[09/10] 20ème J: Strasbourg / Laval - 4/1

[argueti]

Sans Gueye et surement sans Fauvergue, ça promet !

[Its_me]

Ledy - Zenke devant ... ça pête !
Mais non, on va jouer comme à Metz où Ledy sera seul en pointe.

[peter reichert]

super attaque alors je peux changer mon pronostic lol

[PoY]

Diffusé sur L2 Multicanaux

[argueti]

Laval veut oublier Vesoul

Les Tangos sont passés à la trappe, samedi, en Coupe. Bien calé dans le premier tiers de la L 2, le promu lavallois envisage son premier match de championnat en 2010 avec sa sérénité naturelle.

Le tango sur la neige n'a jamais été indiqué pour la santé des cols de fémur. Les Tangos sur la glace de leur stade Francis le Basser n'ont pas évité la sortie de route pour leur premier match de l'année 2010. La bande à Philippe Hinschberger s'est pris les pieds dans un tapis instable mais cela a à peine le don de contrarier dans la Mayenne.

« Sur le papier, (...) pas une équipe de promus »

Face à Vesoul, le Stade lavallois a eu « les boules » de prendre la porte pour reprendre l'expression de son entraîneur (1-2). « On n'a pas l'habitude de perdre chez nous, puisqu'en deux ans de National et avec le début de cette saison, on est resté 32 matches d'affilée invaincu jusqu'à une défaite bête face à Arles-Avignon, poursuit Philippe Hinschberger. Mais avec des petits détails et le contexte de Coupe, c'est des défaites qui peuvent arriver ». On est loin de la constante crise de nerfs en vigueur depuis plus d'un mois à la Meinau et on a évacué la déception à la faveur de quelques entretiens individuels sans esbrouffe ni éclats. Éliminé par une CFA en 32e de Coupe de France, un pensionnaire serein de la L 2 déboule à Strasbourg vendredi. Promue, l'équipe mayennaise tutoie les sommets. « Au 1er juillet, on aurait signé pour être dans le premier tiers, admet ainsi son technicien en chef. On a bien lancé la saison avec 10 points récoltés en cinq matches, on fait beaucoup de nuls mais on ne perd pas beaucoup. On avance avec ces petits points et on peut avoir le sentiment de n'en avoir volé aucun. Et on en a perdu un paquet dans les arrêts de jeu ». Le Tango bien dans ses baskets, cela peut donner un joli spectacle. Mais la santé comptable des Stinat, Le Pen et consorts constitue à peine une surprise. « Franchement, sur le papier, on n'a pas une équipe de promus, souligne Philippe Hinschberger. Avec Neumann, Genest et quelques autres, on a des garçons expérimentés, des mecs solides au poste. Et puis il y a des jeunes qui se révèlent, comme Hamouma ».

« Le Racing dans une situation compliquée avec des directeurs de partout »

Ce dernier, épatant au match aller face au Racing quand il a été le cauchemar de Jean-Alain Fanchone, pensionnaire du CFA avec Besançon la saison passée, fait l'objet de l'intérêt acéré de quelques clubs de l'élite (Monaco). Cela n'a même pas le don d'alarmer son coach. « Si on doit le perdre, on le perdra, mais il finira la saison avec nous », garantit son entraîneur. Vu d'ici, ce n'est pas loin d'être une sérénité épatante qui s'exprime dans la bouche d'Hinschberger. Vu de là-bas, le Racing n'est pas loin de ressembler à un joli bazar. « Je n'ai pas à juger, mais le Racing semble dans une situation très compliquée avec des directeurs de partout, constate l'entraîneur. Et l'environnement se ressent sur le sportif, quand on sait que pour 80 à 90 %, c'est une question de mental ». L'ancien Messin ne regrette pas son environnement autrement moins agité qui ne lui enlève pas ses éclairs de lucidité : « Mais le Racing, c'est aussi un club historiquement sans stabilité et c'est un groupe qui a un énorme potentiel. Et je constate aussi qu'il reste sur trois victoires d'affilée à domicile en championnat ». Il faut patienter jusqu'à vendredi pour savoir qui de la fausse surprise ou de l'ambitieux dans la panade saura le mieux lancer sa nouvelle année.

[argueti]

Khiter et Pelé de retour pour affronter Laval demain soir

L'entraîneur du Racing Club de Strasbourg, Pascal Janin, a dévoilé le nom des 18 joueurs retenu pour affronter Laval demain soir (20h30) au Stade de la Meinau pour le compte de la 20e journée de Ligue 2 de football.

Seid Khiter et Steven Pelé, tous les deux de retour de blessure, font leur réapparition dans le groupe strasbourgeois. En revanche, Magaye Gueye (genou) et Romain Dedola ne seront pas de la partie. Pour le reste, le groupe est identique à celui défait par Lyon en 32e de finale de Coupe de France samedi dernier (1-3).

Le groupe strasbourgeois : 16. Stéphane Cassard (g), 1. Régis Gurtner (g) - 6. Steven Pelé, 5. Habib Bellaïd, 15. Milovan Sikimic, 17. Jérémy Abadie, 18. Stéphane Pichot, 4. Rodrigo, 12. Mamadou Bah, 19. Guillaume Lacour (cap), 26. Loïc Damour, 27. Quentin Othon, 28. Emil Gargorov, 33. Farez Brahmia, 29. Seid Khiter, 9. Nicolas Fauvergue, 21. Simon Zenke, 25. David Ledy. Entraîneur : Pascal Janin.

Le groupe lavallois : 16. Arnaud Ballijon (g), 1. John Bruel (g) - 26. Johann Chapuis, 5. Jérémy Stinat, 3. Christophe Coué, 4. Mathieu Puig, 19. Pierre Talmont, 28. Steve Haguy, 8. Didier Neumann, 24. Fabrice Levrat, 6. Anthony Gonçalvès, 15. Ulrich Le Pen, 7. Romain Hamouma, 20. Fabien Raddas, 21. Martin Garot, 9. Ludovic Genest. Entraîneur : Philippe Hinschberger.

[raphou96]

Racing: le groupe

Pascal Janin a communiqué un groupe de dix-huit joueurs pour le match de la 20e journée de Ligue 2 face à Laval, ce vendredi soir (20h30). L'Entraîneur est privé de Gueye. En revanche, Seid Khiter fait son retour.

Le groupe:
Cassard, Gurtner;
Abadie, Bellaïd, S. Pelé, Pichot, Sikimic;
Bah, Brahmia, Damour, Gargorov, Khiter, Lacour, Othon, Rodrigo;
Fauvergue, Ledy, Zenke.

Les absents: Marcos (genou), B. Kébé (reprise), Correia (convalescence), Bezzaz (sélection CAN), J-A. Fanchone, Dedola, Gasmi, Maire, N'Djama, Sommer (choix entraîneur).

Laval: le groupe

Philippe Hinschberger a communiqué un groupe de seize joueurs pour le déplacement à la Meinau, ce vendredi soir (20h30). L'Entraîneur lavallois est privé de plusieurs joueurs pour cette rencontre.

Le groupe:
Ballijon, Bruel;
J. Chapuis, Coué, Puig, Talmont;
Gonçalves, Haguy, Hamouma, Le Pen, Levrat, Neumann;
Garot, Genest, Raddas.

Les absents: Do Marcolino (sélection CAN), Jacuzzi (épaule), M. Pichot (épaule), Lebouc (adducteurs), Buzaré, Lamatina (choix entaîneur).

[argueti]

Des Tangos pour repartir

Le Racing renoue avec un championnat bien mal emmanché. Relégable depuis l'été, confronté à de fringants Lavallois, handicapé par les absences, il doit initier un redressement, en demeurant sur ses récentes bases à domicile, pour s'offrir la possibilité d'un salut.

Quand l'avenir est incertain, il faut revenir à des valeurs sûres, paraît-il. Quand le présent est chaotique, rien de tel qu'une petite tranche de tradition, serait-on tenté d'ajouter. Le Racing apparaît sens dessus dessous ces temps-ci. Convoqué pour présenter des comptes sains dans quelques jours, dirigé officiellement par un président sur le départ, gêné aux entournures dans son mercato par une interdiction d'augmenter sa masse salariale, soumis à un plan de restructuration pour redevenir une écurie moins coûteuse, le club strasbourgeois présente surtout un bilan sportif catastrophique.

« On est tout sauf renforcé »

Dix-huitièmes à mi-parcours, les Strasbourgeois, au bilan relativement équilibré depuis fin octobre (3 victoires, 2 défaites), n'en finissent pas de courir après un été raté et leur catastrophique entame de neuf matches sans victoire. Quasiment relégables depuis le début de saison, ils avaient entr'aperçu le cauchemar à venir dès leur voyage à... Laval lors de la... 2e journée et même un peu avant. « Je vais parler aux joueurs de cette période, a indiqué Pascal Janin à l'heure d'envisager le début de la seconde partie de la saison. Beaucoup pensaient que le calendrier pouvait être favorable pour se retrouver devant au bout de quelques semaines ». Au final, ils se sont retrouvés derrière. Et ils n'en finissent pas d'y rester. Objectivement, on peut s'interroger quant à la persistance de la situation. Il n'y a guère de raison d'espérer. « Les lacunes offensives ne sont pas corrigées, observe encore l'entraîneur dans un bel euphémisme, en évoquant le mercato hivernal toussotant pour l'instant en Alsace. Avec Bezzaz à la CAN, avec Gueye blessé, on est tout sauf renforcé. On n'a pas plus d'atout qu'avant la trêve. Je suis un peu inquiet ». Et, pour reprendre d'un pas gaillard en L 2, il s'agit de faire danser des tangos bien en rythme. Laval déboule en Alsace avec un feuille de route impeccable pour un promu. Longtemps doyen de ce championnat (24 saisons d'existence à cet échelon dans son histoire), le club mayennais a mis fin à un tunnel de trois saisons en National pour renouer avec une forme de tradition.

Les enfants de Michel Le Milinaire vont bien

Il se porte comme un charme depuis six mois, constitue, derrière Caen, l'équipe qui a le moins perdu cette saison (4 défaites seulement) et a bien mieux digéré sa défaite un tantinet humiliante en Coupe de France face à Vesoul samedi dernier (1-2) que certains la dinde et les bulles de Nouvel an. La déception s'est envolée en même temps que le week-end. Les enfants de Michel Le Milinaire, le mythique entraîneur des années 80 quand le Stade fréquentait l'élite, vont bien. Merci.

Ils n'en constituent pas pour autant des cannibales en puissance. Sans être génial, le Racing a plutôt été digne face à l'OL il y a six jours. « Et si cette équipe de Laval ne ferme pas non plus le jeu, elle ne joue pas avec la puissance et la qualité de Lyon, considère Janin. C'est un autre contexte, mais j'espère que l'on saura rééditer les bonnes phases de jeu que l'on s'est créées ». Il n'est pas le seul. Car un échec face à la bande à Hinschberger, surtout habile dans l'art du nul lors de ses pérégrinations (cinq en dix matches à l'extérieur), ne serait pas loin de s'apparenter à une catastrophe. Il convoquerait à nouveau les fantômes qui conduisent le club strasbourgeois à ressembler à un grand barnum plutôt qu'à un bastion de foot. Il s'apparenterait à une rechute que Lacour, Fauvergue et les autres ne peuvent absolument pas se permettre. Avec le basculement, ce soir, sur la seconde partie d'une saison d'ores et déjà historiquement catastrophique, une forme de compte à rebours s'est enclenché. Entre le maintien et le néant, un plus que centenaire est parti pour jouer sa survie pendant quatre mois. La première étape passe par la leçon aux Tangos.

François Namur

[argueti]

Une remontée quatre à quatre ?

S’il signait ce soir (20 h 30) à la Meinau contre l’excellent promu lavallois sa quatrième victoire consécutive à la Meinau en championnat, le Racing pourrait enfin s’extraire de la zone rouge, après en avoir plusieurs fois raté l’occasion.

Après une semaine encore instable, marquée par le passage de pouvoir entre Julien Fournier et Christophe Cornelie, nouveau directeur général délégué, le Racing va retrouver le terrain ce soir. Depuis lundi et la délégation de signature consentie par le toujours PDG au représentant d’Alain Fontenla, rien n’a vraiment bougé.

La preuve : le contrat d’adjoint de Cyril Serredszum n’a toujours pas été signé. « Il devrait l’être ce vendredi. Il reste quelques détails à régler », disait hier après-midi Pascal Janin. En attendant que le pouvoir de décision s’accompagne de… prise de décision, le RCS va renouer avec le championnat de Ligue 2. Pour la 20 e journée, il reçoit à 20 h 30 à la Meinau le promu lavallois, bien calé au chaud à la 6 e place, avec huit longueurs d’avance sur le 18 e et premier relégable : Strasbourg.

Un grand huit qui, sur le papier, semble représenter un fossé gigantesque. Mais dans les faits, les Lavallois de Philippe Hinschberger font de ce déplacement à Strasbourg un match à gros enjeu. « Si nous battons les Strasbourgeois, ils ne nous reverront plus avant la fin de saison », prédit le technicien mayennais.

Les Tangos se gardent pourtant de tout triomphalisme, eux que Vesoul, pensionnaire du 4 e niveau national (CFA), a fait valser samedi dernier en Coupe de France au stade Francis-le-Basser (1-2 a-p). L’ex-Strasbourgeois Ulrich Le Pen avait ouvert le score, avant que les Vésuliens ne bousculent la hiérarchie et un Stade Lavallois émargeant deux divisions plus haut. Vexés de cette élimination en forme d’humiliation, Johann Chapuis et ses partenaires ont bien l’intention de réparer un accroc qui contraste avec leur belle tenue en L 2. « C’est un match décisif », assène carrément le capitaine.

Se souvenir des mauvaises choses

Même s’il relève que Laval « n’a pas la puissance et la qualité de Lyon », Pascal Janin se méfie d’une formation mayennaise « qui n’hésite jamais à attaquer. » Le Racing est bien placé pour le savoir, qui avait encaissé 3 buts à l’aller et s’était incliné à Le-Basser le 13 août pour la première de Janin aux commandes (3-2). Un échec qui renvoie à un début de saison raté, face à des adversaires supposés abordables (Laval, l’autre promu Arles-Avignon et Sedan) que le RCS va retrouver avant la fin janvier. « Cet été, beaucoup pensaient que notre calendrier était favorable et pouvait nous propulser devant », n’a pas oublié le technicien bas-rhinois, « C’est tout l’inverse qui s’est produit. Je vais, dans ma causerie, faire en sorte que les joueurs s’en souviennent et aient envie de se racheter. Je souhaiterais que le contenu de nos prestations soit solide et que par notre savoir-faire, nos qualités, nous puissions être souvent récompensés au cycle retour. Malheureusement, entre la blessure de Magaye Gueye et le départ de Yassine Bezzaz à la Coupe d’Afrique des Nations, nous sommes pour l’instant tout, sauf renforcés. Avant le match, j’avoue être un peu inquiet. »

Le Racing va néanmoins devoir faire fi du contexte et de ces contretemps. Car il sait qu’en alignant une 4 e victoire de rang à la Meinau en championnat, il reviendrait à seulement 5 points de Lavallois 6 es ce matin, et sortirait sans doute de la zone rouge. De nouvelles perspectives s’ouvriraient à lui. Enfin !

Un seul être vous manque

Magaye Gueye ne l’a jamais caché : il se sent davantage joueur d’axe que de couloir. Mais pour les besoins de la cause, l’international espoirs a souvent accepté de dépanner sur les côtés, à gauche notamment où son absence va laisser en soirée un grand vide. À tel point que Pascal Janin confiait hier « n’avoir pas encore la solution pour remplacer Magaye. Je n’ai pas un remplaçant qui me saute aux yeux. C’est une grosse interrogation. »

Tenaillé par les incertitudes, l’entraîneur bas-rhinois a d’ailleurs dérogé à ses habitudes en conservant 18 joueurs au lieu de 16 : Gueye et Romain Dedola, appelé de dernière minute contre Lyon en Coupe de France samedi (1-3) pour pallier le forfait de Steven Pelé, victime d’une gastro-entérite, le quittent. Pelé, précisément, mais aussi Seïd Khiter, absent depuis trois mois pour une pubalgie, le réintègrent. L’ex-Valenciennois ne devrait toutefois pas débuter après sa longue indisponibilité. Mais Pascal Janin a par le passé réservé quelques surprises du même genre. Pelé, lui, est en balance avec Sikimic pour le poste de défenseur axial gauche. Après l’alternance de la Coupe, Stéphane Cassard récupère sa place dans les buts. Pour compenser le forfait d’un Gueye auteur de neuf buts officiels, le coach du RCS réfléchit aussi à un changement de système. « Mais ça ne changerait rien à mon souci côté gauche. »

Sur le dossier du mercato, le technicien moustachu n’est pas plus disert que ses dirigeants : « Certains dossiers de recrutement sont prêts, mais leur bouclage passe par des départs préalables. J’ai hâte que les quelques joueurs susceptibles de partir trouvent preneur pour que nous puissions en rentrer d’autres. Mais je sais que ce chapitre n’est pas le plus simple à résoudre. De par nos prestations sur le terrain et notre classement à mi-saison, nous n’avons pas forcément fait ce qu’il fallait pour que nos garçons soient valorisés. »

Stéphane Godin

C'est le moment c'est instant de se rassurer !!!

[Its_me]

Ca c'est clair ... mais si on joue comme contre Lyon, il ne devrait pas y avoir de problème.