[09/10] 1ère J: Strasbourg / Châteauroux - 1/2

[urotsukidogi]

Heureusement qu'on a pris des joueurs qui sont de grands pros.... On en a pris que 2 mais on en mérite au minimum 2 de plus, honnêtement le 1-6 n'aurait pas été ridicule.
Le gros problème c'est le milieu qui n'organise rien et comme on essaye de presser haut, dès la perte de balle, le contre est particulièrement assassin. Il nous faut un Emil en milieu gauche et son pendant à  droite (qu'on a pas!!!) un sorte de Poborski.
Ah si un bon gros stage pour expliquer comment on met un attaquant hors jeu ne serait pas du luxe.
Et sinon merci à  Bezzaz pour ses corners, ça m'a permis d'être sur que j'avais bien mon racing en face de moi

[argueti]

Déjà  dans la panade

Le Racing a commencé son championnat sur une inquiétante défaite à  domicile, face à  Châteauroux, qui n'a rien d'un épouvantail de la L 2. Incapable de réagir une fois mené, il est loin de présenter le visage d'un candidat à  la montée.

On a d'abord cru à  un immense ouf de soulagement. Il n'a pas fallu attendre des plombes pour desserrer, un brin, l'étau d'inquiétude qui plombe l'ambiance au Racing ces derniers temps. Le Racing n'est peut-être pas que le fantôme entr'aperçu en Provence, pour sa première de la saison, en coupe de la Ligue (6-1).

« Après Istres et Châteauroux, les ambitions de Strasbourg sont de ne pas descendre »

Mais, au final, changer de compétition et près d'un tiers de l'équipe en une semaine ne modifie en rien le verdict. Le Racing continue d'afficher l'inquiétant visage d'un club en souffrance. Les ambitions de podium sont loin. Hier, il a perdu face à  un quelconque candidat au maintien en L 2. « Après Istres et Châteauroux, les ambitions de Strasbourg sont de ne pas descendre », a même expliqué le président Specht dans les couloirs de la Meinau. Franchement, dans une touffeur de saison, on n'était pas loin de jouer un match à  la vie, à  la mort, dans une Meinau en short et en tong. D'abord pleine de mordant, l'équipe strasbourgeoise a opté pour une entame volontaire. Et elle n'a pas tardé à  être récompensée. Les deux recrues de la semaine invitent peut-être à  ne pas complètement désespérer de la bande à  Gress. Fauvergue a lutté, un temps, sang et eau en attaque, Khiter a offert des solutions. Ils sont peut-être en mesure d'apporter une part des trente buts (le total combiné de Cohade, James Fanchone et Traoré) envolés à  l'intersaison. Mais le Racing va mal sur ses bases arrière. L'équilibre d'équipe appelé de ses voeux par Pichot, avant le match, n'a pas existé hier. La défense n'a pas de patron et la panique a régné à  chaque incursion d'un visiteur trop heureux de pouvoir mettre le nez à  la fenêtre après un premier quart d'heure compliqué. « C'est à  l'image de notre préparation, mais on n'était pas obligé de perdre, a regretté Gilbert Gress. Nous avons failli défensivement. On est pris de vitesse. Je me pose des questions, c'est le rôle de l'entraîneur. Mais c'est aussi le rôle des joueurs et des dirigeants. » A vrai dire, il y en a des tonnes ce matin. Passé l'élan inspiré par la volonté de bien faire et d'oublier le cauchemar d'il y a une semaine, le Racing n'a plus réussi grand-chose de bon pendant plus d'une heure. Et c'est comme si la fébrilité défensive, née de l'énorme déconvenue provençale, a gagné toutes les lignes. Les montées de balle sont apparues comme des parcours d'obstacles, les joueurs empruntés ont semblé pieds nus face à  un champ de braises. Le feu couve dans une maison Racing qui devra ranger ses espoirs d'élite si la tendance devait se confirmer. Sans ligne directrice, comme une bande de desperados cherchant tant bien que mal à  s'organiser, les Strasbourgeois ont fini par sombrer dans le ridicule. Quant il s'est agi de sauver ce qui pouvait l'être, il n'y a eu nulle réaction digne de ce nom. On a compté les combattants. Ils ont été rares. A vrai dire, dans les trente dernières minutes, on s'est refilé la gonfle comme une patate chaude. En plein été, envisager une raclette ou un gratin dauphinois tient de la faute de goût. En tout cas, on a été loin de toute perspective d'égalisation, a fortiori de victoire, pour un match qui ne devait aboutir à  autre chose que les trois points.

Des attaquants castelroussins qui ont parfois manqué un éléphant dans un couloir

En vérité, sans la maladresse des attaquants castelroussins qui ont parfois manqué un éléphant dans un couloir, la pilule aurait pu être bien plus amère. Les individualités ont parfois opté pour le n'importe quoi, cherchant le miracle alors que la faiblesse adverse n'appelait qu'un minimum d'organisation. Gress, plus souvent qu'à  son tour en dehors du carré technique réservé aux entraîneurs, a tenté de tonner, de replacer, d'encourager et de vivre son match à  fond. Pendant ce temps, ses joueurs se dépatouillaient, complètement impuissants. « Laissez-moi analyser cette rencontre », a demandé l'entraîneur pour y voir plus clair dans le brouillard actuel qui conduit tout droit à  une impasse. C'est vite vu. Le Racing est loin du compte.

La défense dépassée

Malgré une bonne entame et quelques actions intéressantes, le Racing a montré hier soir trop de carences défensives pour espérer remporter son premier match de championnat. Et l'équipe strasbourgeoise a en plus perdu Cassard, blessé. Aïe, aïe, aïe...

CASSARD (***). Le portier a paru un peu moins serein qu'à  son habitude, comme sur ce tir de Grange mal contrôlé (35e). Du mieux en seconde mi-temps, mais comme à  Istres, il était souvent bien trop seul lors des contre attaques adverses. Blessé au genou et déjà  forfait pour le déplacement à  Laval, il a cédé sa place à  Sommer (78e), qui faisait là  sa toute première apparition chez les pros.
PICHOT (**). Pris de vitesse par Bedimo sur la première accélération castelroussine et timide en début de rencontre, le latéral a eu du mal à  étanchéifier son couloir.
PELE (*). Fébrile à  l'image d'une défense en reconstruction, Pelé a été bousculé par Baldé malgré quelques bons dégagements de la tête. Délaisse sa défense sur la contre attaque (60e) qui entraîne le 2e but de Châteauroux.
SIKIMIC (**). Comme Pelé, le défenseur central manque de repères et a souffert en tentant de museler Constant. Trop souvent pris de vitesse, le Serbe va devoir retrouver rapidement le rythme pour donner plus de gages de sécurité.
FANCHONE (**). S'est lancé d'entrée dans de longues chevauchées pour tenter de déstabiliser le bloc adverse, sans grand succès. Son tir lointain (53e) aurait toutefois mérité un meilleur sort, mais Fernandez était bien en place.
RODRIGO (***). Le Brésilien est resté près de ses défenseurs dans le premier quart d'heure, laissant à  Bah un rôle plus offensif. S'est montré plus tranchant après la pause, mais l'ancien capitaine peut mieux faire, comme il l'a déjà  prouvé à  la Meinau lors de la saison 2007/2008.
BAH (****). Il avait surnagé à  Istres et hier soir, il est une nouvelle fois bien entré dans la partie, faisant le ménage au milieu tout en offrant de belles ouvertures en direction de sa triplette offensive. Le meilleur - ou le moins mauvais, si on préfère - côté strasbourgeois.
OTHON (***). Pour son retour à  la Meinau après sa grave blessure, le petit milieu de terrain s'est beaucoup dépensé. Encore du déchet dans les contrôles et les relances, mais des inspirations souvent intéressantes. Encourageant, malgré tout.
KHITER (***). Sa première interception a été la bonne, puisqu'il centre ensuite parfaitement en retrait pour Gueye (2e) pour l'ouverture du score. A montré une palette technique intéressante. Plutôt prometteur. Remplacé par Ledy (69e).
FAUVERGUE (***). Volontaire et souvent bien placé, l'attaquant a failli ouvrir son compteur après un jeu en triangle avec Khiter et Rodrigo (13e), mais sa tête a manqué de puissance. Ses appels ont souvent créé des espaces dans la défense adverse et son jeu dos au but a été intéressant. Pas si mal, vu le contexte.
GUEYE (***). Bien servi par Khiter, il n'a pas tremblé pour pousser la balle au fond du but, inscrivant ainsi son premier but pour... sa première titularisation à  la Meinau. S'est ensuite montré volontaire, mais trop brouillon. Remplacé par Bezzaz (59e), qui n'a pas eu l'occasion de montrer grand-chose.

Barbara Schuster & François Namur

[pouic]

C'était à  prévoir...Les perturbations dans la préparation peuvent expliquer en partie le mauvais début de saison. Pour écrémer on a écrémé, même trop. Après, Le groupe n'était déjà  pas top l'an dernier et sur cette base (moins les rares joueurs corrects qui ont pu trouver un club)que nous nous appuyons aujourd'hui pour construire un groupe compétitif. Pas évident. Du coup les niveau est en baisse, assez logiquement.
Pelé était déjà  juste l'an dernier, Sikimic n'est pas un tueur non plus (auquel cas il ne serait pas chez nous), Rodrigo est complètement déphasé, on voit aujourd'hui les limites de ce bricolage. Même le sorcier Gress commence (déjà ?) à  se laisser aller à  un certain pessimisme.
Cela confirme que le club mettra quelques temps à  retrouver l'élite, deux ou trois saisons seront probablement nécessaires pour réunir les joueurs à  même de relever le challenge.

[argueti]

Déjà  la peur du vide

Une dérouillée à  Istres la semaine dernière en Coupe de la Ligue (6-1), une défaite à  domicile pour l'ouverture en L 2 hier à  la Meinau contre Châteauroux (1-2) : le RCS fait plus qu'inquiéter en ce début de saison. Une angoisse palpable sur le terrain où le renoncement guette à  la moindre contrariété.

Evidemment, quand on a comme seul point officiel de comparaison le désastre d'Istres le 1er août en Coupe de la Ligue, on ne peut que juger le Racing en progrès. On se console et, surtout, on se rassure comme on peut. Mais hier soir à  la Meinau, pour l'ouverture en L 2, les Strasbourgeois ont raté dans les grandes largeurs leur entrée en scène contre Châteauroux (1-2). Etrillés 6-1 huit jours plus tôt au stade Parsemain où d'iconoclastes Istréens les avaient éparpillés façon puzzle, les hommes de Gilbert Gress ont encore une fois paru désemparés dès que le sort leur a été défavorable. Pourtant, ils ne pourront invoquer l'excuse d'un scénario catastrophe, puisqu'ils ont eu la chance d'ouvrir leur score après 95 secondes par celui qui, à  19 ans, apparaît comme leur meilleur recours en ce début de saison, Magaye Gueye, déjà  buteur à  Istres. Ce qui en dit long sur les manquements de ce RCS en construction, qui paraît bricoler depuis un mois et demi, entre départs de joueurs guère en phase avec les méthodes de Gilbert Gress et arrivées tardives des recrues (Seid Khiter et Nicolas Fauvergue cette semaine). Sur une inspiration de Khiter justement, l'international des moins de 19 ans donna à  une Meinau à  moitié vide un espoir que des Castelroussins habiles en contre, mais maladroits dans la finition finirent par étouffer. A lui seul, Abdoulaye Baldé aurait pu plier le match. L'attaquant de la « Berri » enleva trop sa frappe au-devant de Cassard (7 e), puis fut mis en échec à  quatre reprises par le capitaine bas-rhinois (21 e, 36 e, 52 eet 73 e). Mais son équipe sut toutefois assurer l'essentiel. D'abord en égalisant à  la 20 e sur un corner du rentrant Grange repris de l'extérieur du droit par le capitaine Cordonnier, au nez et à  la barbe de Rodrigo et sous la barre d'un Cassard impuissant. Ensuite en exploitant enfin victorieusement les failles de l'axe défensif des Bleus, sur un ballon en profondeur de Baldé à  destination de Constant. Ce dernier ouvrit intelligemment son pied gauche pour éviter la sortie d'un Cassard battu pour la 8 e fois en 2 rencontres.

Gress : « Il ne sert à  rien de se lamenter »

En marge d'une défaite qui confirme la désagréable impression laissée par l'équipage alsacien depuis un mois et demi, cette soirée noire a été marquée par la blessure au genou gauche du portier et capitaine, touché lors de son sauvetage devant Baldé à  la 73 e et dont la rotule a gonflé. Gilbert Gress l'annonce déjà  forfait pour le déplacement de jeudi à  Laval. La punition est donc double. « L'équipe est mentalement friable», n'élude pas le coach, « mais ça ne date pas d'aujourd'hui. Cette défaite tire un nouveau signal d'alarme. Les grandes équipes sont celles qui commettent un minimum d'erreurs, ne perdent pas de ballons et savent se montrer dangereuses. Ce soir (hier), hormis lors des 20 premières minutes, nous n'avons pas été dangereux et nous avons commis beaucoup trop d'erreurs défensives. La préparation a été tronquée. Ce n'est pas celle dont je rêvais, ni dont j'ai l'habitude. Notre début de saison est très laborieux. Mais il ne sert à  rien de se lamenter. On cherche les solutions depuis quatre semaines. Si ça doit passer par un recrutement en défense ? On verra. » En attendant, il avoue volontiers se poser des questions. « C'est le rôle de l'entraîneur, non ? Aujourd'hui, joueurs, dirigeants, tout le monde doit s'en poser. » Signal d'alarme, remise en cause : le vocabulaire des périodes de crise est déjà  de sortie à  la Meinau. Aussi précocement, c'est une première.

Un mental trop friable

Comme à  Istres, les Bleus ont lâché prise dans les têtes face à  une Berrichonne habile en contre.

Cassard (5,5). Irréprochable à  Istres, le capitaine du RCS ne pouvait rien sur l'égalisation de Cordonnier et s'est retrouvé livré à  lui-même sur le 2e but berrichon signé Constant (61e). Le fait d'avoir évité le pire en plusieurs autres occasions le consolera d'autant moins qu'il a dû quitter le terrain à  la 79e et ainsi offrir ses débuts pros au jeune Kévin Sommer.
Pichot (5). Gêné par les permutations de Bedimo, Constant et Baby, le latéral droit a dû parer au plus pressé, sans réussite en première période. Plus à  son aise après le repos, ce qui ne le consolera pas non plus.
Pelé (5). Son entente avec Milovan Sikimic est en rodage. Le manque d'automatismes le dessert autant que le Serbe. Face à  la mobilité des Castelroussins, les deux axiaux, dont la vitesse n'est pas la première qualité, ont souffert de la comparaison et de problèmes d'alignement. Un des gros points noirs du début de saison.
Sikimic (4). Les remarques ci-dessus valent aussi pour l'ancien Guingampais, parti d'En Avant l'année où Pelé y arrivait. La vitesse du poison Ablai Baldé a souvent fait grincer la charnière.
J.-A. Fanchone (5). Privé du déplacement à  Istres pour une panne de réveil la veille, JAF retrouvait sa place sur le côté gauche. Il a joué sur courant alternatif, tantôt un rien nonchalant, tantôt premier contre-attaquant, comme sur ce missile de 30 m dans la niche de Fernandez (53e). Peut et doit mieux faire.
Bah (6). Le Guinéen n'a pas donné sa part aux chiens, mais s'est parfois montré brouillon. Il a néanmoins sans cesse cherché à  faire vivre le ballon.
Rodrigo (5). Le Brésilien n'a pas encore l'abattage qui était le sien il y a deux ans sous le maillot bleu. Dans un navire strasbourgeois qui tangue au moindre vent contraire, qu'il s'impose comme celui qui tient la barre serait salvateur.
Othon (5). Arrière gauche à  Istres, le petit milieu est remonté dans l'entrejeu. A l'évidence, il souffre d'un manque de compétition logique après sa grave blessure de la saison passée. Il lui faudra du temps pour retrouver la plénitude de ses moyens.
Khiter (5,5). Passeur décisif sur le but de Magaye Gueye, l'ex-Valenciennois a été dans tous les bons coups en début de partie. Mais il s'est peu à  peu éteint et a logiquement cédé sa place à  David Ledy (69e).
Fauvergue (4,5). Arrivé, comme Khiter, en milieu de semaine, le Lillois s'est beaucoup démené devant. Il aurait pu ouvrir son compteur buts dès la 14e sur une tête décroisée captée par Fernandez après un centre de Rodrigo. Il a disparu en 2e période. Comme l'équipe…
Gueye (6,5). L'international des moins de 19 ans est l'homme en forme de ce début de saison. Buteur et rare satisfaction du naufrage d'Istres, il n'a eu besoin que de 1'35" pour récidiver hier et inscrire son premier but en L 2. Il a toujours joué simple et propre, avant d'être remplacé à  l'heure de jeu par un Yassine Bezzaz hors du coup.

Stéphane Godin

[Phapha]

Enfin un match que j'ai pu voir à  la Meinau, et où j'ai pu rencontrer certains membres d'Infosracing ! Merci encore à  Keating et argueti pour le billet.

Première fois en Ouest, bonne ambiance mais difficile d'apprécier ce qui se passe sur tout le terrain.

Un Racing inquiétant hier soir, mais je crois que le constat a déjà  été bien fait : manque d'automatismes, de physique (mais qu'est-ce qu'il leur a fait pendant la préparation ?), de motivation pour certains. Un 4-3-3 dans lequel seul le dernier chiffre (et encore seulement les titulaires) tient à  peu près la route. Le milieu à  3 a été particulièrement inefficace en phase offensive (sauf rarement Bah), et mal organisé dans son repli défensif. Et si l'effectif ne se prêtait tout simplement pas à  ce système ?
Par moments, on a revu le jeu stéréotypé de l'année dernière, trop lent, trop latéral, avec de longs ballons devant vite perdus et des coups de pieds arrêtés que le moindre joueur de l'équipe Infosracing ne peut pas plus mal tirer. Alors qu'en début de match, on voyait que Châteauroux était relativement facile à  déstabiliser.


Mon top :
1. Gueye
2. Fauvergue : pèse sur la défense, adroit, arrive déjà  à  combiner avec les autres. Efficace quand il est entouré.
3. Rodrigo : m'a semblé en rythme, bien en place, et contrairement à  ce que je lis partout, je ne l'ai pas vu perdre beaucoup de balles. Rassurant en lui-même, mais pas à  l'aise dans ce milieu à  3.

Mon flop :
1. Sikimic : trop souvent catastrophique, il faut espérer que ce n'est dû qu'à  son manque de forme, mais ne faudrait-il pas le faire jouer avec la CFA dans ce cas ?
2. Pelé : que d'erreurs ! Ce qu'il fait sur le 2e but est inadmissible.
3. Pichot : tout a déjà  été dit, à  la rue derrière, brouillon devant. Szelesi n'était pas pire.

Pour ce qui est des autres, j'attendais plus de Bah, que j'ai trouvé très bon au début et très effacé pendant l'heure suivante. Othon a perdu beaucoup de balles et ne pesait pas. JAF est le moins pire des défenseurs, les Castelroussains ne sont pas beaucoup passés de son côté. Bezzaz : évite le flop de peu, car, comme disait Denis hier soir, il n'a été mauvais que 20 minutes. Khiter : pas loin du top pour son très bon début, mais s'est trop vite éteint, et repli défensif quasi inexistant ; semble assez à  l'aise à  gauche aussi. Ledy : agressif et limité. Cassard : j'étais trop loin pour bien voir en 1e période, je l'ai trouvé bien en 2e (que peut-il faire sur le 2e but ?), se blesse en sauvant le Racing du 1-3. Sommer : pas grand chose à  faire pour son premier match en pro, aurait dû se prendre un but si l'attaquant ne s'était pas ch... dessus après l'avoir dribblé.

[argueti]

Il manque clairement un joueur qui porte le ballon vers l'avant, Bah a essayé sans trop de succès ...

[Its_me]

Si seulement il ne manquait que ça

Par contre ... je trouve les notes de l'Alsace vachement bonnes compte tenu du match

[urotsukidogi]

Oui cette années ils notent sur 100....

[fan_racing]

Tout comme les trois étoiles et les quatre étoiles des DNA ...

[FM17]

de retour de Strasbourg....que dire sur le match...belle entame et finalement à  1-2 on s en sort bien contre une pauvre équipe de Chateauroux...

Fauvergue pour sa 1ere mi temps
Khiter pour sa 1ere demi heure
Gueye pour son 1er quart d heure...

Pelé pour l ensemble de son oeuvre
Presque aussi mauvais que Pelé
Bezzaz le plus mauvais mais n a pas joué assez longtemps pour avoir 4

L équipe a joué à  2 à  l heure de facon trop prévisible...manque un meneur...Pas décu mais plutôt inquiet surtout depuis que j ai assisté à  l entrainement de ce matin et ait discuté 15 mn avec Gress en tête à  tête...(voir topic concerné)