Luc Dayan

[fan_racing]

Exact, de même que la comparaison entre Isenegger et Gravelaine qui me paraît osée ...

[urotsukidogi]

Ouais c'est vache pour le Suisse quand même

[Phapha]

C'est pas possible, ils ont payé combien aux DNA pour avoir un article aussi élogieux sur lui ??

[RCS_79]

Toujours plus bas, toujours plus pathétiques, toujours plus, toujours plus....................................et il n'y a pas de fin!

[Tormentor2]

Bref, je ne suis pas en train de défendre Dayan, je constate juste que son passé plaide plutôt en sa faveur. Parler de ce mec comme d'un fossoyeur, c'est au mieux de l'ignorance, au pire de la mauvaise foi.

Il faut savoir reconnaitre ses torts, donc Mea culpa... dans mon esprit Dayan était arrivé avec Kita et non avant lui.
Mais ça ne change rien à l'histoire... pas d'argent et beaucoup de dettes : on est mort. Au mieux on restera de longues années en L2, au pire le club sera liquidé, même si je ne crois pas du tout à cette hypothèse.

[Stan]

T'as aussi la solution la plus probable à l'heure actuelle qui est la descente en National.

[argueti]

D'après les journalistes présents à la conférence de presse, rien de vraiment neuf ce soir ...

[lolo]

Pour vous faire un avis:

Conférence de presse Dayan 04/01/2010

[Roswell Man]

Dayan : « Rien de désastreux »

Luc Dayan, futur consultant du RC Strasbourg, a exposé son projet lundi. Et fait passer aux salariés le message que le club, 18e de L2, pouvait s'en sortir.

Il a signé son contrat de consultant il y a une petite semaine. Dans quelques jours, il va prendre la présidence du RC Strasbourg, à la place de l'éphémère Julien Fournier. Luc Dayan aura mis peu de temps à devenir l'homme fort d'un club aspiré par les profondeurs depuis plusieurs mois, et dont il doit infléchir la course. C'est ce que lui a demandé le nouvel actionnaire, Alain Fontenla, un peu pris de court par la complexité du sujet. Aux salariés du Racing, qu'il a vus lundi, et aux élus, l'ancien président de Lille a expliqué que le club devait revoir son mode de fonctionnement, mais qu'il n'y avait rien d'inéluctable dans sa descente aux enfers.

«Il y a 12,5 millions d'euros de recettes et 19,3 millions de charges. Donc, un besoin de trésorerie de 6,8 millions, nous a expliqué ce spécialiste en ''restructuration'' des clubs. J'ai répété ce que je fais toujours : il ne faut pas mélanger trésorerie et exploitation mais tendre vers un équilibre économique hors vente de joueurs. J'ai vu des gens traumatisés, c'est sûr, mais qui ont eu une ligne claire et qui ont compris que le club devait fonctionner différemment, qu'il ne devait pas être dépendant de l'actionnaire, avec toutes les tensions que cela engendre. Je ne connais personne au club à part Stéphane Pichot mais je sais que tout le monde est là. Et lui peut témoigner d'une chose : à Lille, ça a marché. J'ai demandé à chacun d'être force de proposition, en sachant que le sportif sera central ces prochaines semaines.»

Selon Dayan, rien ne s'oppose à ce que le Racing sauve sa peau en cinq mois. «On a calculé : si on oublie les sept première journées, le club serait dixième du Championnat. Il n'y a rien de désastreux dans l'état de l'équipe.» Président, il le sera «le temps nécessaire», et on devine que ce sera court. Le temps de remettre de l'ordre et de permettre à l'actionnaire de savoir où il va. «A Nantes, je l'ai été deux mois. Je serais directeur général, ce serait la même chose. Je serai président pour signer les papiers nécessaires. Je sais qu'il y a aussi une fonction de représentation. Je l'assumerai, sans problème.» Sa mission court pour l'instant jusqu'au 30 avril 2010.

Luc Dayan, médecin de formation, a l'habitude de ce type de chantier. Celui de Strasbourg ne lui semble pas désespéré vu ce qu'il a connu. «C'est comme en médecine. Chacun a sa culture mais il y a les mêmes symptômes, les mêmes causes, les mêmes malentendus et la même souffrance. J'ai travaillé à Cannes, Nice, Lille qui était 17e de L2, Valenciennes, Saint-Etienne, Nantes... Nice était dans une situation plus grave en 2002. Mais il y a deux incertitudes autour de Strasbourg : l'actionnaire est tout nouveau, il est jeune, ce n'est pas un groupe industriel. Et la situation sportive n'est pas bonne.» Dernière étape de sa prise de contact : Luc Dayan attend désormais que Pascal Janin lui dresse l'état de l'effectif. Des joueurs à garder et de ceux susceptibles de partir. Les arrivées ? Un autre chantier, sur lequel la DNCG aura aussi son mot à dire. - Cédric ROUQUETTE

[Tenor]

Mer lolo, j'ai vu sa conférence de presse, on apprend certaines banalités mais sans plus.
Quel bordel dans cette salle au début...un foutoir. Une petite table et une chaise bistrot, très sommaire.
Moi ce que je retiens de son contrat sur 4 mois, c'est qu'il est venu mettre de l'ordre dans le club avec sa propre manière de faire. Un pro de la communication.
Deuxième point, c'est de vendre des joueurs qui permettent au club de survivre et non d'en remettre dans le pot, un club s'autogère ;
Troisième point, mettre en adéquation les joueurs avec l'entraineur et de respecter les objectifs sportifs etc etc
C'est louable de sa part, en ce qui me concerne je ne change pas mon opinion, beau parleur, certainement de la compétence, et puis après...et personne dans ce club n'était capable de le mener avec une main de fer comme lui, parce qu'il s'agit bien de ça demain. Fermez là, je m'occupe de la comm et vous vous défoncez sur le terrain, ...c'est tout ce que l'on vous demande.
Ben moi je demande à voir, je ne suis pas contre ce principe car trop longtemps c'était le foutoir dans les coulisses