[Départ] Milovan Sikimic

[argueti]

D'après ce qui se dit ils lui avaient proposé 12000 € par mois ...

[Maneo]

C'est pas mal comme salaire en national non ?

[télésupporteur]

Comment on veut des mecs impliqués quand on dit blanc et noir dans la foulée. Il faudrait faire une banderole pour soutenir milo. Franchement c'est lamentable

et si tu dis noir et que le mec comprend blanc

[Tenor]

ben oui : 6000 E noir et 12000 E blanc mais comme la DNCG ne validera pas son nouveau contrat avec 12000, il y aura blocage d'oû le non renouvellement

[argueti]

Histoire sans parole ?

À une semaine de l’entrée en piste en National, le différend entre le défenseur Milovan Sikimic et les dirigeants strasbourgeois fait désordre.

Qui croire ? Toute la question est là. Et à en juger par la colère qui habite aujourd’hui Milovan Sikimic, difficile de douter de sa sincérité, même si, dans une situation de ce type, les paroles s’opposent toujours. Dans notre édition d’hier, le défenseur serbe affirmait que les dirigeants du Racing n’avaient pas tenu la leur.

« Des trucs de maternelle »

Le fond de cette nouvelle affaire qui vient polluer la fin de préparation du RCS avant son entrée en piste en National samedi prochain (18 h) à la Meinau contre Cannes ? Selon le défenseur central, à qui il reste une année de bail, promesse lui aurait été faite samedi dernier de prolonger d’un an, avec revalorisation salariale en cas de remontée en Ligue 2. Une promesse sur laquelle le club serait revenu mercredi. « Je ne suis pas fou. Je sais bien que le Racing rencontre des difficultés financières cette année et j’ai, comme tous les joueurs, subi une baisse de salaire de 20 % », détaille le grand « Milo », « Mais l’idée d’un rattrapage en cas de remontée en L 2, doublée de l’objectif de la remontée, me séduisait d’autant plus que j’ai toujours la relégation en National en travers de la gorge et que j’ai horreur de rester sur un échec. »

Avant-hier soir, le bruit, parvenu aux oreilles du président Jean-Claude Plessis, actuellement en convalescence pour un pépin de santé, a couru que le revirement du club bas-rhinois avait été téléguidé par Laurent Fournier. Le coach dément formellement. « Pour moi, ce sont des trucs de maternelle. Je ne m’en occupe pas et ça ne me contrarie pas. Je suis là pour coacher, m’occuper de ce qui se passe sur le terrain. Le reste n’est pas de mon ressort. Après le match de Coupe de la Ligue contre Evian, Milovan est venu nous faire part de l’offre d’un club russe de première division. Je lui ai simplement dit que s’il voulait gagner plus d’argent, il devait partir là-bas, mais que pour le challenge sportif, il valait mieux qu’il reste à Strasbourg. J’ai annoncé que je comptais sur lui. C’est toujours le cas. Mais j’ai besoin de joueurs à 200 %. Je ne doute pas qu’il le soit. Mais en fait, tout dépend de son état d’esprit. »

Éric Moerckel : « Sa blessure existe »

Même agacé, Sikimic assure faire la part des choses. Touché aux abdominaux depuis plusieurs jours, il ne jouera pas aujourd’hui (18 h) à Offenburg, mais s’y déplacera pour assister au dernier match amical de son club. Il réfute l’hypothèse d’une blessure diplomatique, conforté par le kiné Eric Moerckel. « L’IRM qu’il a passée a mis en évidence une tendinite en bas des abdominaux. Sa blessure existe », confirme ce dernier.

Le joueur ne comprend toujours pas la volte-face du RCS. Son entourage non plus, à commencer par son agent Alex Krstic, proche du président Plessis. « Un accord de principe est intervenu samedi. Les dirigeants souhaitaient garder Milo non seulement pour l’année, mais pour celles à venir. Il a donc été convenu de discuter d’une prolongation. Mais en 24 heures, tout a changé et je ne comprends pas pourquoi. La direction a annoncé à Milo que la prolongation n’était plus d’actualité. Pourquoi insister si c’est pour retourner sa veste du jour au lendemain ? Si le club a des soucis financiers, il n’avait qu’à le dire d’emblée. Je vais en rediscuter avec Jean-Claude en qui j’ai entière confiance. J’aimerais savoir ce qui se passe. C’est assez bizarre. Milo est un homme de parole. Aujourd’hui, il est fâché et ne veut plus prolonger. Sa position est simple : soit il trouve un club et part, soit il effectue sa dernière année. »

Stéphane Godin

[argueti]

Sikimic calme le jeu

En conflit avec les dirigeants du Racing au sujet de la prolongation de contrat que selon lui, ces derniers lui avaient promise avant de faire machine arrière, Milovan Sikimic s’est expliqué hier matin à l’entraînement avec son entraîneur Laurent Fournier. L’entrevue a permis de dissiper tout malentendu entre les deux hommes. « Le coach m’a clairement dit qu’il souhaitait que je reste. Sa confiance m’a fait plaisir, tout comme celle des supporters, qui avaient chanté mon nom l’autre vendredi à la Meinau contre Évian en Coupe de la Ligue, m’avait déjà fait plaisir. Je vais essayer d’oublier ce qui s’est passé ces derniers jours avec les dirigeants qui ont tenté de me faire passer pour un tricheur. J’ai une année de bail. Si je reste à Strasbourg, je serai à 200 % pour faire en sorte que le Racing remonte en Ligue 2. Après, nous verrons. Mais quitte à partir, j’aimerais que ce soit sur une bonne note. En attendant, je ne discuterai plus de prolongation. »

Pour autant, le défenseur serbe, qui n’a pas joué hier à Offenburg, mais y était présent, n’écarte pas l’hypothèse d’un départ avant la clôture du marché des transferts le 31 août. « Le club russe de D 1 qui m’avait proposé un an et demi doit me rappeler ce lundi. La courte durée qu’il m’offre ne m’incite pas à y aller. Mais s’il ajoute une année, alors, je réfléchirai vraiment. À vrai dire, depuis quelques jours, je réfléchis beaucoup. J’ai été perturbé. Je veux tirer un trait sur cette histoire pour me concentrer sur ma saison. Mais je laisse la porte ouverte à un départ. Mon avenir reste incertain, mais c’est toujours le cas dans le foot, non ? »

[Maneo]

Oui, non, ... peut-être !

[argueti]

Fréjus veut Sikimic

Aussi surprenant que cela puisse paraître, l’ancien capitaine du Racing, Milovan Sikimic, libre de tout contrat, n’a toujours pas trouvé de club. Le Serbe a pourtant signé une saison de haut vol et été pour beaucoup dans le tonitruant parcours du RCS, malheureusement insuffisant, en 2 e moitié de saison 2010-2011.

Fréjus/Saint-Raphaël, 6 e de National après avoir été longtemps en course pour l’accession, a néanmoins fait du défenseur central sa priorité et s’est renseigné sur son compte.

« Je n’ai personnellement pas eu de contact avec Fréjus », commente « Milo » depuis le Montenegro où il achève ses vacances. « Mais je sais que c’est un club sain, avec des dirigeants sérieux. Je serais évidemment très intéressé s’ils m’approchaient directement. La semaine dernière, j’ai reçu un coup de fil de Serge Marchetti, le directeur sportif de Châteauroux. Il m’a dit que le coach (Didier Tholot) allait m’appeler. Mais pour l’instant, ça n’a pas été fait. »

[Its_me]

Sikimic vers Fréjus

Comme annoncé dans notre édition de dimanche, l’ex-capitaine du Racing devrait signer pour deux ans avec le club varois.

Lui au moins sera sans doute fixé sur son sort dans les heures qui viennent. Sans club depuis la fin de saison passée, le désormais ex-capitaine du Racing Milovan Sikimic qui attendait depuis des semaines une proposition ferme après des approches sans suite de Troyes, Guingamp et plus récemment Châteauroux, devrait s’engager jusqu’en 2013 avec Fréjus/Saint-Raphaël, 6 e de National en 2010-2011.

Présent hier matin à la Meinau, le Serbe a confirmé l’information dévoilée par « L’Alsace » dimanche. « Fréjus m’a appelé sept fois mardi soir, mais après avoir roulé toute la nuit de lundi à mardi - en fait de 22 h à 16 h le lendemain - pour rentrer de mes vacances en Serbie, je m’étais endormi », sourit le grand défenseur central. « J’ai rappelé. En fait, Cédric Bardon (l’ex-pro formé à Lyon qui évoluait à Fréjus cette saison) a fait le lien. Je suis très fier du projet et du contrat de deux ans que les dirigeants m’ont proposé. Malheureusement, pour raisons personnelles, je dois rentrer ce jeudi matin en Serbie. Mais j’espère que Fréjus ne va pas penser que je le mène en bateau. J’ai donné mon accord verbal. Dans ma tête, je suis déjà là-bas. Malgré ce souci personnel qui m’oblige à m’absenter, la signature peut sûrement se régler par mail ou fax. »

Sauf improbable revirement, « Milo » connaît son avenir, contrairement à ses ex-coéquipiers sous contrat au RCS. Ainsi, pour un Julien Outrebon à qui Le Havre, qui le suit depuis longtemps (« L’Alsace » du 1 er juin), vient d’adresser une offre ferme, l’attente est-elle difficilement supportable. « Comme les autres, je patiente. Bien obligé. »

[Pinon]

Avec un peu de chance, et si la vente est confirmée, il va peut être rester ! Si en plus on arriver à garder Noro et pourquoi pas Ledy ca peut être un bon début