Bon j'ai vu le match au stade et franchement je me demande pourquoi ils sont venus sur la pelouse, quasiment aucun n'avait vraiment envie de jouer.
J'ai aimé la rentrée de Renteria, il a eu l'air d'avoir envie de jouer sauf qu'en aillier droit j'ai pas compris.
Pourquoi faire jouer Fanchone autant mettre Renteria direct que de se priver de ce joueur. Perso je le comprend, pourquoi revenir à -10° à Strasbourg plutôt que de rester en Colombie
Encore une fois heureusement qu'il y a Cassard sinon cela aurait été une correction avec 2-0 au bout de 10 minutes.
Cohade qui tente d'être meneur de jeu
J'ai rien compris au placement ce soir, mais bon il manque vraiment de l'animation et un brin de vitesse comme Mouloungui sait le faire.
Phapha
L'idée de Furlan à la base n'est pas à jeter, mais elle se fait avec deux ailiers ayant aussi des qualités d'attaquants (Mouloungui et Fanchone il fut un temps) Ce que Johansen par exemple ne possède pas ... Quant à Fanchone, il perd lui aussi de son niveau, alors qu'en début de saison il dynamitait le côté droit.
Personne ne parle des superbes événements qui se sont produit dans le quart des UB ?
Ca à cogner sec vers la 70ème minute, à cause de quelques cons qui se sont amusés à jetter les drapeaux de tout en haut de la tribune sur les personnes qui étaient plus bas ...
Pour le match, que dire de plus ? On avait rien à envier à Nice, on était juste simplement en dessous de tout. Il manque un vrai créateur, un mec qui à une bonne vision du jeu et qui sait accélerer le mouvement quand il le faut, notament sur les contres, mais bon qui pour ce rôle ? En ce moment, personne je dirais tout simplement ... Y'a du soucis à se faire
Goaldechoc a écrit :Personne ne parle des superbes événements qui se sont produit dans le quart des UB ?
Ca à cogner sec vers la 70ème minute, à cause de quelques cons qui se sont amusés à jetter les drapeaux de tout en haut de la tribune sur les personnes qui étaient plus bas ...
C'est donc ça l'origine, je me posais la question aussi. Y a eu un ptit bordel dans le kop en tout cas, à défaut d'y en avoir sur le terrain ...
Et, autre constat qui va vraiment réjouir ceux qui étaient à Strasbourg-Monaco 2005-2006 et qui se souviennent un peu de son déroulement : personne n'a reconnu la juge de touche ?
Le bordel ne s'est pas arrêter là , ça à continuer à l'extérieur des tribunes aux niveaux des escaliers, ça partait dans tout les sens juste au moment où on partait (tellement marre d'voir un match aussi *******), et puis bon, y'a juste policiers qui sont arrivés, après j'en sais pas trop plus, mais bon, ridicule quand on voit ce genre de types faire n'imp pendant un match de foot
Vu le match dans le kop. Premier point le mouvement de foule: des niçois se sont faufilés dans le haut de la tribune et ont provoqué en balançant entre autre des drapeaux de l'animation de début. D'où ruéée quand ils ont été repérés et punition, intervention, ils sont évacués manu militari. D'ailleurs autre anecdote, à la mi temps depuis l'extérieur du stade un niçois à tirer une fusée rouge dans l'enceinte. . Je suis dubitatif, premier point un mec qui provoque à ce point il lui manque une case et quelque part c'est mérité. D'un autre côté des 3 que j'ai vus, l'un à une tête de meneur, le second à gicler à mes pieds depuis l'escalier (devait avoir dans les 18ans) et le 3eme hagard qui s'est pris aussi des coups, devait avoir dans les 15ans,un corps et un look de préado. La ruéée et la bastonade aux cris de tués les, m'a fait penser à ces classiques western qui découlent sur un lynchage. Je suis en phase avec la stupidité de l'acte adverse, mais je trouve ça excessif et en fait jusqu'à la fin une part de moi n'y était plus. Bon je faisais partie des quelques rescapés qui chantaient toujours mais je sais pas j'avais un goût mer dans le gosier.
Puis le jeu:
- bellaid, pas mal
- cassard pas mal mais moins que moyen sur 2 situations (contrairement à beaucoup, pour moi le meilleur est derrière lui)
- johansen, paisley +szelezi et renteria ensuite moyens
- le reste nul
Précisions:
bellaid, mouloungui, mulenga et renteria sont les seuls certainement capables de décrocher une place européenne
paisley, gasmi, gameiro, othon, durak, carlier (si, si, bien sûr si quelqu'un s'occupe de lui, sinon il va passer à côté de sa carrière): peut-être
bah et cie: j'en sais rien encore
les autres clairement, non, y compris rodrigo et cie
Pour alvaro, même contre rennes il a été nul, si vous pouvez, revoyez le match, sur différentes situations il fait les mauvais choix. Ensuite toute la défense rennaise décide de lui filer un coup de main et malgré ça il a failli la viander en la mettant sur le gardien. Le deuxième il pousse au fond un but tout fait. Ah on peu lui comptabiliser cette saison une passe millimètrée dans la course de renteria pour son piqué génial, point. Pour tout dire weldon qui était à sochaux et qui n'a pas non plus le niveau L1 était meilleur.
Les supporters, je les sens comme anesthésiés par des années de disette, il fut un temps où des discours, un jour peut-être ne seraient jamais passés.
Au passage si je résume abdess, trois très bon math au début, suivi de 3 matchs moyens puis pfuit, est là et revenu parce qu'il s'entend bien ave le président, entre temps d'ailleurs son amour claironné du club l'ont poussé à envisager un départ, refusé malgré une prétendue promesse... Camcam est là patati etc... le footix de base: il sert pour apporter sa technique et garder le ballon les quelques fois où il joue. Un match gagné en début de saison il rentre en 2°, sans conséquenes heureusement, 9 ballons touchés, 7 perdus dont 4 ballons de contres et 2 ballons de buts version plus mauvais match de rodrigo. Alvagros est là car s'entend bien avec le coach. johansen et cohade parce quils se battent parfois. Lacour qu'on va prolonger misère et damnation, parce qu'il est sympa. Dos santos parce que c'est un grand frère. Mordiou c'est le RACING CLUB DE STRASBOURG pas l'amicale du schnockeloch.
Lille, Lens, le PSG ne descendront pas, reste à voir Lorient. Pour Nous où Auxerre on en saura plus la semaine prochaine.
Je connais un type dont je précise que je ne souhaite pas son retour car dépassé qui n'hésitait pas à lancer des cobos et cie.
Pas besoin d'avoir bac L1, 25ans +3 pour avoir sa chance.
Allez racing
PS: au final mon trio de choix d'il y a 3 ans kranjcar, corluka, srna joue le haut niveau. Rappel 2 srna+1 gardien sont partis au chakhtar pendant qu'on se coltinait deroff. Kranjcar est maintenant entrain de s'imposer à Porsmouth, Corluka est aller à manchester city pour 13ME, quand il en vallait 1 lorsque je le souhaitais.
PS2 avec eux on ne serait pas déscendus il y a 2ans.
PS3 les boulets ne sont pas ceux qui sont partis, ils sont toujours là
PS4 Un sidi vaut mieux que rodrigo, cohade et lacour réunis, d'ailleurs un faty+schneiderlin c'est mieux aussi
PS5 Un alex farnerud vaut mieux qu'un abdes et un pagalou réunis également, d'ailleurs dans l'effectif de cette année c'est un gars comme lui qui manque le plus
Bonne nuit
ca risque d être un probleme...Lacour, Santos semblent bien être des joueurs protégés...ils n etaient pas titulaires en début de saison lorsque le Racing jouait pas mal...Vite un retour de Mouloungui sur son côté gauche, une attaque Renteria-Gameiro (Renteria tournant autour) et Yacine ou Mulenga (Fanchone semble en retrait) à droite.
Vade retro Rudi Garcia...bouh t'es moche quand tu chouines
Le Racing a concédé, hier soir, sa troisième défaite de la saison à domicile. Celle-ci intervient à un mauvais moment, contre une équipe niçoise inspirée bien qu'amoindrie. Dépourvus de fraîcheur et d'esprit de révolte, les Bleus, toujours quatorzièmes, s'exposent dangereusement au retour des équipes du bas de classement. Inquiétant.
Jean-Marc Furlan ne s'est pas trompé. A la veille de la venue de Nice, l'entraîneur du Racing planchait sur une seule problématique, à la fois simple dans la formulation et plutôt compliquée dans sa résolution. « Comment marquer des buts à l'OGC Nice ? »
En panne sèche d'inspiration
A la pause, en tout cas, la question reste entière, comme en témoignent les sifflets qui s'abattent des tribunes de la Meinau. Lloris, le gardien azuréen, n'a ainsi pas eu à s'employer durant ces quarante-cinq premières minutes. Pas une frappe cadrée, aucun mouvement abouti, rien de construit ni même de réfléchi : le Racing est en panne sèche d'inspiration, comme lors de ses trois dernières sorties. « Il faut accepter la loi sportive, on est tombé sur un adversaire supérieur à nous, reconnaît le coach alsacien. On manquait de fraîcheur physique et mentale. » Pourtant, la tâche des Alsaciens semblait facilitée par les circonstances. C'est que Frédéric Antonetti n'avait guère l'embarras du choix. En l'absence de ses cinq « Africains » - Kanté, Apam, Koné, Diakité et Job -, partis préparer la CAN, et de son défenseur central Hognon, blessé, l'entraîneur des Aiglons a dû innover et composer avec les moyens du bord. Notamment en défense, où l'ex-Sedanais Yahia, arrivé début janvier, était chargé de verrouiller l'accès au but en compagnie de l'inexpérimenté Gace. « Nos qualités de solidarité permettent de compenser les absences, on l'a vu ce soir (hier) », savoure Antonetti. La solidarité, voilà une vertu que le Racing semble avoir oublié ces temps-ci. A voir le pauvre Alvaro Santos planté là , soit esseulé soit mal entouré, au coeur de la défense niçoise, on comprend vite que la soirée risque d'être délicate. D'autant que Fanchone, censé épauler le Brésilien, n'apporte strictement rien. Pas plus qu'Abdessadki, d'ailleurs, dont les jambes paraissent lourdes et les gestes approximatifs. Même Cohade, l'homme aux trois poumons, peine à trouver la bonne carburation. Il n'en faut pas plus pour que les Aiglons prennent rapidement confiance. Un pressing haut sur la défense alsacienne, orchestrée par l'inoxydable Laslandes, suffit à décontenancer les Alsaciens. Mieux, la troupe d'Antonetti parvient à remonter la balle en deux temps trois mouvements, presque sans opposition. Le duo Laslandes - Ederson se trouve quasiment les yeux fermés. Le premier distille de fines déviations. Le second en profite e t file sur le but strasbourgeois. En moins de vingt minutes, Cassard est contraint à la parade à trois reprises, sur des frappes de l'intenable Ederson. « Il les a maintenus dans le match, parce qu'on aurait mérité de rentrer aux vestiaires avec un but d'avance », constate Antonetti. La quatrième, finalement, sera la bonne. Sur un exploit tout personnel du Brésilien, qui élimine deux défenseurs avant d'adresser une merveille de frappe enroulée, les Bleus sont au tapis (52e').
« On continue le combat pour se maintenir »
Alors que la Meinau espère un vent de révolte, pas le moindre souffle ne jaillit des bronches alsaciennes. Amorphes, sans ressort ni allant, ils déjouent complètement. Les rentrées de Gameiro et de Renteria n'y changeront strictement rien. Hier soir, les Bleus ont livré leur plus mauvaise prestation domestique de la saison face à une équipe niçoise invaincue depuis maintenant dix journées. Une soirée triste à pleurer qu'il s'agira vite d'oublier. « On continue le combat pour se maintenir », conclut Furlan, qui refuse de s'alarmer. Samedi prochain à Auxerre, équipe qui suit directement au classement, mieux vaudra sortir du terrain la tête haute.
En caractère maigre
Manquant de conviction, de caractère et d'imagination, le Racing n'a pas réussi à résoudre l'équation niçoise. Une défaite embarrassante qu'il va falloir digérer.
CASSARD (). - Son début de match s'est résumé à un face-à -face avec Ederson. Sorti vainqueur à trois reprises, le gardien strasbourgeois a pourtant mis son équipe sur de bons rails. Ne peut rien sur la superbe frappe enroulée du Brésilien.
LACOUR (). - A paru moins à l'aise qu'à l'accoutumée, à l'image d'un secteur défensif qui a souvent manqué de réaction face aux enchaînements niçois.
BELLAID (). - Averti au bout d'un quart d'heure pour une faute sur l'anguille Ederson, il a lui aussi subi entre l'inoxydable Laslandes et l'imprévisible Bamogo.
PAISLEY (). - De retour après son match de suspension purgé en Coupe à Rouen, il a été contraint de sortir de sa tanière pour tenter de contenir l'insaisissable Ederson. Mais cela n'a pas suffi, tant l'ancien Troyen nous avait habitués à mieux.
DOS SANTOS (). - Il ne lâche jamais l'affaire, comme en témoigne cette montée rageuse de la 36e et dont le centre aurait mérité meilleur sort. Et que dire de celui de la 70e pour la tête d'Alvaro Santos. L'un des seuls à avoir proposé quelque chose hier soir.
RODRIGO (). - Le M. Propre, que Philippe Ginestet va tenter de soustraire à la surenchère de l'AC Ajaccio pour un transfert définitif, a été contrarié, comme ses partenaires, par l'étoffe du milieu niçois (Laslandes décrochant sans cesse pour servir de rampe de lancement). A toutefois tenté de remettre un peu d'ordre dans la maison bleue.
COHADE (). - A alterné le bon et le moins bon, mais on ne peut lui reprocher de jouer en première intention. Et souvent juste. Hier soir, il aurait néanmoins fallu jouer un ton au-dessus. Remplacé à la 80e par Szelesi.
JOHANSEN (). - Chaque ballon qu'il touche est rendu clé en main. Mais hier, ses coéquipiers ont manqué de gourmandise. Et après avoir tenté de sonner un début de révolte, il s'est éteint comme les autres.
ABDESSADKI (). - Il a apporté une plus-value technique dans l'entrejeu, mais on sent que l'international marocain est encore à la recherche de ses sensations. Remplacé à la 69e par Gameiro.
FANCHONE (). - Plein de bonne volonté, il n'arrive décidément pas à se défaire de cette étiquette de joueur nonchalant et à décoller. Remplacé à la 60e par Renteria qui a tenté d'apporter son grain de folie.
ALVARO SANTOS (). - Peu sollicité en première mi-temps et trop esseulé, l'ex-Sochalien s'est fendu d'une belle tête à la 70e. Trop peu pour espérer mieux, à l'image de toute l'équipe.
Une nouvelle fois incapable d'inscrire un but, le RCS a concédé hier soir sa 3e défaite à la Meinau face à un OGC Nice qui mérite à la fois sa victoire et sa 5e place en Ligue 1 (0-1).
C'est de saison. L'OGC Nice a, en cette nouvelle année, présenté hier ses meilleurs vieux au Racing et est venu lui chiper trois points de plus, après les trois du match aller au stade du Ray, sur le même score (1-0). Mais, autant le succès des Aiglons dans leur nid de la Côte avait été tiré par les cheveux, autant celui qu'ils ont signé à la Meinau lors de cette première journée retour ne prête pas à discussion. Il confirme surtout l'allant des Azuréens depuis leur dernière défaite au Mans le 6 octobre (2-0) et ajoute une dixième perle à leur chapelet de matches sans revers. Au passage, les coéquipiers de l'ex-Racingman Olivier Echouafni ont mis un terme à leur série d'insuccès à la Meinau où ils ne s'étaient plus imposés depuis décembre 1979. Evidemment, ce tableau presque idyllique pour les hommes de Frédéric Antonetti, qui se hissent au 5erang de la Ligue 1, contraste singulièrement avec la zone d'ombre – pas encore rouge – dans laquelle ce troisième échec à domicile (après Le Mans et le PSG) plonge le RCS. « Nous avons les occasions, ce qui me fait dire que ça va passer un jour », disait vendredi Jean-Marc Furlan. La rencontre de ce samedi 12 janvier risque de l'amener à réviser son jugement. Car son équipe n'a pratiquement jamais inquiété Hugo Lloris. Sans un Stéphane Cassard des grands soirs – une fois de plus -, dans la lignée d'un Nicolas Puydebois qui lui avait déjà évité l'élimination et l'humiliation à Rouen le samedi précédent en Coupe de France, l'addition aurait même été plus salée. Mais que la défaite ait été d'un, deux ou trois buts importe peu. L'analyse ne diffère guère et renvoie à cette très alarmante stérilité offensive. Un marronnier depuis le début de saison. Sur la pente savonneuse depuis quelques semaines (7 des 8 derniers matches sans marquer), les Bleus n'ont pas bougé au classement et restent 14es. Avec, toujours, 4 points d'avance sur le premier relégable, Lens. A ceci près que les Lensois n'ont plus un, mais deux matches en retard, dont le premier ce soir chez un Paris SG qui n'a toujours pas gagné au Parc des Princes.
« En dessous de notre valeur »
Inutile d'aller chercher bien loin les raisons de cet échec dans une Meinau décidément bien inhospitalière pour les siens (14 points sur 33) : comme le reconnaît volontiers Guillaume Lacour, les Bleus ont été incapables d'insuffler à leur jeu le plus petit changement de rythme, ni même le moindre vent de révolte. « Nous avons évolué en dessous de notre valeur et nous sommes tombés sur une équipe simplement meilleure que nous », résume Jean-Marc Furlan. « Nous n'étions pas inspirés. Nous n'avons pas affiché suffisamment de fraîcheur mentale et physique pour lutter face à un adversaire expérimenté. » Les Laslandes, Echouafni, Rool, Balmont et autres Hellebuyck – les fameux meilleurs vieux du « Gym » - ont récité une prestation sans fausse note. On ne peut en dire autant des Strasbourgeois. « Un entraîneur est toujours inquiet », reprend Furlan, « Nous n'allons pas faire une fixation de notre mutisme offensif, mais c'est vrai qu'une occasion et demie, c'est très insuffisant. Nice mérite sa victoire et aurait d'ailleurs pu marquer beaucoup plus tôt. Mais dans ce championnat extrêmement difficile, tout est possible. Pour nous maintenir, nous devrons garder notre sang-froid et notre lucidité. » Plus facile à dire qu'à faire sans doute, tant l'hiver en pente douce que traverse le RCS interpelle.
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