[07/08] 24ème J: Strasbourg / Saint-Etienne : 3-0

[D520]

bon match de l'ensemble de l'équipe , personne ne mérite un flop hier soir !!
mon top
Cassard qui nous sauve encore à  2-3 reprises
Ducrocq qui s'est vraiment décarcassé et a faillit marquer un but
Cohade pour son activité et son but

puis tous les autres avec un plus à  Abdé, Rodrigo et Fanchone

et nous savons enfin quel est le poste de Santos : Mr Jocker après une heure de jeu

[enzy]

Match vu à  la télé :

Bon match du raçing (sans Renteria ni Bellaid) face à  une équipe de Sainté assez timide à  l'extérieur.
Le tournant du match, le poteau de Gomis à  20 minutes de la fin.
Le raçing a su faire la différence en première mi-temps récompensant ainsi 45 minutes pleine avec beaucoup d'envie dans la récupération du ballon et dans la construction du jeu.
Après ils ont su contenir un Sainté qui était revenu après la pause avec d'autres intentions et comme souvent ils ont fait le break en fin de match.

Cassard : est-il encore nécessaire de juger ces prestations ?
Lacour : pas vraiment mis en danger défensivement et a su jouer juste et simple offensivement.
Dos Santos : idem Lacour
Paisley : le Laurent Blanc du raçing
Ducrocq : bon match, s'est fait enrhumé sur une seule action par Gomis en deuxième mi-temps.
Rodrigo : précieux, mais un peu nerveux et surtout un carton jaune très con en fin de match
Cohade : indispensable, pénalty très bien tiré
Abdé : du mieux surtout en deuxième mi-temps, mais il y avait plus d'espaces.
Fanchone : très bonne première mi-temps pleine de percussion, mais ne sera jamais un grand buteur.
Gameiro : effacé, le joueur le moins en vue
Mulenga : toujours aussi prometteur, doit un peu canaliser ses efforts, premier but en L1.
Santos: excellente rentrée, son rôle de joker lui va très bien, est plus dangeureux en 1/4 d'heure qu'en 90 minutes.

Reste à  chercher 4 victoires en 14 matchs, ça devrait être jouable.

Un nul à  Lorient serait un super résultat histoire de ne pas briser la bonne spirale actuelle.

[vaevictis]

4 victoires cela donne 44 points en fin de saison, cela va etre insuffisant cette annee pour se maintenir. Sur les 14 derniers matchs il vaut mieux tabler sur 5 victoires et 3 nuls avec ça on devrait etre tranquille.

[argueti]

Les trois précieuses

Trois buts, trois points. Face à  Saint-Etienne, concurrent direct au maintien, le Racing a pris hier soir un bon bol d'air. Les Strasbourgeois ont secoué de pathétiques Verts, qui ont terminé la rencontre à  neuf. Revenus à  la onzième place, les hommes de Furlan réalisent une excellente opération.

La Meinau l'attendait, le Racing l'a fait. Humiliés la semaine dernière par Metz en Coupe de France, les Strasbourgeois ont renoué hier soir avec la victoire. Qui plus est avec la manière, emballant une fin de rencontre lors de laquelle les Verts avaient sombré corps et âme.

Roussey désormais en grosse difficulté

C'est que Saint-Etienne n'est pas au mieux. Privée de quatre titulaires - Janot, qui était quand même du déplacement, Landrin, Perrin et Dabo - la troupe de Laurent Roussey, en grosse difficulté désormais, manque cruellement d'ambitions. Loin de Geoffroy-Guichard, les Verts sont doux et malléables comme des agneaux. Avec pas moins de dix défaites dans la musette depuis hier soir, ils font d'ailleurs figure de cancres en la matière. Sans Feindouno, rentré de la Coupe d'Afrique des nations en début de semaine et laissé sur le banc, les Stéphanois paraissent à  court d'idées et d'inspiration. En début de rencontre, le Racing ne déploie pourtant pas un arsenal qui serait de nature à  dissuader un concurrent direct au maintien. Jacob Mulenga, à  la pointe de l'attaque, rivalise alors de maladresse. Gameiro, en soutien, ne lui est d'aucun secours alors que Cohade et Abdessadki courent dans le vide. En fait, seul James Fanchone se montre incisif. Sur le flanc droit de l'attaque, l'ex-Manceau rue dans les brancards. Installé dans un certain confort, les Bleus commencent même à  ronronner. Jusqu'à  cette claquette de Cassard qui, avant la demi-heure de jeu, sonne enfin le réveil alsacien. « Mon équipe n'était pas en pleine confiance, avec ce match de Metz qui trottait encore dans les têtes, reconnaît Furlan. L'idée, c'était d'apporter de la force et de la puissance devant, histoire de se rassurer. » Le coach surgit de son banc quand Mulenga valdingue dans la surface, sous la pression de Tavlaridis, sans que l'arbitre ne bronche (28e'). Deux minutes plus tard, Furlan peut même s'arracher les cheveux sur cette incroyable occasion que « croque » James Fanchone, tout seul devant Viviani.

Entrée fructueuse de Santos, première pour Mulenga

La domination alsacienne finit par se concrétiser. M. Jaffredo accorde un penalty « généreux » à  Mulenga. Le tout premier de la saison, que Cohade s'empresse de transformer (38e'). Jamais encore le Racing n'a perdu quand il ouvrait la marque. Jamais encore Saint-Etienne ne s'est imposé, étant mené au score. Une tendance qui se confirme au retour des vestiaires. Malgré une énorme occasion de Gomis à  l'heure de jeu et une envie enfin clairement affichée, les Bleus prennent doucement mais sûrement l'ascendant. Les Verts sont déjà  réduits à  dix - expulsion de Benalouane - quand Alvaro Santos double la mise (85e'). Ils ne seront plus que neuf, après le second rouge décerné à  Guarin, pour voir Mulenga inscrire son premier but en Ligue 1, sur un service du joker patenté - deux passes décisives et deux buts en trois entrées - l'incontournable Santos. Revenu à  la onzième place, le Racing peut souffler. « On a passé la barre des 30 points (32 exactement), on peut désormais s'atteler à  atteindre la barre des 40, conclut Furlan. Je suis rassuré et satisfait de la réaction de mon groupe. » Philippe Ginestet, saisi par un gros rhume et quasiment aphone, pouvait rigoler. Au moment de saluer Roland Romeyer, son pendant - avec Caïazzo - dans la Loire, le président était parvenu à  glisser ce bon mot : « Je préfère perdre la voix que de perdre le match. » Son voeu est exaucé. Au-delà  des espérances.

Le cadeau de Mulenga

A trois jours de son anniversaire, le Zambien, plutôt quelconque dans l'ensemble, a pesé de tout son poids sur les débats d'hier en obtenant le penalty à  l'origine d'une tendance souriante et définitive et en inscrivant le 3e but alsacien.

CASSARD () : Le portier strasbourgeois n'a pas eu grand-chose à  faire, mais l'a bien fait, en rassurant lorsque St-Etienne a tenté de jouer en profondeur (3e et 25e). Il a boxé sans souci une tête de Gomis (55e).
LACOUR () : A son poste de latéral, il s'est bien entendu avec Fanchone placé devant lui. L'ancien capitaine a, dans l'ensemble, privilégié la carte d'une certaine prudence avec des montées rares, a été en difficulté juste après la pause quand Dernis a monté la cadence, mais a consacré son match solide en délivrant le centre décisif vers Alvaro Santos (85e).
DUCROCQ () : Le remplaçant de Bellaïd a monté la garde avec sérieux au côté de son ami Paisley, a réussi quelques jaillissements utiles pour prendre ses marques (2e et 4e), a décoché un surprenant ciseau sur corner, au-dessus de la cage de Viviani (37e) et a fait front pour tenir le résultat, même si Gomis l'a « enfumé » sur sa grosse action à  l'heure de jeu quand l'attaquant vert a trouvé le poteau. Il a conclu son intéressante production d'une reprise, de peu à  côté, sur un coup franc d'Abdessadki (82e).
PAISLEY () : Toujours un régal pour les yeux, le défenseur a fait dans la sobriété hier soir. Sûr en défense, il s'est contenté d'une somptueuse sortie pour lancer Fanchone (13e) et d'une grosse frappe, sur coup franc, au-dessus (22e). On ne lui en demandait pas plus.
DOS SANTOS () : Le défenseur chauve a été bon. Après une mise en route passée à  jauger les capacités de son vis-à -vis, Payet plutôt que Feindouno initialement annoncé, l'homme d'expérience a multiplié les initiatives inspirées avec de bons centres (15e et 18e notamment) et quelques diagonales judicieuses vers Fanchone notamment (51e).
RODRIGO () : Si le surnom est dévolu généralement à  Cris, le défenseur central lyonnais, on va finir par le rebaptiser le « Policier », tant sa capacité à  gérer les flux en milieu de terrain se révèle impeccable. Il s'est joué des initiatives de Ilan (25e par exemple) et ne dépareille pas quand il s'agit de participer à  une action vers l'avant, comme sur le jeu en triangle qui a abouti au centre de Dos Santos (18e). Le Brésilien s'est également révélé précieux quand il a fallu tenir le résultat après la pause.
COHADE () : A d'abord un peu bafouillé en étant dominé par la puissance de l'entrejeu forézien incarnée par Matuidi et Sall. Il a notamment contré une relance de Rodrigo, ce qui aurait pu prêter à  conséquence (10e). A remis le nez à  la fenêtre après 30 minutes de jeu, a consacré cette renaissance en inscrivant le premier penalty obtenu par le Racing cette saison (38e) et n'a eu de cesse de mener un travail de harcèlement fort précieux en 2e mi-temps.
FANCHONE () : L'ailier droit a été le plus tranchant des Strasbourgeois de la première demi-heure avec une tête au-dessus (15e), un tir croisé qui a mis Viviani à  contribution (18e), un bon service qui a placé Abdessadki en bonne position (20e), une incursion qui a abouti à  un coup franc bien placé (24e). L'ancien Manceau a néanmoins manqué l'immanquable en perdant son face-à -face avec Viviani (30e), même si un centre vers Gameiro (56e) prouve qu'il a été actif après la pause. Remplacé par MOULOUNGUI (81e).
ABDESSADKI () : Il n'a pas manqué de courage, mais parfois un peu de jus. Son abnégation a été récompensée de quelques fulgurances comme un caviar vers Fanchone qui n'en a pas profité (30e). Il a provoqué l'expulsion sévère de Benalouane (80e).
GAMEIRO () : L'attaquant de poche a été le seul élément offensif à  essayer de jouer en percussion, ce qui ne lui a pas valu un rendement affolant pour autant. A perdu beaucoup de ballons en tentant à  tout-va, mais a réussi quelques retours défensifs et une frappe cadrée (56e) qui ont sauvé sa copie. Remplacé par ALVARO SANTOS (72e) qui a signé une tonitruante entrée en tuant le suspense à  la faveur d'une frappe à  ras de terre (85e) et d'une passe parfaitement synchronisée vers Mulenga pour la conclusion du score (90+2e).
MULENGA () : En dépit de ses rutilantes chaussures oranges, le Zambien a d'abord semblé complètement à  côté de ses baskets. Son gabarit a enquiquiné les costauds de la défense verte et Tavlaridis a commis l'irréparable en lui accrochant le maillot (38e). Son retour de la CAN se révèle d'autant plus gagnant qu'il a conclu la belle soirée en crucifiant Viviani dans les arrêts de jeu pour déflorer son compteur but en Ligue 1.

François Namur & Sébastien Keller

[argueti]

Le grand huit[/size]

En remportant sa huitième victoire face à  Saint-Etienne hier à  la Meinau (3-0), le RCS a porté à  huit son total de points sur les quatre dernières journées. Il remonte ainsi à  la 11e place.

C'est, depuis le début de saison, le credo de Jean-Marc Furlan : « Pour nous en sortir, nous devrons réussir des séries. » Celle de trois succès réalisée au cÅ“ur du mois d'août (contre Auxerre, à  Toulouse et face à  Lens) avait permis au Racing de vivre sur son capital dans les semaines moins fastes du début d'hiver. L'histoire retiendra peut-être dans quelques mois, si le maintien est au bout, que les Bleus ont accompli l'autre grande partie du chemin de la mi-janvier à  la mi-février, alors que 2008 avait pourtant démarré de façon poussive. À la faveur de quatre matches sans défaite (deux succès à  domicile contre Toulouse et Saint-Etienne hier et deux nuls à  Auxerre et à  Lens), les hommes de Jean-Marc Furlan viennent d'engranger huit points. Avec 32 unités au compteur en 24 journées, ils pourraient ce matin envisager tranquillement la suite de leur saison. Mais dans ce championnat homogène – d'une médiocrité égale aux six coins de l'Hexagone, diront certains – ils possèdent aujourd'hui autant de points de retard (5) sur le 4e, Nice, que de points d'avance sur le premier relégable, Toulouse. La victoire d'hier soir face à  la plus mauvaise équipe de L 1 à  l'extérieur, Saint-Etienne, a en tout état de cause rassuré tout le monde après le couac de l'autre vendredi dans cette même Meinau en Coupe de France contre Metz (0-3). A commencer par les Strasbourgeois eux-mêmes. Sans jouer les rabat-joie, ce succès, pour large qu'il soit, a tout de même mis du temps à  se dessiner. Il aura fallu une « bavure » de Tavlaridis sur Mulenga pour offrir aux Bleus leur premier penalty de la saison, transformé par Cohade, et un avantage bienvenu quelques minutes avant la pause.

Huit victoires, huit nuls, huit défaites

Mais dire qu'ils se sont ensuite baladés serait un brin exagéré. A deux reprises, Bafé Gomis (56e et 61e) a même été à  deux doigts de rétablir une parité qui, à  cet instant du match, n'aurait pas relevé du scandale. « Saint-Etienne nous a fait quelques frayeurs, notamment avec ce tir de Gomis sur le poteau », reconnaît Renaud Cohade, « ensuite, nous avons su profiter des espaces qui s'offraient à  nous pour contrer. Les entrées d'Alvaro Santos et Eric Mouloungui nous ont apporté de la fraîcheur. » Le Brésilien, rarement heureux lorsqu'il est titulaire, s'est une nouvelle fois avéré décisif en joker de luxe. Sur ses trois dernières entrées en jeu, l'ancien Sochalien a inscrit deux buts (à  Lens et hier soir) et distillé deux passes décisives (contre Toulouse et face aux Verts). Le tout en 41 minutes et des poignées d'arrêt de jeu. Un ratio phénoménal. Treize minutes après son entrée, Alvaro Santos a délivré le Racing et mis à  genou des Verts réduits à  neuf par les expulsions successives de Benalouane et Guarin. Puis à  l'entame du temps additionnel, il a livré à  Jacob Mulenga, sur un plateau, son premier but en Ligue 1. Ce 8e succès de la saison (contre 8 nuls et 8 défaites) met du beurre dans les épinards d'un RCS qui ne pointe qu'à  trois longueurs du cinquième, Valenciennes. « Pour un entraîneur, figurer à  la 11e place est toujours un soulagement », réagit Jean-Marc Furlan. « Porter le dossard 11 plutôt que le dossard 15 ou 16 peut jouer sur la confiance des joueurs. Et en franchissant la barre des 30 points comme nous venons de le faire, nous pouvons en plus commencer à  regarder vers le cap des 40. Mais comme je suis très pragmatique, je ne serai pas rassuré tant que nous n'aurons pas 44 points. » Il reste quatorze journées pour en rafler une douzaine.

Un joker en or

Un but, une passe décisive : le Brésilien a une nouvelle fois effectué une entrée en jeu tonitruante.

Stéphane Cassard (6,5). De l'expérience, du talent et de la chance : le portier alsacien a pallié les rares errements de ses défenseurs en seconde mi-temps.
Guillaume Lacour (6). Toujours disponible pour ses coéquipiers mais pas toujours inspiré dans ses passes, il a commis de nombreuses irrégularités qui ne lui ont pas valu d'avertissement, fort heureusement. A bonifié sa prestation par une passe décisive sur le 2e but d'Alvaro Santos.
Pierre Ducrocq (6,5). Comme Paisley, il n'a pas toujours été à  la fête face à  Gomis en seconde période, mais sa prestation d'ensemble a été correcte, agrémentée d'une bicyclette non cadrée en première mi-temps, et d'une reprise sur le poteau en seconde.
Gregory Paisley (6). A redonné de l'assurance à  la défense alsacienne après la débâcle de Metz, même si Gomis l'a fait souffrir à  plusieurs reprises en seconde période.
Manuel Dos Santos (6,5). Beaucoup d'abattage défensif, un bel apport offensif, il n'a jamais été pris en défaut sur son côté gauche.
Renaud Cohade (6). Précieux à  la récupération, il a parfois ralenti le jeu de ses coéquipiers en ne les servant pas dans la course. Mais il n'a pas tremblé au moment de transformer le premier penalty alsacien de la saison (38e).
Rodrigo (7). Si ce n'est un carton jaune stupide pour contestation, le Brésilien a été irréprochable, tout simplement.
James Fanchone (7). Sur la lancée de son dernier match en championnat contre Toulouse, il a été l'attaquant le plus en vue, aussi bien dans la remontée du ballon qu'à  l'abord de la surface stéphanoise. Moins inspiré devant le but où il aurait dû ouvrir le score seul face à  Viviani à  la 30e, alors qu'il avait fait le plus dur. En l'absence de Bellaïd, son jeu de tête défensif a été précieux en seconde mi-temps. Remplacé par Mouloungui en fin de match.
Yacine Abdessadki (6). Il a mis du temps à  trouver ses marques, mais son activité dans l'entre-jeu a fait reculer les Verts dans le dernier quart d'heure de la première mi-temps. Le Marocain trouve de plus en plus d'automatismes avec Fanchone, mais ses coups de pied arrêtés restent sans danger pour l'adversaire.
Kevin Gameiro (5). Sa seule action de but, à  la 56e, a permis à  Viviani de faire admirer sa détente. Remplacé par Alvaro Santos à  la 72e, dont l'entrée en jeu a été comme souvent décisive puisqu'il a mis les Strasbourgeois à  l'abri à  la 85e avant de délivrer la passe du 3e but à  Mulenga.
Jacob Mulenga (6). Longtemps muselé par Nivaldo et Tavlaridis, dont le kumikata – entendez la prise de kimono - de la 38evaudrait yuko au judo, mais « péno » au foot. De retour de la CAN, le Zambien n'a pas manqué de cannes pour harceler les défenseurs foréziens dans la relance et marquer son premier but strasbourgeois dans le temps additionnel.

Stéphane Godin

[argueti]

Je viens de revoir la fin de match sure Onzeo, la chaine de Saint-Etienne : assez drôle avec les commentaires stéphanois

[Goose]

développe

[argueti]

Ben, avoir pendant 90 minutes des commentaires pro-stéphanois avec le résultat qu'on connait ca fait bizarre : quand ils crient au scandale après les deux cartons, etc ...

[FM17]

faudrait que je vienne plus souvent à  la Meinau...une petite histoire vraie : je dis à  Fab2034 samedi avant le match que j ai fait un rêve et que j avais vu le Racing gagner 4-0 avec un pénalty de Cohade et 2 stephanois expulsés .....
sinon le score est flatteur même si en fin de première mi temps le Racing dominait bien. Pendant toute la deuxième mi temps c était quand même tendu juste qu à  l expulsion du Stéphanois.
J ai bien aimé le match de Ducrocq qui remplit pleinement son rôle de remplacant dans l axe de la défense. J ai adoré la paire Rodrigo-Cohade qui après 20 premières minutes difficiles ont récupéré beaucoup de ballons...Mention aussi à  Mulenga pour son but méritant tant il s est dépensé avec beaucoup de déchets au départ pourtant..
ENFIN j ai adoré que Furlan mette Lacour arrière latéral, Fanchone sur l aile et fait sortir pour de bon Johansen. Même si abdessadki a mieux joué, j ai hâte de voir Fanchone-Cohade-Rodrigo-Mouloungui derrière le duo d attaquants...on s en rapproche et je suis content de voir que Furlan m écoute...
mon top
Ducrocq, il a remplit à  perfection le rôle qu on lui avait convié et à  même failli marquer
Rodrigo, revenu à  son niveau de début de saison
Cassard, propre et rassurant

mon flop
Gameiro brouillon
Abdessadki, du mieux mais il m énerve quand il tire les corners...
Fanchone, à  cause des occases manquées

mes flops sont par défaut hier tant le Racing sans faire un gros match a su répondre présent et a joué vraiment en équipe....au contraire des Verts qui malgré des individualités (Gomis, Ilan, Feindouno, Sall...) n a rien montré...

[GeoGeo]

a souligner pour une fois lacour aux avants postes a créer le surnombre, un joli coup d'oeil sur le but d'alvaro, sa joie fait plaisir a voir