[07/08] 16ème CDF : RCS / Metz - 0/3

[Roswell Man]

(je reprends certaines conneries dites hier...)

cette logique de sot

Ca y est, même ce bon vieux FM me déteste maintenant

[FM17]

mais non pas du tout...mais putain perdre contre Metz c est terrible pour moi....et lire que ce n est pas grave et logique me rend fou...Après, evidemment que c est préférable de rester en L1...mais battre Metz et rester en L1 n est pas incompatible me semble t il...et je pense que cette défaite ne peut en aucun cas faire du bien à  un groupe...Mais bon, je connais la musique, si on bat St Etienne, on lire des conneries du style "la défaite contre Metz a mis tout le monde devant ses responsabilités" "cette défaite a été un mal pour un bien"..enfin, le genre de phrases de loosers...Je me rappelle aussi de la joie pathétique de Furlan apres la victoire fantastique à  Rouen...tout ça pour perdre 3-0 (et encore on s en sort bien) contre une équipe de daube...

[argueti]

Coup de gueule et sautes d'humeur

Irrité par l'inconstance du Racing, ridiculisé vendredi à  la Meinau en 16es de Coupe de France par un FC Metz revigoré (0-3), Jean-Marc Furlan a passé un méchant savon à  ses hommes après la rencontre. Pour les piquer avant la réception de Saint-Etienne samedi ?

Quentin Othon et Morgan Schneiderlin devront ronger leur frein un moment encore. Le premier, qui s'est déjà  assis quinze fois sur le banc de touche – après deux matches de L 2 la saison passée - attend toujours d'accomplir ses premiers pas en Ligue 1. Le second, couché à  dix reprises sur une feuille de match, en est encore à  espérer débuter en professionnel, lui qui, à  18 ans, a déjà  paraphé deux contrats pros. Pourquoi diable – nous direz-vous - faire référence aux deux espoirs strasbourgeois à  l'heure de revenir sur la débâcle en 16esde Coupe de France avant-hier à  la Meinau contre Metz (0-3) ? Parce que depuis des semaines, Jean-Marc Furlan martèle que ses deux jeunes « mériteraient de jouer. » Le coach bas-rhinois attendait juste une qualification pour leur donner leur chance dans une semaine à  trois rencontres où le turnover se serait imposé. Les 8es, programmés les mardi 18 et mercredi 19 mars, tombent en effet entre le déplacement à  Bordeaux le 15 et la réception de Lille le 22. « J'ai un souci », racontait-il encore jeudi. « Quentin et Morgan devraient déjà  jouer. Et qu'ils n'en aient pas eu l'occasion est gênant. Mais ils sont en concurrence avec des garçons aussi expérimentés que Rodrigo, Cohade et Lacour, voire Dos Santos pour Quentin qui peut jouer latéral gauche et je me vois mal les faire entrer à  la place de l'un de ceux-là , dans un championnat où l'expérience peut s'avérer déterminante pour le maintien. Quentin et Morgan sont jeunes. Des matches pros, ils auront le temps d'en jouer.» C'est peut-être l'une des raisons - mais on doute que ce soit la première - pour lesquelles les murs des vestiaires ont tremblé vendredi après la punition reçue contre Metz. La contrariété de Furlan était sans doute ailleurs. Dans cette incompréhensible propension de ses joueurs à  souffler le show - comme à  Lens la semaine précédente - et le froid.

Une argumentation de façade

En descendant en zone d'interviews, le coach, qui affichait un visage plus fermé qu'à  l'ordinaire, s'est efforcé de donner le change. Avançant les arguments convenus : « Impossible de contourner le bloc ultra compact des Messins, manque de percussion offensive, réussite maximale des Lorrains en contre, adversaire qui n'avait vraiment rien à  perdre… » Et patati et patata. Mais on finit par connaître le manager général du RCS et on sait qu'il n'en pensait pas un traître mot. Après le nul à  Auxerre (1-1), il avait affirmé que son équipe avait « réussi un match plein, hormis le premier quart d'heure. » Quelques jours plus tard, alors que personne ne lui demandait rien, il avait admis « la médiocrité » de la prestation strasbourgeoise dans l'Yonne. Cette fois, il n'a pas eu besoin de quelques jours pour prendre conscience de ce qui sautait aux yeux depuis les tribunes. Une poignée de minutes lui a suffi pour recadrer son monde, avec des propos un brin blessants. Dans le but de provoquer un électrochoc avant la réception de Saint-Etienne samedi pour un match au couteau, comme les précédents et ceux à  venir ? Possible, sinon probable. Reste à  savoir si ce coup de gueule produira l'effet escompté. Bien difficile à  dire tant les sautes d'humeur de son équipe, régulière dans le jeu d'août à  décembre, sont devenues monnaie courante depuis le début 2008.

Echos

C'est forcément une bonne nouvelle : attaquant le plus en forme du Racing en décembre, Jacob Mulenga, qui avait « disparu » depuis la trêve hivernale pour cause de Coupe d'Afrique des Nations, est rentré hier sur Strasbourg, après l'élimination de la Zambie au premier tour de la CAN malgré un bilan satisfaisant (une victoire, un nul, une défaite et quatre points). Titularisé à  trois reprises, l'attaquant bas-rhinois prêté par Châteauroux a inscrit un but et délivré une passe décisive au Ghana. Durant son absence, il a raté les six premiers rendez-vous 2008 du RCS.

Cohade reprend lundi

Observateur attentif du match de la réserve strasbourgeoise contre Raon-l'étape hier à  Geispolsheim (2-2), Renaud Cohade, forfait la veille face à  Metz pour une douleur aux adducteurs, reprendra l'entraînement ce lundi après-midi avec le groupe. « Ça faisait un moment que ce pépin aux adducteurs me gênait et je risquais d'aggraver la blessure. Un repos était donc nécessaire. Ça devrait aller. » Absent lors des deux dernières rencontres, Grégory Paisley devrait lui aussi retrouver ses coéquipiers demain.

Les sélectionnés sont partis

Zoltan Szelesi, qui, avec la Hongrie, affrontera la Slovaquie mercredi à  Chypre, Wason Renteria, qui se rendra le même jour avec la Colombie en Uruguay, et Habib Bellaïd, qui défiera l'Espagne mardi à  Benidorm avec l'équipe de France espoirs, ont quitté Strasbourg pour rejoindre leurs sélections respectives.

Stéphane Godin

[Roswell Man]

mais non pas du tout...mais putain perdre contre Metz c est terrible pour moi....et lire que ce n est pas grave et logique me rend fou...Après, evidemment que c est préférable de rester en L1...mais battre Metz et rester en L1 n est pas incompatible me semble t il...et je pense que cette défaite ne peut en aucun cas faire du bien à  un groupe...Mais bon, je connais la musique, si on bat St Etienne, on lire des conneries du style "la défaite contre Metz a mis tout le monde devant ses responsabilités" "cette défaite a été un mal pour un bien"..enfin, le genre de phrases de loosers...Je me rappelle aussi de la joie pathétique de Furlan apres la victoire fantastique à  Rouen...tout ça pour perdre 3-0 (et encore on s en sort bien) contre une équipe de daube...

Je suis consterné comme toi par la prestation du Racing vendredi soir, et n'ai nullement l'intention de reprendre ou de valider certains clichés déballés habituellement par Fufu ou ses joueurs après une branlée. J'essayais au contraire de prendre un peu de recul pour trouver une explication au manque de motivation plus qu'évident des Bleus. Tu as sûrement remarqué comme moi que, en général (il y a bien sûr des exceptions), les premières équipes de L1 qui tombent en Coupe sont les équipes moyennes comme le RCS, alors que les lanternes rouges se battent bec et ongles pour aller le plus loin possible dans la compète. Ce n'est pas un hasard si Metz, Sochaux et Lille disputeront les 8es alors que d'autres équipes qui leur sont a priori supérieures (le Racing, Toulouse...) ont été éjectées sans gloire par des "chèvres". Et tu noteras que, les dernières fois où le Racing a brillé en Coupe (de France ou de la Ligue), il était promis à  la relégation, exactement comme Metz aujourd'hui...

Cela dit, sérieusement, si quelqu'un a une meilleure explication à  avancer, je serai ravi d'en prendre connaissance.

[argueti]

Plus qu'une idée en tête

Depuis le passage, façon bourrasque, de Metz à  la Meinau, le Racing n'a plus que le championnat au programme. Soit encore quinze marches à  gravir jusqu'au maintien. La première d'entre elles, samedi contre Saint-Etienne, devra être abordée d'un pas ferme et décidé. Tout le contraire de vendredi dernier, somme tout.

Il en a assurément vu d'autres. Des vertes et des pas mûres. Pour Dany Eberhardt, l'incontournable docteur du Racing qui fêtait vendredi sa 30e année de soins au club, la dérouillée subie contre Metz ne doit constituer qu'une simple péripétie. Une de plus. Pas de quoi priver le grand bonhomme à  la barbe poivre et sel de son éternel sourire.

La Meinau atteinte de « sinistrose » aiguë

Dans les tribunes, en revanche, les mines déconfites et les hochements de tête, expression de dépit, dénotent un autre état d'esprit. En-dehors du quart de virage occupé par les supporters messins, qui se verraient désormais pousser la chansonnette jusqu'aux portes du Stade de France au printemps prochain, la Meinau a été atteinte de « sinistrose » aiguë. Et pas seulement en raison du temps de chien qui sévissait sur la région. Le spectacle imposé au public alsacien n'avait, en effet, rien de réjouissant. La faute, en partie, à  une formation mosellane enfin disposée à  assurer ses arrières. « Contre des équipes qui défendent en bloc, à  onze devant le but, on rencontre des problèmes, reconnaît Jean-Marc Furlan. On l'avait déjà  constaté contre Amiens, en Coupe de la Ligue, ou Le Mans en championnat. Ce n'est pas nouveau. »

Les Strasbourgeois sont apparus bien trop brouillons

Le souci, c'est que le Racing n'a jamais paru en mesure de faire sauter le verrou de ce Catenaccio à  la mode messine. En dépit du remaniement défensif auquel Pouliquen a été contraint - blessures de Bassong et de Corrales en première période -, les Bleus ne sont pas parvenus à  prendre la défense de vitesse. N'en déplaise au coach, lui qui assure que ses hommes « avaient la partie en main. » En vérité, les Strasbourgeois sont apparus bien trop brouillons, à  l'image de Johansen et de Abdessadki plutôt transparents, pas assez percutants dans l'axe et rarement dangereux sur les côtés. Et quand le Péruvien Aguirre est venu mettre sa jambe en opposition sur un dégagement de Bellaïd pour l'ouverture du score, le manque d'envie et l'absence d'esprit de révolte ont sauté aux yeux. Au final, c'est une image de balourds et d'empotés qui prévaut. Celle-ci est renforcée par cet improbable solo de Pjanic au coeur de la défense alsacienne, le petit attaquant allant jusqu'à  ridiculiser le pauvre Puydebois, parti aux fraises sur ce coup-là  (0-3).

Le week-end pour analyser la situation à  tête reposée

« On s'est épuisé en première mi-temps, analyse le gardien du Racing, doublure de Cassard dont le temps de jeu risque désormais de ne plus évoluer. Après l'ouverture du score, on n'a pas su réagir. Metz en voulait bien plus que nous. » Furlan, qui reconnaît avoir subi « une grosse contrariété, même si la coupe n'était pas un objectif majeur », veut se laisser le week-end pour analyser la situation à  tête reposée. Cette élimination, aussi humiliante qu'elle soit, représente un moindre mal si les Bleus se remettent en ordre de bataille d'ici samedi et la venue de Saint-Etienne.

« Pas inquiet quant à  la qualité de jeu »

Dans ce match de L 1 face à  un concurrent direct au maintien, le droit à  l'erreur est en tout cas proscrit. « Pas inquiet quant à  la qualité de jeu », Furlan compte sur les rentrées de Paisley et de Cohade, volontairement préservés vendredi, et le retour de Mulenga - le Zambien, éliminé de la CAN, est attendu lundi à  l'entraînement -, histoire d'étoffer son groupe qui perdra Bellaïd, suspendu. Toutes les forces vives seront nécessaires pour venir à  bout de Stéphanois également en proie à  des soucis d'effectif. Pourvu que Dany Eberhardt n'en voit pas une autre, de verte et de pas mûre, samedi prochain.

Séb.K.

[D520]

Pas inquiet quant à  la qualité de jeu »

dixit Furlan !!
putain, il a le moral le gars !!!

[FM17]

qui peut me dire quel est le dernier match où le Racing a bien joué ????

[télésupporteur]

caen, toulouse

[FM17]

Toulouse ??? à  l aller tu veux parler j espère...

[supppourtjs]

Vous n'y êtes pas mon cher FM75, ce match et je me repete est perdu d'avance vu les interets à  l'opposer des 2 clubs!!

c est quoi cette connerie ?

Dans le foot actuel, il y a des choix à  faire surtout quand une équipe (comme le racing) à  des moyens "limités".
Que tu le veuille ou non, l'interet du racing est le maintien est uniquement le maintien, il faut être aveugle pour ne pas voir le non match des joueurs, et tout ceci est une fois de plus une histoire d'argent et rien de plus, le 8 mars nous verrons très certainement la différence.
Si tu ne peux pas comprendre cela et bien deviens supporters dans un autre sport ou l'argent ne fait pas la pluie et le beau temps!!!