[07/08] 16ème CDF : RCS / Metz - 0/3

L'actualité du Racing dans les coupes nationales
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Roswell Man
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Re: [07/08] 16ème CDF : RCS / Metz - 0/3

Message par Roswell Man »

GeoGeo a écrit :d'accord mais si a ce moment la l'entraineur dit que c'est pas sa priorité, pourquoi ne pas aligner une équipe BIS alors..
Ch'uis d'accord, c'est le seul truc qui m'intrigue dans cette affaire. A la place de Fufu j'aurais aligné 3-4 jeunes comme Gasmi (qui a bien le niveau de certains titulaires habituels à  mon avis), comme à  Rouen. Il voulait peut-être tester la motivation et l'engagement des "cadres", ou éviter qu'ils ne rouillent entre deux rencontres de championnat...
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enzy
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Re: [07/08] 16ème CDF : RCS / Metz - 0/3

Message par enzy »

C'est bien pour ça qu'il n'est pas cohérent sur ce coup là .
De toute façon, il n'y a pas mort d'hommes
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D520
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Re: [07/08] 16ème CDF : RCS / Metz - 01/02 à  20h30

Message par D520 »

Psychogene a écrit :3-0, net et sans bavure.
t'avais le bon score .... pour Metz !!! :lol: :oops:
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argueti
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Re: [07/08] 16ème CDF : RCS / Metz - 0/3

Message par argueti »

DNA a écrit :La tête ailleurs

Le Racing a subi une défaite proche de l'humiliation, hier soir à  la Meinau, en 16es de finale de la Coupe de France, face au voisin messin. Un moindre mal si l'on veut bien considérer que les hommes de Furlan se sont « préservés » dans l'optique de la venue de Saint-Etienne, samedi prochain en championnat.

« Et un, et deux, et trois zéro ! » Les supporters mosellans peuvent fanfaronner, à  l'issue du raid solitaire de Pjanic, le petit prodige luxembourgeois qui a enfumé toute la défense dans la dernière minute de jeu. Metz s'est ouvert en grand les portes des huitièmes face à  une toute petite équipe strasbourgeoise. Si petite qu'elle aurait bien voulu disparaître entre les brins d'herbe mouillés au moment où la bronca s'est abattue des tribunes de la Meinau.

Le Racing se laisse prendre à  son propre jeu

Comme à  Lens, samedi dernier (2-2), Jean-Marc Furlan avait pourtant décidé de reconduire son schéma tactique, avec son milieu de terrain en « losange ». Rodrigo fait ainsi sentinelle devant la défense, Johansen part dans l'idée de construire le jeu alors qu'Abdessadki et Lacour sont chargés d'animer les côtés.
Le problème, c'est que les Strasbourgeois n'animent pas grand-chose, pour ne pas dire rien du tout. Peut-être parce qu'Yvon Pouliquen a lui aussi adapté ses plans, posant en quelque sorte un calque identique sur le schéma de jeu alsacien. Côté mosellan, c'est le grand Julien François qui campe le rôle de Rodrigo, le Suisse Gygax celui de Johansen. Rapidement, il s'avère que le Racing se laisse prendre à  son propre jeu. Même si les premières escarmouches sont alsaciennes et que Renteria se voit logiquement refuser un but pour une position de hors-jeu (12e'), c'est le FC Metz qui se crée les occasions les plus tranchantes.
En l'espace de quatre minutes, autour de la demi-heure de jeu, Puydebois est ainsi sollicité à  trois reprises. Aguirre d'abord, Gygax ensuite, le petit Pjanic pour finir, tirent les Lorrains de la torpeur dans laquelle ils se complaisaient à  ronronner.

Pouliquen : solidité en défense et solidarité »

Si le score est encore vierge à  la pause, Jean-Marc Furlan peut quand même commencer à  se poser quelques questions. Jamais ses hommes ne sont parvenus à  affoler la plus mauvaise défense du championnat. Celle qui a pris la bagatelle de 40 buts dans la musette en vingt-trois journées. Celle qui a perdu hier soir Bassong et Corrales, deux de ses éléments sortis sur blessure en une mi-temps. « C'est dans la solidité de ma défense et la solidarité de tous les instants que je puise les principales raisons de satisfaction », savoure Yvon Pouliquen. Ce n'est pas pour autant que le Racing doit céder à  la panique, lui qui avait connu pareil scénario pour son entrée en lice dans la compétition, en début de mois chez les amateurs de Rouen (0-0 a.p., 4-5 a.t.b.). Hier soir, le public alsacien n'a toutefois pas eu à  veiller jusqu'au bout de la nuit. Revenu des vestiaires depuis seulement trente secondes, le pauvre Bellaïd est à  l'origine d'une ouverture du score que l'on qualifierait de « gag ». Le défenseur central intercepte une ouverture de Pjanic et dégage la balle droit devant lui. Manque de chance, Aguirre est sur la trajectoire. La balle ricoche par le plus grand des hasards sur le pied du poids-plume péruvien. Puydebois n'a rien vu. Ce coup du sort a le don de définitivement dissoudre dans le néant les dernières forces que les Alsaciens avaient péniblement rassemblées à  l'entame de cette rencontre. Après l'heure de jeu, Aguirre est à  la conclusion d'un contre pour signer un improbable doublé. Avant le coup de grâce porté par Pjanic.

Le maintien, une « affaire de vie ou de mort »

C'en est fini, de l'aventure strasbourgeoise dans la « plus prestigieuse des compétitions », aux dires de Furlan. Pas chien, le Racing peut bien laisser ce rêve-là  à  son malheureux voisin, d'ores et déjà  condamné à  la relégation. « C'est peut-être un mal pour un bien », prophétise le coach. A condition, bien sûr, de montrer un tout autre visage dès samedi prochain pour la venue de Saint-Etienne. Les coupes se sont envolées, ne reste plus que le championnat. Et la lutte pour le maintien. « Une affaire de vie ou de mort », selon Furlan. Moribond hier soir, le Racing devra vite recouvrer la santé et retrouver ses esprits. La tête ailleurs, ça va bien un soir.

Et l'esprit Coupe alors ?

Mené dès l'entame de la seconde période par un but malheureux, le Racing ne s'en est jamais remis. Et samedi face à  St.-Etienne, il faudra montrer un vrai visage de... Coupe. Ce qui a considérablement manqué hier soir aux Alsaciens face à  la lanterne rouge de L1.

PUYDEBOIS (). - Une belle intervention à  la 30e sur une frappe petit filet de Gygax, suivie d'une envolée à  la Spiderman sur une nouvelle tentative de l'international suisse et Puydebois avait pourtant mis les choses au point. Comme à  Rouen. Moins habile par contre sur quelques relances à  la main et surpris par la trajectoire fuyante du premier but lorrain. S'est offert une petite gâterie en détournant le penalty d'Agouazi.
SZELESI (). - Très tonique d'entrée, l'international hongrois qui sera en sélection mercredi contre la Slovaquie, s'est beaucoup aventuré à  l'abordage. Mais parfois de façon un peu brouillonne. Remplacé à  la 74e par Gameiro qui a mis toute sa hargne dans la balance.
BELLAID (). - Deux interventions nettes face à  Aguirre et Pjanic l'ont pourtant placé dans des conditions idéales. Malheureux sur le dégagement qui provoque l'ouverture du score d'Aguirre, il a traîné ce coup du sort comme un boulet.
DUCROCQ (). - Il a encore prouvé hier qu'il constituait une alternative intéressante au sein d'une charnière centrale où il se sent de plus en plus à  l'aise au gré de son temps de jeu. Et comme Bellaid sera suspendu samedi face aux Verts, c'est plutôt une bonne nouvelle.
DOS SANTOS (). - Une belle frappe à  la fin du premier quart d'heure obligeant Marichez au premier arrêt de la partie conjuguée à  beaucoup d'activité dans son couloir gauche. Un match dans la continuité de sa bonne forme actuelle. Même s'il a perdu un peu de clairvoyance après le 0-2 lorrain.
RODRIGO (). - Toujours aussi disponible, l'essuie-glace brésilien du Racing ne connait pas le mode intermittent. Tout en s'efforçant de jouer juste. Il n'a pu cependant faire de miracle.
LACOUR (). - Encore à  la recherche du bon rythme, il a paru un peu moins à  l'aise sur ce côté droit qu'il a néanmoins tenté de bonifier, notamment en seconde période où on a retrouvé un Lacour plus entreprenant. Mais les Messins avaient déjà  fait le break.
JOHANSEN (). - Pour son retour d'exil, il a été très souvent sollicité faisant vivre un ballon qu'il domestique à  merveille. Moins précis toutefois dans ses frappes. Et de temps en temps encore trop facile... Il charme et agace à  la fois.
ABDESSADKI (). - Il avait lui aussi besoin de retrouver ses repères. Il a ainsi absorbé gloutonnement les kilomètres y laissant forcément de l'énergie. Mais face aux Messins, il a pris le remonte-pente et devrait monter en puissance.
RENTERIA (). - Du bon, mais parcimonieusement comme cette pichenette du gauche à  la 36e, et trop souvent du trop en dessous de la moyenne. Du Renteria pur beurre, quoi ! Une maille à  l'envers, une autre à  l'endroit. Remplacé à  la 62e par Mouloungui qui n'a pas encore retrouvé son statut de perce-muraille.
ALVARO SANTOS (). - Autant il n'était pas dans son assiette face à  Nice, autant le Brésilien a mordu à  pleines dents dans cette Coupe, comme si son but à  Lens l'avait métamorphosé. Mais après le coup d'assommoir lorrain, il a disparu au fur et mesure du paysage.

Sébastien Keller
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argueti
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Re: [07/08] 16ème CDF : RCS / Metz - 0/3

Message par argueti »

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Re: [07/08] 16ème CDF : RCS / Metz - 0/3

Message par argueti »

L'Alsace a écrit :Hors du coup et de la Coupe

Loin du rayonnement affiché à  Lens samedi dernier, le RCS a déjoué hier soir à  la Meinau et été logiquement éliminé dès les 16es de finale de la Coupe de France par un FC Metz transfiguré (0-3).

« A choisir entre la Coupe et un maintien en Ligue 1, mon cÅ“ur ne balance pas », martelait Jean-Marc Furlan jeudi lors de son point presse hebdomadaire. « Il penche du côté du maintien. » L'entraîneur strasbourgeois ne sera plus tracassé par ce qu'il ne considérait d'ailleurs pas comme un cas de conscience. Hier soir à  la Meinau, ses joueurs, qui avaient déjà  frisé la correctionnelle en 32es de finale à  Rouen (CFA) où ils ne s'en étaient sortis qu'à  la loterie des tirs au but, ont disparu dès le tour suivant face à  la lanterne rouge de Ligue 1, Metz, déjà  virtuellement condamnée à  la L 2. Cette saison, les 16es n'auront du reste pas porté bonheur à  Rodrigo et ses partenaires, déjà  sortis à  ce stade de la compétition par Amiens en Coupe de la Ligue (0-2). Déjà  à  la Meinau. Les Bleus, qui s'étaient montrés pleins d'allant lors d'un match de très haute intensité à  Lens samedi dernier, sont retombés dans leur travers du début 2008. Ils ont ronronné leur football, sans jamais déséquilibrer la plus mauvaise défense de Ligue 1. Celle-là  même qui a encaissé la bagatelle de 40 buts en 23 journées. Yvon Pouliquen le disait dans ces colonnes mercredi : depuis son arrivée il y a un mois, le FC Metz a retrouvé des couleurs. « Mon équipe s'est vite mise à  jouer. » L'ex-capitaine et entraîneur du RCS regrettait simplement la propension d'un groupe moralement atteint à  baisser la tête et les bras à  la première contrariété. En ce vendredi soir, ses hommes l'ont démenti, guère perturbés – il faut bien l'avouer – par des Alsaciens d'une rare timidité. Certes, le sort a donné à  Marichez et aux siens un joli coup de main sous la forme d'un but gag en début de 2e période. Un dégagement de Bellaïd, malheureux en la circonstance, un contre d'Aguirre un rien chanceux, un ballon à  l'improbable trajectoire hors de portée de Puydebois et voilà  Metz sur les rails d'une qualification pour les 8es de finale (0-1, 46e). Les Lorrains n'en dévieront plus, bien aidés par des Strasbourgeois à  côté de leurs pompes. Car pour être tout à  fait franc, les trois occasions du FC Metz au carrefour de la demi-heure de jeu avaient déjà  résonné comme un sérieux avertissement.

L'addition aurait pu être plus lourde

« On a eu une pointe de réussite sur le premier but », ne nie pas Y. Pouliquen. « Par la suite, nous avons bien enchaîné. Nous avons laissé la maîtrise du ballon aux Alsaciens, car nous savions que si nous réduisions les espaces, nous aurions des opportunités. C'est exactement ce qui s'est produit. » Et c'est évidemment sur un contre que les Lorrains doublent la mise, toujours par Aguirre peu après l'heure de jeu (63e). En toute fin de rencontre, Pjanic, d'un but somptueux, vient même donner une ampleur justifiée au triomphe de son équipe (90e). La débâcle aurait même pu être plus terrible si Nicolas Puydebois n'avait stoppé un penalty d'Agouazi quelques instants plus tôt. Sonné comme ses coéquipiers, le gardien strasbourgeois peine à  justifier le non-match du Racing, « parfait » négatif de la brillante prestation à  Lens six jours plus tôt. « Franchement, nous n'avons pas d'explication. Il va falloir laisser passer le week-end et y réfléchir. Mais il est certain qu'il faudra afficher un autre état d'esprit samedi prochain contre Saint-Etienne en Ligue 1. » Jean-Marc Furlan aspirait à  pouvoir se concentrer exclusivement sur le championnat. Ses joueurs vont en avoir tout le loisir.

Tatillon M. Layec

Les quelques spectateurs arrivés tôt à  la Meinau hier y ont assisté à  un étrange ballet une bonne heure avant le coup d'envoi. A l'initiative de Bertrand Layec, les délégués de la FFF ont mesuré la hauteur du but situé du côté de la tribune Est. L'arbitre avait cru déceler que cette hauteur n'était pas réglementaire (Ndlr : elle doit en principe faire 2,44 m). Après une première mesure, il n'était d'ailleurs toujours pas convaincu. Résultat : les délégués ont eu droit à  une deuxième promenade sur la pelouse pour aller vérifier si le temps venteux n'avait pas encore changé la position de la transversale incriminée. Après cette tragi-comédie en deux épisodes, M. Layec a fini par donner son feu vert à  la tenue de ce 16e de finale.

Gueye sanctionné

Alors qu'il devait être titularisé sur le flanc droit de la défense lorraine, le Sénégalais Cheikh Gueye s'est finalement assis sur le banc de touche au coup d'envoi. Yvon Pouliquen ne badine pas avec la discipline : « Il est arrivé en retard à  l'entraînement de vendredi, puis à  la causerie d'avant-match. Avec moi, il y a des règles à  respecter. » La disgrâce momentanée de Gueye a fait le bonheur du Péruvien Manuel Corrales qui a ainsi honoré sa première titularisation un an et demi après son arrivée en Lorraine. Eric Cubilier a coulissé dans le couloir droit et le Sud-Américain a couvert le flanc gauche de l'arrière garde messine. Ce changement de hiérarchie n'a cependant pas duré plus de 39 minutes. Touché quelques instants plus tôt dans un choc avec Szelesi, Corrales, victime d'un coup sur le genou, a cédé sa place à … Cheikh Gueye, revenu en grâce au gré des circonstances.

Bassong foudroyé

Il a ressenti comme un coup de poignard derrière la cuisse. Dès la 13e minute, le défenseur messin Sébastien Bassong s'est écroulé en pleine course, «fusillé» par un claquage. Il a évidemment immédiatement quitté la pelouse et été remplacé par Pascal Delhommeau.

Joyeux anniversaire, Dr Eberhardt

L'indémodable médecin du Racing Dany Eberhardt a fêté ce vendredi ses trente années de présence au club. « Je suis rentré au club le 1er février 1978 à  la demande d'Arsène Wenger et Max Hild. J'ai officié pendant deux ans au centre de formation. Le Racing était le premier club en France dont le centre disposait d'un médecin. En 1980, je suis monté chez les pros. »

Puydebois mais pluie de buts

Nicolas Puydebois (6). Impuissante sur les trois buts messins, magistrale sur le pénalty d'Agouazi (85e), la doublure de Coupe de Stéphane Cassard a assuré la majeure partie du spectacle lors de la première mi-temps. Auteur notamment d'une envolée magnifique sur une frappe de Pjanic (32e), il s'est également montré irréprochable sur des tentatives d'Aguirre (28e) et de Gygax (30e). Ses prises de balle très sûres contrastaient cependant avec des relances hasardeuses, directement dans les pieds messins qui ne savaient bonifier pareilles offrandes. On l'excusera : dégager sous la pluie de la Meinau, hier, c'était un peu comme jongler avec une savonnette sous la douche.
Zoltan Szelesi (5,5). Il faisait un temps à  mettre un Hongrois dehors. Un ballon lourd, un terrain gras, rien de tel pour faire briller un rugueux latéral. Szelesi n'a finassé ni ses dégagements en touche, ni ses duels qui ont valu un remplacement prématuré au malheureux Péruvien Manuel Corrales. Du brutal mais de l'efficace. Remplacé par Kevin Gameiro à  la 74e.
Habib Bellaïd (3,5). Peu à  l'aise face à  un joueur trapu mais véloce balle au pied du type d'Aguirre, l'international espoirs est à  gratifier du mauvais gag de la soirée : un dégagement anodin dans la surface contré par Aguirre et qui trouve le petit filet de Puydebois (46e). Comme Dos Santos et Ducrocq, il a manqué d'à -propos sur le contre qui a amené le second but messin puis a provoqué un penalty après une faute grossière sur Renouard.
Pierre Ducrocq (4). Comme ses coéquipiers, il s'est rapidement laissé endormir par le faux rythme messin en première mi-temps. Lui non plus n'a pas été impérial sur les relances lorsqu'il était sous pression. Gygax et Aguirre lui ont posé des problèmes, notamment de placement.
Manuel Dos Santos (4). Après une première mi-temps sérieuse, il s'est éteint comme tous ses coéquipiers et a assisté en spectateur au slalom de Pjanic sur le 3e but.
Rodrigo (4,5). Renaud Cohade devant et Gregory Paisley derrière lui ont à  l'évidence manqué. Il a tenté de colmater les brèches entre les lignes en seconde période, mais a été bien seul à  faire les efforts défensifs nécessaires dans l'entre-jeu.
Guillaume Lacour (3,5). Un jour sans : peu d'apport offensif, peu de choses à  opposer à  la vista messine en seconde période.
Yacine Abdessadki (4). Après des débuts intéressants sur le flanc gauche, il s'est peu à  peu désagrégé dans les mailles défensives lorraines.
Pascal Johansen (4). Le Colmarien avait beaucoup à  prouver dans une position de soutien offensif qu'il affectionne, mais les conditions de jeu et des attaquants transis ne l'ont guère aidé à  jouer dans la profondeur. Finalement, c'est encore sur coup de pied arrêté qu'il a le mieux servi ses coéquipiers.
Wason Renteria (3). A l'image de ses précédentes productions et malgré une entame volontaire, il n'a jamais été une solution pour ses partenaires. Remplacé par Moulougui juste avant le second but messin (62e).
Alvaro Santos (4). Il était l'attaquant strasbourgeois le plus mobile hier soir. Mais comme on ne peut jouer en pointe, décrocher et se servir soi-même, ses courses ont forcément été dans le vide.

Stéphane Godin
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Re: [07/08] 16ème CDF : RCS / Metz - 0/3

Message par GeoGeo »

c'est quoi ce but gag le 1er but :shock: le deuxieme est superbe, mais le 3eme il ne devrait jamais rentré, mais si pjanic dribble super bien, attends comment puydebois se jette abusé :mrgreen:
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Keating
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Re: [07/08] 16ème CDF : RCS / Metz - 0/3

Message par Keating »


MEtz fait quand même bien circuler le ballon sur son 1er but ... On n'a pas réussi à  faire un tel alignement de passe sur tout le match ...
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Re: [07/08] 16ème CDF : RCS / Metz - 0/3

Message par Phapha »

Roswell Man a écrit :
GeoGeo a écrit :d'accord mais si a ce moment la l'entraineur dit que c'est pas sa priorité, pourquoi ne pas aligner une équipe BIS alors..
Ch'uis d'accord, c'est le seul truc qui m'intrigue dans cette affaire. A la place de Fufu j'aurais aligné 3-4 jeunes comme Gasmi (qui a bien le niveau de certains titulaires habituels à  mon avis), comme à  Rouen. Il voulait peut-être tester la motivation et l'engagement des "cadres", ou éviter qu'ils ne rouillent entre deux rencontres de championnat...
D'accord avec toi sur ton post d'avant.
Pour ce qui est d'aligner des cadres, JMF l'avait dit : pour lui, les titulaires habituels doivent être capables de jouer un match par semaine. J'espère qu'il va leur remonter un peu les bretelles (et en mettre deux ou trois sur le banc :twisted: )
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Roswell Man
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Re: [07/08] 16ème CDF : RCS / Metz - 0/3

Message par Roswell Man »

Je trouve la boulette de Puydebois sur le 3e but encore plus incroyable que celle de Bellaïd sur le 1er. Je me demande comment un gardien peut arrêter un péno et rater une sortie presque évidente 3 minutes plus tard :shock:
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