables de formater un groupe et de conditionner ces joueurs pour une opération remontée immédiate...
Fernandez peut venir faire son truc, bosser avec les gars en place mais attention si ça ne lui plait pas, hop, il fait son sac et repars chez RMC...
Avec Gress, on sait déjà qu'il souhaite amputer la direction du club de quelques gars avec qui il ne veut bosser (Pierre Ginestet, Khirat ???), et ça, c'est déjà pas mal, Gress et Specht se comprennent, certains membres du directoire souhaitent la venue du charismatique entraineur alsacien qui connait les rouages du club comme personne...
De plus Gress va pouvoir façonner son équipe comme il l'entend, ne vous inquiétez pas pour ça, il continue à suivre le football et saura nous débaucher deux à trois éléments peu onéruex qui sauront faire la différence...
Alors douter de ses capacités de coach après deux années de stand bye, je trouve celà limite, Gress est la meilleure option du club pour essayer de reconstruire quelque chose là ou Ginestet a montré ses limites, la passion et l'envie ne suffisent plus de nos jours, un club pro demande une réelle connaissance et expérience du football...
Alors dans cette optique de reconstruction et remontée immédiate avec des gens qui se comprennent et qui ont la même phylosophie de football, un Specht avec Gress comme coach et le soutien de Lohr (directoire) et Gemmrich (LAFA) ne peut qu'apporter le plus grand bien à ce club...
Mieux vaut une bière qui fait pisser qu'une femme qui fait chier (P. Heineken)
Seb T. a écrit :
Avec Gress, on sait déjà qu'il souhaite amputer la direction du club de quelques gars avec qui il ne veut bosser (Pierre Ginestet, Khirat ???),
Une réunion est prevue en fin de semaine durant laquelle Ginsetet vendrait ses parts du coup out son Frangin et Khirat de toutes façon .Gress a donc une chance de revenir
Le racing je suis tombé dedans quand j'étais petit,et je ne m'en suis jamais vraiment remis!!!
Gress, c'est faire du neuf avec du vieux... Ca me fait penser à Lens avec G. Roux et on sait comment ça s'est terminé.
On doit être le seul club en France avec Lens à croire qu'il n'y a que les locaux pour entrainer le club du coin.
Fernandez, c'est pas terrible non plus : à moitié à la radio et à moitié au racing, c'est 100% perdu d'avance.
Furlan ou ces deux là , c'est du même calibre.
Les inscriptions au forum sont rouvertes 
